A moins que vous n’ayez déjà vu cette vidéo, je pense que vous n’avez encore jamais croisé un drone volant de ce gabarit capable de se déplacer à une vitesse aussi incroyablement rapide.

Il s’agit pourtant bien d’un véritable drone, assemblé à la main et fabriqué sur mesure pour être extrêmement agile, comme vous allez pouvoir le constater dans la vidéo qui suit :

Impressionnant n’est-ce pas ? Non seulement par l’incroyable vitesse qu’est capable d’atteindre ce drone volant, mais aussi par la dextérité de son pilote, qui lui fait accomplir d’improbables cascades à des vitesses vraiment élevées pour un si petit engin.

La vidéo ne semble pas truquée : les voitures en fond ne semble pas accélérées ce qui laisse à penser que la vidéo se déroule bien à un rythme normal et qu’elle n’a donc pas été accélérée.

L’auteur de cette vidéo indique, dans les commentaires sur YouTube, qu’il a assemblé ce drone avec 670 $ de pièces détachées, ce qui le rend à la portée de quasiment n’importe qui.

Maintenant, imaginez une police équipée de ce genre de mini-engin ultra rapide ? Ou même, des drones comme celui-ci, mais autonomes, capables de filer à une vitesse incroyable vers leur destination ?

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Apple s’intéresse de près à vos données, et ne compte pas s’arrêter à vos SMS, vos déplacements ou vos emails.

En effet, après avoir lancé en Mars de cette année ResearchKit, un ambitieux projet de recherche médical, Apple compte non seulement mettre la main sur vos données médicales, mais aussi sur le coeur même de votre code génétique : votre ADN !

Il faut dire que la popularité et la puissance de nos smartphones actuels permettent de rêver à des études médicales d’une portée encore jamais vues dans l’histoire de l’humanité. Des échantillons de sujets si vastes laissent à penser qu’il sera possible de faire d’énormes avancées pour la recherche médicale grâce aux données recueillies quotdiennement par des millions d’iPhones.

Mais plutôt que de se contenter de récolter des informations basique comme le nombre de pas parcourus ou de mesurer le rythme cardiaque, d’après le MIT, Apple a des plans pour mettre la main sur votre ADN et passer à un niveau bien supérieur dans la connaissance intime de votre corps…

L’entreprise américaine est effectivement en train de négocier avec des chercheurs afin de pouvoir offrir des tests ADN à des possesseurs d’iPhone.

« Apple a lancé ResearchKit et a obtenu des retours très positifs. La prochaine étape la plus évidente est de collecter de l’ADN » affirme Gholson Lyon, un généticien du laboratoire Cold Spring Harbor Laboratory.

Dans ce qui est prévu pour le moment, Apple ne récoltera pas lui-même les échantillons d’ADN mais laissera le soin à des partenaires universitaires de s’en occuper. Ces données seront stockées dans le fameux Cloud d’Apple, et il sera aussi possible d’y accéder depuis son téléphone, voire même de partager ses propres données génétiques en pressant un simple bouton, comme pour le partage de votre localisation géographique. Nulle interopérabilité de ces données n’est pour le moment prévue, ce qui vous obligerait à rester chez Apple pour accéder à vos données génétiques.

Sachant que Google est aussi en train de mettre en place le même genre de plans avec l’entreprise de biotechnologie 23andMe, dirigée par Anne Wojcicki, l’épouse de Sergey Brin, l’un des deux cofondateurs du célèbre moteur de recherche, on peut se demander si ces entreprises ont vraiment à coeur de nous aider à améliorer notre santé, ou tout simplement à mettre la main sur de nouvelles données leur permettant d’encore mieux nous connaître…

Et si nous étions en train d’assister au prélude d’un monde similaire à celui décrit dans l’excellent film Bienvenue à Gattaca ?

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Alors que nous avons réussi à mettre d’accord 28 pays pour adopter (à quelques exceptions près) une monnaie unique et une ouverture des frontières pour les citoyens de ces états-membres, la situation des produits et services sur Internet en Europe restait jusqu’à présent digne d’une vision Ô combien passéiste, peu compatible avec l’idée même des nouvelles technologies.

Mais il semble qu’enfin l’Union Européenne se bouge de ce côté-là, en venant tout juste d’adopter une nouvelle stratégie de marché numérique unique.

Le but ici est clairement d’abolir les restrictions géographiques au sein de l’Europe pour les contenus numériques, alors même qu’il n’y en a quasiment aucune pour les biens physiques !

