La demande d’autorisation formulée par le gouvernement auprès de la Cnil pour le Health Data Hub a été retirée. Un coup d’arrêt pour ce projet de centralisation des données de santé des Françaises et Français.source: Opennews
La demande d’autorisation formulée par le gouvernement auprès de la Cnil pour le Health Data Hub a été retirée. Un coup d’arrêt pour ce projet de centralisation des données de santé des Françaises et Français.De la même manière que le passage à l'ordiphone s'est accompagné de privation de libertés qui étaient impensables ou inacceptable sur un ordinateur (bootloader verrouillé, impossible d'installer un systpme d'exploitation différent, les logiciels sont restreint à ceux que le constructeur accepte de mettre à disposition, etc.), les constructeurs automobiles profitent de la voiture électrique pour faire disparaitre des libertés qui étaient des évidences et qui aurait été inacceptable.
La vidéo de Louiss Rossmann nous parle de dernier exemple en date avec Ford qui interdit à ses clients de revendre leur Ford F150 (leur pickup le plus vendu) en version électrique dans l'année qui suit l'achat. Ce qui pose à nouveau la question de qui est propriétaire d ce que vous achetez, vous ? ou le fabricant ?
Il y a des exemples où le client qui a revendu sont véhicule avant ce délai s'est retrouvé poursuivi au tribunal par Ford.
Il semblerait que la pénurie de composant (coucou l'effondrement!) joue un role dans l'incapacité de Ford a produire suffisamment de véhicules (plus de 20 semaines d'attente après l'achat pour obtenir le véhicule), ce qui crée les conditions de rareté idéales pour un marché de scalpeurs qui achètent massivement ces véhicules pour les revendre nettement plus cher ensuite sans délai de livraison. Cette situation sert de prétexte pour justifier cette interdiction de revente pendant un an.
Toutefois on voit bien que ça s'inscrit dans une démarche plus globale de controle de la part des fabricants qui, comme apple avec ses iPouet, empêche la mise sur le marché de pièces détachées essentielles pour l'entretien ou les réparations, obligeant à passer par le fabricant qui peut appliquer ses prix sans concurrence. Ce qu'on appelle en anglais le Vendor Lock-in.
La voiture électrique dot l'intérêt climatique est discutable, serait aussi un outil du recul de nos libertés et de technopolice. Pas une bonne nouvelle ça
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Normal que le prix explose : celui du gaz explose. Or tout ce qu’on ferme en nucléaire, ce qu’on perd en éolienne inactif, et ce qu’on perd sur le solaire pour cause d’hiver, on le compense par du gaz. Logique.
On lui dit que présentement en France l'explosion des prix de l'électricité c'est surtout à cause des 16 réacteurs nucléaires sur les 56 du parc qui sont à l'arrêt qui fait qu'on est obligé d'importer massivement pour compenser ?
Mais le vrai fond du problème c'est la consommation d'énergie qui augmente continuellement.
Je vais prendre un gros marqueur pour grossir le trait avec une exagération éxagérée pour illustrer le problème: on pourrait produire toute notre électricité avec du charbon le plus polluant et le moins efficace possible jusqu'à épuisement des ressources sans que ça ait le moindre impact si toute notre consommation électrique se limitait à une ampoule allumé 2h par jour.
Au lieu croire que le problème est une question de comment on produit notre électricité, il serait plus judicieux de se demander pourquoi la demande augmente autant, pourquoi on est dans un modèle où on notre production pour l'adapter à la demande tousse capitalisme! *tousse". On peut aussi se poser la question de comment ça se passerait dans un modèle différent où la production est fixe ou limitée et que la consommation s'y adapte. Est-ce que ça éviterait les explosions de prix de marché ? Est-ce que ça permettrait de limiter l'impact sur le changement climatique ?
Aller faire un petit séjour dans un lieu de vie déconnecté du réseau électrique, qui autoproduit son électricité est une expérience enrichissante. C'est très instructif de devoir adapter ses usages et consommation électrique à la capacité de production.
La capacité de produire de l'électricité repose sur des ressources qui sont finies (dans le sens "qui ne sont pas infinies") et qui seront prochainement finies (dans le sens "terminées") que ce soit par choix, ou par la force des choses. Ça fait des décennies qu'on nous alerte sur la fin certaine de l'énergie pas chère et des conséquences. C'était déjà un sujet porté par René Dumont lors de la campagne électorale pour la présidentielle de 1974! Aujourd'hui on est en plein dedans c'est la fin de l'énergie accessible massivement pour pas cher.
