PROJET AUTOBLOG


Shaarli - Les discussions de Shaarli

Archivé

Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

⇐ retour index

J’ai découvert que j’étais surdoué à l’âge de 23 ans | VICE | France

jeudi 16 juillet 2015 à 16:41
Doo's bookmarks 16/07/2015



Meetup Salt "Table ronde et Comparaison des frameworks" Salt/Ansible/Chef/Pu­ppet - Paris Salt Meetup (Paris) - Meetup

jeudi 16 juillet 2015 à 16:37




A regarder. Je n'ai toujours pas trouvé mon outil d'orchestration parfait.
(Permalink)


Work with sounds : 600 sons en voie de disparition gratuitement téléchargeables et réutilisables

jeudi 16 juillet 2015 à 16:23
alexis j : : web 16/07/2015

Financé à moitié par l'Union Européenne et mené par six musées, le projet Work with sounds (http://www.workwithsounds.eu) se charge d'archiver et documenter en ligne des centaines de sons et bruits de notre vie quotidienne et industrielle, sous licence Creative Commons.

via Calimaq Silex
(Permalink)





Facebook Finally Ends XMPP Support For 3rd Party Chat - Slashdot

jeudi 16 juillet 2015 à 16:11

Facebook ferme le support XMPP. Il faudra désormais passer par son API spécifique.
Encore un gros du Minitel 2.0 qui coupe un pont.
Moi je trouve ça plutôt ironique toutes ces sociétés qui ont construit leur fortune et leur masse d'utilisateurs sur des protocoles ouverts (tcp, http, html, rss, xmpp...) et qui - une fois bien installés - coupent les ponts.
Et bien non, je n'irai pas m'inscrire sur Facebook.
(Permalink)



Purée après les flux rss (http://shaarli.zeseb.fr/?wAaxyA), ils coupent aussi le XMPP, c'est bien les gars, enfermez-vous.
(Permalink)


Flash Player : Facebook demande à Adobe d'en finir, Mozilla suit

jeudi 16 juillet 2015 à 16:10

En même temps, on ne pourra pas dire qu'on ne l'avait pas vu venir, avec une faille critique pratiquement tous les mois depuis des années.
(Permalink)


Le renseignement anglais reconnait l'espionnage illégal d'Amnesty International - Next INpact

jeudi 16 juillet 2015 à 16:03

« La semaine dernière, le tribunal réglant les problèmes de surveillance au Royaume-Uni indiquait à dix ONG qu’elles avaient été surveillées. L’IPT (Investigatory Powers Tribunal) épinglait le GCHQ, équivalent anglais de la NSA, sur la durée de conservation des données, jugée trop longue et donc illégale. Mais ce même tribunal vient d’avertir Privacy International que la surveillance elle-même était finalement illégale.

Rappel des faits. Le journal anglais The Guardian révélait la semaine dernière que l’IPT avait condamné le GCHQ pour avoir gardé bien trop longtemps des données glanées lors de la surveillance de différentes ONG, dont certaines très impliquées dans la protection des droits civiques et de la vie privée. Le tribunal indiquait que s’il n’y avait pas de problème de proportionnalité ou de type de données collectées, l’agence de renseignement avait gardé les informations bien trop longtemps (sans préciser la durée), contrevenant ainsi aux règles qu’elle s’était elle-même fixées.

[...]

La question qui restait en suspens et posée par Eric King était donc simple : qu’est-ce qui pouvait justifier la surveillance d’une ONG comme Privacy International, Liberty, Amnesty International, ou encore l’ACLU (American Civil Liberties Union) ?

Dans un courrier envoyé aux dix ONG concernées, l’IPT a fourni hier la réponse : rien. Le tribunal indique que lors du premier jugement, une information capitale a été oubliée : la surveillance effectuée sur Privacy International était elle-même jugée illégale. En clair, le gouvernement anglais a demandé à ce que soit espionné l’organisation sans argument valable. Comment prouver en effet qu’Amnesty International aurait pu représenter une menace pour le Royaume-Uni.

Il faut comprendre en effet un point important dans la manière dont l’IPT fonctionne. Le tribunal n’a l’obligation de révéler une surveillance donnée à la personne morale ou physique que s’il conclut au caractère illicite du processus.

