source: Opennews
Mardi 20 juillet 2021, Zhengzhou a été frappé par des pluies diluviennes qui ont complètement noyées la ville chinoise. Des passagers du métro ont été pris au piège et se sont retrouvés avec de l'eau jusqu'à mi-hauteur dans les rames.
A la suite du conseil de défense sanitaire qui s'est déroulé à l'Elysée, Jean Castex s'est exprimé sur le plateau du journal de 13 heures de TF1, mercredi 21 juillet. Le Premier ministre a reconnu qu'une "quatrième vague" de coronavirus frappait la France, et a promis de se montrer "intraitable" face aux militants anti-vaccins qui 'font acte de violence, font allusion à l'étoile jaune ou la Shoah, s'en prennent à des permanences parlementaires et mettent le feu à des centres de vaccination".
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L'Israël revient à de nombreuses reprises dans des sujets d'actualité, en ce moment même. Il y a quelques jours, nous vous proposions de revenir sur le "Projet Pégasus", un logiciel espion israélien qui est au cœur d'une vaste affaire de cyberespionnage mondial. Aujourd'hui, rien de tout cela cependant, puisqu'il s'agit plutôt d'une nouvelle pleine d'espoir. Des scientifiques israéliens viennent en effet d'identifier trois médicaments existants qui pourraient s'avérer très efficaces dans le traitement contre le Covid-19. Nous faisons le point sur le sujet.
Un test de grande ampleur.
Le professeur Isaiah Arkin, biochimiste de l'université hébraïque à l'origine de la découverte dont nous parlons aujourd'hui (qui travaille avec une équipe de scientifiques au sein de la même université), a récemment expliqué avoir examiné plus de 3 000 médicaments pour déterminer s'ils étaient appropriés dans la lutte contre le COVID-19.
Pour le professeur Arkin, cette façon de rechercher le médicament idéal s'apparentait à "chercher une aiguille dans une botte de foin". Le professeur a ainsi expliqué ses motivations, pour le compte de Times of Israel : https://www.timesofisrael.com/3-existing-drugs-fight-coronavirus-with-almost-100-success-in-jerusalem-lab/
"Nous avons déjà le vaccin, mais nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers, et j'aimerais que ces médicaments fassent partie de l'arsenal que nous utilisons pour combattre le coronavirus."
3 médicaments sortent du lot.
Parmi les 3 000 médicaments examinés, trois d'entre eux se démarquent. Il s'agit du Darapladib (utilisé actuellement pour traiter l'athérosclérose), du Flumatinib (utilisé dans le traitement contre le cancer), et d'un médicament utilisé dans le traitement du VIH, dont le nom n'a pas encore été dévoilé. Pour chercher si certains médicaments auraient pu être efficaces, l'équipe de chercheurs a mis les substances en contact avec des cellules vivantes du SRAS-CoV-2, et des cellules humaines in vitro. Les résultats obtenus par ces médicaments ont été commentés par le professeur Arkin, qui a déclaré :
"Les résultats ont montré que les médicaments peuvent protéger les cellules de l'attaque du virus avec une efficacité proche de 100%, ce qui signifie que presque 100% des cellules ont survécu malgré l'infection par le virus."
Le professeur Arkin espère déjà pouvoir travailler avec une société pharmaceutique pour que les médicaments qu'il a identifiés dans son étude soient rapidement testés cliniquement, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19.
Il faut dire qu'il a bon espoir quant au fait que ces médicaments soient efficaces contre différents variants. S'il se montre optimiste, c'est parce que face au SARS-CoV-2, les médicaments dont il est question ici ne ciblent pas la protéine Spike, mais plutôt l'une des deux autres protéines, à savoir la protéine d'enveloppe, et la protéine 3a. https://i.imgur.com/mWWm0nY.jpg
Or, ces protéines, et notamment la protéine d'enveloppe, n'évoluent pas d'un variant à l'autre. C'est donc pourquoi ces médicaments ont des chances de faire leur preuve face à une multitude de variants, selon le professeur Arkin :
"Cela signifie que si nous avions disposé d'un médicament ciblant la protéine d'enveloppe qui aurait traité l'épidémie de SRAS, il y avait de grandes chances pour que la pandémie ne voit même pas le jour."
