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Shaarli - Les discussions de Shaarli

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Site original : Shaarli - Les discussions de Shaarli du 23/07/2013

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L'accès à l'eau potable devient un droit de l'homme

mercredi 22 juillet 2015 à 17:30

5 ans après que ce droit humain ait été déclaré, 1,6 millions de personnes meurent toujours chaque année d'un manque d'accès à l'eau potable.

Plus de 3 milliards d'humains n'ont pas accès à une eau qui ne les rendra pas malades, ni même à de simples latrines hygiéniques.

(http://www.who.int/water_sanitation_health/mdg1/fr/)

Et nous, en France, alors qu'on a une eau du robinet parfaitement potable en tout point du territoire, extrêmement contrôlée, en continue, on préfère des milliards de bouteilles en plastique.
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Je sais que c'est un cas isolé, mais dans les postes sources, ceux qui ont en sortie de transformateur du 20kV, il y a l'eau courante dans les locaux. Seulement, les postes en campagne on une eau qui a stagné durant des mois, voir des années pour certains, et franchement, je préfère boire l'eau en bouteille dans ce cas la.

Sinon, chez moi, et même partout en dehors de ce cas isolé, je bois l'eau du robinet, que j'apprécie beaucoup ^^
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يوميات دراج في الدارالبيضاء | الجزء الخامس | السياقة و الترمضينة | #EP 5 - YouTube

mercredi 22 juillet 2015 à 17:28

On a tous vu la vidéo du cycliste en France. Bon et maintenant voici le Maroc !
Faut être ceinture noire de boudisme zen en gros....
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[Nouvel édition]Anker® Souris optique ergonomique verticale--USB filaire, pour droitier, Confort et élimination des contraintes au Main et Poignet, 1000 DPI/1600 DPI , 5 Boutons: Amazon.fr: Informatique

mercredi 22 juillet 2015 à 17:19

J'ai commandé cette souris il y a quelques jours, je l'utilise depuis maintenant 2 jours. La transition s'est faite facilement, il ne m'a fallu qu'une heure pour m'habituer. Après je manque encore de précision, mais je n'ai plus de douleurs à l'avant bras comme avant. Je vais essayer de continuer et je vous ferai un retour d'ici 2/3 semaines sur les souris ergonomiques :)

(je suis passé à ça car après des journées de 14/15h d'ordi j'ai tendance à avoir mal à l'avant bras... Le syndrome du canal carpien n'étant pas loin...)
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Unicode - une page pour les lister tous ^^ - Warrior du Dimanche

mercredi 22 juillet 2015 à 17:12

Sinon il y a l’outil là : http://lehollandaisvolant.net/tout/tools/charmap/ (qui génère tout en JS) :p

Et comme j’ai indiqué sur ma page : utilisez la police Arial Unicode MS, une police avec 60'000 glyphes dedans.
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Contrepoint - Retraites : les salariés du privé sont les dindons de la farce - Arfy'z tranche du Net

mercredi 22 juillet 2015 à 17:01

Y’a quand même 600€ de différence, entre le privé et le public… Sur 1100€, c’est quand même énorme.

Sans compter la base de calcul : 25 meilleures années (privée) et 6 derniers mois (public).
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Test d'appli Django

mercredi 22 juillet 2015 à 16:53

Sous le coude !
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Débug synchro favicon

mercredi 22 juillet 2015 à 16:39
Shaarlo 16:39

@knah-tsaeb

il y avait un bug sur la synchro de la favicon, c'est corrigé :-)
Merci beaucoup de me l'avoir dit !

@kevinmerigot : je lis tes messages aussi t'inquiète :-), la suppression des liens est actuellement pas gérée (ça va vite être réglé au moins pour la partie Synchroniser mon shaarli)
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SaltStack Overview - QuickStart Guide

mercredi 22 juillet 2015 à 16:29

Joli tuto pour ceux qui veulent commencer avec saltstack.
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Fouet

mercredi 22 juillet 2015 à 16:23

A un moment quelqu'un m'a demandé en quoi faire une blague sur les femmes, les noirs ou les arabes était un problème. Pour elle c'est de l'humour, elle ne se considère pas comme raciste.