[ NDLR : moins pire qu'avec la loi renseignement en France où la CNCTR puis le Conseil d'État peuvent demander l'arrêt de l'utilisation d'une technique de surveillance si celle-ci est illégale mais ne peuvent le dire à la personne surveillée. ] »
(Permalink)


Les robots sont là... et ça devrait vous inquiéter - JDN

jeudi 16 juillet 2015 à 15:50
Jcfrog's shaarli 16/07/2015




Très intéressant, sur la nécessité d'un revenu de base pour pallier au chômage technologique.
(Permalink)



TL;DR
(Permalink)



" L'automatisation croissante de l'économie n'est pas assez prise en compte selon des chercheurs, qui plaident pour des mesures radicales. "

via http://jcfrog.com/shaarli41/?Sskzlw
(Permalink)


Pouhiou sur Twitter : "J'ai ajouté des objectifs bonus au crowdfunding de #CulPouhiou saison 2 ! A découvrir : http://t.co/LMrIBO2EP9 http://t.co/wp0iYZfBa2"

jeudi 16 juillet 2015 à 15:50

Soyez sympas, il reste encore du temps ;)
(Permalink)


Ford : quand un bug empêche le conducteur d'éteindre le moteur - Next INpact

jeudi 16 juillet 2015 à 15:34

« L'informatique occupe une place de plus en plus importante dans les objets de la vie quotidienne, que ce soit du côté des montres, de l'électroménager ou encore des voitures. Un bug peut toujours arriver, mais peut aussi avoir de fâcheuses conséquences. Ford vient d'en faire les frais et le constructeur rappelle au garage plusieurs centaines de milliers de Focus, C-Max et Escape.

La raison ? Un bug informatique dans le module de contrôle central qui peut « laisser tourner le moteur après avoir tourné la clé de contact sur la position "off" et l'avoir retiré, ou bien après avoir appuyé sur le bouton Engine Start/Stop » suivant les cas. Ironie du sort, le fabricant ajoute que ce problème « est lié à la norme FMVSS 114 de protection contre le vol et l'immobilisation ». Ford avait déjà rappelé des véhicules fin 2014 à cause de cette même norme qui semble décidément poser bien des problèmes.

[...]

On rappellera que ce n'est pas la première fois que les voitures font parler d'elles pour des problèmes de sécurité. On se souviendra par exemple du cas de BMW et d'une faille de sécurité sur son système ConnectedDrive qui permettait à des pirates d'ouvrir la voiture à distance. La résolution du problème était plus simple puisque BMW avait alors déployé une mise à jour OTA (Over The Air). »
(Permalink)


BoZoN 1.2 - tout nouveau - Warrior du Dimanche

jeudi 16 juillet 2015 à 15:33

Un peu de code pour uploader facilement des documents afin de les partager. Ça ne marche pas encore chez moi (voir mon commentaire sur le blog de Bronco) mais ça semble prometteur.
(Permalink)


Why I Had to Buy My Wife's Inhaler on the Dark Web | Motherboard

jeudi 16 juillet 2015 à 15:28

Bienvenue aux Etats-Unis d'Amérique. Où vous devez enfreindre la loi pour payer vos médicaments à un prix raisonnable.
(Permalink)


Le délit d’obsolescence programmée à nouveau retouché au Sénat - Next INpact

jeudi 16 juillet 2015 à 15:22

« L’introduction d’un nouveau délit d’obsolescence programmée continue de susciter le débat entre députés et sénateurs. Ces derniers s’apprêtent justement à proposer une définition de compromis à leurs collègues de l’Assemblée nationale, qui auront bientôt le dernier mot.

[...]

Cela fait maintenant près de dix mois que le projet de loi sur la transition énergétique contient des dispositions censées sanctionner les industriels qui raccourcissent volontairement la durée de vie de leurs produits (smartphones, imprimantes, frigos, etc.). Sauf que l’Assemblée nationale et le Sénat n’arrivent pas à se mettre d’accord sur la façon de s’attaquer à ces pratiques dites d’obsolescence programmée. Et pour cause, les contours de cette expression ne sont pas toujours faciles à appréhender... Si l’introduction d’une fragilité semble à l’évidence rentrer dans ce champ, qu’en est-il par exemple de la fin du support de Windows XP, pourtant perçue par 60 Millions de consommateurs comme une technique poussant les utilisateurs à racheter un ordinateur ?

