PROJET AUTOBLOG


Shaarli - Les discussions de Shaarli

Archivé

Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

⇐ retour index

What The United States Really Wants

jeudi 30 juillet 2015 à 14:24
Escales internautiques
Bonne vidéo anti-impérialiste.
(Permalink)

La famille Patatopoulos à l’épreuve de la crise grecque

jeudi 30 juillet 2015 à 14:19
alexis j : : web
"Quels effets ont concrètement les plans d’austérité sur le quotidien des Grecs ? Illustration avec une famille grecque pas si fictive."
(Permalink)

La bibliothèque des enfants - Nido

jeudi 30 juillet 2015 à 13:38
Shaarli ladmasmien
Encore des livres pour enfants !
(Permalink)

Fréjus : la municipalité FN veut obliger les artistes qu'elle héberge à garder les enfants - Libération

jeudi 30 juillet 2015 à 13:33
Les petits liens d'Alda
« En échange du loyer modéré qu'elle leur accorde, la ville estime qu'ils doivent s'occuper bénévolement des élèves de maternelle et primaire dans le cadre de l'aménagement des rythmes scolaires. »

Non mais quel est le fuck o_O
(Permalink)

Bettercap

jeudi 30 juillet 2015 à 13:24
CAFAI Liens en Vrac
A complete, modular, portable and easily extensible MITM framework with every kind of diagnostic and offensive feature you could need in order to perform a man in the middle attack.
(Permalink)

RouteFlow Virtual IP Routing Services over OpenFlow networks

jeudi 30 juillet 2015 à 13:15
CAFAI Liens en Vrac
RouteFlow is an open source project to provide virtualized IP routing services over OpenFlow enabled hardware.

A typical RouteFlow use scenario is composed by an OpenFlow controller application (RFProxy), an independent RouteFlow server (RFServer), and a virtual network environment that reproduces the connectivity of a physical infrastructure and runs IP routing engines (e.g. Quagga).

The routing engines generate the forwarding information base (FIB) into the Linux routing tables according to the configured routing protocols (e.g., OSPF, BGP). In turn, the Linux IP and ARP tables are collected by RouteFlow client (RFClient) processes and then translated into OpenFlow tuples that are finally installed in the associated OpenFlow-enabled devices in the forwarding plane.


Download https://github.com/routeflow/RouteFlow
(Permalink)

A free, open source password manager and e-wallet. Zero-knowledge. Cloud-based. Private.

jeudi 30 juillet 2015 à 13:14
CAFAI Liens en Vrac
Encryptr is simple and easy to use. It stores your sensitive data like passwords, credit card data, PINs, or access codes, in the cloud. However, because it was built on the zero-knowledge Crypton framework, Encryptr ensures that only the user has the ability to access or read the confidential information. Not the app's developers, cloud storage provider, or any third party.

Encryptr only ever encrypts or decrypts your data locally on your device. No plain text is ever sent to the server, not even your passphrase. This is what zero-knowledge means.*
(Permalink)

openSSL

jeudi 30 juillet 2015 à 13:10
CAFAI Liens en Vrac
openSSL tips
(Permalink)

Etats et entreprises à l’assaut de la vie privée, par Félix Tréguer (Le Monde diplomatique, juin 2015)

jeudi 30 juillet 2015 à 13:08
CAFAI Liens en Vrac
Pour les entreprises européennes, les révélations de M. Snowden ont constitué une aubaine. En France, l’argument de la « souveraineté numérique » face à l’espionnage de la NSA a permis de légitimer un investissement de l’Etat, décidé en 2009, de 285 millions d’euros dans deux projets de centres « souverains » de stockage de données. Le projet piloté par Orange comme celui de SFR se soldent pour l’instant par des fiascos commerciaux, et ce alors que plusieurs entreprises françaises, comme OVH ou Gandi, proposent déjà des offres similaires. Pour ces grands acteurs des télécoms, il s’agit en fait de renforcer leur position sur les marchés européens face à la concurrence américaine ou asiatique, en échange d’une collaboration avec les Etats dans leurs activités de surveillance. Tandis que M. Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange, fustige Google et ses « données cryptées » qui « partent sur des data centers dont on ignore tout » (Le Point, 11 décembre 2014), M. Michel Combes, dirigeant d’Alcatel, estime qu’il « ne serait pas illogique de permettre aux pouvoirs publics de savoir ce qui se passe sur les réseaux, dans un cadre juridique approprié » (Les Echos, 1er mars 2015).