Je lui ai dit que pour moi, c'était comme si il y avait une personne ligotée qui se faisait fouetter régulièrement, et que tu la faisais tressaillir en faisant claquer ton fouet par terre. Pour le plaisir.
Et de répondre, quand elle te demande d'arrêter, "je ne te fais pas de mal, je claque juste mon fouet par terre, c'est pour me détendre le bras, jamais je ne fouetterais quelqu'un, je ne suis pas comme ça".
Tu peux dire ce que tu veux, tu maintiens l'oppression, la peur, chez cette personne. Tu contribue à l'habituer à vivre dans la peur. Et tu habitues les gens autour de toi aux bruits de fouets. Ainsi ils ne se poseront pas la question de "pourquoi on la fouette". Mais bon, visiblement ça te détend le bras...

(Vous avez une meilleure façon d'expliquer la chose ?)
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Unicode - une page pour les lister tous ^^ - Warrior du Dimanche

mercredi 22 juillet 2015 à 15:25

Pour ceux qui lui trouveraient une utilité... une page listant les caractères unicode (avec un menu)
A+, je retourne à la piscine ! \o/.... /o/... plouf !
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SpaceX: Bad strut doomed Falcon 9 rocket.

mercredi 22 juillet 2015 à 15:24

Le mot final.

Intéressant de voir que plus la fusée accélère vers le haut, plus le réservoir d’hélium subit une poussée vers le haut. Parfaitement logique, mais surprenant.

En fait, si vous êtes dans votre baignoire, et si la baignoire accélérait subitement vers le haut, alors vous ne seriez pas plaqué au fond de la baignoire mais vous flotteriez mieux. La poussée d’Archimède est à l’origine de ça : vu que l’eau est plus dense que vous, elle subit d’avantage de poussée vers le bas que vous : son poids augmente (pas sa masse), et donc le fameux « poids du volume d’eau déplacé » augmente aussi. Du coup, la force d’Archimède qui est justement égale au poids du volume d’eau déplacé augmente aussi : vous flottez mieux.

C’est également la raison pour laquelle on observe ceci, avec un ballon d’hélium dans un voiture : https://www.youtube.com/watch?v=y8mzDvpKzfY
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▶ How to sound smart in your TEDx Talk | Will Stephen | TEDxNewYork - YouTube

mercredi 22 juillet 2015 à 15:15

"Staggering !"

:)
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A Chrome extension for browsing AngularJS dependency graph

mercredi 22 juillet 2015 à 14:42

Pas mal mais faut obligatoirement load son app via ngApp :/
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Conduisez sans les mains, c’est le hacker qui pilote - Rue89 - L'Obs

mercredi 22 juillet 2015 à 14:38

Oh oui, des voitures connectées avec plein d'options qui vont tomber en panne, être hackées, détournées, ...

Je crois que je vais finir par m'acheter une vieille deuch' sans électronique si ça continue... Et faire mes trajets en vélo aussi souvent que possible.
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"Racisme anti-blanc"

mercredi 22 juillet 2015 à 14:29

Et pan !

Très très bien trouvé et très percutant :p
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Guêpes : 3 solutions naturelles pour les éloigner - Astuces

mercredi 22 juillet 2015 à 14:24




Ah, intéressant ça !

Je déteste ces bestioles !
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Six ans après, Internet se recroqueville - Libération

mercredi 22 juillet 2015 à 14:16

ANALYSE A sa sortie de prison, Hossein Derakhshan, blogueur iranien, ne retrouve plus le réseau décentralisé qu’il utilisait. Aux idées ont succédé les «likes», aux textes un flux continu d’images.

Il y a sept mois, assis à la petite table de cuisine de mon appartement des années 60 niché au sommet d’un immeuble dans un quartier animé du centre de Téhéran, j’ai fait un geste que j’avais déjà accompli des milliers de fois. J’ai allumé mon ordinateur portable et publié un post sur mon nouveau blog. Cela faisait six ans que ça ne m’était plus arrivé. Et ça m’a pratiquement brisé le cœur.

