Si vous conduisez souvent en ville, vous devez savoir ce que c’est que de devoir se pencher et plisser les yeux pour arriver à distinguer le feu de signalisation le plus proche pour savoir quand est-ce que vous devez redémarrer votre véhicule.

Le constructeur BMW souhaite vous retirer ce genre de désagrément, en affichant directement dans votre habitacle la couleur du feu tricolore le plus proche !

Pour réaliser cela, le fabricant allemand s’associe avec l’éditeur de l’application Enlighten, qui est aussi disponible sur iOS et Android.

Les possesseurs d’un véhicule et d’un iPhone pourront donc afficher directement sur leur tableau de bord la couleur du feu de signalisation en temps réel. Enlighten permet aussi d’estimer combien de temps le feu rouge durera afin que vous puissiez mieux prendre votre mal en patience.

Si vous vous demandez comment une application pour smartphone peut connaître ce genre de détails, sachez qu’Enlighten nécessite que la ville ait mis en place des signalisations intelligentes, capables de communiquer avec des applications tierces. Un système pour le moment mis en place dans seulement 5 villes américaines.

Si vous n’utiliserez sûrement pas Enlighten dans les mois qui suivent, ce genre de réalisation montre le futur probable que sera la conduite de voiture en ville : les feux de signalisation seront capables de communiquer avec votre véhicule pour espérer améliorer votre sécurité et fluidifier le trafic automobile urbain. Des innovations qui seront probablement utiles aussi aux voitures connectées…

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Les scientifiques s’inspirent très souvent des inventions qu’a déjà pu trouver la vie au cours de ses milliards d’années d’évolution et de sélection impitoyable.

Ainsi, il existe des insectes, les Gerris, qui sont capables de se déplacer sur la surface l’eau sans couler. Une très bonne source d’inspiration pour des scientifiques de la prestigieuse université Harvard qui, associés avec une équipe sud-coréenne, ont réussi à créer des petits robots capables de marcher sur l’eau.

Non seulement ces robots sont capables de se déplacer à la surface de l’eau sans couler, mais ils sont aussi capables de sauter, et donc de prendre appui sur un milieu liquide, sans pour autant s’y enfoncer.

Une prouesse extrêmement complexe à réaliser, qui a nécessité une étude poussée des déplacements de véritables insectes vivants en analysant en vidéo les mouvements qu’ils effectuent lors d’un saut.

La surface de l’eau a besoin d’être pressée à la bonne vitesse avec une quantité adéquate de temps, et jusqu’à une certaine profondeur, afin de réaliser un saut. Les gerris sont parfaitement capables de réaliser toutes ses choses.

Après avoir réussi à déterminer quels étaient les éléments indispensables à copier de cet insecte d’eau, les scientifiques ont réussi à produire un robot faisant pratiquement la taille d’un gerris. Il peut ainsi se déplacer sur l’eau comme son homologue organique, et peut effectuer des sauts grâce à la force qu’il peut développer dans ses pattes, équivalente à 16 fois la masse de son corps.

Des robots comme celui-ci seront fort probablement utilisés dans le futur comme de larges essaims de drones capables de se déplacer à la surface de l’eau pour effectuer des analyses scientifiques ou des missions de surveillance. Ils pourront aussi être utilisés afin de réaliser des missions de secours, par exemple pour repérer les personnes ayant besoin d’aide sur un lac ou une mer peu agitée. De plus, leur coût de fabrication très réduit laisse envisager qu’il sera très facile d’en produire de grande quantité.

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Enfin : Microsoft a décidé d’ajouter la fonctionnalité permettant de créer des bureaux virtuels sur la dernière version de Windows, Windows 10. C’est une fonctionnalité qui existe pourtant depuis belle lurette sur GNU/Linux et qui peut s’avérer extrêmement pratique pour travailler si vous utilisez votre ordinateur pour plusieurs usages en parallèle (pour de la bureautique, de l’édition vidéo, du blogging, etc…).

Malheureusement, les bureaux virtuels de Windows 10 sont encore trop sommaires : pas de raccourcis clavier dédiés, très peu de possibilités de configuration ou de personnalisation, impossible d’afficher un fond d’écran différent pour chaque bureau virtuel… Mais Dexpot est le genre de logiciel gratuit qui pourrait bien vous sauver la mise si vous souhaitez vous mettre aux bureaux virtuels !

Disponible gratuitement au téléchargement, Dexpot peut vous permettre de créer jusqu’à 20 bureaux virtuels et se configure pour faire en sorte de pouvoir passer d’un bureau à l’autre en utilisant les moyens que vous souhaitez (raccourci dans la barre des tâches, raccourci clavier, etc…).

Il est même possible d’assigner une résolution spécifique à un bureau, ou même d’en protéger l’accès grâce à un mot de passe, choses impossibles à réaliser avec le module standard de gestion des bureaux virtuels de Microsoft.

Le fin du fin reste la possibilité d’afficher un cube en 3D lors des transitions entre chaque bureau virtuel, ce qui ne vous rendra pas plus productif, mais qui vous offrira un sacré look à votre environnement de travail lorsque vous changerez de bureau virtuel.

