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Réouverture des écoles le 11 mai, les enfants asymptomatiques sont-ils un vecteur de l’épidémie ?

mercredi 15 avril 2020 à 09:54
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LES RÉVÉLATIONS D'UN AGENT SECRET QUI EN SAIT BEAUCOUP TROP - YouTube

mardi 14 avril 2020 à 21:34
Intéressant.
Vraiment à voir
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Nos arguments pour rejeter StopCovid – La Quadrature du Net

mardi 14 avril 2020 à 16:56
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https://links.qth.fr/?WMRzTw

mardi 14 avril 2020 à 12:48
Ce n’est pas pour les soignants!
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Interview d'une infirmière du CHRU de Nancy – Manif'Est

lundi 13 avril 2020 à 10:07
Oui, quelle tristesse...Evidemment, les médias d'info qui tournent en boucle ne relatent pas ces drames qui se jouent en coulisse pour le personnel soignant (hopital, clinique, ehpad, libéraux...) qui est en première ligne mais aussi de toutes les professions "support" : livreurs, éboueurs, caissier(ères), boulanger(ères), postier(ères)...
Ce "4ème" pouvoir (les médias) est bien muselé, à la botte des dirigeants...
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Covid-19: chronologie d’une débâcle française - Page 1 | Mediapart

dimanche 12 avril 2020 à 20:48
via https://shaarli.mydjey.eu/?K0I9BQ

Extraits/sélections :

24 janvier. Trois premiers cas sont recensés en France. Ce sont les premiers en Europe. Il s’agit d’un Français d’origine chinoise et de deux touristes chinois ayant séjourné à Wuhan, foyer d’origine du virus. La France n’avait jusqu’alors pas mis en place de mesures particulières aux frontières pour les passagers venant de Chine. C’est le 23 janvier que les liaisons aériennes Paris-Wuhan sont suspendues.

La ministre de la santé Agnès Buzyn : « Le risque d’importation depuis Wuhan était modéré. Il est maintenant pratiquement nul, puisque la ville, vous le savez, est isolée. Les risques de propagation dans la population [française] sont très faibles. »

25 janvier. Xi Jinping déclare que la situation est « grave » et que l’épidémie s’accélère. La région entière de Hubei, soit près de 60 millions d’habitants, est placée en quarantaine. 1 350 cas, dont 1 320 en Chine, sont alors signalés dans le monde.

26 janvier. La ministre de la santé Agnès Buzyn rassure sur le stock de masques : « Nous avons des dizaines de millions de masques en stock en cas d’épidémie, ce sont des choses qui sont d’ores et déjà programmées. Si un jour nous devions proposer à telle ou telle population ou personne à risque de porter des masques, les autorités sanitaires distribueraient ces masques aux personnes qui en auront besoin. »

29 janvier. « Je ne comprends pas : pourquoi n’ont-ils pas encore déclenché le plan pandémie ? On perd un temps précieux ! » « Les risques de contagion sont très élevés et ce virus semble très problématique, on devrait donc appliquer tout de suite en France les premiers échelons du plan. » C’est ce que confie Louis Gautier, ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale (SGDN), à L’Obs.

30 janvier, la Direction générale de la santé (DGS) demande à l’agence Santé publique France d’acquérir « dès que possible » 1,1 million de masques FFP2. Le 7 février, nouvelle demande de la DGS à SPF. Il s’agit cette fois d’acquérir 28,4 millions de FFP2, à travers « une procédure accélérée d’achat ». Au 12 février, sur ces 28,4 millions de masques, SPF n’en a reçu que 500 000 et en a commandé 250 000 autres, pas encore livrés. Deux semaines plus tard, le besoin de masques pour les seuls personnels soignants sera de 40 millions par semaine…

31 janvier. Marie Fontanel quitte son poste à l’Élysée de conseillère solidarités et santé d’Emmanuel Macron pour s’installer à Strasbourg, où son époux est le candidat LREM à l’élection municipale. Elle ne sera remplacée que le 1er mars.

Le comité d’urgence de l’OMS demande aux États de mettre en place des « mesures fortes pour détecter la maladie à un stade précoce, isoler et traiter les cas, retracer les contacts et promouvoir des mesures de distanciation sociale proportionnelles au risque. » La France est alors en mesure de procéder à seulement quelques centaines de tests par jour.

1er février. 25 pays de l’espace Schengen, soit tous sauf la France, suspendent les visas avec la Chine.

