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dimanche 6 octobre 2019 à 16:12Ce n’est pas "les blacksblocs" qui faut blâmer, même si dans le tas comme partout il y en a des cons.
Les blacksblocs, cela n’existe pas en soi. Ce sont des militants divers qui ont décidé d’utiliser une certaine stratégie à un certain moment, car elle leur semble plus adéquate.
Ils sont dans le camp des opprimés. Point.
S’il n’était pas là, cela n’empêcherait les flics et la préfecture de réprimer.
Donc NON. Ce discours de flics, cela ne sert qu’à diviser les manifestants en 2 catégories simplistes qui n’existent pas: les "méchants" et les "bons" manifestant. Vieille technique du "Divide and conquer" employé par la préfecture à qui veut bien l’écouter.
Ces catégories sont tellement absurdes en dehors des médias mainstream larbin du capital. Que sur le terrain, il n’est pas rare de voir des militants "blacksbloc" utiliser une stratégie que l’on pourrait qualifier de "non-violente" lors d’autre marches ou actions en fonction du contexte.
Le problème, ce n’est pas le blacksbloc, c’est les capitalistes, les politiques, les préfets et les flics, main dans la main, qui répriment ceux qui ne vont pas dans leur sens et ceux qui se révoltent à juste titre.
Si le blocbourgeois ne collait pas autant les manifestants ces dernières années, il n’y aurait pas de manifestants blessés, ni d’autre outré qui changerait de stratégie occasionnellement. Car oui, la répression, cela ne date pas des gilets jaunes comme semble le découvrir le grand public.
Le débat dans les milieux militant n’est pas sur la ligne d’être violant ou non-violant, mais d’être efficace à court, à moyen, ou à long terme.
Le reste, c’est de l’enfumage de préfecture, bon pour ceux qui n’ont jamais mit les pieds dans une manifestation au moins un peu revendicative.
«Le plus haut symbole du peuple, c'est le pavé. - On marche dessus, jusqu'à ce qu'il vous tombe sur la tête.» Victor Hugo
Après libre à chacun de ne pas voir ce qui se passe réellement, acculer par le nombre de méfait des agents de l’ordre social. Mais cela relève alors de dissonance cognitive (i.e. un conflit d’intérêt émotionnel).
(Permalink)
Les blacksblocs, cela n’existe pas en soi. Ce sont des militants divers qui ont décidé d’utiliser une certaine stratégie à un certain moment, car elle leur semble plus adéquate.
Ils sont dans le camp des opprimés. Point.
S’il n’était pas là, cela n’empêcherait les flics et la préfecture de réprimer.
Donc NON. Ce discours de flics, cela ne sert qu’à diviser les manifestants en 2 catégories simplistes qui n’existent pas: les "méchants" et les "bons" manifestant. Vieille technique du "Divide and conquer" employé par la préfecture à qui veut bien l’écouter.
Ces catégories sont tellement absurdes en dehors des médias mainstream larbin du capital. Que sur le terrain, il n’est pas rare de voir des militants "blacksbloc" utiliser une stratégie que l’on pourrait qualifier de "non-violente" lors d’autre marches ou actions en fonction du contexte.
Le problème, ce n’est pas le blacksbloc, c’est les capitalistes, les politiques, les préfets et les flics, main dans la main, qui répriment ceux qui ne vont pas dans leur sens et ceux qui se révoltent à juste titre.
Si le blocbourgeois ne collait pas autant les manifestants ces dernières années, il n’y aurait pas de manifestants blessés, ni d’autre outré qui changerait de stratégie occasionnellement. Car oui, la répression, cela ne date pas des gilets jaunes comme semble le découvrir le grand public.
Le débat dans les milieux militant n’est pas sur la ligne d’être violant ou non-violant, mais d’être efficace à court, à moyen, ou à long terme.
Le reste, c’est de l’enfumage de préfecture, bon pour ceux qui n’ont jamais mit les pieds dans une manifestation au moins un peu revendicative.
«Le plus haut symbole du peuple, c'est le pavé. - On marche dessus, jusqu'à ce qu'il vous tombe sur la tête.» Victor Hugo
Après libre à chacun de ne pas voir ce qui se passe réellement, acculer par le nombre de méfait des agents de l’ordre social. Mais cela relève alors de dissonance cognitive (i.e. un conflit d’intérêt émotionnel).
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