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Votons nous-même les lois ! #MAVOIX [VLOG #8] - YouTube

mardi 6 juin 2017 à 20:20
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Edouard Philippe sur Twitter : "Dès le 1er janvier 2018, nous supprimerons les cotisations salariales sur l’assurance maladie et l’assurance chômage. #ModeleSocial https://t.co/vtJkerxTqL"

mardi 6 juin 2017 à 18:43
En gros là, il nous dit qu'il va rogner sur nos salaires! Car les cotisations sociales s'est du salaire indirect.

Avec Macron, c'est en marche arrière.
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Pays-Bas. Et si on remplaçait le lundi de Pentecôte par l'Aïd el-Fitr ? | Courrier international - ZeShaarli

mardi 6 juin 2017 à 17:43
D’un point de vue laïque, il faudrait surtout toutes les laïcisées, sur le modèle de la fête de la saint-jean -> fête de la musique

Mais d’un point de vue Discordien, je suis pour un jour férié par secte discordienne ^^ Kallisti
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http://heuredupeuple.fr/republique-marche-arriere/

mardi 6 juin 2017 à 16:28
"S’ajoute un problème démocratique qui entacherait lourdement la nouvelle présidence. Une remise en cause aussi radicale du code du travail n’avait jamais été annoncée ni expliquée par le candidat Macron. Il n’a donc aucune légitimité pour l’imposer, de surcroît en la soustrayant à l’examen du Parlement, et donc aussi au débat public, via des ordonnances."

Qu'est ce que ? Lol ? Macron a toujours été annoncé comme le tueur du code du travail. On savait déjà qu'il ferait une loi travail II par ordonnance et on savait que ce serait radicalement violent et destructeur. L'extrême gauche a largement mis en garde tout le monde contre ça. C'est un peu tard de s'en apercevoir maintenant...
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Rennes: un policier sort son arme et braque des manifestants

mardi 6 juin 2017 à 13:27
via https://biniou.shost.ca/Shaarli/?Zkhf0g
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En Californie, Google Street View cartographie la pollution quartier par quartier - Tech - Numerama

mardi 6 juin 2017 à 11:33
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République en marche-arrière - L'Heure du Peuple

mardi 6 juin 2017 à 08:57
Cinq jours avant le 1er tour de l’élection législative, la révélation d’un document confidentiel contenant l’avant projet Macron de réforme du code du travail constitue un choc. Il y avait déjà de quoi s’inquiéter sérieusement avec ce que le candidat Macron avait annoncé, notamment la fixation du temps de travail dans l’entreprise, ainsi que le plafonnement des indemnités prud'homme qui permettrait aux entreprises de licencier moyennant finances quelle que soit l’injustice du motif ou le préjudice subi par le salarié. Ce qui a été révélé va beaucoup plus loin : il est question de fixer aussi dans chaque entreprise les règles de fin du contrat de travail, et notamment les motifs possibles de rupture du contrat. L’encadrement légal des motifs de licenciement disparaîtrait ainsi. Et toute embauche pourrait désormais se faire sous le chantage de devoir accepter au départ d’être viré à tout moment sans droits.
Ce serait d’abord un recul social majeur. Une facilitation des licenciements bien sûr et donc un facteur de hausse du chômage. Mais aussi un moteur de précarité renforcée pour les salariés dont les contrats deviendraient jetables, la notion même de CDI étant amenée à disparaître avec la fixation dans l’entreprise des règles de rupture du contrat. L’horizon des revenus et donc des projets des salariés serait ainsi radicalement instabilisé et globalement raccourci. Au recul social s’ajouterait un danger économique. Le contrat de travail n’étant quasiment plus encadré par la loi, les règles s’appliquant aux travailleurs fluctueraient de manière considérable d’une entreprise à l’autre, dans une insécurité juridique totale. Et ce « non droit » au cas par cas, sorte de loi privée de chaque patron, deviendrait un instrument de concurrence et donc de dumping entre les entreprises. Dans un même secteur cela favoriserait les entreprises aux droits les plus précaires au détriment des autres, et en particulier les grands groupes par rapport aux petites et moyennes entreprises.
S’ajoute un problème démocratique qui entacherait lourdement la nouvelle présidence. Une remise en cause aussi radicale du code du travail n’avait jamais été annoncée ni expliquée par le candidat Macron. Il n’a donc aucune légitimité pour l’imposer, de surcroît en la soustrayant à l’examen du Parlement, et donc aussi au débat public, via des ordonnances. Une telle réforme serait une régression historique refaisant du travail une marchandise comme les autres, négociée de gré à gré comme au 19e siècle. Ce serait tout simplement la fin du droit du travail né à l’aube du 20e siècle. Le seul moyen d’empêcher ainsi la République de faire marche-arrière est de priver Macron, ainsi que ses alliés cachés à LR et au PS de majorité parlementaire les 11 et 18 juin.
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Ni Dieu ni maître - Une histoire de l'anarchisme - ARTE

lundi 5 juin 2017 à 11:47
(1/2)  http://sites.arte.tv/anarchisme/fr/ni-dieu-ni-maitre-une-histoire-de-lanarchisme-12-anarchie
(2/2)  http://sites.arte.tv/anarchisme/fr/ni-dieu-ni-maitre-une-histoire-de-lanarchisme-22-anarchie