Dexpot est donc un véritable incontournable dans le monde des logiciels vous permettant d’accroître votre productivité grâce à votre ordinateur. Dédiez un bureau à chaque tâche spécifique, et vous obtiendrez un environnement de travail vous empêchant d’être distrait par des logiciels ou fonctions superflus. Sa gratuité, ainsi que ses possibilités de configuration avancées, en font un must qui améliorera à coup sûr l’utilisation de votre ordinateur si vous êtes actuellement sur le système d’exploitation Windows.

Ayant été récemment en recherche d’un nouveau job, je peux vous assurer que le marché de l’emploi est aujourd’hui encore très tendu, et qu’il est de ce fait très difficile de se différencier positivement face aux dizaines de candidatures que reçoivent les responsables de recrutement à la moindre offre mise en ligne.

Un chercheur d’emploi a néanmoins su sortir du lot grâce à une technique originale, qui tranche par rapport au modèle de la candidature traditionnelle : il a créé un CV de ses échecs professionnels.

On parle ici d’un chercheur d’emploi américain, pays où la reconnaissance des échecs passés est considérée comme étant une chose positive, prouvant que le candidat a su affronter des épreuves difficiles, en tirer des leçons et se remettre en question d’une manière adéquate.

Ainsi le CV de Jeff Scardino comporte de nombreuses références aux nombreux revers qu’il a dû affronter durant sa carrière de directeur artistique. En mettant en avant ses manquements plutôt que des qualités sur-vendues, voire même parfois carrément mensongères, Jeff espère ainsi démontrer que la sincérité peut payer plus que la malhonnêteté dans un Curriculum Vitae :

Une stratégie qui s’avère véritablement payante, puisque le même CV en version traditionnelle envoyée à 10 recruteurs n’a reçu absolument aucune réponse, tandis que son CV de l’échec lui a permis d’avoir les retours de 8 entreprises, dont 5 qui lui ont proposé un entretien.

Si l’idée est véritablement originale et rafraîchissante, il est probable qu’elle ne puisse s’appliquer qu’à certains types de métiers, surtout portés sur l’aspect créatif ou sur la remise en question permanente de ses acquis.

Néanmoins, l’état d’esprit français en ce qui concerne la reconnaissance des échecs professionnels reste bien loin d’égaler celui des USA : si aux Etats-Unis, ces derniers peuvent être considérés comme étant parfois plus pertinents qu’une liste de diplômes, la France reste ancrée dans des préjugés et ferme la porte à ceux qui ont pu affronter des épreuves professionnelles par le passé. Une idée qui ne résiste pourtant pas à l’épreuve des faits, la totalité des grands hommes et femmes de ce monde étant bien entendu passée par une période d’échec avant de pouvoir atteindre le succès. Ça en est presque une condition sine qua non ! Ainsi, la prise de risque n’est pas prise en compte, et les profils les plus lisses sont ceux qui sont le plus souvent retenus. Et certains cherchent encore à comprendre pourquoi notre beau pays a du mal à avoir des entreprises innovantes et dynamiques…

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En souhaitant me rendre sur le site T411 (ou Torrent 411 pour les connaisseurs) en passant par une connexion à Internet de chez Orange, je découvre avec effroi que l’accès au site a été bloqué par cet opérateur, alors même que Free, SFR, Bouygues ou autres n’ont pas (encore) interdit l’accès à ce célèbre site de partage.

S’il est parfaitement illégal de télécharger des oeuvres culturelles piratées, rien à ma connaissance n’interdit de se rendre sur ce site. Voici donc une méthode toute simple pour continuer à vous rendre sur T411.io, même si votre opérateur vous a bloqué l’accès au site :

Il faut savoir qu’à la base, la justice française a demandé le blocage par les 4 principaux opérateurs du nom de domaine anciennement utilisé par Torrent 411 : T411.me. Un blocage rapidement contourné par les administrateurs du site, qui ont tout simplement utilisé un nouveau nom de domaine, T411.io, afin d’échapper au blocage demandé par la justice.

Sauf que cette censure vient aussi d’être étendue à T411.io, l’actuel nom de domaine du fameux site de partage. Orange est le premier opérateur à avoir appliqué la décision et interdit l’accès à T411.io à ses abonnés.

La technique utilisée par Orange pour bloquer l’accès au site est très sommaire : les serveurs DNS d’Orange redirigent les internautes vers l’adresse IP 127.0.0.1. Pour contourner ce blocage, il suffit juste… de changer vos DNS par ceux d’un autre fournisseur. Ceux de Google, par exemple, fonctionnent très bien pour cet usage.

Si vous ne savez pas ce qu’est un DNS, il s’agit en gros d’un serveur chargé de faire correspondre la ou les adresses IP d’un site à son nom de domaine, car il est plus facile de taper Google.fr sur la barre d’adresse de son navigateur que de saisir une suite de chiffres difficiles à retenir.

Ainsi, en changeant les DNS utilisés par défaut par votre ordinateur pour vous rendre sur Internet, le blocage mis en place par Orange sur T411.io saute, et vous pouvez tout de suite réaccéder au fameux site.

Si vous ne savez pas comment faire cela, je vous invite à suivre ce tutoriel bien expliqué et illustré vous expliquant pas-à-pas comment changer vos DNS pour mettre ceux de Google, et ainsi contourner la censure imposée sur T411.

Attention : cela ne vous cache pas des surveillances mises en place par la Hadopi dans le cas où vous seriez en train de télécharger des contenus non autorisés. Ne téléchargez que des fichiers sur lesquels vous avez la possibilité légale de le faire, si vous possédez une copie de l’original par exemple.