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source: NiKopiK

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Compilation échevelée des films sortis en 2012

mardi 18 décembre 2012 à 15:30

300-Movies-of-2012

Si je vous demande quels films ont marqué l’année 2012 au cinéma, j’imagine que vous allez pouvoir me citer quelques titres de mémoire, voire quelques dizaines pour les plus cinéphiles d’entre vous.

Et si je vous disais qu’il y a plus de 300 films sortis en 2012 qui ont marqué l’année au cinéma ?

C’est terrible comment une vidéo de ce genre peut donner envie de mater des tonnes de films qui semblent bien alléchants !

Attention tout de même, il y a de nombreux navets dans la liste ^^

Source

Instagram peut maintenant vendre vos photos sans vous demander votre avis et sans rien vous reverser

mardi 18 décembre 2012 à 15:07

Instagram

Le monde entier se demandait pourquoi Facebook avait investi 1 milliard de dollars pour acheter le service de partage de photos Instagram.

Nous savons maintenant quel était le véritable but du géant des réseaux sociaux : disposer d’une énorme banque d’images à vendre, sans rien reverser aux photographes !

En effet à partir du 16 janvier 2013, les conditions d’utilisation d’Instagram vont changer et proposer une modification majeure : la possibilité pour le réseau social photographique de vendre les photos des utilisateurs pour des usages commerciaux, sans que le moindre centime ne soit reversé aux photographes, et ce sans vous demander votre avis, et sans qu’il soit possible de refuser cette condition oO

Il sera donc possible pour Instagram de vendre n’importe quelle photo publique à n’importe quelle entreprise qui le souhaite, y compris pour des usages publicitaires. Cela transformerait le site de partage en la plus grosse agence de ressource photographique au monde.

Le plus fort : c’est un droit perpétuel. Si vous effacez une photo, rien ne dit qu’elle ne pourra tout de même pas être utilisée pour des applications commerciales, puisque les photos sont conservées sur les serveurs d’Instagram.

Ça vous plairait de voir votre tronche tirée d’une photo vieille de 3 ans dans une pub pour du papier toilette, et que l’on ne vous paie pas un rond pour ça ?

Source via Sebsauvage

 

Bilan sur la taxe Copie privée en France : le scandale continue…

lundi 17 décembre 2012 à 10:45

logo_copie_privee_noirLa taxe Copie privée a été instaurée relativement récemment en France.

Sur le principe, à savoir rémunérer les acteurs de l’industrie culturelle en taxant les appareils et médias permettant en contrepartie de copier des oeuvres culturelles, il n’y aurait normalement pas grand chose à dire…

Sauf que l’application de cette taxe en France est proprement scandaleuse, n’avantageant outrageusement que les maisons de disques et de cinéma, en dépit des consommateurs, traités cyniquement comme des vaches à lait.

Bilan de cette taxe Copie Privée après la parution des derniers barèmes fortement critiqués.

 

Un droit à la copie privée sur les vidéos impossible à exploiter

La taxe Copie Privée a été instaurée pour qu’une personne puisse avoir le droit de reproduire une oeuvre dans le cadre de son usage privé, payant en contrepartie une taxe sur les supports et médias permettant de réaliser cette copie.

Sur le papier, cela semble parfaitement équitable. Sauf que ce que l’industrie du cinéma n’évoque pas, c’est qu’il est interdit de contourner les protections anti-piratage mises en place sur les DVD et Blu-Rays vendus dans le commerce.

Nous, consommateurs, nous retrouvons donc à payer une taxe, sans avoir accès à la juste contrepartie qui nous revient, à savoir copier légalement les films et séries achetés pour notre usage privé…

Si au moins cela pouvait freiner le piratage, cela pourrait encore se justifier, mais un simple coup d’oeil sur n’importe quel site de téléchargement démontre bien que ces protections anti-piratage sont très vite devenues obsolètes et qu’elles n’empêchent pas du tout les usages illégaux.

Notez aussi que les chaines de télévision ont aussi mis en place des moyens de protection anti-copie sur les programmes que vous enregistrez sur votre enregistreur numérique taxé, vous empêchant d’en faire une copie physique par exemple, ou alors qui sera dégradée…

Le seul moyen de profiter de son droit à la copie privée est donc de contourner les protections mises en place, et donc la loi. Il est ainsi impossible de profiter de notre droit à la copie privée sans devenir un pirate…

Une situation scandaleuse, ne profitant qu’à l’industrie culturelle au détriment direct des consommateurs !

 

Une situation hypocrite

La taxe Copie Privée en France est effectivement un belle exemple d’hypocrisie et de mauvaise foi !

Alors que la majeure partie des copiées privées sont impossibles à réaliser légalement, les supports nécessaires sont bien tous taxés auprès des consommateurs. L’explication officieuse est simple : ce système a été mis en place pour contrer les pertes supposées dues au piratage.

Cope Privée UFC 1

Copie privée UFC 2

Sauf que le Conseil d’état a estimé qu’il n’était pas possible de prendre en considération les copies illicites pour estimer les barèmes de la taxe Copie Privée.

Un véritable camouflet pour la commission, qui n’a pourtant eu aucun impact au final : les tarifs ont en effet augmenté au lieu de logiquement baisser, en dépit du bon sens !

