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Shaarli - Les discussions de Shaarli

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Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

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lundi 4 mai 2015 à 13:39
Marquetapages Shazen 04/05/2015
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Liens Ecyseo 04/05/2015
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via : Marquetapages Shazen
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La fin de Grooveshark et le prix à payer pour la survie des plateformes | :: S.I.Lex ::

lundi 4 mai 2015 à 13:37
GuiGui's Show - Liens 04/05/2015
« La nouvelle est tombée brutalement vendredi dernier : le site de streaming musical Grooveshark a fermé ses portes, après plus de huit années d’existence et une longue bataille judiciaire contre les majors de la musique, qui s’était conclue en 2014 par une cinglante condamnation pour violation du droit d’auteur. Sous la pression des ayants droit, les fondateurs du site ont préféré saborder leur navire et mettre un point final à l’aventure, plutôt que de devoir payer les 700 millions de dollars d’amendes auxquels la justice les avaient condamnés.

[...]

Du P2P rémunéré au streaming musical centralisé

[...]

Car à leurs yeux, Grooveshark portait en lui une forme de « vice fondamental »: si les industriels de la musique toléraient l’existence d’un service fonctionnant sur le principe du partage des fichiers par les individus, ils acceptaient de revenir sur un des fondements du droit d’auteur, qui veut qu’une oeuvre ne peut être distribuée sous une forme donnée qu’avec l’accord des titulaires de droits. Ne parvenant pas à trouver d’issue légale pour son modèle, Grooveshark s’est alors abrité derrière la responsabilité allégée dont bénéficient les hébergeurs de contenu sur Internet au titre du DMCA (Digital Millenium Copyright Act) aux Etats-Unis. Une plateforme ne devient responsable pour un contenu mis en ligne par ses utilisateurs que si elle ne réagit pas rapidement pour le retirer une fois qu’il lui a été signalé. Or c’est ce point qui a causé la perte de Grooveshark : les ayants droit sont parvenus à prouver devant les juges que la société avait demandé à des employés de charger eux-mêmes de fichiers sur la plateforme, ce qui a eu pour conséquence de leur faire perdre le bénéfice du « safe harbour » (sphère de sécurité) prévu par le DMCA.

[...]

Quelle différence entre Grooveshark et « l’offre légale » ?

La différence est en réalité extrêmement ténue. On peut même dire que Deezer n’est rien d’autre qu’un Grooveshark qui a réussi. En effet, il est bon de rappeler qu’à ses origines l’aujourd’hui respectable Deezer a également subi des accusations de violation de droit d’auteur. Le champion français du streaming avait en effet réussi à trouver un accord avec la SACEM en ce qui concerne les droits des auteurs, mais pas avec les producteurs de musique qui l’ont longtemps menacé de procès. Ce n’est qu’après coup qu’une entente a pu être entérinée, mais Deezer a bien été obligé lui-aussi à une époque de « passer en force », en mettant les titulaires devant le fait accompli de l’existence d’une offre.

Un site très proche de Grooveshark a d’ailleurs existé en France. En 2003, Radio.blog.club avait essayé de mettre en place un modèle d’écoute en streaming gratuit, financé par de la publicité. C’était d’ailleurs à l’époque le concurrent d’un certain BlogMusik, qui se se transformera ensuite en Deezer après avoir réglé ses problèmes juridiques. Mais la sanction a été lourde pour lui, puisque le site a été condamné en 2012 par la justice, avec un million d’euros d’amendes à verser pour ses fondateurs.

[...]

Comment les plateformes « achètent » leur survie…

Pourquoi les ayants droit se sont-ils acharnés à ce point sur Grooveshark, alors qu’ils laissent subsister des plateformes proches dans leurs principes de fonctionnement, comme YouTube ou SoundCloud ? Certes, il y a bien sûr le fait que Grooveshark a commis l’énorme erreur de faire partager des fichiers à ses propres employés, ce qui le rendait beaucoup plus facile à abattre en justice. Mais au-delà de cela, YouTube et SoundCloud ont accepté de faire évoluer graduellement leur modèle pour trouver un terrain d’entente avec les titulaires de droits.

YouTube a par exemple des accords de redistribution de recettes publicitaires qu’il génère avec certains producteurs, ainsi qu’avec des sociétés d’auteur comme la SACEM en France. Par ailleurs, il a déployé un système de filtrage automatique des contenus chargés par ses utilisateurs, le fameux ContentID, dit aussi « Robocopyright ». Cet algorithme fonctionnant à partir d’empreintes des fichiers fournies à YouTube par les titulaires de droits assure une forme de « police privée du droit d’auteur », en distribuant des sanctions (les « strikes ») aux utilisateurs qui chargent des contenus sans respecter le droit d’auteur. Le système permet à la plateforme d’exercer une surveilance constante des contenus, sans perdre le bénéfice de sa responsabilité allégée.

