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Comment Macron va faciliter considérablement les licenciements - YouTube

vendredi 9 juin 2017 à 17:07
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Comment Macron va signer la fin du CDI. - YouTube

vendredi 9 juin 2017 à 17:06
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MACRON MENACE LE CODE DU TRAVAIL ET LES LIBERTÉS PUBLIQUES - Mélenchon chez Bourdin - YouTube

vendredi 9 juin 2017 à 12:24
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Ce que la future loi antiterroriste prévoit pour les données persos et le matériel informatique

vendredi 9 juin 2017 à 11:51
:-/
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raoul.kuczyk - YouTube

jeudi 8 juin 2017 à 22:33
législatives
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#RDLS31 : LÉGISLATIVES, CODE DU TRAVAIL, ÉTAT D'URGENCE, ORDONNANCES DE MACRON - YouTube

jeudi 8 juin 2017 à 18:00
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Antiterrorisme : le gouvernement veut obliger les suspects à donner leurs identifiants - Politique - Numerama

jeudi 8 juin 2017 à 17:45
*soupir*
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Vote FN, une bataille de proximité, par Willy Pelletier (Le Monde diplomatique, juin 2017)

jeudi 8 juin 2017 à 14:39
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La réforme inégalitaire de la CSG par Macron - YouTube

jeudi 8 juin 2017 à 14:18
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La réforme trompeuse de l'assurance chômage de Macron - YouTube

jeudi 8 juin 2017 à 14:06
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Just Delete Me | A directory of direct links to delete your account from web services.

jeudi 8 juin 2017 à 11:39
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Wolfram Alpha

jeudi 8 juin 2017 à 11:37
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SymPy Gamma

jeudi 8 juin 2017 à 11:35
A SymPy version of WolframAlpha. https://github.com/sympy/sympy_gamma/
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Grammalecte, correcteur grammatical [2] - LinuxFr.org

jeudi 8 juin 2017 à 10:24
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Grammalecte - Ulule

jeudi 8 juin 2017 à 10:23
Grammalecte lance une deuxième campagne de financement pour améliorer la correction grammaticale et faire évoluer les intégrations aux navigateurs web.
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Élections législatives de 2017 en Ille-et-Vilaine — Wikipédia

mercredi 7 juin 2017 à 23:38
Bon dans l'enveloppe qui contient les programmes, il en manque 4 sur 14 dont La France insoumise.
C'est mal barré -_-
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Brésil: le destitueur bientôt destitué ? par les détricoteuses - YouTube

mercredi 7 juin 2017 à 22:24
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L’histoire de Bretagne en questions - Géo n° 269 - juillet 2001

mercredi 7 juin 2017 à 21:58
[J’ai trouvé ceci sur le web, si quelqu’un a un exemplaire de la source en scan ou pdf pour vérifier je suis preneur]

Dans le cadre d'un numéro spécial consacré à la Bretagne (juillet 2001), la revue Géo souhaitait offrir à ses lecteurs une brève synthèse de l'histoire de Bretagne qui soit accessible à tous. L'auteur auquel elle a demandé cette synthèse n'est pas historien mais sociologue. Il esquisse simplement des pistes de réponse à quelques-unes des questions que l'on se pose aujourd'hui.

Celtique ?
Les Celtes, dont le nom est mentionné pour la première fois au VIe siècle avant Jésus-Christ par des auteurs grecs, existent peut-être depuis une époque beaucoup plus reculée. Leur nom recouvre une mosaïque de peuples, parmi lesquels se trouvent les Brittones (Brittons ou Bretons), au nom d’origine obscure qui pourrait être apparentée au gallois bryd, « esprit, pensée ». Venus, sans doute, d’Europe centrale, les Celtes se répandent dans tout le continent européen au cours du Ier millénaire. Sans unité politique, ils sont liés entre eux par le druidisme et par leurs langues. Aujourd’hui, le druidisme n’existe plus depuis deux mille ans (malgré ceux qui prétendent s’en réclamer). En revanche, les langues celtiques sont toujours parlées aux confins de l’Europe occidentale : le breton et le gallois constituent le rameau brittonique de ces langues, alors que l’écossais et l’irlandais en constituent le rameau gaélique.

Anti-romaine ?
Lors des campagnes militaires de César, des troupes bretonnes viennent de l’île de Bretagne (l’actuelle Grande-Bretagne) prêter main-forte aux Vénètes en Armorique (l’actuelle Bretagne). Mais une fois vaincus, sur l’île comme en Armorique, les Bretons – quelques révoltes mises à part – s’identifient à l’empire romain et en deviennent même, jusqu’à sa chute, les ardents défenseurs. On trouve ainsi des unités bretonnes de l’armée romaine jusqu’aux confins de l’Éthiopie ! De plus, les littératures brittoniques sont marquées par la volonté des soldats bretons de sauver l’Empire romain et de faire de leur général l’empereur — ce à quoi ils parviennent, d’ailleurs, en la personne de Maxime, général romain de l’armée bretonne, d’origine ibérique.