Quant à juger si la loi sur le renseignement constitue ou non un « cadre juridique approprié », les deux patrons français, comme leurs concurrents américains, se sont jusqu’à présent montrés bien silencieux.

http://www.monde-diplomatique.fr/2015/06/TREGUER/53056
(Permalink)

Livre Montessori pour enfant: comment choisir un bon livre ?

jeudi 30 juillet 2015 à 13:07
Shaarli ladmasmien
Bon ben j'ai tout faux : livres sonores et livres avec aucune représentation humaine ! :)
Plus qu'à trouver de tels livres.
(Permalink)

S'engager avec Geoffroy de Lagasnerie / France Inter

jeudi 30 juillet 2015 à 13:06
CAFAI Liens en Vrac
Cette semaine, parlons politique. Ces dernières années, cvombien de révolutions, de contestations, de fronts critiques ont-ils été rendus possible par le partage de l’information en temps réel, par l’organisation des mouvements grâce aux réseaux sociaux, par la diffusion d’images qui tombent directement sur l’écran de votre téléphone portable, même si vous êtes à l’autre bout du monde ?



De nouvelles manières de faire de la politique s’inventent dans le monde numérique et des figures nouvelles émergent également. Qu’on les nomme « lanceurs d’alerte », « désobéisseur », « activistes » ou tout simplement journalistes, ils divulguent à une échelle sans précédent des secrets que les Etats préféraient jusque là garder soigneusement enterrés dans leurs plis les plus obscurs.



Pensez à Snowden, pensez à Assange, pensez à Manning : tous ont en commun d’avoir révélé des secrets d’état, de se battre pour approfondir la démocratie. Tous ont également en commun d’être considérés comme des ennemis d’état.

La révolte à l’ère numérique, on en parle aujourd’hui.

http://rf.proxycast.org/1054741663508865024/14341-26.07.2015-ITEMA_20778457-0.mp3
(Permalink)

Adrienne Charmet-Alix, au-delà de l’écran

jeudi 30 juillet 2015 à 13:04
CAFAI Liens en Vrac
A peine arrivée à La Quadrature, en avril 2014, elle est tout de suite plongée dans le bain : loi terrorisme, fin 2014, attentats de janvier 2015 et les critiques du gouvernement contre les réseaux sociaux, loi renseignement… Elle avait envie de changer d’air après Wikipedia, mais l’actualité la rattrape : par rapport à Wikimedia, le travail est « beaucoup plus politique, plus défensif, plus dur moralement, plus riche intellectuellement – avant de gueuler, on prend le temps de réfléchir ! ».

Rapports, analyses juridiques, discussions avec des députés… La Quadrature publie beaucoup, collabore au recours auprès du Conseil d’Etat déposé par l’association FDN sur un décret d’application de la loi de programmation militaire. S’engage contre un projet de loi renseignement qu’elle juge dangereux. « On nous connaît de nom [à l’Assemblée] : on est vus comme des “chieurs”, mais on est facilement reçus par les députés, au moins dans les phases préparatoires des projets de loi. » Un travail de lobbyiste ? « On discute avec tout le monde, mais on ne fait pas vraiment la même chose qu’un lobby, on ne cherche pas à avoir une influence occulte. Quand on rédige des propositions d’amendements, on les publie en ligne ! »

Au bout du compte, le projet de loi sur le renseignement a été voté à une large majorité à l’Assemblée comme au Sénat. Une défaite, reconnaît Adrienne Charmet-Alix, mais une « défaite honorable », car plus de parlementaires que prévu se sont opposés au texte. Rétrospectivement, aurait-il fallu procéder autrement, faire des contre-propositions ? « Ce n’est pas notre rôle, juge Adrienne Charmet-Alix. Et puis ce n’est pas possible d’élaborer un modèle alternatif lorsque le gouvernement refuse de donner accès aux données et aux retours d’expérience. » Un an après son arrivée à La Quadrature du Net, cette littéraire assumée parlerait presque comme une ingénieure.
(Permalink)

Obama : pas de pardon pour Edward Snowden

jeudi 30 juillet 2015 à 13:03
le hollandais volant
C’est pas un pardon qu’il faut.