[...]

SoundCloud a connu exactement la même trajectoire. Un robocopyright a aussi été progressivement déployé pour filtrer les contenus et la plateforme a récemment noué un partenariat avec la société Zefr pour améliorer son efficacité. Cette évolution lui a permis de commencer à nouer des accords avec Warner Music, mais les négociations continuent toujours avec les autres majors. Au passage, l’implantation du robot a eu des conséquences non négligeables pour les utilisateurs. Car SoundCloud a longtemps été réputé comme un lieu privilégié sur la Toile pour le partage des mixes et des compilations de DJs. Or son algorithme repère automatiquement les empreintes des oeuvres qu’il est chargé de surveiller, sans distinguer s’il s’agit de morceaux entiers ou d’extraits réutilisés dans des créations dérivées. Depuis quelques temps, les DJ postant leurs mixes sur SoundCloud font donc l’objet de sanctions à répétition, à tel point que la communauté envisage à présent de migrer. SoundCloud en sera plus « propre », mais aussi bien plus pauvre…

[...]

D’une certaine manière, on peut dire que deux plateformes comme YouTube et SoundCloud ont « acheté leur survie » en acceptant de déployer ces systèmes de police privée du droit d’auteur. Pour les utilisateurs, cela signifie aussi qu’il faudra dorénavant se soumettre à une forme de « robotisation » de l’application du droit, provoquant de plus en plus de dommages collatéraux.

Même s’il change profondément leur nature, ce « deal » peut s’avérer juteux pour les plateformes. YouTube par exemple a lancé depuis la fin de l’année une offre de musique en streaming sur abonnement à partir des contenus partagés sur sa plateforme. En termes de profondeur de catalogue, il est le seul qui puisse être comparé à Grooveshark, parce que son principe repose aussi sur une alimentation par la foule.

Son modèle passera par des abonnements proposés aux utilisateurs en échange d’une suppression de la publicité qui devient de plus en plus envahissante sur YouTube. Evidemment, YouTube – et Google derrière lui, propriétaire du site – a négocié le montage de cette offre avec les majors de la musique. Mais la plateforme n’a pas hésité au passage à utiliser sa puissance pour tordre le bras des producteurs indépendants, qui ont été sommés d’accepter des termes contractuels défavorables sous peine d’être éjectés de l’offre gratuite.

[...]

Le seul point « positif » – si l’on peut s’exprimer ainsi – dans la fermeture de Grooveshark, c’est qu’il aura quand même fallu un procès en bonne et due forme pour arriver à ce résultat. On reste encore dans le cadre d’une décision de justice, offrant un minimum de garanties pour les droits de la défense. L’étape suivante que visent à présent les titulaires de droits, c’est d’être en mesure de contourner la justice pour faire pression directement sur les plateformes avec l’appui de l’Etat.

[...]

C’est une tendance lourde que l’on voit actuellement monter à travers des concepts comme « l’auto-régulation des plateformes » ou la mise en place de moyens extra-judiciaires de lutte contre la « contrefaçon à échelle commerciale », telle la Charte récemment négociée en France sous l’égide du Ministère de la Culture à propos de la publicité en ligne. Le prochain Grooveshark ne sera pas condamné par un juge : il sera éjecté de l’écosystème par un système de censure privée organisé sur une base contractuelle entre les titulaires de droits et des intermédiaires. C’est d’ailleurs ce qui avait commencé avec Grooveshark, puisque Google avait accepté en 2013 de ne plus afficher le site dans ses suggestions de recherche, avant même que le jugement final ne soit rendu en 2014. Ce type de réactions des intermédiaires techniques risque de se généraliser.

L’évolution du streaming dans la musique montre d’ailleurs à quel point un concept comme celui de « contrefaçon commerciale » ou de « site massivement contrefaisant » est évanescent. La différence entre Deezer, YouTube et Grooveshark n’est qu’une différence de degrés et pas de nature. Ceux qui acceptent « d’acheter leur survie » pourront subsister, mais à condition d’évoluer vers des modèles de plus en plus problématiques pour le respect des libertés… »

Via https://twitter.com/bortzmeyer/status/595173585007845376
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Grooveshark alternative - un cahier des charges ?!

lundi 4 mai 2015 à 13:25
Bookmark Bronco 04/05/2015
Un petit zerobin pour réfléchir à un grooveshark like: réfléchir, ça ne coûte rien ;-)
Voilà déjà des idées sur la façon dont je concevrais l'appli si je m'y mettais de mon côté ^^
Comme pour le moment j'ai trop de projets en cours, je mets l'idée en commun si les copains se sentent de s'y coller  ;-)
Commentez, ajoutez, récupérez ...
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L'éducation et la culture : 11150499_10153257616179798_443894838309022904_n.jpg (640×640)

lundi 4 mai 2015 à 13:21
Bookmark Bronco 04/05/2015
<3
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Commando Culotte || le blog de Mirion Malle: Représentation pour tous !

lundi 4 mai 2015 à 13:12
Bookmark Bronco 04/05/2015
+1... complet.
Merci.
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Le bazar du petit panda roux. 09/05/2015
bien!