La forme que ça prends avec Poutine qui se sert de l'approvisionnement en gaz comme levier c'est juste la forme, mais le fond c'est que l'énergie pas chère on est à la fin et tout ce qu'on a construit là dessus qui en dépends va s'arrêter en même temps.
Le renouvelable, couplé à des batteries, c’est bien pour un projet sur le long terme (50-100 ans). Mais en attendant, il FAUT absolument réduire le CO2 également. Nous avons déjà pris 60 ans de retard à cause des incrédules du climat.
Les énergies fossiles sont des énergies renouvelables (à condition que la planète puisse héberger la vie), ce n'est que du solaire qui a été capté, transformé et stocké par le vivant. C'est d'ailleurs Hubbert qui disait que l'erreur de l'humanité avec le pétrole c'est de ne pas lui avoir attribué un prix correspondant au coût pour le renouveler.
Que la production d'électricité industrielle reposant sur le vent ou l'exposition au soleil couplé à des batterie puisse être une solution ou viable dans la durée reste à démontrer, pour l'instant c'est surtout une manière de donner l'impression de faire quelque chose, quand en fait on ne fait rien pour mettre en place le changement radical nécéssaire.
Le calcul est simple, l'augmentation de la capacité de production par ces moyens ne suffit pas à compenser l'augmentation de la demande. Les éoliennes et les panneaux solaires ne remplacent pas les sources fossiles, elles se rajoutent par dessus.
À ma connaissance ce ne sont pas des incrédules qui freinent, ceux qui sont à la source du freinage sont bien au courant et le sont depuis bien longtemps, en témoigne le rapport de Shell datant de 1988 "The Greenhouse Effect". Ceux qui font en sorte que rien ne change ce sont ceux qui sont en position de pouvoir ou qui tirent profit de la situation. Et en arrière-plan on retrouve à nouveau la capitalisme qui rends possible de tirer profit ou du pouvoir de la situation.
Et si réduit le fossile sans pouvoir compter sur le renouvelable (faute de technologie et de capacité — ce sont pas les 5% de rendement d’un panneau solaire qui vont suffire), il nous reste l’option du nucléaire : stable, puissante, fiable, sécurisée, peu chère.
Non, toujours pas. Si on réduit le fossile on est plus capable de faire face à la demande.
Et le nucléaire n'est pas une option viable non plus c'est beaucoup trop long à construire et mettre en service quand les délais sont tenus, (actuellement on est plutôt sur des retards de 10 ans ou plus pour une centrale) pour que ça soit significatif par rapport au climat. Le temps que le réacteur soit construit sa capacité de production suffirait elle a compenser l'augmentation de la demande ?
La question de la construction de nouveau réacteurs est pertinente pour des questions de géopolitique et de prolonger plus longtemps notre coin de civilisation, mais du point de vue climatique ou même logique c'est un évidence que la seule voie possible c'est de mettre en place un changement radical de société qui se traduit par arréter l'usage des énergies fossiles et ne pas le remplacer donc diminuer la consommation. Ce qui est aussi un enjeu géopolitique fort car le premier à faire ça se retrouve désavantagé par rapport à ceux qui ne le font pas.
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Cette transplantation réalisée le 7 janvier sur un homme de 57 ans, qui a reçu un organe issu d’un animal génétiquement modifié, est une première mondiale et une avancée majeure dans un contexte de pénurie d’organes.
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Ah! la célébre méthode rhétorique de la réponse à base d'attaques personnelles. Bon là il n'y a que ça, une succession de jugements et d'attaques personnelles (avec le lot usuel de pailles et de poutres) donc vraiment difficile de répondre ou de mettre à jour mon modèle mental pour corriger mes éventuelles erreurs. (en passant l'attaque personnelle c'est probablement le moyen le plus efficaces pour radicaliser l'autre durablement, comme on a pu voir Macron le faire récemment avec les non vaccinés).
Je peux juste te dire que ce serait difficile de tomber plus à coté de la plaque que ça avec ce jugement hâtif.
Et que peut-être que tu n'es pas d'accord avec la citation tronquée du fond du problème et que selon toi les personnes qui transitionnent le font parce qu'elles sont satisfaites de ce qu'elles sont, mais nier ainsi l'existence de la dysphorie du genre comme élément moteur pour les personnes trans-* j'avoue que faut quand même oser.
C'est effectivement mon avis que c'est parce que nous sommes privilégiés et que nous n'avons pas à nous soucier de combler nos besoins vitaux que l'on peut voir émerger la problèmatique comme celle de la transidentité. C'est une évidence que coincé dans l'eau ou dans un endroit sans air respirable, la question de la transidentité ne se pose pas. Il en va de même pour les autres besoins vitaux.