3 février. Dans le document « Préparation stratégique et plan de réponse », l’OMS écrit : « Tous les pays sont exposés au risque et doivent se préparer. » L’OMS rappelle la nécessité de gérer l’approvisionnement et les chaînes logistiques, entre autres de matériels médicaux. Le plan est ici: (pdf, 3.5 MB).

8 février. Cinq nouveaux cas d’infection sont détectés dans un chalet des Contamines-Montjoie (Haute-Savoie). « Le cas initial nous a été signalé hier soir. Il s’agit d’un ressortissant britannique de retour de Singapour où il avait séjourné du 20 au 23 janvier », explique Agnès Buzyn. « L’ensemble des cas positifs et les contacts de ce ressortissant britannique, tous de nationalité britannique, ont été hospitalisés cette nuit dans trois hôpitaux à Lyon, Saint-Étienne et Grenoble », a précisé la ministre. Les autorités retracent les contacts étroits de ces personnes.

14 février. Hospitalisé en France depuis fin janvier, un touriste chinois de 80 ans meurt à l’hôpital Bichat. Ce décès est le « premier hors d’Asie, le premier en Europe », souligne la ministre Agnès Buzyn. Seuls trois morts avaient jusqu’ici été recensés hors de Chine continentale : aux Philippines, à Hong Kong et au Japon.

16 février. Agnès Buzyn démissionne du ministère de la santé pour prendre la tête de liste de la campagne municipale LREM à Paris. « Je veux être maire de Paris », dit-elle. Elle est remplacée par Olivier Véran.

17 février. Début du rassemblement évangélique de l’Église Porte ouverte chrétienne à Mulhouse, qui a réuni de 2 000 à 2 500 personnes jusqu’au 21 février. Un millier de personnes au moins sont contaminées. Cette manifestation joue un rôle majeur dans la propagation du virus en France après le retour des fidèles à leur domicile et provoque la catastrophe dans le département du Haut-Rhin, puis dans le Grand Est.

18 février. Olivier Véran sur France Inter : « La France est prête car nous avons un système de santé extrêmement solide. »

21 février. Premières mesures de confinements en Italie.

22 février. Le directeur général de l’OMS avertit que « la fenêtre d’opportunité pour contenir l’épidémie se rétrécit ». En clair, il est plus qu’urgent d’agir.

25 février. Premier décès d’un non-touriste étranger en France. C’est un enseignant de Crépy-en-Valois et conseiller municipal de Vaumoise, dans l’Oise.

26 février. Jérôme Salomon, directeur général de la santé, est auditionné par la commission des affaires sociales du Sénat.
Sur les tests, il répond : « Les tests ont été disponibles très rapidement grâce à l’Institut Pasteur. Plus de 1 000 tests ont été réalisés […]. Il faut freiner la diffusion en isolant les malades. »
Sur les masques : « Nous avons débloqué les stocks stratégiques et passé en urgence une commande de masques protecteurs à destination des professionnels de santé. Santé publique France détient des stocks stratégiques importants de masques chirurgicaux. Nous n’avons pas d’inquiétude sur ce plan. Il n’y a donc pas de pénurie à redouter, ce n’est pas un sujet. »

Le match Lyon-Turin est maintenu avec 3 000 supporters venus d’Italie, où les cas d’infections se comptent par centaines. Selon le gouvernement, la situation sanitaire ne nécessitait pas un report du match.

27 février. À nouveau interrogé sur les pénuries de masques, de tests et de gel, Olivier Véran fait une réponse générale : « Nous sommes depuis semaines dans l’anticipation. Nous avons et nous garderons un temps d’avance. »

28 février. Nouveau rapport de l’OMS qui renouvelle l’alarme internationale. L’organisation appelle les États à agir vite et insiste : il faut « adopter une approche englobant ‎l’ensemble du gouvernement et l’ensemble de la société. Ce n’est pas ‎un travail pour le seul ministère de la santé ».

29 février. Réunion d’un conseil des ministres exceptionnel consacré à la crise du Covid-19. Il en est retenu la réforme des retraites avec la décision de recourir au 49-3 pour faire passer sans vote le projet de loi en examen à l’Assemblée nationale.

4 mars. L’Italie compte 3 100 cas d’infections et décide de la fermeture des écoles.

Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, sur France Inter : « On ne fermera pas toutes les écoles de France. » Elle ajoute : « Si nous basculons dans le stade 3, à savoir une épidémie qui circule dans tout le territoire, on ne va pas arrêter la vie de la France. »

6 mars. Emmanuel Macron et son épouse se montrent au théâtre. « Si on prend des mesures qui sont très contraignantes, ce n’est pas tenable dans la durée. » Le président appelle à ne « pas se départir de bon sens » et plaide pour des mesures « proportionnées ». « La vie continue. Il n’y a aucune raison, mis à part pour les populations fragilisées, de modifier nos habitudes de sortie. »

Le même jour, les pharmacies reçoivent l’autorisation de fabriquer du gel hydroalcoolique, la pénurie se généralisant. Plusieurs alertes avaient été lancées dès le début février.

8 mars. Le président du Conseil italien Giuseppe Conte place en quarantaine les régions italiennes les plus touchées, avant d’étendre le lendemain le confinement à l’ensemble du pays, qui compte alors 9 172 cas et 463 morts. Le lendemain, c’est la fermeture des commerces non essentiels.

10 mars. Création d’un conseil scientifique chargé de conseiller le président de la République. Sa composition officialisée le lendemain, selon des procédures de nomination inconnues, donnera vite lieu à des critiques. Les risques de conflits d’intérêts, au vu des liens de certains de ses membres avec l’industrie pharmaceutique, sont pointés. D’autres rappellent que la mission du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) est justement de conseiller et d’éclairer les choix de l’exécutif. Quelques jours plus tard, le HCSP fait un communiqué rappelant que c’est sa mission.

Le 11 mars. L’OMS déclare officiellement l’état de pandémie. « Nous sommes très inquiets par les niveaux de diffusion et de dangerosité, ainsi que par les niveaux alarmants de l’inaction de la communauté internationale », indique son directeur général.

Olivier Véran : « Les enfants ne constituent pas un public fragile, il ne faut donc pas avoir peur de les envoyer à l’école. » Le ministre de la santé annonce également l’interdiction de toutes les visites dans les Ehpad.

12 mars. Emmanuel Macron annonce le maintien du premier tour de l’élection municipale : les scientifiques « considèrent que rien ne s’oppose à ce que les Français, même les plus vulnérables, se rendent aux urnes », assure-t-il, ce qui n’est pas ce que dit l’avis du conseil scientifique du 12 mars, qui précise que « cette décision éminemment politique ne pouvait lui incomber ». Le mot-dièse #JeNIraiPasVoter a déjà envahi les réseaux sociaux.

15 mars. Premier tour des élections municipales. 21 millions d’électeurs se déplacent pour participer au vote. Des médecins, des élus, des présidents de région ont demandé depuis plusieurs jours l’annulation du scrutin.

L’Espagne décide d’un confinement général.

17 mars à 12 heures. Entrée en vigueur du confinement en France, annoncé la veille lors d’une intervention du président de la République, qui s’est gardé de prononcer les mots confinement ou quarantaine, laissant le soin à son ministre de l’intérieur d’expliquer les mesures. Un confinement limité puisque des millions de salariés doivent continuer à travailler dans des secteurs non essentiels de l’économie.

Quant à la pénurie de masques, Olivier Véran se veut catégorique : « Nous avons assez de masques aujourd’hui pour permettre aux soignants d’être armés. Nous avons suffisamment de masques FFP2 pour faire face aux besoins hospitaliers et pour équiper les infirmières ou les médecins libéraux. »

19 mars. Le Collectif C19, qui réunit plus de 600 médecins, porte plainte auprès de la Cour de justice de la République (CJR) contre Agnès Buzyn et Édouard Philippe, qu’il accuse de « négligence coupable » et de « mensonge d’État ».

Christophe Castaner assure que les policiers « ne sont pas en risque face au coronavirus » et qu’ils n’ont pas besoin de porter des masques. Au même moment, des unités sont déjà confinées, 500 personnes en tout. Quelques jours plus tard, plus de 10 000 policiers sont en arrêt, selon le syndicat Alliance.

Muriel Pénicaud accuse de « défaitisme » le secteur du BTP, qui a interrompu les chantiers. « Arrêter d’aller bosser, arrêter de faire vos chantiers, ça c’est du défaitisme. » « Les entreprises qui ne jouent pas le jeu, qui se disent “l’État paiera”, ce n’est pas du civisme », ajoute-t-elle, en menaçant de leur supprimer le chômage partiel.

22 mars. « L’imprévoyance du gouvernement et de l’administration française a été totale » et les autorités « auront des comptes à rendre », déclare Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France (FMF).

Adoption de la loi sur l’état d’urgence sanitaire qui autorise le gouvernement à gouverner par ordonnances.