Quelques semaines plus tôt, j’avais été subitement gracié et libéré de la prison d’Evin, dans le nord de Téhéran. Six ans, c’est long en prison, mais sur Internet, c’est toute une époque. Le processus d’écriture n’y avait pas changé, mais la façon de lire - ou en tout cas de faire lire - y avait évolué de façon spectaculaire. On m’avait prévenu de l’importance qu’avaient pris les réseaux sociaux pendant mon absence, je savais donc au moins une chose : pour attirer les lecteurs, il me fallait désormais utiliser les médias sociaux. J’ai essayé de poster sur Facebook un lien vers un de mes articles. Il s’est avéré que Facebook n’en avait pas grand-chose à faire, et que mon lien a fini par ressembler à une petite annonce sans le moindre intérêt. Aucune description. Pas d’image. Rien. Il a amassé trois likes en tout et pour tout. Trois. Fin de l’histoire. Là, j’ai vraiment compris que les choses avaient changé.

Roi du monde. En 2008, quand j’ai été arrêté, les blogs étaient des mines d’or et les blogueurs des rock stars. A cette époque, et malgré le fait que l’Etat bloquait l’accès à mon blog à l’intérieur de l’Iran, j’avais environ 20 000 visiteurs par jour. A chaque fois que je mettais un lien vers un site, sa fréquentation atteignait brutalement des sommets : j’avais le pouvoir de valoriser ou de couvrir de honte qui je voulais. Les gens lisaient mes billets avec attention et laissaient de nombreux commentaires pertinents, et même beaucoup de ceux qui n’étaient pas d’accord avec moi venaient quand même lire ce que j’écrivais. D’autres blogs mettaient des liens vers le mien pour discuter de ce que je racontais. J’avais l’impression d’être le roi du monde.

En prison, au cours de mes huit premiers mois en isolement, j’ai beaucoup pensé à une histoire racontée dans le Coran. Un groupe de chrétiens persécutés trouve refuge dans une grotte. Ils tombent alors dans un profond sommeil, ainsi que le chien qui les accompagne. Lorsqu’ils se réveillent, ils ont l’impression d’avoir fait un petit somme : en réalité, 309 ans ont passé. Selon une des versions de l’histoire, l’un d’eux sort de la grotte pour acheter à manger et découvre que sa monnaie n’a plus cours, que c’est devenu une pièce de musée. Et c’est là qu’il se rend compte combien de temps ils ont été absents au monde.

Le lien hypertexte était ma monnaie à moi, il y a six ans. Il représentait l’esprit ouvert et interconnecté du World Wide Web - une vision qui avait commencé avec son inventeur, Tim Berners-Lee. Le lien hypertexte était le moyen d’abandonner la centralisation - tous les liens, les files et les hiérarchies - et de la remplacer par quelque chose de plus distribué, par un système de nœuds et de réseaux. Les blogs incarnaient cet esprit de décentralisation. Ils étaient des cafés où les gens débattaient sur absolument tous les sujets susceptibles de vous intéresser. Depuis ma libération, j’ai pris conscience de l’ampleur de la dévalorisation du lien hypertexte, presque de son obsolescence. Quasiment tous les réseaux sociaux traitent désormais les liens comme n’importe quel autre élément - comme une photo ou un texte - au lieu de les considérer comme un moyen d’enrichir ce texte. On vous encourage à poster un seul lien et à l’exposer à un processus quasi-démocratique de «likes», de «plus» et autres petits cœurs : ajouter plusieurs liens à un même texte n’est généralement pas permis. Les liens hypertextes sont placés dans une perspective objective, isolés, dépouillés de leurs pouvoirs.

