Le pouvoir des mots – Nos Pensées
mardi 15 septembre 2015 à 12:54liens
Pour y arriver, la clé, c’est l’assertivité, cet équilibre merveilleux qui s’acquiert en communiquant de manière authentique et constructive ce que l’on pense et ce que l’on ressent.
Avoir recours aux messages «je» : ces messages portent bien leur nom ; ils font référence au fait que le centre du message porte sur le ressenti de la personne qui parle par rapport à la conduite d’une autre personne.
La personne exprime donc ce qu’elle ressent, sans pour autant juger, accuser, ni catégoriser l’autre.
Par exemple, si vos enfants ne rangent pas leur chambre, au lieu de leur dire «Mais qu’est-ce que vous faites pour que votre chambre soit dans un tel état ! Vous êtes vraiment désordonnés !», utilisez «je» dans votre message et dites «Quand vous ne rangez pas votre chambre, ça me déçoit, car j’ai beaucoup d’autres choses à faire, et j’aimerais que vous m’aidiez un peu».
Dans les deux cas, on exprime ce qu’on ressent, mais, dans le premier, la négativité est déchargée sur l’autre, alors que dans le second, la personne qui parle se concentre sur son ressenti et met de côté la conduite de l’autre.
(Permalink)
Pour y arriver, la clé, c’est l’assertivité, cet équilibre merveilleux qui s’acquiert en communiquant de manière authentique et constructive ce que l’on pense et ce que l’on ressent.
Avoir recours aux messages «je» : ces messages portent bien leur nom ; ils font référence au fait que le centre du message porte sur le ressenti de la personne qui parle par rapport à la conduite d’une autre personne.
La personne exprime donc ce qu’elle ressent, sans pour autant juger, accuser, ni catégoriser l’autre.
Par exemple, si vos enfants ne rangent pas leur chambre, au lieu de leur dire «Mais qu’est-ce que vous faites pour que votre chambre soit dans un tel état ! Vous êtes vraiment désordonnés !», utilisez «je» dans votre message et dites «Quand vous ne rangez pas votre chambre, ça me déçoit, car j’ai beaucoup d’autres choses à faire, et j’aimerais que vous m’aidiez un peu».
Dans les deux cas, on exprime ce qu’on ressent, mais, dans le premier, la négativité est déchargée sur l’autre, alors que dans le second, la personne qui parle se concentre sur son ressenti et met de côté la conduite de l’autre.
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