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Edward Snowden recommande toujours de se passer de Google, de Facebook, de Dropbox et d’iOS : comment faire ?

lundi 13 octobre 2014 à 12:21

A l’occasion de la sortie du film documentaire CitizenFour racontant l’incroyable histoire d’Edward Snowden, ce dernier a accordé une interview de près d’une heure au journal The New Yorker.

Petit récapitulatif pour ceux qui vivraient dans une grotte depuis plus d’un an : Edward Snowden est l’ancien employé de la NSA qui a révélé l’ampleur et l’illégalité du programme de surveillance de masse américain et britannique, qualifié à l’époque par le journal Libération comme «un des plus grands scandales de l’histoire du numérique et des libertés». Un programme dans lequel nous sommes tous potentiellement fichés, puisque la plupart d’entre nous utilise des services ou logiciels fournis par de grandes entreprises américaines comme Apple, Microsoft, Google, Facebook, Dropbox, etc… Des entreprises qui se prononcent pourtant contre cette surveillance, mais qui n’ont pas d’autres choix que de respecter la loi américaine. Des services que Snowden nous exhorte à abandonner pour faire respecter nos droits.

Certains iront encore rétorquer « Je n’ai rien à cacher », « Peu m’importe si je suis potentiellement surveillé, je ne fais rien d’illégal ». Effectivement, vous ne faites sûrement rien d’illégal. Il n’empêche que de refuser de prendre vos responsabilités, c’est abandonner votre droit à avoir une vie privée. Non seulement pour vous-mêmes, mais aussi pour vos proches ou votre entreprise…

Mais du coup, comment se passer de tous ces services en ligne et utiliser des alternatives sûres ? Comment sécuriser son téléphone et son ordinateur ?

Que vous soyez un chef d’entreprise ou un simple employé voulant éviter l’espionnage économique de votre société, ou encore un citoyen voulant que son droit au respect de sa vie privée puisse être respecté, les solutions ne manquent pas pour être à l’abri de Big Brother.

Malheureusement ces solutions ont généralement un coût, non pas financier, mais lié à l’utilisation des outils nécessaires : le confort d’utilisation sera amoindri, la facilité d’usage sera réduite… au prix d’une plus grande sécurité d’esprit par la suite.

Vous vous sentez prêt à sauter le pas ? Dans ce cas, je vous invite à découvrir deux initiatives qui vont vous aider à ne plus être constamment surveillé :

 

Framasoft

Framasoft, l’association française qui se bouge contre la main-mise des sociétés américaines sur Internet, a lancé depuis 2011 l’opération Dégooglisons Internet.

Au programme de ce projet : le remplacement de chaque service offerts par Google et ses principaux concurrents par des logiciels libres (et la liste est longue), hébergés parfois chez Framasoft pour ceux qui nécessitent un serveur centralisé pour une plus grande facilité d’utilisation pour les non-techniciens.

Une solution idéale donc pour les francophones débutants ou les entreprises qui pourront contacter directement l’association pour être aidés dans leur démarche de sécurisation de leurs données.

 

Prism-Break

L’autre initiative à consulter est Prism-Break, un site répertoriant les logiciels à privilégier pour remplacer les services et outils que vous avez l’habitude d’utiliser. Vous retrouverez notamment tous les conseils nécessaires pour sécuriser votre téléphone portable, votre ordinateur, ou même votre serveur et vos routeurs.

 

Pour ma part, je n’ai pas encore sauté le pas vers ces solutions libres, faute de temps à consacrer à la protection de mes données privées. C’est en me renseignant justement sur ce sujet que je suis tombé sur ces deux projets qui me permettront dans un avenir proche de basculer vers un système assurant le respect de mes données personnelles et professionnelles.