[...]

Après l’échec de la commission mixte paritaire censée trouver un accord entre députés et sénateurs, l’Assemblée nationale a une nouvelle fois modifié les dispositions votées par le Sénat :

[...]

Restera maintenant à voir si les sénateurs maintiennent en l’état cette nouvelle définition lors des discussions en séance publique, probablement aujourd’hui ou en début de semaine prochaine. Pour l’heure, seuls trois amendements ont été déposés. Les premiers sont défendus par le groupe socialiste, qui souhaite (étrangement) revenir à la définition retenue par la Haute assemblée en première lecture et modifier sensiblement le mode de calcul de l’amende maximale encourue par les entreprises. Le groupe communiste espère enfin que le Sénat réintègre la liste des techniques pouvant être qualifiées d’obsolescence programmée (défectuosité, fragilité, etc.).

Cette volonté de compromis de la part de la chambre haute du Parlement, désormais à droite, n’est pas totalement anodine. Une fois adopté, le projet de loi sur la croissance verte sera transmis à l’Assemblée nationale dans le cadre d’une lecture définitive. Les députés auront ainsi le dernier mot, non pas à partir du texte voté au Sénat, mais de celui qu’ils ont approuvé en nouvelle lecture... Et seuls pourront être débattus les amendements adoptés par la Haute assemblée – dont celui du rapporteur Nègre. »
(Permalink)


Le coeur du Renseignement entre les mains du Conseil constitutionnel - Next INpact

jeudi 16 juillet 2015 à 15:16

« Agenda chargé pour le Conseil constitutionnel. Le juge suprême finalise actuellement l’examen de conformité du projet de loi Renseignement. Dans sa foulée, il s’apprête aussi à trancher la question prioritaire de constitutionnalité soulevée par la Quadrature du Net, French Data Network et l’association FFDN. La cible ? Le cœur même de l’espionnage français.

[...]

L’importance de la loi sur le renseignement a été soulignée par Bernard Cazeneuve quelques heures après le meurtre en Isère. Hier, François Hollande a embrayé pour saluer les équipes de l’antiterrorisme, à l’occasion du traditionnel défilé du 14 juillet. Face à ces évènements, le Conseil constitutionnel a donc la rude tâche de mener un examen dépassionné du projet adopté le 24 juin. C’est donc d’ici le 24 juillet qu’il devra rendre sa décision très attendue.

Ce texte, ultra-sensible, a fait l’objet de trois saisines, toutes révélées dans nos colonnes : l’une signée par une centaine de parlementaires, une autre par le Président de la République et une dernière par le président du Sénat. Parallèlement, une pluie de mémoires ou « amicus curiae » a complété cette procédure.

De nombreux organisations, du syndicat de la magistrature à FDN, la Quadrature ou Amnesty International France, en passant par des avocats, des acteurs des nouvelles technologies ou le Conseil national du numérique, ont toutes dénoncé les risques de ce texte. Certes, le Conseil constitutionnel n’a pas l’obligation de tenir compte de leurs remarques, mais il ne pourra que difficilement esquiver les plus pertinentes d’entre-elles.

Cette hémorragie n’est pas terminée d’ailleurs. Dernier mémoire en date ? Celui de la French American Bar Association (FABA). Ce groupe de juristes qui réunit les barreaux français et américains vient d'exprimer dans un communiqué sa colère à l’égard du futur article L. 821-7 du texte. « Dans sa version finale, le texte exclut les avocats des techniques de renseignement controversées introduites par cette loi, à condition que l’avocat soit localisé sur le territoire national ».

[...]

