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Shaarli - Les discussions de Shaarli

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Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

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The Video Game Atlas - Genesis Maps

mercredi 9 juillet 2014 à 12:40
dooby, le 09/07/2014 à 12:40
l'atlas de tous les niveaux de jeu video par console ... y'a vraiment du fanboy :)
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encotest:vp9-opus [MitsuWiki]

mercredi 9 juillet 2014 à 12:17
Mitsu, le 09/07/2014 à 12:17
Petit test de combinaison de VP9 et Opus :)

Comme je le précise, il serait possible de réduire de moitié le poids du fichier tout en conservant une qualité proche du H.264-AAC. Soit une bataille dans un mouchoir de poche entre VP9-Opus et H.265-HEAAC (les principales différences étant la licence des formats et l'optimisation des codecs)
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TURISAS - For Your Own Good (ALBUM TRACK) - YouTube

mercredi 9 juillet 2014 à 12:14
Colibri, le 09/07/2014 à 12:14
Ce son déboîte sa mémé.
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Informations Nutritionnelles

mercredi 9 juillet 2014 à 12:13
Chassegnouf, le 09/07/2014 à 12:13
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« Pornographique et dégoûtant », ce portrait ? - Le nouvel Observateur

mercredi 9 juillet 2014 à 12:11
Sammy Fisher Jr, le 09/07/2014 à 11:25
Une femme nue, c'est pas grave, on en voit partout. Une femme (plus ou moins) nue qui vous regarde dans les yeux, ça c'est de la pornographie...
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Neuromancien, le 09/07/2014 à 12:11
N'importe quoi, cela risque de devenir comme aux États-Unis: Des grenouilles de bénitiers, prudes, bien pensants etc.
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De Tomb Raider à Star Wars, le top 10 des jeux vidéo les plus coûteux de tous les temps | Atlantico.fr

mercredi 9 juillet 2014 à 12:03
nekoblog, le 09/07/2014 à 12:03
Je tilte sur FF7. 45 millions de dév, 100 millions de marketing.
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Critique de restaurant : blogueuse condamnée - Arrêt sur images

mercredi 9 juillet 2014 à 11:50
Sebsauvage, le 08/07/2014 à 17:32
Voilà voilà, donc un petit coup d'effet Streisand sur appel de Maître Eolas (les liens chez Mitsu: http://root.suumitsu.eu/links/?iZ5M0w)
EDIT: copie ici: http://sebsauvage.net/galerie/photos/Bordel/il_giardino.png et ci-dessous:
EDIT: Et hop... une copie chez Bronco: http://shaarli.warriordudimanche.net/?fBDC7w. Et vous trouverez également des copies chez tous les bons autoblog, bien entendu.
http://shaarli.pandouillaroux.fr/?GXlclg
http://book.knah-tsaeb.org/?hBzGJg

Voilà donc l'adresse du restaurant qui essaie de faire taire les critiques à coup de procès:
Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret

Copie du texte:

=========================================================
L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)
=========================================================
(Permalink)

Mitsu, le 08/07/2014 à 18:08
Et hop, un coup de Streisand !
https://twitter.com/Mitsukarenai/status/486541791676858368
http://autoblog.suumitsu.eu/docs/il_giardino.png

########  VERSION TEXTE #############

L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)

Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret
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HowTommy, le 08/07/2014 à 20:14
"On peut critiquer mais il y a une façon de le faire"

Et on peut s'excuser et se faire pardonner, il y a une façon de le faire. Pourquoi ne pas demander directement à la blogueuse de modifier l'article ? Pourquoi ne pas proposer à cette blogueuse de revenir manger gratuitement pour changer son avis ? Ou d'écrire un article sur VOTRE site pour expliquer ce qui s'est vraiment passé ?

L'attaquer en justice comme ça revient à lui casser les deux jambes sous prétexte qu'elle vous a regardé de travers...

Ce genre de choses devient très dangereux, car ça ouvre la porte à tous les commercants qui pourraient ainsi menacer / attaquer / faire supprimer toutes les critiques négatives...

Entre ça et le droit à l'oubli qui est détourné de son usage premier, on arrive dans un monde de censure à grand coup d'avocats sur Internet... Bientôt il suffira d'un peu d'argent pour faire disparaître toute trace de ce qu'on a pu faire de mal... C'est inacceptable.

Sans compter que ça attaque un blog PERSO, qui ne génère même pas de revenu sur ça ! Je n'arrive pas à croire qu'un tribunal ait osé condamné la blogueuse... C'est inadmissible.