Pour ceux qui souhaiteraient aussi protéger physiquement leurs données sur ordinateur, en cas de saisie ou de vol par exemple, il existe des disques SSD capables de se détruire si vous leur en envoyez l’ordre à distance via un téléphone portable. Et si ces périphériques de stockage ne captent plus de réseaux mobiles, ils peuvent aussi être programmés pour s’autodétruire après un temps déterminé. La marque SecureDrives n’est par contre pas à la portée de toutes les bourses : comptez 1 230 € pour le modèle Autothysis128s. Ici la sécurité a clairement un prix, mais il n’existe à ma connaissance pas d’autres solutions qui soient aussi sécurisées pour protéger physiquement vos données.

Je vous rappelle au passage, pour ceux qui pensent que ce genre de problématique ne se pose qu’aux Etats-Unis ou en Angleterre, que la France est aussi impliquée dans un scandale similaire suite à la création, à la vente et à l’utilisation d’outils de surveillance massive.

En espérant que cela vous aura aussi donné envie de vous protéger de cette constante observation…

Encore un article sensationnaliste annonçant l’abandon de Google+ sur Numerama : n’y a-t-il pas ici conflit d’intérêt ?

mardi 23 septembre 2014 à 11:54

Depuis que le réseau social de Google est sorti, la presse à sensation n’a pas manqué de tirer à boulets rouges sur Google+ : censé être « une ville fantôme« , il est surprenant qu’une bonne partie des sites High Tech aient encore une vision tronquée de ce qu’est aujourd’hui la réalité du réseau social de la firme de Mountain View.

Un dernier article de Numerama ose même carrément titrer : « Google abandonne progressivement Google+ ».

Raccourci grossier, titre sensationnaliste par rapport au contenu, informations diffusées parfois fausses et sans sources… Au point que l’on peut se demander ce qui peut déranger tant dans l’avènement de Google+ sur Internet pour certains sites non ?

Creusons un peu sur le conflit d’intérêt qu’il pourrait y avoir entre un site comme Numerama et Google+ :

Commençons par analyser l’article de Numerama : le titre est racoleur, sensationnaliste, clairement en décalage par rapport au reste de l’article. Accompagner le titre d’un point d’interrogation ou le mettre au conditionnel serait le minimum. Guillaume Champeau le dit lui-même dans l’article : « Le réseau social de Google ne disparaît pas, mais il est intégré de façon beaucoup moins intrusive qu’auparavant. »

Pierre Tran, journaliste et consultant reconnu dans le domaine des NTIC, affirme aussi que le titre est quelque peu trompeur :

<script src="//platform.twitter.com/widgets.js" async="" charset="utf-8">

Vient ensuite une charge contre Google+ et son rôle dans le SEO : « De même, il semble que malgré le chantage implicite au SEO qu’a tenté d’exercer Google, et grâce au manque d’utilisateurs actifs inscrits sur le réseau social, le bouton « +1″ de Google n’a que peu d’impact sur le référencement, et qu’il n’a plus aucune influence sur l’affichage des résultats. Les webmasters sont donc beaucoup moins incités qu’hier de le mettre en place. » Une information sans source et complètement fausse, puisque Google+ avec ses +1 figure comme 2e facteur d’influence du SEO Google en 2014 selon SearchMetrics !

facteur d'influences SEO 2014

C’est dire à quel point cet article ose affirmer des choses sans même les vérifier !

Étonnant non qu’un monsieur qui se dit lui-même journaliste / éditorialiste se permette de publier des affirmations aussi énormes sans qu’elles ne soient étayées par une solide argumentation.

Si l’on fait un tour du côté de la Charte de Munich, on retrouve notamment deux devoirs du journaliste:
- « Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents. »
– « Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte. »

Intrigué par cet article quelque peu léger, je fouille plus en profondeur la ligne éditoriale de Numerama et les activités professionnelles de Guillaume Champeau pour comprendre…

J’y ai notamment appris les positions de Guillaume en ce qui concerne la pénalisation par Google du référencement abusif ou de la presse sensationnaliste. Sachant que Numerama est régulièrement accusé de faire du sensationnalisme (un exemple parmi tant d’autres, justement sur le sujet du référencement chez Google), on peut comprendre que la position de Google puisse effectivement déranger le fondateur de Numerama. Mais il semble que ce ne soit pas le seul conflit d’intérêt qui soit ici possible.