Avatars mignons. Même avant mon emprisonnement, la puissance des liens avait déjà commencé à être jugulée. Leur plus grand ennemi était une philosophie qui associait deux des valeurs les plus dominantes et les plus surfaites de notre époque : la nouveauté et la popularité. Cette philosophie, c’est le «stream». C’est le stream qui domine dorénavant la manière de s’informer sur le Web. Alimentés en continu par un flux interminable d’informations sélectionnées pour eux par des algorithmes complexes et mystérieux, les internautes vont de moins en moins directement sur des pages qu’ils choisissent délibérément de consulter. Le stream signifie que vous n’avez plus besoin d’ouvrir tout un tas de sites Internet. Vous n’avez pas besoin d’un chapelet d’onglets. Vous n’avez même plus besoin de navigateur. Il vous suffit d’ouvrir Twitter ou Facebook sur votre smartphone pour plonger. Dans de nombreuses applications, nos votes - les likes, les plus, les étoiles, les petits cœurs - sont en réalité davantage liés à des avatars mignons et à des statuts de célébrités qu’à la substantifique moelle du post. Un paragraphe absolument génial rédigé par une personne lambda peut très bien être dédaigné par le stream, tandis que les élucubrations ineptes d’une célébrité gagnent une présence immédiate sur Internet. Et non seulement les algorithmes derrière le stream jaugent-ils l’importance à l’aune de la nouveauté et de la popularité, mais ils ont, en outre, tendance à nous proposer toujours plus de ce que nous avons déjà apprécié. Ces services passent notre comportement au crible et customisent en douceur nos flux d’actualité avec des posts, des images et des vidéos que nous avons, selon eux, le plus envie de voir.

Contrôle. Il ne fait aucun doute à mes yeux que la diversité des thèmes et des opinions en ligne est moindre qu’autrefois. Les idées neuves, différentes et provocatrices sont supprimées par les réseaux sociaux dont les stratégies de classement donnent la priorité au populaire et à l’habituel.

La conséquence la plus effrayante de la centralisation de l’information, c’est autre chose : c’est le fait qu’elle nous affaiblisse face aux gouvernements et aux entreprises. La surveillance ne fait que se renforcer avec le temps. Le seul moyen de rester en dehors de ce vaste appareil de surveillance pourrait bien être de se réfugier dans une grotte et de s’y endormir. Nous devons tous finir par nous habituer à l’idée d’être observés et, malheureusement, cela n’a rien à voir avec notre pays de résidence. L’ironie de la chose, c’est que les Etats qui coopèrent avec Facebook et Twitter en savent beaucoup plus sur leurs citoyens que ceux, comme l’Iran, où l’Etat contrôle Internet avec une poigne de fer, mais n’a aucun accès légal aux entreprises de médias sociaux. Or, ce qui est encore plus effrayant que d’être observé, c’est d’être contrôlé. Quand, avec seulement 150 likes, Facebook peut nous connaître mieux que nos parents et, avec 300 likes, mieux que notre compagne ou compagnon, le monde paraît bien prévisible, pour les gouvernements et pour les entreprises. Et la prévisibilité, c’est le contrôle.

Peut-être mon inquiétude se trompe-t-elle d’objet. Ce n’est peut-être pas exactement la mort du lien hypertexte, ou la centralisation. Il est possible qu’en réalité ce soit le texte lui-même qui soit en train de disparaître. Après tout, les premiers visiteurs du Web passaient leur temps à lire des magazines en ligne. Ensuite sont venus les blogs, puis Facebook, puis Twitter. Maintenant, c’est sur des vidéos Facebook, sur Instagram et SnapChat que la plupart des gens passent leur temps. Il y a de moins en moins de texte à lire sur les réseaux sociaux, et de plus en plus de vidéos et d’images à regarder. Le stream, les applications mobiles et les images qui bougent : tout indique un déplacement de l’Internet-livre à l’Internet-télévision. Il semble que nous soyons passés d’un mode de communication non-linéaire - nœuds, réseaux et liens - à un mode linéaire fait de centralisation et de hiérarchies.

Le Web n’était pas envisagé comme une forme de télévision, lorsqu’il a été inventé. Mais, qu’on le veuille ou non, il se rapproche de plus en plus du petit écran : linéaire, passif, programmé et replié sur son propre nombril. Quand je me connecte sur Facebook, c’est ma télévision personnelle qui s’allume. Et je n’ai qu’à tout faire défiler : nouvelles photos de profil de mes amis, petites brèves résumant des opinions sur des articles d’actualité, liens vers des chroniques assortis de courtes légendes, publicités, et, évidemment, vidéos qui se mettent en route toutes seules. Parfois je clique sur «j’aime» ou «partager», parfois je lis les commentaires des autres ou j’en laisse un, parfois j’ouvre un article. Mais je reste dans Facebook, qui continue à afficher ce qui est susceptible de me plaire. Ce n’est pas l’Internet que je connaissais quand je suis entré en prison. Ce n’est pas l’avenir du Web. Cet avenir-là, c’est la télévision.

