Combien vaut la littérature aujourd'hui ? - Les univers du livre
samedi 18 juillet 2015 à 21:10Nekoblog.org :: Marque-pages 18/07/2015
« On imprime plus de livres, pour rattraper les dépenses de l’an passé, et la surproduction finit par plomber les comptes : il faut plus, toujours plus.
Un Michel-Edouard Leclerc l’affirmait encore l’an passé : « Il y a bien sûr une surproduction dans le secteur de l’édition qui dilue la qualité et le nombre des ventes. [...] » »
Cette surproduction, dans les milieux de l'imaginaire, je la retrouve pas mal chez un éditeur comme Bragelonne qui m'a l'air de beaucoup plus tabler sur le quantitatif que sur le qualitatif (ce qui au final me rend un peu dubitatif sur la qualité de leur boulot éditorial). C'est dommage, surtout qu'en plus, les traductions (Brage publie majoritairement des auteurs anglo-saxons) ne sont pas toujours de qualité.
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Un Michel-Edouard Leclerc l’affirmait encore l’an passé : « Il y a bien sûr une surproduction dans le secteur de l’édition qui dilue la qualité et le nombre des ventes. [...] » »
Cette surproduction, dans les milieux de l'imaginaire, je la retrouve pas mal chez un éditeur comme Bragelonne qui m'a l'air de beaucoup plus tabler sur le quantitatif que sur le qualitatif (ce qui au final me rend un peu dubitatif sur la qualité de leur boulot éditorial). C'est dommage, surtout qu'en plus, les traductions (Brage publie majoritairement des auteurs anglo-saxons) ne sont pas toujours de qualité.
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