Je partage également, ainsi que l'article d'origine hébergé chez Mitsu, histoire que ça streisandt ça un max : http://root.suumitsu.eu/links/?iZ5M0w
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pandouillaroux, le 08/07/2014 à 20:15
En effet, Streisand au secours!

http://sebsauvage.net/galerie/photos/Bordel/il_giardino.png
http://autoblog.suumitsu.eu/docs/il_giardino.png

Voilà donc l'adresse du restaurant qui essaie de faire taire les critiques à coup de procès:
Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret

Copie du texte:

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L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)
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Via:
http://sebsauvage.net/links/?_0D1Tw
http://root.suumitsu.eu/links/?iZ5M0w
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Bronco, le 08/07/2014 à 21:06
Et hop, Barbra, nous voilà ^^

Voilà donc l'adresse du restaurant qui essaie de faire taire les critiques à coup de procès:
Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret

Copie du texte:

=========================================================
L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)
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Chassegnouf, le 08/07/2014 à 21:19
"Il Giardino", "L’endroit à éviter au Cap-Ferret" je note pour plus tard ^^
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Knah Tsaeb, le 09/07/2014 à 08:51
Et hop, un coup de Streisand !
https://twitter.com/Mitsukarenai/status/486541791676858368
http://autoblog.suumitsu.eu/docs/il_giardino.png

########  VERSION TEXTE #############

L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)

Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret
Origine => root.suumitsu.eu
(Permalink)

ephase, le 09/07/2014 à 11:33
Barbara nous voilà!

Voici le texte censuré ( via http://shaarli.warriordudimanche.net/?fBDC7w ) :

L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino

Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.

Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.

Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).

Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.

Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.

Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !

Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.

Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).

Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !

(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)

   Il Giardino
   71 Bd de la plage
   Cap-Ferret (Gironde - Aquitaine - France)

sur OpenStreetMap : http://www.openstreetmap.org/?mlat=44.64988&mlon=-1.24500#map=19/44.64988/-1.24500
(Permalink)

Sammy Fisher Jr, le 09/07/2014 à 11:50
Ok, c'est moche de devoir payer 2500€ pour une critique ; je trouve l'attitude de la restauratrice assez moche d'avoir porté plainte (même si je peux comprendre le préjudice subi) ; du point de vue du droit, c'est assez inquiétant de ne pas pouvoir critiquer librement. Aurait-elle été condamnée pour avoir traité de harpie la serveuse et de diva la patronne qu'il n'y aurait pas grand chose à redire (l'appréciation de l'insulte est assez large). Mais elle a été condamnée pour dénigrement, et ça laisse songeur. Si ça continue, Michelin et le Routard vont devoir provisionner des millions d'euros pour payer les restaurateurs mécontents de leurs critiques...

Voilà, je n'irai pas plus loin : je trouve la procédure outrancière, la décision infondée en droit, mais pas d'effet Streisand pour moi, car nous n'avons le témoignage que d'une des deux parties en présence. Cela dit, la critique aurait-elle été infondée que je persisterais à penser que cette condamnation est déplacée.

EDIT : l'avis de Tommy http://liens.howtommy.net/?61uCgg
+ l'article en cause, tout de même, pour que ceux qui découvriraient cette histoire en débarquant ici en premier lieu puissent se faire une opinion :
http://sebsauvage.net/galerie/photos/Bordel/il_giardino.png
http://shaarli.warriordudimanche.net/?fBDC7w
(Permalink)

Fighting Gifs - Imgur

mercredi 9 juillet 2014 à 11:49
SharTech, le 09/07/2014 à 11:49
Des tonnes d'arrière-plans animés de jeux de combats, c'est de toute beaauuuutééé !
(Permalink)

Le droit à l’oubli, porte de la censure - Le Hollandais Volant

mercredi 9 juillet 2014 à 11:40
Sebsauvage, le 07/07/2014 à 20:33
Et voilà, l'enfer est pavé de bonnes intentions: L'Europe, en imposant le droit à l'oubli à Google, est en train de permettre la censure.
(Permalink)

Timo, le 07/07/2014 à 22:21
La loi est votée, la censure peut commencer.

N’oublions pas que ce qui définit la légalité de quelque chose, ce sont les textes écrits par les plus gros escrocs que compte un état, et ces derniers peuvent facilement rendre n’importe quoi légal ou illégal.
C’est ça, une république : laisser le pouvoir à ceux qui veulent l’utiliser à leur avantage et contre vous.
— (permalink)
(Permalink)

Fylhan's links lounge, le 08/07/2014 à 13:10
Je ne suis pas d'accord avec ce point de vue. Je le trouve même particulièrement dangereux pour le Web, et pour nous autres petits êtres humains de manière générale. Dire que le "droit à l'oubli' est la porte ouverte vers la censure, c'est une pente glissante qui me parait un peu simpliste. Même si je n'ai pas le temps de faire un dossier un peu plus complet, voici 2-3 infos de pourquoi je pense que le "droit à l'oubli" est un super garde-fou contre tous les problèmes de vie privée qui pourrait arriver, malgré toutes les lois / moyens techniques protecteurs : http://30minparjour.la-bnbox.fr/2014/droit-oubli-porte-ouverte-vers-censure
(Permalink)

Sammy Fisher Jr, le 09/07/2014 à 11:40
Le point de vue de Timo sur la question que je me posais ici : http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?cBmwUA Pour lui, ce droit à l'oubli est la porte ouverte à la censure. Je manque d'infos : est-ce loi juste pour forcer Google à effacer des trucs sur simple demande ou bien y a t-il des conditions ? Et est-ce que ça concerne toutes les entreprises en ligne ?