Bien sûr, la transidentité n'est qu'une thématique parmi tout un très large champs de multiples autres thématiques de privilégiés qui vont aussi disparaître au fur et à mesure que ces privilèges vont s'estomper. Et tout l'empathie du monde, ça ne nous permettra de conserver nos privilèges ni d'échapper aux conséquences de nos pratiques globales en tant qu'espèce depuis près d'un siècle et demi.
Je comprends bien qu'en abordant ainsi la question de l'empathie, ou plutôt du manque d'empathie, il n'est pas réellement question d'empathie et que ce n'est qu'un stratègme dialectique ayant pour but de me faire passer pour un monstre / sociopathe. Mais je profite de cette perche tendue pour rappeler que l'empathie cause bien plus de tort qu'on le croit et n'est en réalité pas souhaitable, voir l'épisode de DBY: les dangers de l'empathie
Le livre de Paul Bloom qui est cité dans la vidéo n'est pas traduit en français, mais il y a une courte interview par le journal le temps:
«L’empathie serait partiale, bornée, capricieuse, aveugle aux conséquences de nos actes, facile à manipuler pour attiser la haine…
(...)
L’empathie conduit à des jugements biaisés, elle pousse à prendre des mauvaises décisions, elle peut même nous entraîner dans des formes de cruauté.»
Empathie, une passion qui tue
La grande différence avec, par exemple, l'homéopathie, c'est que les études scientifiques supportent l'existence de l'identité de genre.
Les expériences scientifiques ont montrées que si tu prends un bébé homme cis-genre qui a une malformation des organes génitaux et que tu opères ce bébé et l'éduque comme s'il s'agissait d'une fille, cette personne va subir une détresse psychologique appelée "dysphorie de genre", même si rien n'a jamais indiquée à cette personne qu'elle n'est pas une femme. De la même façon, si toi, à ta naissance, on t'avait fait passé pour le sexe opposé à celui auquel tu t'identifies aujourd'hui, tu serais passé par exactement les mêmes détresses psychologiques que la plupart des personnes trans subissent. Cela démontre, scientifiquement, qu'il y a bien une chose réelle, appelée 'identité de genre', dans le cerveau humain. Chose qui existe chez tout le monde: les trans, les cis, vous, et moi. C'est la vérité scientifique. Ensuite, ce qui a aussi été observé, c'est que les personnes trans-genres réagissent aux tests exactement comme les personnes cis-genres qui ont été traités comme le genre opposé le font. C'est donc la preuve scientifique que cette identité de genre peut être différent du sexe biologique.
Le terme "cis-genre" devrait vous hérisser le poil tout autant que les termes "baryons" et "hadrons", qui sont aussi régulièrement utilisé pour désigner les nucléons lorsqu'il est apparu que la physique des particules a une réalité scientifique plus complexe.
Du coup, pourquoi ce discours sur les pseudosciences ou charlatans ? Parce que justement, certains sont biaisés et lorsqu'ils voient l'apparition d'un concept tel que le transgenre, ils décident de penser que c'est juste de l'idéologie ou du charlatanisme, ils s'en foutent de savoir si leur opinions est réelle ou non, ils veulent qu'elle soit réelle et, au contraire, ils résisteront de toutes leurs forces et se convaincront eux-mêmes que n'importe qui n'abonde pas dans leur sens est "pas scientifique".
Le reste du discours semblent n'avoir aucune idée de ce dont il est question: ce ne sont pas vraiment les trans-genres qui ont un problème avec le sport, ils ne veulent que pratiquer leur passion. Ceux qui ont un problème, ce sont ceux qui fantasment sur les avantages des femmes trans, et ce sont eux à qui vous devez vous adresser si vous voulez élargir le débat. C'est très révélateur de voir que dans votre discours, c'est évident les trans qui en portent la responsabilité, tout comme il est évident pour vous que cis-genre n'est pas le résultat de la compréhension scientifique qui progresse.
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L'athéisme - selon le rapport du International Humanist and Ethical Union (IHEU) de 2013 - reste aujourd'hui passible de la peine de mort dans treize pays du monde.
Afghanistan, Iran, Malaisie, Maldives, Mauritanie, Nigeria, Pakistan, Qatar, Arabie Saoudite, Somalie, Soudan, Émirats Arabes Unis, Yemen
La méthode KIVA permet de réduire significativement le harcèlement scolaire.
Utilisée dans 90 % des écoles en Finlande, elle s’exporte partout ds le monde.
Le fond du problème n'est pas là.