Il faut que ces révélations cessent d’être illégales. Quand on n’a rien à cacher, on a rien à craindre, hein ? C’est pas ça qu’ils nous disent tout le temps ?
— (permalink)

[En Bref] L’injustice est toujours punie. | Pixellibre.net

jeudi 30 juillet 2015 à 13:03
CAFAI Liens en Vrac
Ma motivation actuelle, pour continuer à me battre, c’est ça (source) :

   L’ARCEP,
   Le Conseil National du Numérique,
   La Commission nationale consultative des droits de l’homme,
   Le Conseil de l’Europe,
   La Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés,
   Le Défenseur des droits, Jacques Toubon,
   AccessNow,
   Access France,
   Act Up-Paris,
   Aides,
   Le Strass,
   Acrimed,
   l’Association Française des Éditeurs de Logiciels et Solutions Internet,
   L’association française des victimes de terrorisme,
   Amnesty International,
   l’Association des Services Internet Communautaires,
   le Center for Democracy & Technology,
   la CGT Police,
   le Conseil national de l’Ordre des médecins,
   l’EDRI,
   la Fédération Européenne des Journalistes,
   la FIDH, la Fédération Nationale des Unions de Jeunes Avocats,
   l’INRIA,
   Human Rights Watch,
   la Ligue des Droits de l’Homme,
   l’Observatoire des Libertés et du Numérique,
   le CECIL,
   La Quadrature du Net,
   Le Syndicat des Avocats de France,
   Le Syndicat de la Magistrature,
   la société Mozilla,
   l’Ordre des Avocats de Paris,
   l’Ordre des médecins,
   Renaissance Numérique,
   Reporters Sans Frontières,
   Silicon Comté,
   le Syndicat des avocats de France,
   le Syndicat national des journalistes,
   l’Union syndicale des magistrats,
   Jean-Marie Delarue, Président de la bientôt défunte CNCIS,
   Marc Trévidic, qui était magistrat au pôle antiterrorisme du TGI de Paris,
   Le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe,
   Le rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’Homme,
   Le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’Homme et la lutte contre le terrorisme,
   Le Front de Gauche,
   Le Parti Communiste Français,
   Le Parti de gauche,
   Nouvelle Donne,
   Qwant,
   Syntec Numérique,
   la CFDT Journalistes

Tous. Tous se sont totalement ou en partie opposés à l’arrivée de la loi sur le renseignement, tous ont émis des remarques détaillées, précises, argumentées, à l’encontre de cette loi.

Jusqu’à certains organes des Nations unies. Comment penser à un instant que nous faisons fausse route quand je vois cette liste, ces noms, tenir les mêmes arguments que nous.
(Permalink)

Données de connexion : toujours du flou sur le périmètre de la surveillance - Next INpact

jeudi 30 juillet 2015 à 13:02
CAFAI Liens en Vrac
e 24 juillet dernier, la quasi-totalité des médias s'est focalisée sur la décision du Conseil constitutionnel relative à la loi Renseignement. Le même jour, pourtant, le même juge rendait sa décision sur la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) de la Quadrature du Net, FDN et FFDN. Une excellente occasion de revenir dessus.

Précisément, l’expression d’ « informations et documents », telle que dénoncée dans la QPC, peut laisser craindre la possibilité pour les services administratifs d’accéder à d’autres données que celles de connexion. De plus, les termes de « sollicitation du réseau » semblent permettre l’aspiration directe de ces éléments dans les infrastructures des opérateurs, ce qui n’est permis que depuis la toute récente loi sur le renseignement. Enfin, se pose un problème assez aigu : le législateur n’a prévu aucune garantie spécifique pour protéger le secret professionnel des avocats et des journalistes : lorsque les services aspirent ces informations, ils peuvent en effet prendre connaissance des sources des journalistes, et savoir par exemple qui est le lanceur d’alerte qui alimente tel titre de presse.
(Permalink)

Loi Renseignement : « un rendez-vous manqué avec l’histoire » selon l’AFA (Orange, Google, etc.) - Next INpact

jeudi 30 juillet 2015 à 13:00
CAFAI Liens en Vrac
a validation de la quasi-totalité des articles de la loi sur le renseignement par le Conseil constitutionnel a suscité les « regrets » de l’AFA, l’association des fournisseurs d’accès et de services Internet. L'association n'a pas été avare de critiques à cette occasion.

Dans un communiqué publié sur son site, l’association regrette notamment la validation des boîtes noires, ces outils de détection des potentielles menaces terroristes à l’aide d’algorithmes. Une telle mesure « ouvre la voie à une surveillance de masse » anticipent ses membres, à savoir Orange, Bouygues Télécom, Facebook, Microsoft, SFR ou encore Google.