Immigrée ?
Les Bretons migrent de l’île de Bretagne (Grande-Bretagne actuelle) vers l’Armorique (Bretagne actuelle) en deux vagues. La première vague, à partir de la fin du IVe siècle de notre ère, est militaire. Elle n’est pas exclusivement cantonnée à l’Armorique puisqu’une soixantaine de colonies bretonnes sont fondées de la Normandie au Rhin, dont le nom nous est resté (Brétigny, Brétignolles, Bretteville, Breteuil, Brittendorf, Brittenheim, etc.). Mais, à l’appel des cités des Osismes et des Vénètes, menacées par les pirates saxons, la concentration de troupes bretonnes en Armorique occidentale est particulièrement dense à l’ouest d’une ligne allant de l’embouchure du Gouët à la presqu’île de Guérande. La deuxième vague migratoire bretonne se déroule aux VIe et VIIe siècles. Il ne s’agit plus, cette fois, d’une migration militaire mais d’un déplacement de population, qui vient renforcer définitivement l’implantation bretonne en Armorique occidentale. Cependant, les Bretons trouvent en Armorique une population qui parle la même langue, a la même culture et la même religion qu’eux… Il est donc difficile de faire la part de l’autochtonie et de l’immigration dans les origines de cette péninsule que l’on dit souvent périphérique.

Cul-de-sac ?
La péninsule bretonne n’a jamais été un cul-de-sac. D’une part, dès l’Antiquité, le peuple breton vit sur les deux rives de la Manche, qui constitue le centre de sa civilisation, comme la Mer Égée pour les Grecs. D’autre part, située au carrefour de voies maritimes très fréquentées, la Bretagne est, en quelque sorte – par la mer –, voisine de tous les pays dotés d’une façade maritime et de ports. Les îles britanniques et la péninsule ibérique sont plus proches d’elle que Paris. Plus encore, les côtes trégorroises sont aussi proches du littoral britannique que de la ville de Rennes...

Indépendante ?
La Bretagne connaît, pendant une dizaine de siècles, une relative indépendance, marquée par les vicissitudes que suscite la convoitise de ses puissants voisins. Au fil du temps, les Bretons ont à se battre – entre autres – contre les Francs, les Vikings, les Anglais et les Français… Ils vivent, au gré de la sagacité de leurs souverains, de l’ambition de leurs nobles, ou des incertitudes de la fortune, une alternance de périodes de ruine et de prospérité. Aux XIVe et XVe siècles, les ducs affirment leur politique d’indépendance, en constituant une administration puissante et moderne et en recourant à tous les moyens de propagande de l’époque afin de constituer un sentiment national breton. Si la Bretagne devient néanmoins française, c’est en raison du rapport de force inégal qui oppose le petit duché à un grand royaume.

Annexée ?
Anne de Bretagne se marie en 1490 à l’empereur Maximilien d’Autriche, dans l’espoir qu’il l’aidera à défendre son duché contre les attaques françaises. Toutefois, lors de la campagne française de 1491, les troupes autrichiennes étant engagées en Flandre et en Hongrie, l’empereur ne vient pas en aide à sa femme, qui perd Nantes et plusieurs autres villes. À la suite de sa défaite, elle est contrainte d’épouser, successivement, deux rois de France, Charles viii puis Louis xii. À cette fin, la cour de France fait annuler par le pape Alexandre vi le premier mariage de la duchesse. Dix-huit ans après la mort de celle-ci, un Acte d’Union est signé, en 1532, qui annexe la Bretagne à la France mais lui garantit des droits fiscaux et juridiques et maintient ses États, son parlement et son autonomie administrative.

Et Nantes ?
Nantes, capitale du duché de Bretagne, fait, avec son arrière-pays, partie intégrante de la Bretagne pendant environ onze cents ans, avant d’en être détachée par Pétain en 1941. Depuis lors, aucun gouvernement n’a remis en cause la décision de Vichy et la Loire-Atlantique est désormais rattachée administrativement à la région Pays-de-Loire, dont Nantes est la capitale. Cependant, selon un sondage CSA réalisé en septembre 2000, 71 % des habitants de Loire-Atlantique et 63 % des habitants du reste de la Bretagne souhaiteraient que la Loire-Atlantique revienne en Bretagne, dont elle est la région la plus prospère.