Dans son communiqué, la FABA épingle également les saisines du Président de la République et celle du Sénat, considérées toutes les deux comme « blanches », c'est-à-dire sans que des problèmes spécifiques n’aient été soulevés à l’encontre de telle ou telle disposition.Le risque anticipé par ces professionnels du droit est celui d’un blocage des futures questions prioritaires de constitutionnalité visant la loi entrée en application. En effet, on ne peut pas « QPC-er » une disposition déjà examinée par le Conseil constitutionnel. Certes, le juge a une astuce pour éviter l’écueil, mais parce qu’un Conseil constitutionnel averti en vaut deux, Pierre Ciric, cosignataire du mémoire de la FABA, insiste : « Nous demandons au Conseil Constitutionnel de résoudre ce conflit entre les deux procédures, car le dépôt des saisines blanches par le Président du Sénat et par le Président de la République est en conflit direct avec le droit de nos membres de s’opposer à ce texte dans une future Question Prioritaire de Constitutionalité. »

Après la décision du Conseil constitutionnel sur le projet de loi Renseignement, un autre rendez-vous s’invitera dans l’agenda. C’est la réponse apportée par le même juge à la question prioritaire de constitutionnalité soulevée par la Quadrature du Net, FDN et FFDN. L’audience sera « streamée » le 21 juillet prochain à midi et la décision interviendra ensuite à la rentrée.

Cette procédure ne vise pas directement le projet de loi Renseignement mais la loi de programmation militaire (LPM) votée en 2013. Deux textes différents, donc, mais une seule et même veine. Comme expliqué lors de notre compte-rendu, la LPM autorise le renseignement à aspirer les « informations et documents » détenus par les acteurs du Net en vue de lutter contre le terrorisme mais aussi pour glaner des données fiscales ou liées à la Défense. Le tout récent projet de loi reprend lui aussi l’expression mais amplifie les finalités et les moyens d’exploitation de ce pétrole numérique (boîtes noires, sondes, etc.)

Seulement deux soucis agacent particulièrement la QDN, FDN et FFDN : d’une part, la loi ne donne pas de définition précise de cette expression. Elle la range certes dans la catégorie des données de connexion, mais sans que l’une et l’autre ne se confondent. Faute de précision rigoureuse, le législateur est du coup accusé de laisser trop d’amplitude au gouvernement, alors que sont en jeu des libertés et des droits fondamentaux qui relèvent de la pure compétence législative. »
(Permalink)


Le bruit des bottes / Jean Ferrat (1975)

jeudi 16 juillet 2015 à 15:11

D'un lien à un autre, je viens de retrouver ça.
Voilà.
Il n'y a rien à jeter, à quelques menus détails (de l'Histoire) près, c'est toujours d’actualité.

C'est partout le bruit des bottes
C'est partout l'ordre en kaki
En Espagne on vous garotte
On vous étripe au Chili
On a beau me dire qu'en France
On peut dormir à l'abri
Des Pinochet en puissance
Travaillent aussi du képi

Quand un Pinochet rapplique
C'est toujours en général
Pour sauver la République
Pour sauver l'Ordre moral
On sait comment ils opèrent
Pour transformer les esprits
Les citoyens bien pépères
En citoyens vert-de-gris

A coup d'interrogatoires
De carotte et de bâton
De plongeon dans la baignoire
De gégène et de tison
Il se peut qu'on vous disloque
Ou qu'on vous passe à tabac
Qu'on vous suicide en lousdoc
Au fond d'un commissariat

Il se peut qu'on me fusille
Pour avoir donné du feu
Pour avoir joué aux billes
Avec un petit hébreu
On va t'écraser punaise
Pour avoir donné du pain
Pour avoir donné du pèze
Au petit nord-africain

Il se pourrait qu'on m'accuse
Avec un petit gourdin
D'avoir étudié Marcuse
D'avoir été sartrien
Ils auront des électrodes
Ils diront tu veux du jus
Pour connaître la période
Où j'étais au P.S.U.

A moins qu'ils me ratatinent
Pour mon immoralité
Pour avoir baisé Delphine
Pour avoir été pédé
A moins qu'ils ne me condamnent
A mourir écartelé
Entre l'amour de Roxane
Et celui du beau Dédé

Il se peut qu'on me douillette
Pour que je veuille attester
Qu'en mil neuf cent soixante-sept
Je lisais l'Humanité
Il se peut qu'on me tourmente
Et qu'on me fasse avouer
Que dans les années soixante
J'étais à la C.G.T.