Via: http://www.warriordudimanche.net/shaarli/?U2kn2w
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Actualité | Libérons Mumia !

lundi 4 mai 2015 à 12:43
Les liens de Kevin Merigot 04/05/2015
Je parlais récemment des Black Panthers (http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?MYZH5w), n'oublions pas Mumia Abu Jamal, ex-membre des Black Panthers considéré par le FBI, à l'époque, comme étant "à surveiller et interner en cas d'alerte nationale" (ça vous donne d'ailleurs une idée de l'atmosphère de l'époque).

Il sera condamné à mort en 1982, après un procès fantoche (expertise judiciaire bâclée, témoins à décharge menacés, etc.) pour le meurtre d'un flic lors d'une fusillade à laquelle il ne participait pas. Il attend depuis en prison, et son état de santé se dégrade de jour en jour alors que tous ses droits fondamentaux ont été bafoués depuis plus de 30 ans.
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▶ Interview : les théories sur les multivers sont-elles scientifiques ? - YouTube

lundi 4 mai 2015 à 12:06
Bill2's Links 04/05/2015
Je mets ça de côté pour l'écouter plus tard ....
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Loi Renseignement : la saisine parlementaire du Conseil constitutionnel en très bonne voie

lundi 4 mai 2015 à 11:50
CAFAI Liens en Vrac 04/05/2015
Laure de la Raudière l’a annoncé sur Twitter : elle est parvenue avec Pierre Lellouche à amasser 56 autres signatures pour initier une saisine du Conseil constitutionnel contre le projet de loi sur le renseignement. Il n'en manque donc plus que deux.
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Loi Renseignement : un "mensonge d'État" pour le bâtonnier de Paris

lundi 4 mai 2015 à 11:47
CAFAI Liens en Vrac 04/05/2015
"Ce projet de loi est un mensonge d'État", dénonce le représentant des avocats de Paris, pas du tout séduit par la communications gouvernement et élyséenne. "Le président de la République l'a présenté lui-même récemment à la télévision comme un texte essentiel pour lutter contre le terrorisme, alors qu'il va s'appliquer bien au-delà, à beaucoup d'autres domaines. Ce projet menace gravement les libertés publiques", dénonce-t-il.
(Permalink)

GuiGui's Show - Liens 05/05/2015
«  "Ce projet de loi est un mensonge d'État", dénonce le représentant des avocats de Paris, pas du tout séduit par la communications gouvernement et élyséenne. "Le président de la République l'a présenté lui-même récemment à la télévision comme un texte essentiel pour lutter contre le terrorisme, alors qu'il va s'appliquer bien au-delà, à beaucoup d'autres domaines. Ce projet menace gravement les libertés publiques", dénonce-t-il.

Pour Me Sur, "ce texte est un fourre-tout où domine l'arbitraire". Entre autres reproches : "Jusqu'à présent, dans le cadre d'une enquête, on ciblait, on isolait la cible suspecte avant de la placer sous contrôle. A l'avenir, on écoutera d'abord tout le monde, sur parfois de vastes zones géographiques. On va inverser la méthode. La nouvelle logique sera celle de l'entonnoir. C'est dangereux".

L'avocat en appelle au Conseil constitutionnel, dont on sait qu'il sera saisi à la fois par le président François Hollande et par des députés, et "ne pense pas que les Sages laisseront passer cette illégalité", en parlant de l'exclusion de l'autorité judiciaire dans le mécanisme d'autorisation des mises sur surveillance. »

