Sebsauvage, le 03/07/2014 à 10:29
Encore un bon article de Ploum.
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nekoblog, le 03/07/2014 à 13:59
Extrait : « Étymologiquement, publier signifie « rendre public ». C’est un fait. Vous pouvez choisir de diffuser confidentiellement une création à l’unique condition de faire confiance aux heureux élus qui composent votre public restreint. Mais à partir du moment où vous choisissez de publier une œuvre, celle-ci est publique. Elle fait partie du patrimoine culturel de l’humanité. Si cela ne vous convient pas, abstenez-vous de publier. »
J'adore ce paragraphe. Et pour faire écho au récent foin qu'il y a eu autour de la copie de certains shaarlinks sur G+, la copie n'empêche pas le respect de l'auteur, notamment en le créditant. :)
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qosgof, le 03/07/2014 à 15:56
"Pourtant, amis artistes, votre public est généralement avide de vous soutenir ! Si vous lui donnez la liberté de consommer votre œuvre, alors il prendra la liberté de vous payer. Le plaisir et la liberté seront partagés. Mais le premier pas doit venir de vous. Car, entre nous, qui aime être obligé de payer ? Si vous n’offrez pas la liberté et le respect à votre public, celui-ci ne vous respectera pas.
Si, au contraire, votre public se sent respecté, il vous aidera, vous protégera. Il se détournera de ceux qui abusent de vos œuvres, par exemple en s’en appropriant la paternité. Bref, votre public vous rendra plus justice que cet avocat que vous n’avez de toutes façons pas les moyens de payer."
Eh ouais. Merci à Ploum pour ses articles qui permettent aux gens de cheminer sur ces questions de fond, sur lesquelles on a tant d'acquis à déconstruire.
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SharTech, le 03/07/2014 à 16:27
C'est tout ce qu'il y a à conserver de cet article à mon sens: le titre "publier, c'est rendre public".
Donc si je suis Ploum, aucune licence n'est valable, à partir du moment ou c'est publié, ça appartient à tout le monde.
C'est beau, j'aimerai bien vivre dans une telle utopie mais hélas, on ne vit pas au pays des bisounours, on est en 2014. On vit dans un monde gouverné par le capitalisme.
Faites très attention aux articles de Ploum, ils ont l'air plein de bon sens à priori, mais je sens toujours une forme de manipulation dedans, je fais référence ici à son paragraphe "La dangereuse illusion du contrôle" (et même au reste de toute façon).
Lisez d'autres choses sur le sujet, ne vous contentez pas d'un seul avis: faites-vous votre propre opinion. Ploum vous assène "ses" vérités, pensez-y.
Moi-même, je n'ai de prétention d'aucune sorte, juste vous dire de lire, de vous documenter, de réfléchir.
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Timo, le 03/07/2014 à 17:02
Plutôt d’accord, ceci dit c’est quand même mieux si le nom de l’auteur reste attaché à l’œuvre publiée.
Pas forcément pour toucher des droits, mais au moins pour savoir qui a créé l’œuvre. Ça permet de rattacher l’œuvre à son contexte : époque, société, région…
Un seul exemple : la Marseillaise. Lisez les paroles : si ça avait été écrit en 2014, son auteur serait enfermé sur le champ pour incitation à la haine et à la violence. Pourtant y a beaucoup de monde qui la chantent (ou qui font semblant) ce temps-ci…
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Sammy Fisher Jr, le 03/07/2014 à 17:46
Pas le temps de lire l'article de Ploum pour le moment, mais je te rejoins complétement : il faut faire attention à ne pas se laisser séduire trop vite ; ou plutôt si : se laisser séduire, mais ne pas perdre son esprit critique, et prendre le temps de se demander, une fois le texte lu, "est-ce que je suis vraiment d'accord avec ça ?"
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Kevin Merigot, le 03/07/2014 à 18:37
Dans cet article, vous apprendrez que "publier, c'est rendre public" et que "rendre public" c'est "le domaine public", sans contrôle ni rien.
Si vous lisez encore un tout petit peu plus bas que l'article vous trouverez :
"Ce texte est publié par Lionel Dricot sous la licence CC-By BE."
Le domaine public... mais en CC-BY.
(mis à part ce détail amusant, le reste de l'article est sans grand intérêt, du grand sentimentalisme, des sophismes et de la manipulation) (du ploum de ces derniers temps quoi)
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