Autrefois, Internet était une chose suffisamment sérieuse et puissante pour m’envoyer derrière les barreaux. Aujourd’hui, c’est apparemment à peine plus qu’un loisir. A tel point que même l’Iran ne prend pas certains services suffisamment au sérieux pour les bloquer - comme Instagram, par exemple. Je regrette l’époque où les gens prenaient le temps de consulter plusieurs opinions divergentes, et se donnaient la peine de lire plus qu’un paragraphe ou 140 caractères. Je regrette le temps où je pouvais écrire quelque chose sur mon propre blog, publier dans mon propre domaine, sans consacrer au moins autant de temps à le promouvoir ; l’époque où personne ne se souciait des «j’aime» et des «partager». C’est de ce Web-là dont j’ai le souvenir, celui d’avant la prison. C’est ce Web que nous devons sauver.

Cet article est paru dans sa version originale sur le site Matter.
Traduction de Bérengère Viennot



Le web évolue vite. Et malheureusement pour les défenseurs de la décentralisation, nous n'allons pas dans le bon sens...

Un complément : http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/07/21/l-internaute-est-devenu-faineant_1351618

(via http://www.palkeo.com/shaarli/index.php?7-D3pQ )
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Des Minions pas si mignons - Arrêt sur images

mercredi 22 juillet 2015 à 14:12

Non, mais, comment on peut être propriétaire d'une couleur ? j'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre…

La couleur, c’est pas une création de l'esprit ? Elle existait sans doute avant dans la nature ou par la première personne qui a fait trois boucles `for` imbriquées sur le rouge-vert-bleu, donc tu peux pas avoir de droit d'auteur, si ? De même, c’est pas une innovation… donc je ne comprends pas comment tu peux mettre un brevet dessus.

Donc, faire un procès pour dire « c’est ma couleur, tu t'en sers pas »… ça me parait un peu tirer par les cheveux. (D'ailleurs, Milka a perdu son procès pour ça, disent-il dans l'article).
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Un brevet sur une couleur.... Bah voyons...

"Dans ces combats, Pantone n'est pas partie prenante. Ce qui est nouveau avec le jaune Minion, c'est le fait que le fabricant de nuanciers associe désormais, avec Universal, une couleur à un produit spécifique. Pantone se place ainsi sur le même rang que Starbucks, McDonalds, Penguin Books, Nestlé ou Coca.

Ce dépôt de marque est une nouvelle tentative d'appropriation de la couleur qui est, avant toute chose, un phénomène explicable par la physique, et non pas une création industrielle. Le jaune Minion existe assurément dans la nature. Pantone et Universal agissent ainsi comme Monsanto et Syngenta, qui déposent des brevets sur des plantes existant dans la nature."
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Rah, des brevets sur des couleurs!! Pourquoi pas sur le vivant tant qu'on y est ! Oh... Wait! -_-

(via https://chabotsi.fr/links/?JV05zg )
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Les mensonges faits aux femmes - Crêpe Georgette

mercredi 22 juillet 2015 à 14:07

« Beaucoup d'hommes sont persuadés que les femmes passent leur temps à fourbir des plans machiavéliques pour les accuser de viol. Dans la réalité, les femmes agressées passent leur temps à se demander si elles ne sur-interprétent pas, si elles n'ont pas mal agi ou envoyé un signe à l'agresseur.  Dans la réalité une femme qui a 15 cm de pénis en érection collé contre sa cuisse, va souvent être saisie de peur et de demander si elle ne se trompe pas, si elle ne va pas déranger les gens en faisant un scandale, si on va la croire, si elle ne fait pas des histoires pour rien. »
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KKK marchers going to Rally - YouTube

mercredi 22 juillet 2015 à 13:54

L'art du troll :) haha c'est excellent.
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