Depuis que la maçonnerie a été inventée il y a de ça 6 000 ans, les constructeurs de maison procèdent toujours à peu près de la même façon quand il s’agit de poser des briques : en les transportant et en les assemblant à la main.

Mais un ingénieur australien entend changer les choses en proposant un robot entièrement automatisé, permettant de construire les murs d’une maison en seulement 2 jours.

Ce robot est ainsi capable de déterminer la localisation de toutes les briques qui seront à utiliser en utilisant un plan en 3D de la future construction et en le décomposant en milliers de briques. Puis il va déposer les briques et déposer une couche de ciment pour les lier, à un rythme infernal.

1 000 briques par heure, soit de quoi construire les murs d’une maison en approximativement 2 jours, ou même de quoi faire à peu près 150 maisons par an, et ce 24h/24, 7 jours sur 7.

La construction robotisée semble être un domaine plein d’avenir, Google étant aussi en train d’établir ses plans pour assembler son futur quartier général avec l’aide de nombreux robots. Cela sonnera-t-il la fin de l’immobilier cher ou le début d’une crise dans le monde de la construction ?

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On entend souvent s’élever les voix des défenseurs de la vie privée lorsque l’on parle de la récolte des données personnelles en ligne.

S’il est vrai que d’importantes dérives peuvent rapidement apparaître, les consommateurs ont des opinions paradoxales : ils ne veulent pas être suivis de trop près, mais ils souhaitent tout de même avoir des offres très personnalisées. Un comble…

Ainsi, plus de la moitié des consommateurs attendent des marques qu’on leur propose des offres prenant vraiment en compte leur personnalité, leurs envies et leurs valeurs, mais plus de la moitié ne souhaitent pas que la collecte de données personnelles ne se fasse sans leur autorisation.

Une situation à laquelle les recommandations de la CNIL sont censées avoir répondu, mais il s’avère finalement que la grande majorité des sites Web français se trouvent dans l’illégalité, en ne respectant pas parfaitement le consentement des internautes vis-à-vis d’une récolte de leurs données.

L’étude menée par Microsoft montre bien le paradoxe, et souligne aussi qu’une grande majorité d’internautes est prête à abandonner une partie de leur vie privée contre des récompenses en cash :

Microsoft remarque ainsi que les nouvelles générations d’internautes sont bien moins réticentes à partager leurs informations personnelles que les anciennes. Les mentalités évoluent très rapidement sur ce point, et il est fort probable que la notion de vie privée ne devienne que de plus en plus réduite au fil des années pour la plupart des consommateurs prêts à monnayer leurs habitudes. Et vous, vous vous positionnez comment sur ce point ?

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La recharge sans fil sera probablement au réseau électrique ce que le WiFi est devenu pour Internet : un confort dont il sera difficile de se passer à l’avenir.

Ainsi, l’organisme développant le standard de recharge sans fil Qi annonce tripler la puissance délivrée aux appareils compatibles, mais aussi assure la rétrocompatibilité avec les anciens téléphones ou les anciennes bases de recharge.

Jusqu’à présent, la technologie Qi permettait de recharger son téléphone ou sa tablette avec une puissance maximale de 5 W. La nouvelle version de la technologie de recharge sans fil de Qi passe dorénavant à 15 W, ce qui devrait vraisemblablement faire en sorte que la recharge des appareils sans fil se fasse d’une manière quasiment aussi rapide qu’en utilisant un câble.

Bonne nouvelle pour ceux qui seraient déjà équipés : cette nouvelle version est aussi rétrocompatible avec les appareils déjà existants ! Ainsi, un téléphone compatible Qi V1 se rechargera à 5 W maximum sur une base V2, et une base V1 rechargera un smartphone compatible V2 à une puissance maximum de 5 W.

De quoi démocratiser un peu plus cette technologie de recharge sans fil, surtout que les composants Qi sont librement disponibles à la vente, vous permettant de créer vos propres stations de recharge sans fil pour une somme modique ! Espérons tout de même que ce genre de technologie ne souffre pas d’une trop grande déperdition d’énergie.

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Alors que l’exploration (et aussi l’exploitation) de l’espace se tourne de plus en plus vers de véritables robots autonomes, l’agence américaine pour les projets avancés concernant la défense affirme travailler sur un projet autrement plus ambitieux…

La DARPA envisage de créer des organismes artificiels capables de transformer des lieux actuellement hostiles pour que « nous ne faisions pas juste que visiter l’espace, mais que nous y restions ».

« Pour la première fois dans l’Histoire de l’Humanité, nous avons les outils technologiques pour transformer non seulement des endroits hostiles sur Terre, mais aussi d’aller dans l’espace non pas juste pour visiter, mais pour y rester. »

Des propos tenus par Alicia Jackson, directrice du nouveau département des biotechnologies de la DARPA, devant une illustration d’une planète Mars terraformée.

Comment vont-ils procéder pour arriver à créer des organismes possédant les propriétés souhaitées ? Tout simplement avec un moteur de recherche ! La DARPA a ainsi créé DTA GView, qui est basiquement une sorte de Google Maps pour les génomes.

Le but de ce moteur est de pouvoir retrouver facilement la liste des gènes impliqués dans une propriété particulière (imaginons par exemple la capacité à survivre dans un environnement extrêmement froid) afin de pouvoir modifier facilement l’organisme en lui ajoutant les fonctionnalités de son choix.

Les possibilités d’un tel outil vont devenir extrêmement vastes avec la découverte récente de CRISPR-Cas9, une technique d’ingénierie génétique très efficace et peu coûteuse pour modifier les génomes de bactéries, de plantes, et même d’embryons humains.

On comprend mieux pourquoi Google et Apple s’intéressent eux aussi de près à la santé et à la génétique : les biotechnologies sont en plein essor, et l’avenir de nombreuses sciences et domaines d’application pourraient bien reposer sur l’utilisation d’outils permettant de recouper d’énormes volumes de données et de retrouver facilement ces informations afin de créer, par exemple, la bactérie idéale pour préparer Mars à notre arrivée. Qui aurait pu parier au lancement de Google en 1998 qu’un moteur de recherche puisse aider à la colonisation du système solaire ?

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Si les anciens ordinateurs ThinkPad d’IBM gardent une très bonne réputation, ce n’est pas pour la beauté de leur design, mais pour leur robustesse dans un domaine où la plupart des ordinateurs portables professionnels sont loin d’égaler la résistance de ces antiques modèles.

Suite au rachat de la gamme d’ordinateurs d’IBM, Lenovo a repris le flambeau et son responsable du design rêve de faire revenir l’ancien châssis mythique des ordinateurs ThinkPad dans le monde de l’informatique moderne.

Les inconditionnels de cet ancien ordinateur seraient aux anges si cette gamme de machines revenait dans sa forme presque originelle de 1992.

L’idée serait ici d’implémenter les dernières technologies modernes en informatique dans un design classique et robuste, qui a su faire ses preuves durant ces dernières années.

Lenovo n’a encore rien annoncé en ce sens, mais c’est son chef du design qui a personnellement posté un article argumentant en faveur d’un retour aux sources vers cette forme particulièrement fonctionnelle, dans une version modernisée.

L’occasion pour la nouvelle génération de s’essayer aux fameux TrackPoint rouge au milieu du clavier. Les connaisseurs sauront tout de suite de quoi je parle…