Fouillons encore pour tomber sur un autre article qui fustige la position de Guillaume à propos d’un titre d’actualité relatif au référencement faisant « un amalgame grossier », sans que Mister Champeau ne se soit remis en question depuis.

En creusant encore un peu plus, je découvre que Guillaume possède l’entreprise PressTIC. Une société qui propose aussi des prestations de conseil en référencement naturel. La position de Guillaume Champeau en tant que journaliste est clairement compromise sur ce genre de sujet, sachant qu’il y a un conflit d’intérêt visible, à publier des actualités du genre « Donc Google a vraiment décidé d’être irresponsable » alors que d’un autre côté, le sieur Champeau met en place des optimisations artificielles (nulles affirmations péjoratives ici, le fait d’effectuer des actions humaines pour modifier le référencement est bien artificiel) pour que ses sites, ainsi que ceux de ses potentiels clients, soient plus visibles sur Google.

Mise à jour : Guillaume Champeau m’a informé que l’activité de prestations de conseil en référencement naturel de sa société a été abandonnée il y a plusieurs années. Cela ne change pas, à mon avis, l’impact qu’à Google sur les sites édités par PressTIC.

Sauf que Google+ est justement amené à changer cela en permettant aux utilisateurs de donner plus de poids à une news ou un site, avec de véritables actions humaines. Le genre de référencement que l’on ne peut influencer… qu’en faisant du contenu de qualité.

Quand on critique aussi souvent (à raison) les ayants droit du droit d’auteur sur leur vision bornée des choses, il serait peut-être de bon ton d’écouter aussi ses lecteurs quand ces derniers se prennent la peine de critiquer l’intéressé de manière constructive et argumentée, et ce depuis des années ! Il n’est donc pas étonnant que les activités des sites de Guillaume Champeau, si dépendantes des référencements artificiels mis en place pour être en bonne position sur Google, soient si fortement pénalisées lors d’une mise à jour de l’algorithme qui laisse plus de place à l’humain. Il n’est aussi pas étonnant que Google+ puisse ne pas plaire à Guillaume (et c’est le cas depuis sa sortie en 2011). Et nous ne sommes pas surpris par le fait que la page G+ de Numerama n’ait que peu d’interactions avec ses abonnés.

Loin d’un « abandon progressif », Google+ suscite au contraire un investissement important de la part de Google, comme le dit si bien Simon Forgues :

« Allez, soyons réalistes 2 petites secondes.
Google+ aurait-elle introduit deux fonctionnalités aussi évoluées que Stories et Movies le printemps dernier, si c’était pour mettre la clé dans la serrure de son réseau social à peine quelques mois plus tard ?
Je pense qu’elle ne nous aurait pas non plus offert une mise-à-jour aussi approfondie de son application mobile récemment si elle se préparait à fermer le réseau. On ne dessine pas un truc semblable sur une serviette de table de la beignerie locale.
« Rachelle, je vais te prendre encore un café pis deux roussettes françaises. Je suis en train de refaire l’application de Google+ ! »
D’autre part, il me semble que la firme n’aurait pas non plus acquis la compagnie Polar il y a à peine deux semaines (https://twitter.com/lukew/status/510111522492665856), si l’on caressait en secret la volonté de fermer.
Ok, de l’argent, ce n’est pas ce qui manque chez Google, mais quand même…
Surtout quand on sait que la réelle intention derrière cet achat par Google est de se servir de l’expertise de l’équipe de Polar pour relooker la plateforme, surtout mobile, et d’éventuellement la rendre plus interactive en y ajoutant notamment des sondages et autres fonctionnalités semblables.
Vous feriez tout ça, vous, avec un réseau à l’agonie ?
Certains diront que c’est une ultime tentative. Je répondrais que si c’était le cas, ce serait aussi ridicule que de remettre une couche de peinture à une maison qui s’effondre.
Enfin, et je pense que c’est l’un des arguments les plus significatifs, Google aurait-elle lancé récemment My Business et des fonctionnalités statistiques pour les gestionnaires de pages si elle comptait fermer son réseau social à peine la rentrée automnale entamée ?
Détrompez-vous, messieurs, dames. Non seulement le réseau n’est pas mort mais il se prépare d’ici peu à franchir une autre étape dans sa croissance. S’il vous plaît, réfléchissez un peu avant de prêter foi à de telles racontars. »