Vu sur LCP hier soir, plutôt pas mal.
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[F12] Critiques II : Peut-on vraiment s'appuyer sur les études d'Adorno pour comprendre le fascisme d'aujourd'hui ? - hacking-social.com

lundi 5 juin 2017 à 11:43
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Comme les néofascistes italiens avant eux, le GUD ouvre un squat à Lyon pour les «Français de souche» - Œil sur le front

dimanche 4 juin 2017 à 22:51
Ça me fait penser à Aube doré (https://www.ecirtam.net/opennews/?3ZEYoA).
Ça pue.
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On va faire Cours #8 - Les Spartiates (les clichés de l'Histoire au cinéma) - YouTube

dimanche 4 juin 2017 à 13:47
Plutôt sympa, mais il y a une erreur. Les Spartiates cela n’a jamais existé.
Le peuple de Sparte ce sont les Lacédémoniens.
"Spartiate" étant l’adjectif, pas le nom commun, qui leur est lié.
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LES RÉFUGIÉS - LA BARBE - YouTube

samedi 3 juin 2017 à 15:34
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Les années folles, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, juin 2017)

samedi 3 juin 2017 à 14:50
À leurs yeux, l’orage est passé, l’élection de M. Donald Trump et le Brexit sont presque conjurés. La large victoire de M. Emmanuel Macron a enthousiasmé les milieux dirigeants de l’Union européenne. Un de leurs commentateurs assermentés, ronronnant de bonheur, estimait même qu’il s’agissait du « premier coup d’arrêt décisif à la vague populiste (1)  ». Profiter de l’instant pour faire passer en force le programme néolibéral de la Commission européenne démange donc les nouveaux gouvernants français, qui ont le code du travail dans leur viseur. Une orientation politique identique sera désormais incarnée à Paris par un homme plus jeune, plus cultivé et moins radicalement dépourvu d’imagination et de charisme que son prédécesseur ; les miracles de la communication et du « vote utile » permettent de travestir ce léger changement en un basculement historique ouvrant la voie à toutes les audaces. […]
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L’unanimisme au prix de la dépolitisation (Le Monde diplomatique, juin 2017)

samedi 3 juin 2017 à 14:46
«La centralisation s’est exercée de manière plus forte encore à la CFDT [Confédération française démocratique du travail] que dans les autres centrales, et l’homogénéité des organes de décision y est croissante », analyse Martine Barthélemy, chercheuse à Sciences Po (1). Remarquant que l’adhésion majoritaire à l’idéologie du réformisme a été acquise au fil des ans « au prix d’une évacuation de toute contestation », elle mentionne « l’existence d’un unanimisme qui cimente l’univers des adhérents à la base de la CFDT ». Ce qui, selon elle, a un coût : leur dépolitisation. Et une possible conséquence : « un affaiblissement des capacités de réflexion collective de l’organisation ».
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CFDT, un syndicalisme pour l’ère Macron, par Jean-Michel Dumay (Le Monde diplomatique, juin 2017)

samedi 3 juin 2017 à 14:41
Pressé de réécrire le code du travail, le nouveau président français, M. Emmanuel Macron, espère s’appuyer sur les syndicats dits « réformistes », et en premier lieu la Confédération française démocratique du travail (CFDT). Alors qu’elle incarna un profond renouvellement de l’action collective dans les années 1960 et 1970, celle-ci accompagne depuis trente ans le détricotage du droit social, tout en jurant rester fidèle à ses valeurs. […]
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Un barrage peut en cacher un autre, par Pierre Rimbert (Le Monde diplomatique, juin 2017)

samedi 3 juin 2017 à 14:12
L’accession de Mme Marine Le Pen, la candidate du Front national (FN), au second tour de l’élection présidentielle aura au moins eu pour vertu d’éliminer les prudences et rondeurs déontologiques qui d’ordinaire enrobent le discours journalistique. Et de donner à voir les grands médias pour ce qu’ils sont : une force politique, celle qu’on oublie de décompter dans les temps de parole. Un titre de Libération (6 mai 2017) a résumé la ligne de ce parti non déclaré : « Faites ce que vous voulez mais votez Macron ». […]
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Une deuxième fête pour le Jardin de la Louisiane. – Osons !

samedi 3 juin 2017 à 13:08
Après la fermeture du collège Surcouf à Saint-Malo (https://www.ecirtam.net/opennews/?searchterm=Surcouf), c'est le Jardin de la Louisiane, situé à quelques rues qui risque d'être supprimé -_-
https://www.openstreetmap.org/#map=17/48.63732/-1.99452

Les habitants du quartier organisent un fête pour défendre ce jardin. Ça se passe le samedi 24 juin entre 17h et 22h dans le jardin de la Louisiane (Saint-Malo).
Ça devrait être plus sympa que la fête de la musique ^_^
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Suavelos : le camp réservé aux Blancs qui ne dérange pas l'Etat

samedi 3 juin 2017 à 09:37
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Flux des radios

vendredi 2 juin 2017 à 20:13
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Veillée d'armes au Royaume-Uni : Entretien avec Olivier Tonneau - Le Vent Se Lève

vendredi 2 juin 2017 à 18:03
Sur l’état de la gauche au Royaume-Uni
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