A moins qu'ils me guillotinent
Pour avoir osé chanter
Les marins du Potemkine
Et les camps de déportés
A moins qu'avec un hachoir
Ils me coupent les dix doigts
Pour m'apprendre la guitare
Comme ils ont fait à Jara

C'est partout le bruit des bottes
C'est partout l'ordre en kaki
En Espagne on vous garotte
On vous étripe au Chili
Il ne faut plus dire qu'en France
On peut dormir à l'abri
Des Pinochet en puissance
Travaillent aussi du képi
Travaillent aussi du képi
(Permalink)


Drogues : quand l'interdiction fait l'incitation

jeudi 16 juillet 2015 à 14:59
alexis j : : web 16/07/2015

" Le débat récurrent sur la dépénalisation du cannabis soulève la question de la pertinence de la sanction pénale pour lutter contre les comportements addictifs. Il pourrait exister un effet contre-productif de cette sanction s'il s'avérait que celle-ci constitue une incitation à la consommation de drogue. D'après "La transgression des lois règlementant l'usage de drogues", analyse des comportements des consommateurs et essai de vérification empirique" de Pierre Kopp et Miléna Spach "
(Permalink)


Le Parlement grec adopte le plan d’aide… et maintenant ? - Choses vues, sur le web et ailleurs

jeudi 16 juillet 2015 à 14:48

Le problème, c'est que c'est un rapport de force. Et que derrière, tu as tout un peuple, qui s'appauvrit de jour en jour et qui souffre.

Après 6 mois de pression, il faut faire un choix. Or la ligne de Tsipras est bien plus réformiste que révolutionnaire, et on voit donc aujourd'hui les limites de cette position face à une Europe des banquiers. Penser qu'on fera une Europe des peuples sur une base créée par les banquiers, c'est se foutre le doigt dans l'œil jusqu'au coude, mais c'est une volonté partagée par beaucoup, dont le PCF. La leçon à retenir, c'est que si on montre la moindre faiblesse, la moindre volonté de compromis avant qu'ils ne plient l'échine, ils nous bouffent. Point.

Perso, je suis pour leur rompre la colonne vertébrale plutôt que de chercher à la faire plier, mais pour cela il faut une volonté politique et populaire forte, ce qui est absent aujourd'hui.

Mais pas le PC grec, qui a toujours été anti-Europe (celle-ci du moins), ce qui explique à la fois leur non-volonté d'être dans ce gouvernement (par idéologie donc) mais aussi leur faible nombre de voix (les gens ne sont pas prêts à détruire ce qu'ils connaissent pour construire ce qu'ils veulent).

La carte du "Grexit" n'aurait pu être jouée à fond, et les créanciers le savaient pertinemment. Syriza n'aurait pas pris la décision de mettre en place une monnaie purement nationale pour continuer de tourner, et c'est peut-être là la principale erreur.

Ce plan aurait pu être intéressant si d'autres pays avaient vraiment soutenu la Grèce. Or elle était toute seule, acculée, et il fallait prendre une décision. L'avancée aura été de mettre enfin sur la table le sujet de la restructuration de la dette, mais là encore cela n'a pas été assez poussé et le prix me semble, à mon sens, beaucoup trop élevé. Je comprends la décision du parlement grec, sans pour autant y être favorable.

À voir comment le gouvernement va appliquer ces réformes pour lesquelles il s'est engagé, tout n'est pas encore prêt pour Aube Dorée. Mais sur ce sujet, tous les autres gouvernements en sont responsable, l'Allemagne et la France en tête, même si les élus communistes français ont voté contre ce texte, passées les premiers espoirs enthousiastes.
(Permalink)


Kim K en couverture de Rolling Stone: Bob Dylan doit être horrifié - 7SUR7.be

jeudi 16 juillet 2015 à 14:44
DavidSound 16/07/2015

>>> Parti vomir >>>
(Permalink)


Le Parlement grec adopte le plan d’aide… et maintenant ?