Il s'agit donc d'une bonne nouvelle en ce qui concerne la lutte contre le COVID-19. Il reste maintenant à voir ce que donneront, plus tard, les essais cliniques.
témoignage d'une vaccinée qui a rencontré le variant delta.
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Réflexion née dans les commentaires :
Je paraphrase une question que je m’étais moi-même posée, et qui a été reposée (sous une autre forme) dans les commentaires :
Si je suis vacciné, pourquoi je m’en ferais : je ne crains rien, et les autres ne veulent de toute façon pas faire d’efforts, donc à la limite, on s’en fiche !
C'est le niveau 0 de la réflexion et l'expression d'une profonde méconnaissance du principe de vaccination en général et des vaccins contre la covid-19 en particulier.
Être vacciné diminue drastiquement la probabilité de se retrouver à l'hôpital, ça se résume en gros à ça.
Les vaccinés l'attrapent tout pareil (exemple médiatisé récemment avec le ministre de la santé britannique), le transmette, développent des covids longs (même sans avoir eu de symptômes), peuvent avoir des séquelles durables et même mourir.
Du coup le "je crains rien, je suis vacciné" c'est l'idée fausse qui fait qu'on cesse de faire attention et qu'on adopte des comportements à risque, augmentant du même coup les chances de l'attraper ou de la transmettre. On a vu l'exemple de ce que ça donne au Chili.
On ne le répète pas assez et pourtant on le répète depuis l'an dernier y compris à l'OMS: tout miser sur la vaccination c'est la garantie de l'échec et comme l'a dit ce virologue britannique à la TV: "Si je voulais concevoir une vaste expérience pour créer un virus plus dangereux, un qui soit capable de passer à travers nos vaccins, je ferais ce que le Royaume-Uni propose de faire.".
Une fois vacciné, ça ne doit rien changer aux gestes barrières: port du masque en intérieur (le variant delta serait capable de se transmettre en quelques secondes là où le virus initial prendait plus de 10 minutes), aération, respect des distances de sécurité, lavage régulier des mains, restreindre au maximum les activités à risques (restaurants, sports en salle, café/bar, hotels, célébration religieuse, cinéma, ...) source.
- Certaines personnes sont impossibles à vacciner. Elles sont réellement intolérantes aux vaccins, ou ont une maladie liée au système immunitaire. Même si ce ne sont que 0,1 % des gens (je ne connais pas le chiffre), ça justifie de rester vigilants quelques mois de plus.
D'où cette notion de quelques mois de plus ? Vu la gestion catastrophique de nombreux pays, dont la France, On est parti pour avoir un virus endémique donc c'est plutôt sur une lignée pour que ce soit possiblement permanent. Avec un réservoir dans la majorité de la planète qui a reçu moins de 1% des doses de vaccins, on peut s'attendre a des résurgences de flambée épidémique et probablement d'un variant doté d'échappement immunitaire contre lequel les vaccins seraient inefficaces.
Ça nous retombera toujours dessus : il n’est dans l’intérêt de personne de voir la société s’effondrer.
Paradoxalement, il est dans notre intérêt à tous que la société s'effondre et que ça se produise le plus rapidement possible.
Tout simplement parce que cela semble être la seule issue face à l'urgence climatique dont l'enjeu c'est la possibilité que la vie telle qu'on la connait soit possible sur la planète.
La société ayant démontré depuis des décénnies son incapacité à se réformer ou a répondre au changement climatique. (exemple de ce matin: https://nitter.unixfox.eu/i/status/1417363743743356939 )
(...) soit parce que Macron reconfinera — à raison, si les chiffres explosent — tout le monde. Qui veut ça ? Personne.