Le fond du problème c'est que les personnes trans veulent être quelque chose qu'elles ne sont pas, mais que même en ayant recours à des technologies médicales avancées ne peuvent pas et ne pourront jamais être. On retrouve d'ailleurs dans ce recours à la technologie, un courant "trans-" plus global celui du transhumanisme. Transhumanisme qui pose lui aussi des questions dans le comaine de la compétition sportive. Compétition sportive qui, rappelons le, n'est que l'expression sociétale du capitalisme doublé d'un outil de sa propagande idéologique[1], où l'exclusion est la norme.
Le résultat de ces technologies crée une nouvelle catégorie pour ces individus qui ne sont ni ce qu'ils étaient avant, ni ce qu'ils auraient aimé être en ayant recours à cette technologie.
Une femme trans n'est pas une femme, un homme trans n'est pas un homme. Pour (se) donner l'illusion que c'est le cas a été inventé le terme cisgenre visant à dénaturer le terme femme et homme et le rédéfinir. Une méthode de manipulation du langage que l'on a pu voir à l'oeuvre chez les charlatans, dans les pseudo-sciences et pseudo-médecine. Par exemple l'homéopathie parle de médecine allopathique pour désigner la médecine (aussi appelée médecine basée sur les preuves).
Mais la manipulation du langage si elle a bien des conséquences idéologiques et sociétales plus ou moins néfastes, ne rends pas le traitement homéopathique efficace pour autant, et de
même ça ne fera pas d'une femme trans ( (ou homme trans ou autre genre), une femme (ou homme).
Je peux essayer d'illustrer mon propos en l'affranchissant de la question du genre: Mickael Jackson était il noir ou blanc ? Est-ce que le recours aux technologies médicales lui a permis de devenir ce qu'il voulait ?
Transgenre c'est un changement qui est plutôt radical et qui est porté par une petite minorité très bruyante, les sociétés ne s'y sont pas encore adaptée, pour de multiples raisons (non inclusion des minorités, friction au changement, freinage des courants "traditionnels" / religieux, réaction à cette pression démesurée, pas une priorité, et bien d'autres encore) et cette phase de transition (jeu de mot voulu) sociétale n'offre pas de garantie d'arriver à un terme ou que ce soit dans le sens attendu (la Hongrie par exemple).
Je n'ai pas vraiment de conclusion à ce post.
Ce que je peux dire c'est que chaque fois que je lis le mot "cisgenre", ça me hérisse le poil autant que allopathique et que moi qui suit plutôt du coté "pour"/"pas contre" ça me pousse à basculer dans l'opposition. Que je trouve qu'il est assez peu question dans les discours de ce qui peut causer cette dysphorie pour ces personnes.
Que je trouve que les raisonnements mis en avant sont souvent individualistes, clivants et avec des points de vue assez étriqués. Par exemple dans l'exemple cité de la compétition sportive, ce serait la parfaite occasion d'élargir le sujet sur la remise en cause a cette institution capitaliste mais au lieu de ça, c'est un renforcement de cette idéologie en y participant.
Car au fond les trans- ce sont des humains comme les autres, produits de leur époque et de leur biais cognitifs, qui pensent avant tout à leur groupe d'appartenance au détriment des autres et qui sont assez peu au courant des enjeux sociétaux globaux. Alors qu'il m'apparait évident qu'au point où on en est il faudrait utiliser le dénominateur commun et se réclamer du vivant et lutter pour les droits du vivants.
Au final ces problèmes de personnes trans- ça reste des problèmes de privilègiés dont tous les besoins vitaux sont couverts, et ça devrait s'estomper en même temps que ces privilèges, qui sont appeler à disparaître ou à s'amenuiser significativement dans un futur relativement peu éloigné avec les changements sociétaux profonds imposés par le changement climatique en conséquence de l'inaction climatique.
[1]: À ce sujet, il faut voir la conférence gesticulée de Anthony Pouliquen :"Une autre histoire du sport" ou" pourquoi je ne serai jamais Luis Fernandez" et la lecture du libre "Halte aux Jeux !" d'Albert Jacquard
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partie 1: https://nitter.fdn.fr/duxpacis/status/1472217164769865732
partie 2: https://nitter.fdn.fr/duxpacis/status/1475812551736889344
partie 3: https://nitter.fdn.fr/duxpacis/status/1476677980365758466
Une série très intéréssante sur les anticorps.
Le fil des fils du même auteur et du même acabit (sur les protéines, les cellules, l'ADN/ARN, l'expresson des gènes (épigénétique)): https://nitter.fdn.fr/duxpacis/status/1460882720708513793
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tuto pour adapter un ffp2 à un enfant
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