En bref : activité professionnelle directement influencée, conflit d’intérêt, articles visiblement orientés en son sens, diffusées au milieu d’autres informations vérifiées et sourcées, ce qui accentue la confusion entre contenus journalistiques et ceux qui ne reflètent que l’opinion intéressée de Guillaume Champeau…

Pour conclure, je vous laisse imaginer qui est l’entité la plus impactée négativement par ce genre de publication : Google ou Numerama ?

PS : Je n’ai rien personnellement contre Guillaume Champeau, et je ne tiens pas spécialement à défendre Google, qui a parfois des activités critiquables. Il me semble néanmoins que le fait de publier des articles avec un titre trompeur ne soit pas déontologiquement correct si l’on se dit journaliste, et il est normal que cela puisse attirer la critique.

L’iPhone 6 de 2014 comparé au Nexus 4 de 2012…

mercredi 10 septembre 2014 à 10:10

L’annonce du nouveau téléphone d’Apple ne manque pas de susciter les passions !

Paiements sans contact, écran plus grand, Apple Watch, prix plus élevés… l’iPhone 6 déchire, entre les fans de la marque à la pomme et ceux qui sont nettement plus blasés par ce que peut proposer Apple.

Force est pourtant de constater qu’il n’y a finalement que peu d’innovations à se mettre sous la dent pour cette Keynote 2014, et que le « One more thing » n’a pas époustouflé outre mesure…

En même temps, si l’on compare ce tout dernier iPhone 6 avec son concurrent Nexus 4, sorti il y a maintenant 2 ans, force est de constater que les derniers ajouts sur le smartphone d’Apple sont loin d’être innovants !

iPhone 6 vs Nexus 4

Mais tout le monde sait maintenant que l’on n’achète pas un produit Apple par raison, mais plutôt que l’on écoute ses émotions ! Il a bien été prouvé que certaines zones du cerveau s’activent quand on présente un produit Apple à un fanboy. Les mêmes zones du cerveau que lorsqu’on présente des images religieuses à une personne croyante. Je ne l’invente pas…

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Vous êtes déjà poursuivi par les publicités sur Internet ? Le futur s’annonce encore pire !

dimanche 7 septembre 2014 à 17:30

J’imagine que ça vous l’a déjà fait : vous cherchez par exemple un appareil photo sur Internet, et dans les jours qui suivent vous êtes poursuivi par des publicités d’appareils photo sur n’importe quel site sur lequel vous allez.

Imaginez maintenant ce que cela pourra donner quand ces publicités seront synchronisés avec les données de vos smartphones, Google Glass ou autres objets connectés ?

Même s’il s’agit ici bien entendu d’une caricature pleine d’humour, elle permet de poser quelques questions quant au futur de la publicité numérique :

Affaire Le Parisien / The Parisienne : le directeur général du journal n’a pas peur de mentir pour se couvrir

jeudi 28 août 2014 à 10:26

Si vous êtes rentré de vacances, vous êtes sûrement tombé sur cette actualité qui affole l’Internet français en ce moment : le journal Le Parisien assigne une blogueuse ayant un blog depuis 2009 au motif que le nom de son blog, The Parisienne, pourrait poser des problème avec la marque « La Parisienne » que possède le quotidien.