Étonamment on est un certain nombre à attendre le prochain reconfinement avec impatience. Parce que ce serait un énième constat de l'échec des choix de Macron et que ça aura des conséquences politiques sur les prochaines élections, peut-être le mettre hors course. On pourrait alors espérer avoir à la tête du pays quelqu'un qui fasse le nécéssaire pour faire face à l'urgence climatique et qui défende les intérêts de tous et du collectif au lieu de la minorité la plus riche des plus riches au détriment des autres.
J'avoue aussi que j'aime bien le confinement strict quand tout est fermé. Il n'y a plus de voiture dans les rues, tout est plus calme, moins bruyant. L'économie folle s'arrête et les gens continuent de vivre. C'est l'occasion de prendre conscience de l'absurdité de cette société qui nous emmène au pas de course vers notre destruction.
les retraites passées ne sont pas concernées (plus de 50 % des femmes actuellement retraitées ont une pension de moins de 1000€)
Les commentaires sur cette news apportent des nuances importantes.
On y retrouve quand même les idées confusionnistes classiques, du style ils vont nous envoyer les flics chez moi pour un faux positif d'une photo de playmobil, super exemple de paranoia débile: au lieu d'un processus simple et évident (l'algorithme marque les cas suspects et ceux-ci sont ensuite étudiés de plus près, éventuellement la photo en question est vérifiée manuellement), le confusionniste paranoïaque croit que ce n'est pas à la portée de n'importe quel imbécile venu de se rendre compte que c'est pas une bonne idée de lancer une descente de flics chez un citoyen honnête qui peut démontrer son innocence.
Malheureusement, pour le moment, des solutions dangereuses de ce style ne risquent pas de disparaître vu qu'il n'y a pas d'alternative sérieuse.
C'est dommage que sur ce sujet, trop de gens défendent la solution extrême de communication 100% indéchiffrable. C'est le rêve mouillé des libertariens, des capitalistes et, en réalité, des partis dominants: imaginez, pouvoir faire des affaires, faire des réunions, échanger des informations, passer des contrats, tout ça sans que la justice ne puisse jamais accéder à tout ça.
Ce qu'il faudrait, c'est un système décentralisé où les messages peuvent être déchiffrés une fois qu'une décision de justice publique à lieu et qu'une demande formelle et traçable est faite à différentes instances indépendantes.
Oui, je sais ce que vont me dire les conspirationnistes: tout le monde est corrompus. Sauf que ces mêmes conspirationnistes font confiance à leur FAI, leur dépôt logiciel, leur compagnie commerciale qui a compilé leur logiciel de messagerie qui fait, d'après ces mêmes compagnies, end-to-end encryption, ou même la poste ou l'association à qui ils font des dons sans aucune garantie que cette association ne donne pas cet argent en secret à leur pire ennemi, alors que tout ces systèmes sont 1000x plus faciles à corrompre qu'un système décentralisé.
https://cyberguerre.numerama.com/12795-pourquoi-pegasus-etait-deja-le-plus-celebre-des-logiciels-espions.html
https://forbiddenstories.org/pegasus-the-new-global-weapon-for-silencing-journalists/
https://www.amnesty.org/en/latest/news/2021/07/the-pegasus-project/
https://citizenlab.ca/2016/08/million-dollar-dissident-iphone-zero-day-nso-group-uae/
Forensic Methodology Report: How to catch NSO Group’s Pegasus :
https://www.amnesty.org/en/latest/research/2021/07/forensic-methodology-report-how-to-catch-nso-groups-pegasus/
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si aucune mesure n'est prise, d'ici 2 à 3 semaines les hospitalisations au royaume-uni vont dépasser le pic historique depuis le début de la pandémie.
gardons en tête que la France suit la même voie avec 4 à 5 semaines de retard.
il n'y pas assez de vaccins pour tout le monde et tout miser sur le vaccin c'est la garantie d'échec martèle à nouveau l'OMS.
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Marc eynaud qui est journaliste au Boulevard voltaire (extrême droite) est sur la river.
Il faut faire feu de tous bois quand on milite contre le vaccin.
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