Sont également épinglées les nombreuses finalités qui permettent de justifier le déploiement des outils de techno-surveillance, ou encore « les longues durées de conservation des données, les insuffisances du droit au recours ou encore les limites aux prérogatives de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) ». Toutes ces mesures n'ont pas trouvé l'ombre d'un reproche du côté des neuf sages.
Confiance, transparence et compétitivité du numérique en France

Ce qui inquiète finalement l’AFA, c’est que cet épisode « risque d’affecter la confiance et la transparence dans le numérique et, par conséquent, de fragiliser la compétitivité de la France dans ce secteur porteur de croissance et d’emplois ». Plus lourdement, cette décision « constitue un rendez-vous manqué avec l’histoire : le Conseil constitutionnel n’a en effet pas saisi l’opportunité de rendre une décision qui aurait pu fonder les nouveaux grands principes de liberté qu’appelle l’ère du numérique. »

Si on peut être surpris du manque de réaction de la Fédération française des télécoms, signalons celle du Syndicat de la magistrature pour qui « la déraison d’État a fait son chemin jusque sous la plume du Conseil constitutionnel ». La Quadrature du net analyse « un recul historique des droits fondamentaux » en France. Et Amnesty International qui craint pour sa part que « de larges franges de la population française [puissent] bientôt se retrouver sous surveillance pour des motifs obscurs, sans même qu'un juge ait donné son accord ».

Sur son site, dans un billet publié quelques instants après la décision, rendue jeudi dernier à 22h30, le député PS Jean-Jacques Urvoas, rapporteur du texte, s'est voulu rassurant : « les zones d’ombres sont maintenant dissipées et les craintes qui ont pu s’exprimer viennent de trouver la solide et rassurante réponse du Conseil Constitutionnel. »

http://www.afa-france.com/wa_files/CP_20AFA_20Loi_20renseignement_20270715.pdf
(Permalink)

Hitler's Rage lors de la mise à jour de Windows 10

jeudi 30 juillet 2015 à 13:00
Shaarli de Erase
<3
(Permalink)
L'espace... Cifiste
Tinquiètes pas,
On a toujours Linux en duat boot

Ça va me faire ma journée ça :-)
(Permalink)

Peut-on encore lutter contre la loi renseignement?

jeudi 30 juillet 2015 à 12:56
CAFAI Liens en Vrac
Le Conseil constitutionnel a validé en très grande partie la loi sur le renseignement adoptée en juin dernier par le Parlement. Mais les opposants n'ont pas encore abandonné.

Il faudra avoir épuisé toutes les voies de recours en France pour porter les affaires devant les juridictions européennes.

En clair, il faudra d'abord s'adresser à la CNCTR, la nouvelle comission de contrôle, puis au Conseil d'État. Après avoir reçu cette décision, et si elle ne vous satisfait pas, vous pouvez continuer la procédure en saisissant la Cour européenne des droits de l'homme qui, elle, s'appuiera sur la Convention européenne des droits de l'homme.

«On est parti pour des années de procédures», nous confirme la coordinatrice des campagnes de la Quadrature.

http://www.nextinpact.com/news/95934-la-loi-renseignement-publiee-au-journal-officiel-et-maintenant.htm
(Permalink)

Surveillance : des avis moins suivis

jeudi 30 juillet 2015 à 12:55
CAFAI Liens en Vrac
La dernière note jouée aura été celle de l’inquiétude. La Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) a rendu public mercredi 22 juillet son dernier rapport d’activité, portant sur 2014 et les quatre premiers mois de 2015. Amenée à disparaître au profit d’une nouvelle Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR), l’autorité indépendante présidée par le conseiller d’Etat Jean-Marie Delarue a exprimé, dans le langage feutré qui lui sied, plusieurs craintes. Le désintérêt croissant que le chef du gouvernement semble porter à ses recommandations y figure en bonne place.
(Permalink)

Internet par satellite : Eutelsat refuse les nouveaux clients dans 28 départements - Next INpact

jeudi 30 juillet 2015 à 12:52
CAFAI Liens en Vrac
opérateur d’accès Internet par satellite Eutelsat refuse désormais les nouveaux clients grand public sur 28 départements, ses faisceaux arrivant à saturation. Le problème pourrait être long à régler, alors que le plan France Très Haut Débit (France THD) compte sur cette technologie pour connecter une partie de la population.

Il n'est plus possible de s’abonner aux offres satellite d’Eutelsat pour une partie du territoire. Hier, plusieurs messages nous ont alerté sur le refus de nouveaux clients en France par l’opérateur satellite. Il aurait d’ailleurs envoyé des lettres à des présidents de région pour les prévenir de ce coup d’arrêt. La nouvelle est importante : le plan France THD, qui compte fournir le très haut débit à 50 % des logements en 2017, et 100 % en 2022 (dont 80 % de fibre), compte dessus pour connecter une partie des habitations les plus isolées.

Contactée hier après-midi, la société nous confirme que 28 départements sont concernés par une telle mesure. Eutelsat parle ainsi de la « suspension des ventes des services destinés aux particuliers de certains faisceaux du satellite KA-SAT ». En cause, deux faisceaux sur les onze qui couvrent la France, qui sont arrivés à saturation.
(Permalink)