La toile s’enflamme, bad buzz et tutti quanti à la clé. Pour tenter d’éteindre le feu, Jean Hournain (le directeur général du journal Le Parisien) s’exprime dans la presse, en déformant quelque peu la réalité des faits pour se couvrir…

Jean Hornain, directeur général du « Parisien », affirme que ses équipes sont en contact avec The Parisienne depuis septembre 2013, « lorsqu’elle a voulu déposer sa marque, alors qu’il existait déjà une marque équivalente ». « A la suite de discussions infructueuses, nous avons dû passer par l’assignation, qui est le dernier recours. Nous le regrettons, ce ne sont pas des choses que nous aimons faire, mais nous devons défendre notre marque », appuie-t-il.
Il s’avoue affecté par le bad buzz : « Je suis très sensible au fait que l’on puisse penser que ‘Le Parisien’ est une machine de guerre. Nous n’assignons pas des gens tous les jours, mais nous sommes obligés de le faire quand nous ne rencontrons pas de succès dans nos démarches. »
Je comprends que la lecture du billet de blog puisse heurter, déclencher une grande émotion, mais c’est une méconnaissance du dossier », ajoute-t-il.
« Nous sommes toujours ouverts à la discussion. Nous espérons résoudre la question et éteindre la polémique. Nos conseils sont en contact actuellement », assure Jean Hornain. Il juge qu’il est « prématuré » de savoir quelle sera l’issue du conflit.
Via Le NOuvel Obs

Sauf que… si l’on regarde ce qu’il s’est réellement passé du côté de la blogueur assignée :

Mon blog date de 2009 et je n’ai jamais déposé ou tenté de déposer la marque The Parisienne.
Quand il évoque des « discussions infructueuses » depuis septembre 2013, en voici la liste :
1. septembre 2013 – j’ai reçu une mise en demeure – la première de ma vie
2. étant convaincue qu’il s’agissait d’un malentendu, j’ai envoyé immédiatement un mail à M. Hornain lui proposant de nous rencontrer pour échanger, lui expliquer l’essence de mon blog, et régler ce sujet à l’amiable : je n’ai pas eu de réponse de sa part
3. j’ai reçu en novembre un mail et un courrier avec accusé de réception de la part de la direction juridique du Parisien me sommant de prendre un avocat
4. je n’ai pas répondu et je n’ai entamé aucune autre action
5. j’ai reçu en juin 2014 une assignation suite à laquelle j’ai pris un avocat
Je n’ai jamais eu d’autres échanges que ceux ci.

Conclusion :

La presse traditionnelle est-elle à ce point en décalage avec la réalité du monde d’aujourd’hui pour croire que des propos mensongers et pourtant vérifiables suffisent encore à éteindre une polémique ?

Mise à jour : Devant l’ambiguïté de certains faits, je me vois obligé de préciser quelques points.

La blogueuse a tenté de déposer la marque « e-parisienne » en 2013 et non pas « The Parisienne » qui serait une traduction littérale de « La Parisienne », la marque appartenant à Le Parisien. Si monsieur Jean Hornain parle en fait de « e-parisienne » (et non pas « The Parisienne ») comme d’une marque équivalente à « La Parisienne », je l’invite à faire un tour sur le site de l’INPI en cherchant avec les mots « Parisien » ou « Parisienne » afin d’illustrer la disproportion de son action par rapport à la mauvaise image que récolte en retour son journal.

S’il y a méconnaissance du dossier comme l’affirme le CEO de Le Parisien, encore faudrait-il exprimer clairement le fond du problème : est-ce « The Parisienne » ou « e-parisienne » ou les deux qui posent problème ici ? Pourquoi n’y a-t-il eu aucune réponse lors de la tentative de dialogue par la blogueuse ?

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