Pauvre ?
Après des hauts et des bas liés à la conjoncture économique, politique et militaire, la Bretagne connaît un « âge d’or » de la fin du XVe au deuxième tiers du XVIIe siècle, période où elle a perdu son indépendance mais où l’État français lui laisse une large autonomie économique. Surnommée, paraît-il, « le petit Pérou », elle accompagne les grands courants de l’économie européenne et participe, par son trafic maritime, à la naissance du capitalisme commercial. Son essor économique se traduit par un véritable épanouissement culturel et artistique, jusqu’à ce qu’il soit brisé, à partir de la fin du XVIIe siècle. La monarchie absolue fait plier les États de Bretagne et grève la province d’impôts, qui suscitent des révoltes réprimées dans le sang. Le trafic maritime est mis à mal par les conflits qui opposent la France à l’Angleterre de 1689 à 1815. L’industrie textile perd ses débouchés. Progressivement, la Bretagne s’appauvrit et, à partir du milieu du xixe siècle, sa population émigre en masse. C’est à cette époque que les clichés relatifs à la Bretagne se figent. Ils font d’elle une région non seulement pauvre, mais religieuse et conservatrice.

Religieuse ?
Le poids de la religion en Bretagne est incontestable. Dès les origines celtiques, le druidisme, omniprésent, structure et soude une population qui ne sépare pas le sacré du profane. Par la suite, prenant le relais du druidisme à partir de la fin du ive siècle, le christianisme assure puissamment – pendant seize siècles – l’encadrement de la société. Certes, la Bretagne est loin d’être homogène et, dès le xvie siècle, certaines régions commencent à se détacher de la religion. Cependant, l’emprise de l’Église sur la société demeure considérable jusqu’au milieu du xxe siècle. Et même aujourd’hui, où la pratique religieuse s’est effondrée, la Bretagne reste plus marquée par la religion catholique et ses valeurs que bien des régions d’Europe.

Conservatrice ?
L’idée selon laquelle la Bretagne serait une région conservatrice est ancienne et tenace. Elle découle de l’image d’une province entièrement acquise à la chouannerie lors de la Révolution. Or, il n’en est rien. La Bretagne est une terre de contrastes politiques. Si lors de la Révolution – comme à l’occasion de nombreux autres événements antérieurs ou postérieurs –, certaines de ses régions font preuve de conservatisme, d’autres, au contraire, se montrent régulièrement progressistes, voire révolutionnaires. (Voir : la diagonale contestataire).

Communautariste ?
La Bretagne est bilingue – celtophone à l’ouest et romanophone à l’est – depuis qu’au IXe siècle, l’empereur franc Charles le Chauve a concédé les cités de Nantes et Rennes aux rois bretons. Mille ans plus tard, de part et d’autre de la frontière linguistique (qui va de Plouha à Vannes), tout le monde se dit aujourd’hui breton. C’est donc qu’être breton ne relève pas de l’appartenance à une « communauté ethnique » mais de la volonté de partager un destin commun.

Mutante ?
En ce début du XXIe siècle, la société bretonne vit une série de profondes transformations qui s’apparentent à une mue. L’économie se cherche un nouveau moteur, qui viendra peut-être des hautes technologies. Le poids des villes se renforce, en particulier celui des métropoles régionales. Les agriculteurs cherchent des issues à la crise qu’ils traversent depuis des années. L’environnement naturel, dégradé pendant des décennies, fait l’objet de toutes les sollicitudes. Et enfin, les Bretons se réconcilient avec eux-mêmes : après s’être longtemps sentis méprisés et en avoir été honteux, ils redécouvrent leur identité et réinventent leur culture. Parviendront-ils à bâtir ensemble un avenir harmonieux ? C’est ce qu’ils semblent chercher. Cependant, l’État paraît redouter toute évolution vers des formes d’autonomie ; quant aux élites politiques régionales, on ne leur connaît pas de grand dessein. Alors, les Bretons devront-ils – et pourront-ils – transformer tout seuls leur mue en projet de société ?
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Une avocate a réécrit les conditions d'utilisation d'Instagram comme si elles étaient expliquées à un enfant de 8 ans - Business Insider France

mercredi 7 juin 2017 à 11:14
via http://lien.shazen.fr/?XDJnNw
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Theresa May sur Twitter : «I'm clear: if human rights laws get in the way of tackling extremism and terrorism, we will change those laws to keep British people safe.»

mercredi 7 juin 2017 à 10:57
Je ne vois pas pourquoi vous êtes étonné.

Concernant l’Angleterre cela ne m’étonne pas. Il suffit d’y vivre un an, pour devenir allergique au libéralisme économique.

Et ce n’est pas comme si un bon nombre de Dystopies ont été placés là par hasard par leurs auteurs:
V comme vendetta ou 1984 par exemple

Sans parler de leur histoire puante que l’on ne raconte pas souvent mais qui serait bon de connaître: «Contre-histoire du libéralisme» de Domenico LOSURDO
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