jeudi 16 juillet 2015 à 14:39

"Le premier ministre lui-même, fortement critiqué durant les débats, n’a pas caché en venant défendre le texte qu’il ne « croyait pas » à ces mesures, qui n’allaient « pas bénéficier à l’économie grecque ». Mais il a assuré que les seules alternatives étaient un défaut chaotique du pays ou une exclusion temporaire de la zone euro, imaginée par l’Allemagne."
Le problème de Tsipras, c'est qu'il n'a pas osé (ou pas pu) jouer la carte du Grexit jusqu'au bout. Qui prône désormais le Grexit en Grèce ? Les communistes et les néo-nazis d'Aube dorée. A ce que j'ai cru comprendre, les communistes ne sont pas intéressés par le gouvernement (ou ne font pas assez de voix ?) Les fachos (et ce n'est pas un abus de langage), par contre...

On est bien bien dans la merde.
(Permalink)



Le problème, c'est que c'est un rapport de force. Et que derrière, tu as tout un peuple, qui s'appauvrit de jour en jour et qui souffre.

Après 6 mois de pression, il faut faire un choix. Or la ligne de Tsipras est bien plus réformiste que révolutionnaire, et on voit donc aujourd'hui les limites de cette position face à une Europe des banquiers. Penser qu'on fera une Europe des peuples sur une base créée par les banquiers, c'est se foutre le doigt dans l'œil jusqu'au coude, mais c'est une volonté partagée par beaucoup, dont le PCF. La leçon à retenir, c'est que si on montre la moindre faiblesse, la moindre volonté de compromis avant qu'ils ne plient l'échine, ils nous bouffent. Point.

Perso, je suis pour leur rompre la colonne vertébrale plutôt que de chercher à la faire plier, mais pour cela il faut une volonté politique et populaire forte, ce qui est absent aujourd'hui.

Mais pas le PC grec, qui a toujours été anti-Europe (celle-ci du moins), ce qui explique à la fois leur non-volonté d'être dans ce gouvernement (par idéologie donc) mais aussi leur faible nombre de voix (les gens ne sont pas prêts à détruire ce qu'ils connaissent pour construire ce qu'ils veulent).

La carte du "Grexit" n'aurait pu être jouée à fond, et les créanciers le savaient pertinemment. Syriza n'aurait pas pris la décision de mettre en place une monnaie purement nationale pour continuer de tourner, et c'est peut-être là la principale erreur.

Ce plan aurait pu être intéressant si d'autres pays avaient vraiment soutenu la Grèce. Or elle était toute seule, acculée, et il fallait prendre une décision. L'avancée aura été de mettre enfin sur la table le sujet de la restructuration de la dette, mais là encore cela n'a pas été assez poussé et le prix me semble, à mon sens, beaucoup trop élevé. Je comprends la décision du parlement grec, sans pour autant y être favorable.

À voir comment le gouvernement va appliquer ces réformes pour lesquelles il s'est engagé, tout n'est pas encore prêt pour Aube Dorée. Mais sur ce sujet, tous les autres gouvernements en sont responsable, l'Allemagne et la France en tête, même si les élus communistes français ont voté contre ce texte, passées les premiers espoirs enthousiastes.
(Permalink)


#15863 - DTC - Où ? Dans Ton Chat (BashFR)

jeudi 16 juillet 2015 à 14:36
Liens de WebManiaK 16/07/2015

J'adore:

"Un geek, enfermé dans la plus haute tour du plus haut donjon, gardé par un féroce antivirus, attend la princesse qui le guérira de sa chasteté."
(Permalink)


Amendement à la loi Labbé - Jardiner autrement

jeudi 16 juillet 2015 à 14:34
ZeShaarli 16/07/2015

Un bon amendement ! Par défaut, les gens qui ne connaissent pas, surdosent. Faut voir le nombre de granulés à limaces que l'on peut trouver autour de salades des papis, alors qu'une demi cuillère à café fait le boulot pour 1 mètre carré, même si au final, mieux vaut ne rien mettre du tout, qui à replanter plus tard.

Maintenant reste à s'attaquer à l'interdiction qui ferait beaucoup de bien : interdire les agriculteurs d'utiliser des produits phyto ! Mais ça, je ne suis pas sûr de le voir de mon vivant :)
(Permalink)