Sinon Timo, on écrit oubli. Sans E au bout. Jamais (sauf si c'est le verbe "oublier" conjugué).  ;)

EDIT : en fait, ce n'est pas aussi massif qu'on pourrait le craindre. Du moins pour le moment : http://www.lemonde.fr/liberte-numerique/article/2014/07/04/droit-a-l-oubli-non-google-ne-supprime-pas-totalement-les-articles-de-ses-recherches_4449937_1668813.html
"En fait, lorsque Google fait droit à une demande « d'oubli », il ne retire les résultats de la recherche que lorsque c'est le nom de la personne ayant demandé le retrait qui est saisi, et seulement sur les versions européennes. Ainsi, si l'on cherche le nom d'un des protagonistes de l'article qu'évoque le Guardian – ou dans les commentaires, pour le cas de la BBC – on ne trouvera rien. Par contre, si l'on cherche l'article, aucun problème, le résultat est toujours présent."
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Home - Pat Perry

mercredi 9 juillet 2014 à 11:31
tolima, le 09/07/2014 à 11:31
un illustrateur/grapheur
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Kerbal Space Program, le jeu vidéo qui permet d'apprendre ses cours de physique

mercredi 9 juillet 2014 à 11:30
Vinc3r, le 09/07/2014 à 11:30
De l'utilité que peuvent apporter les jeux vidéos éducatifs, à travers l'exemple de Kerbal Space Program
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Coluche était aux toilettes pour la photo des Restos du Coeur

mercredi 9 juillet 2014 à 11:29
ZeSeb, le 09/07/2014 à 11:29
On ne regardera plus cette photo comme avant... :)
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Download Plan :: Modules pour Firefox

mercredi 9 juillet 2014 à 11:26
WebManiaK, le 09/07/2014 à 11:26
Une extension Firefox pour planifier les téléchargements. Pratique lorsqu'on est en déplacement et que la connexion peut coûter cher ou être très lente. On peut ainsi planifier de télécharger les éléments durant une plage horaire où l'on sait que la connexion sera meilleure.

Via http://korben.info/programmer-plage-horaire-les-telechargements-firefox.html
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SketchActive

mercredi 9 juillet 2014 à 11:15
Aloco, le 09/07/2014 à 10:59
Des icônes gratuites et bien faites.
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Yome, le 09/07/2014 à 11:15
Icones gratuites et jolies. Je mets de coté.

via http://aloco.free.fr/info/?qD1OFg
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Samsung se fait voler plus de 27 millions d'euros de matériel

mercredi 9 juillet 2014 à 11:13
Yome, le 09/07/2014 à 11:13
Il va y avoir du Samsung pas cher sur le marché bientôt...
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code · The Next Web

mercredi 9 juillet 2014 à 10:53
phyks, le 09/07/2014 à 10:53
Un article sur les APIvs vs protocoles.
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Germany vs. Brazil - How It Ends - YouTube

mercredi 9 juillet 2014 à 10:44
ZeSeb, le 09/07/2014 à 10:44
Très bon :)
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Color Emoji in Windows 8.1—The Future of Color Fonts? | Opentype.info

mercredi 9 juillet 2014 à 10:32
SharTech, le 09/07/2014 à 10:16
Quand Microsoft fait mieux que les autres, il faut le dire aussi.

EDIT: Le site déconne un peu on dirait, ça marche, ça marche pas, ça re-marche. C'est l'effet Microsoft ^^
(Permalink)

hoa, le 09/07/2014 à 10:32
"Quand Microsoft fait mieux que les autres, il faut le dire aussi."

Et le lien : 500 Internal Server Error.

#troll ? :)
(Permalink)

Bleep 083: Steve Nolan « Electronic Battle Weapons

mercredi 9 juillet 2014 à 10:28
orangina-rouge, le 09/07/2014 à 10:28
22'25": ooooouh, ça c'est bon ! J'adore quand ce structure ainsi ! L'ambiance montante qui nous envahie !

Ça provient de l'émission Bleep : http://www.electronic-battle-weapons.com/bleep/ qui s'écoute très très bien. Et par Steve Nolan : http://www.electronic-battle-weapons.com/artist/steve-nolan/ (peu connu visiblement).
(Permalink)

8 ans, 1 mois et 3 jours

mercredi 9 juillet 2014 à 09:58
Famille Michon, le 09/07/2014 à 09:58
C'est la durée de ma mission actuelle. Elle se termine ce soir.
Ca fait bizarre de se dire que c'est le dernier jour qu'on s'installe à ce bureau, après une si longue durée...
(Permalink)