Pixel Café, le 24/09/2013 à 14:09
Plutôt que le faux débat de l'homme omnivore versus l'homme végétarien, voici ce qui m'a poussé dans un premier temps à limiter ma consommation de viande, puis à finalement arrêter : les conditions d'élevage (peut-on même encore employer ce mot) des animaux destinés à la consommation humaine.
Les animaux vivent, pensent, ressentent, comme des humains. De quel droit leur infligeons nous tous ces traitements ? 90 % des gens se disent contre l'élevage intensif et ces pratiques barbares, mais pourtant tout le monde continue, tous les jours, à consommer des produits issus de cette barbarie.
J'en parle souvent à des proches, qui sont bien conscient qu'on mange trop de viande et dérivés (jambon, saucisson, lardons...) et qu'il faudrait se limiter. Mais je les vois continuer à en manger midi et soir.
Il faut qu'on se calme, qu'on *limite* notre consommation de viande, qu'on enlève ces oeillères qui empêchent de voir la réalité autour de ce qu'endurent les animaux pour satisfaire un faux besoin. Et sans compter qu'on pourrait presque résoudre la faim dans le monde si on consommait moins de viande.
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Neros, le 27/09/2013 à 01:18
Plus de 65 milliards d'animaux sont élevés chaque année dans le monde pour notre alimentation. En Europe, 80% sont issus d'élevages intensifs. Alors que la viande est devenue le pilier de l'alimentation de quelques pays riches, de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer un modèle insoutenable et cruel envers des animaux toujours considérés comme des "biens meubles" dans le Code civil français.
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