Nous nous retrouvons donc à payer une sorte de taxe ressemblant étrangement à la célèbre licence globale, censée rémunérer les acteurs de la culture et permettre aux consommateurs d’échanger entre eux. Sauf qu’ici la copie privée est empêchée, que l’échange entre consommateurs est interdit, mais que la taxe est bien prélevée. Cherchez l’erreur…

Notez aussi que les plus grandes rémunérations pour Copie Privée attribuées aux artistes vont aussi à ceux qui se sont expatriés fiscalement pour ne plus payer d’impôts en France. Nous sommes quand même arrivés à mettre en place un système qui rémunère des artistes qui ne souhaitent volontairement pas payer leurs impôts. Les français de base paient aux riches qui se barrent pour ne pas donner aux pauvres. Une situation hallucinante…

 

Un système qui favorise les entreprises basées à l’étranger

En plus de payer les évadés fiscaux, la taxe copie privée arrive à mettre de sacrés bâtons dans les roues à nos entreprises tricolores.

Un exemple ? Archos, une des seules entreprises françaises qui arrive à batailler (de plus en plus difficilement) à l’international sur le marché juteux des tablettes numériques, a vu une bonne partie de son chiffre d’affaire siphonnée par cette taxe.

Ses concurrents basés à l’étranger par contre ne voit pas la couleur de cette taxe et sont clairement favorisés.

N’est-ce pas génial d’avoir instauré une taxe favorisant seulement les boîtes qui génèrent de l’argent en France et qui sont fiscalisées ailleurs ? J’imagine que la perte de valeur potentielle doit être bien plus importante que la taxe Copie Privée récoltée chaque année. Mais il semble qu’il vaille mieux laisser sous perfusion l’exception culturelle française plutôt que de favoriser l’essor de puissances économiques dans notre beau pays. Attention, je ne dis pas qu’il ne faut pas rémunérer les acteurs de la culture en France, mais que cette rémunération ne doit pas profiter à eux seuls, au détriment des autres et des consommateurs.

Les sites de vente en ligne basés au Luxembourg par exemple, vendent des produits moins chers, normalement soumis à la taxe Copie Privée, mais les consommateurs ne la paient que très rarement quand ils passent par ce genre de sites. Encore un autre exemple prouvant que les pertes provoquées par ce système sont énormes, et que cela ne favorise pas la compétitivité française au sein de son propre territoire, bien au contraire.

 

Pour résumer, nous avons donc une taxe dont les barèmes sont décidés par une commission représentée en majorité par des acteurs ayant intérêt à faire en sorte qu’ils soient le plus élevés possible, n’apportant plus la contrepartie nécessaire aux consommateurs, et qui pénalise fortement l’économie française.

Si seulement les responsables de cette situation ubuesque pouvaient risquer de devoir rendre des comptes un jour devant la justice…

 

Faille importante sur les smartphones Samsung Galaxy S II et III, Note I et II, et les tablettes Galaxy Note et Tab Plus

lundi 17 décembre 2012 à 09:26

Galaxy Note II - Galaxy S III

La gamme des smartphones de Samsung a réussi le tour de force de détrôner très rapidement le fameux iPhone de sa première place dans les ventes de téléphones haut de gamme.

Mais le problème en général quand on devient populaire, c’est qu’on commence à attirer l’attention des pirates malveillants, appâtés par les possibilités de pirater de nombreux portables à distance…

Heureusement les hackers bienveillants veillent au grain ! Plusieurs d’entre eux ont découvert une vulnérabilité sur les smartphones Samsung Galaxy S II et III, Note I et II, et les tablettes Galaxy Note et Tab Plus permettant à des applications du Google Play de rooter le téléphone à distance et d’accéder au noyau d’Android…

Une faille plutôt importante, car en théorie, aucune application ne doit pouvoir accéder au root du téléphone sans que l’utilisateur ne l’autorise. L’accès au root peut permettre tous les délires pour un pirate : accès et modification de toutes les fonctionnalités et données du téléphone ou de la tablette !

Cette faille a été découverte lorsqu’un bidouilleur cherchait une manière simple de rooter son appareil Samsung. Il s’est alors aperçu que le noyau Android utilisé par Samsung permettait l’accès en lecture / écriture de toute la mémoire physique du smartphone, même celle utilisée par le noyau. Cela permet de rooter les téléphones et tablettes incriminés bien trop facilement, notamment par une application malveillante du Google Play par exemple…

Bien que Samsung ait déjà été prévenu et n’a pas encore répondu sur ce sujet, les développeurs spécialisés Android du forum XDA ont déjà créé une application permettant d’effectuer ce root facile sur votre appareil Samsung, et aussi de le désactiver à volonté pour que vous soyez protégé de la faille en attendant un correctif officiel !

Source et Image

 

Comment installer SoundSearch, le Shazam-like de Google, sur votre Android ?

vendredi 14 décembre 2012 à 10:46

SoundSearch Google

Sachant que Google a commencé son empire dans les moteurs de recherche, et que l’entreprise californienne a lancé depuis un certain temps déjà son service Google Music, il était étonnant qu’une application maison permettant de retrouver des titres de chansons à partir d’un extrait sonore ne soit pas encore disponible.

C’est maintenant chose faite avec SoundSearch sur Android !

SoundSearch vous permet de retrouver le titre et l’artiste d’une musique à partir d’un extrait sonore, tout comme le célèbre Shazam.

Disponible théoriquement seulement aux Etats-Unis pour le moment, il est possible de télécharger le fichier APK ici si vous souhaitez l’installer sur votre téléphone pour l’avoir en avant-première et vous la péter devant les autres geeks fans de musique :-P

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