Cela veut dire que pour des services comme Netflix, BBC, Amazon, et même pour certaines vidéos Youtube, l’ouverture à l’intégralité des internautes européens sera obligatoire s’ils souhaitent pouvoir opérer au sein de l’Union Européenne.

Il va être intéressant de voir comment l’industrie culturelle va s’adapter à une telle demande, elle qui a toujours été frileuse à ouvrir certains contenus à des pays figurant pourtant dans la même zone économique…

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Quand on pense aux véhicules autonomes, la plupart des gens imaginent surtout un monde rempli de voitures sans conducteur, capables d’aller chercher seules une place de parking, de venir nous chercher en bas de chez nous sur demande et de nous emmener n’importe où sans toucher au volant.

Mais ce qui pourrait bien bouleverser notre économie actuelle serait peut-être l’avènement d’un autre type de véhicule autonome : le camion semi-remorque.

Imaginez en effet que 70 % des biens qui se retrouvent dans nos magasins ou qui sont livrés à notre domicile transitent, à un moment ou un autre, par un de ces camions semi-remorques actuellement qui sillonnent nos routes.

L’arrivée sur le marché d’un énorme robot roulant, capable de transporter des tonnes de fret sans jamais se fatiguer, pourrait bien changer la donne en ce qui concerne la sécurité routière et l’économie de carburant provenant d’une conduite plus raisonnée.

Pour le moment, les chauffeurs ne vont pas se retrouver au chômage puisque ce véhicule n’est pas autonome à 100 % et nécessite toujours un conducteur pour les petites routes et les phases d’approche au niveau des quais de chargement.

Néanmoins, on ne peut s’empêcher de se dire que cette situation risque d’être encore temporaire, et que le temps où nous partagerons la route avec d’énorme robots autonomes pesant plusieurs tonnes ne sera bientôt plus une histoire de science-fiction, mais belle et bien une réalité concrète. Vous êtes prêts à franchir le cap ?

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Comme pour quasiment chacun des produits récents de la marque à la pomme, l’Apple Watch est une réussite commerciale, un vrai hit. Le nombre de ventes n’a pour l’instant rien d’extraordinaire, mais ce sont surtout les gains qu’Apple va faire derrière qui font rêver les analystes financiers.

IHS Technology a fait son estimation pour le coût de la fabrication de l’Apple Watch, et la somme totale ne dépasse pas les 81.20 $. On peut ajouter à cela 2.50 $ de frais d’assemblage et de tests, pour atteindre un total de 83.70 $. Le prix proposé pour cette montre connectée étant de 349 $, cela laisse à Apple une marge très confortable de 76 % !

En Europe, l’Apple Watch coûte au minimum 400 € (pour un prix de fabrication qui sera au pire de 80 €), les frais de transport ne sont probablement pas si élevés pour justifier les 85 € supplémentaires par rapport au prix américain… Il n’est pas difficile d’en conclure que l’Europe reste un marché très rentable pour Apple, avec des clients prêts à payer plus pour accéder au même produit.

L’Apple Watch reste un produit qui générera des gains immenses pour l’entreprise. Même en prenant en compte les frais de transport, de packaging, marketing et pour la recherche, les bénéfices potentiels restent très confortables. Le produit a été créé dans le but d’être extrêmement rentable, surtout si Apple arrive à susciter la demande et vendre (comme il a été prévu) des millions d’unités cette année.

De plus, c’est un écosystème bien élaboré qui se cache derrière les produits Apple. On ne peut pas utiliser une Apple Watch sans avoir un iPhone. Une fois que vous avez les deux gadgets, il vous sera inévitable d’acheter des accessoires de la marque et des applications via l’AppStore. Sachant tout de même qu’un utilisateur dépense en moyenne presque 130 $ par an sur l’Apple Store, et qu’un vulgaire câble de chargeur coûte 20 €, on imagine aisément les marges confortables que se fait l’entreprise à la pomme sur ce type de produits complémentaires.

Le cabinet Strategy Analytics évalue les ventes de l’Apple Watch à 15.4 millions d’unité en 2015. L’entreprise risque tout simplement de s’emparer du marché des montres connectées et de surpasser ses concurrents, qui eux n’ont pas réussi à en vendre plus de 4.6 millions d’unités en 2014. 2015, l’année d’Apple grâce à l’Apple Watch ?

Source : IHS Technology