25 mars. Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement : « Il n’y a pas besoin d’un masque quand on respecte la distance de protection vis-à-vis des autres. »

27 mars. Dans un entretien à la revue Science, Georges Gao, qui dirige la plus haute autorité de santé en Chine, le Chinese Center for Disease, met en garde : « La grande erreur aux États-Unis et en Europe est, à mon avis, que la population ne porte pas de masque. » « Il faut porter un masque.

28 mars. Édouard Philippe, lors d'une conférence de presse avec le ministre de la santé : « Je ne laisserai personne dire qu’il y a eu du retard sur la prise de décision du confinement. »

7 avril. Le seuil des 10 000 morts en France est franchi. 7 091 décès sont enregistrés en milieu hospitalier, soit 607 de plus en 24 heures, chiffre quotidien le plus important depuis le début de l’épidémie, et 3 237 dans les Ehpad.

8 avril. Olivier Véran, dans un entretien au journal Le Monde : « Depuis le premier jour de la crise épidémique, nous avons décidé d’être dans l’anticipation, c’est-à-dire de disposer au moment opportun de tous les moyens possibles pour lutter contre la diffusion du virus. »
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Thinkerview: le service central du renseignement territorial redoute une radicalisation de la contestation sociale à l’issue du confinement.

dimanche 12 avril 2020 à 19:22
"Selon des notes confidentielles que nous avons pu consulter, le service central du renseignement territorial redoute une radicalisation de la contestation sociale à l’issue du confinement."
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Shelter in Place with Shane Smith & Edward Snowden (Full Episode)

dimanche 12 avril 2020 à 14:04
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Ce samedi et dimanche Mediapart en accés libre

samedi 11 avril 2020 à 12:11
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Un enfant canadien copie un produit existant méconnu en France, Creapills en fait un article de promotion marketing.

samedi 11 avril 2020 à 09:20
Et creapills présente l'info de sorte à alimenter leur vitrine qui sert à vendre leur service de communication et marketing.

En cliquant le lien vers le modèle 3D, on voit qu'il s'appelle "Surgical Mask Strap Remix", remix parce qu'il a pris un modèle déjà publié sur thingiverse 3 semaines plus tôt et remixé plusieurs fois.

Et l'inspiration pour publier ce premier modèle sur thingiverse ? Une société chinoise qui s'appelle creality qui a conçu l'objet et à partagé le modèle gratuitement avec la planète dès février:
https://www.dezeen.com/2020/03/29/creality-3d-printed-buckle-face-mask-coronavirus/
https://www.intelligentliving.co/3d-printed-buckle-face-mask-comfortable/
https://creality.com/download/model_c0003

Une démonstration de créativité de la part de creapills pout habiller un post facebook importé du monde anglophone avec une tournure vendeuse. on sent bien que la "veille" de creapills se fait sur facebook où le post a eu un petit effet de cascade virale[1] et que leur travail consiste a repackager et republier, du marketing et de la communication, qui est la compétence que creapills vends avec leur site vitrine. Pas de journalisme, pas d'intention d'informer. Une sorte de topito qui aurait choisi le marché de niche du "feel good", les publications qui jouent sur le sentiment qu'il y a des choses biens dans le monde pour vendre tout et n importe quoi.

[1]: excellente vidéo de fouloscopie sur ce sujet ici: https://www.youtube.com/watch?v=JORhEzwTY18
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Covid-19 : comment le gouvernement a évolué dans sa communication

vendredi 10 avril 2020 à 09:27
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How NOT to Wear a Mask - The New York Times

vendredi 10 avril 2020 à 08:33
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Le cherry picking cette argumentation fallacieuse qui consiste a ne sélectionner que les morceaux qui vont dans le sens du message qu'on veut faire passer

jeudi 9 avril 2020 à 17:34
Le cherry picking cette argumentation fallacieuse qui consiste a ne sélectionner que les morceaux qui vont dans le sens du message qu'on veut faire passer

> titre mensonger et généralisant, qui dit l'inverse dans le corps du texte, et dont la suspicion annoncée en introduciton porte sur une étude américaine (!) menée sur... 24 personnes. Youhou, l'échantillon de folie.

Pendant ce temps dans le corps du texte:

Lancée le 19 mars par le Réseau européen de recherche en ventilation artificielle (REVA), cette base prospective a déjà enregistré des informations concernant plus de 2 000 malades pris en charge dans 195 services de réanimation francophones, français essentiellement.

« Parmi eux, 83 % sont en surpoids ou obèses, avec souvent une association avec un diabète ou une hypertension artérielle. Il s’agit dans les trois quarts des cas d’hommes et la médiane d’âge est de 63 ans », précise Matthieu Schmidt, réanimateur médical à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), coordinateur du registre.