L'essentiel du projet de loi renseignement est ainsi résumé en des termes simples : pas de séparation des pouvoirs, pas de judiciaire, des finalités permettant la msie en place de techniques de renseignement trop vastes, surveillance de masse, arbitraire... Je devine la réponse du gouvernement : c'est un baveux donc il défend ses intérêts (justice -> défense) et puis si tu fais appel à lui, c'est forcément que t'as quelque chose à te reprocher.
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Hipster Lord of the Rings

lundi 4 mai 2015 à 11:42
HowTommy | Liens et actu en vrac 04/05/2015
WTF ?
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Clash à Mise au Point: Quand le PTB dénonce la fraude fiscale, le MR intimide - YouTube

lundi 4 mai 2015 à 11:41
alexis j : : web 04/05/2015
"Marco Van Hees, spécialiste fiscalité du PTB et fonctionnaire au Ministère des Finances, invité de Mise au Point, a dénoncé la politique actuelle, estimant que "le ministre chargé de combattre la fraude, Didier Reynders, est un peu le ministre des fraudeurs et de ceux qui ne
paient pas d'impôt légalement." La Ministre MR Laruelle ne pouvant réfuter le fond a choisi l'intimidation estimant qu'un fonctionnaire ne pouvait s'exprimer politiquement..."
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Grooveshark

lundi 4 mai 2015 à 11:37
☠☣☠⚡☠ Liens en vrac de nW44b ☠☣☠⚡☠ 04/05/2015
Juste pour dire que j'aime pas le stream.
Et que je m'en fous que grooveshark ferme. Prochaine étape : fermer youtube.
Après bon, le truc chiant, c'est de trouver un chouette endroit pour mettre le son ou les vidéos que tu crées.
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Synthetic Marijuana Is A Public Health Disaster. Legalizing The Real Thing Would Be Safer. | ThinkProgress

lundi 4 mai 2015 à 10:58
alexis j : : web 04/05/2015
Le cannabis de synthèse est plus que dangereux pour la santé, il est mortel. C'est un des effets collatéraux de la prohibition qui, pendant ce temps, permet aux réseaux criminels de s'enrichir...
(Permalink)

L'acouphène ne va bientôt plus faire siffler vos oreilles

lundi 4 mai 2015 à 10:53
Liens de Cochise 04/05/2015
Bonne nouvelle pour mon père, un moyen de réduire les acouphènes.

via : http://links.nekoblog.org/?7WoMgA
(Permalink)

https://talktyper.com/

lundi 4 mai 2015 à 10:52
Bookmark Bronco 04/05/2015
Mouaip: CHROME pour faire de la reco vocale... donc, passer par les serveurs de google ... encore...
berk
(Permalink)

Happy star wars day !

lundi 4 mai 2015 à 10:13
Liens de Cochise 04/05/2015
May the 4th be with you !
(Permalink)

Vidéos de Tony Zhou on Vimeo

lundi 4 mai 2015 à 09:47
Vrac En Depit Du Bon Sens 04/05/2015
Des analyses sur le cadrage etc...
(Permalink)

No parking, no mini-ring, no bling bling ! - Inter-Environnement Bruxelles

lundi 4 mai 2015 à 09:35
alexis j : : web 04/05/2015
"Le numéro de Bruxelles en Mouvements de mars-avril 2015, intitulé « No mini-ring, no parking, no bling bling ! », est entièrement consacré au projet de piétonisation des boulevards du centre-ville. Ce journal donne voix au milieu associatif et aux comités de quartier, réunis au sein de la Plate-forme Pentagone, quant aux multiples impacts prévisibles du projet « de plus grand piétonnier d’Europe » que la Ville de Bruxelles veut aménager dès le mois de juin."
(Permalink)

[1504.06093v2] Taming the Android AppStore: Lightweight Characterization of Android Applications

lundi 4 mai 2015 à 09:32
shaarliGor 04/05/2015
via : https://fralef.me/links/?B4ObWg

> résultats d'une étude menée par des chercheurs français sur 2146 applications gratuites du google play store :
>
> "The conclusion is devastating. About 10% of all tested apps connect to more than 500 distinct URLs with the top applications all connecting to more than 1000 distinct URLs each and about 100 top level domains.About 33% of apps don’t connect to ad-related sites while the remaining applications connect to an average number of 40 ad urls (some to more than 1000) with Google owned sites at the top.About one quarter of apps communicate with tracking servers. Some connect to more than 800 different trackers."

http://www.ghacks.net/2015/05/03/nosuchapp-for-android-highlights-apps-secretly-connecting-to-tracking-sites/
(Permalink)

Note: NoSuchApp

lundi 4 mai 2015 à 09:01
@jeekajoo shaarlinks 04/05/2015
"""
The developers have created an application that introduces reporting functionality on Android similar to what they have done.

The app is not available on Google Play currently but plans have been made to publish it on the site in the future. For now, it is only available directly on this address.
https://db.tt/Cx8fB5Xz
"""
cf précédent shaarlien.
très utile.

sinon je rappele que pour se protéger des trackers, il faut:
* utiliser un max de logiciels libres (fdroid)
* utiliser adaway (bloqueur de pubs/trackers au niveau system, via /etc/hosts)
* utiliser une rom libérée des google apps
* pour le web, utilisez firefox avec l'extension uBlock.
(Permalink)