Le morceau retenu pour rater la grossière tentative de démonter l'article  illustre le gros encart en gras avec une police 50% plus grosse juste à coté, encart qui dit "Des données américaines remettent en question le dogme d’un seuil de 40 kg/m2 de l’IMC comme facteur de gravité", le cadre rouge est de moi: https://i.imgur.com/eiTpTBA.jpg

Le point portant ici non pas sur l'évidente augmentation des risques lié à l'obésité mais sur sur des données mettant en évidence un  effet de seuil à 35 kg/m2 alors que l'on estime jusqu'à présent que l'aggravation des risques se produisait à partir de 40 kg/m2.

Chaque extrait est totalement cohérent avec le titre auquel il se réfère.

Quand on remets dans le contexte ça dit en résumé qu'en cas d'infection covid-19 les obèses ont un risque élevé de faire partie des cas graves et de finir intubés, en coma artificiel, pendant plusieurs jours avec un risque plus élevé d'escarre, et comme seul espoir que leur système immunitaire réussisse à vaincre l'infection. La maigre consolation étant qu'ils résisteraient mieux à rester longtemps en décubitus qu'une personne de poids normal.
Là aussi il savoir de quoi on parle, pourquoi l'article parle de courbe de survie en réanimation ? Parce que le décubitus ventral est une technique complexe, difficile à mettre en oeuvre, lourde et invasive utilisée en dernier recours quand il n'y a plus d'autres alternatives.  À ce stade l'autre option étant généralement la mort.

Asclépios et Primum non nocere parlent du décubitus ventral dans leur live:
https://www.invidio.us/watch?v=XGgCZEJ48Yg&t=1h26m18s

Si j'ai le choix, je prends sans hésiter une courbe de survie en réanimation moins favorable car elle vient avec un risque nettement inférieurde se retrouver dans une situation nécéssitant la mise en réanimation.

Merci Sammy de nous avoir founi une occasion d'illustrer par l'exemple ce qu'est le cherry picking, à+ !
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https://www.ecirtam.net/opennews/?48R5iw

jeudi 9 avril 2020 à 12:30
Et après on nous demande pendant plus d'un mois de ne pas sortir ni faire du sport …
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Coronavirus : plus de 80% des patients en réanimation en France sont obèses

jeudi 9 avril 2020 à 02:35
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U.S. intelligence reports from January and February warned about a likely pandemic - The Washington Post

jeudi 9 avril 2020 à 02:07
"On ne pouvait pas savoir, qui aurait pu deviner que ça allait prendre de telles proportions" clame Trump (et peut être Macron aussi).
Le washington post rapporte que le congrès et Trump on ignorés les rapport de leurs agences de renseignement qui alertait dès janvier sur la gravité de l'épidémie en Chine
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Trump Adviser Peter Navarro Warned White House in January of Risks of a Coronavirus Pandemic - The New York Times

jeudi 9 avril 2020 à 02:04
"On ne pouvait pas savoir, qui aurait pu deviner que ça allait prendre de telles proportions" clame Trump (et peut être Macron aussi).
Le New York Times rapporte qu'un conseiller de Trump a publié un mémo pour avertir des risques de la pandémie qui a circulé auprès de toute l'administation de la maison blanche en Janvier, et puis un second mémo en février.
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CNN (anglais): US intelligence warned of China's spreading contagion in November

jeudi 9 avril 2020 à 01:57
"On ne pouvait pas savoir, qui aurait pu deviner que ça allait prendre de telles proportions" clame Trump (et peut être Macron aussi).

CNN rapporte que le centre national de renseignement médical de l'armée américaine (NCMI) a compilé un rapport de renseignement dès novembre alertant sur un nouveau virus circulant dans la région de Wuhan et était une menace. La conclusion du rapport était qu'on allait au devant d'un événement cataclysmique.

Ce rapport a été porté "à plusieurs reprises" à la connaissance de la Defense Intelligence Agency, l'état-major conjoint du Pentagone et de la Maison Blanche.
Des briefings répétés ont eu lieu tout au long du mois de décembre dans l'ensemble du gouvernement américain, y compris au Conseil national de sécurité, et ont abouti à un exposé détaillé de la menace dans le Daily Brief du président début janvier
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canard encahiné: préconisation gouvernementale sur le port du masque

jeudi 9 avril 2020 à 01:08
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Coronavirus : Un numéro vert pour aider les salariés, chômeurs et étudiants, mis en place par le syndicat Solidaires

mercredi 8 avril 2020 à 16:11
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