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Apple rachète les créateurs du Kinect : de nouvelles interfaces vont prochainement débarquer ?

lundi 18 novembre 2013 à 11:08

Apple.kinect

Cela fait quelques temps que l’entreprise à la pomme est à la traîne niveau innovation dans le domaine des smartphones et des ordinateurs personnels.

Oui, il y a bien eu des évolutions technologiques dans les produits de la marque, mais où est passé cette envie de proposer quelque chose de fondamentalement nouveau, innovant ?

Peut-être que le renouveau de la marque va bientôt arriver, avec le rachat par Apple de l’entreprise qui a aidé à concevoir le Kinect.

PrimeSense a en effet été acheté par le géant californien ce week-end, et les possibilités offertes par ce rachat pourraient bien être intéressantes pour l’évolution de nos futures interfaces.

On imagine aisément une Apple TV pilotée par des mouvements, de nouvelles manières d’interagir avec son ordinateur centrées sur la reconnaissance gestuelle…

Il va tout de même falloir carburer fort chez Apple pour concevoir quelque chose qui apporte véritablement un confort dans la manière d’utiliser nos gadgets. Car le Kinect n’a finalement pas révolutionné les fonctions de la Xbox 360 non ?

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Les premières pannes constatées sur Playstation 4 au lancement de la console, et leurs solutions

vendredi 15 novembre 2013 à 10:24

Playstation 4

Comme souvent lorsqu’un nouveau gadget High-Tech est produit à des millions d’exemplaires pour sa sortie, il ne manque pas d’y avoir quelques couacs, bugs ou pannes durant les premiers jours du lancement.

La Playstation 4 n’échappe pas à cette règle, avec des problèmes déjà constatés de « Bricking » (ce qui rend la console inutilisable), ou d’affichage avec le port HDMI…

En ce qui concerne les soucis d’affichage, de nombreux journalistes ayant reçu une console juste avant la sortie officielle ont parfois pu constater que l’affichage ne se faisait tout simplement pas, ou qu’il ne s’affichait que des flashs bleus à l’écran. La cause de ce souci a été identifiée : il s’agit du port HDMI qui est parfois capricieux et qui provoque de faux-contacts. Soit la prise HDMI ne s’enfonce pas pleinement dans le port, soit il subsiste un faux contact que l’on peut constater en exerçant une légère pression sur la console, ce qui peut rétablir le signal vidéo. Il faudra fort probablement passer par le service après-vente pour régler définitivement cette situation.

En ce qui concerne les problèmes de Bricking, la console allume bien son témoin lumineux de mise en marche, mais ne se lance pas plus loin. Une solution a déjà été trouvée pour contourner ce souci, il faut :

Cette manipulation va déclencher le démarrage de la Playstation 4 en mode Safe Boot, ce qui provoquera une réinitialisation du système sur le disque dur et, avec un peu de chance, réglera vos problèmes !

Source 1 et Source 2

La France commence à envisager de taxer les reventes de livres, jeux vidéo, musique et films d’occasion

jeudi 14 novembre 2013 à 11:01

You Shall Not Pass

Nombreuses ont été les actualités de ces dernières années à se moquer ouvertement de nous autres, consommateurs de biens culturels.

Entre la taxe Copie Privée qui est un véritable scandale, la mise en place de la Hadopi qui a été un énorme fiasco annoncé… les acteurs de l’industrie du divertissement n’y sont pas allés de main morte avec notre vie privée et notre porte-monnaie. Le tout avec la complicité des derniers gouvernements successifs.

Mais en France, on ne s’arrête pas à mi-chemin ! Non non non, on envisage d’aller encore plus loin pour racler un peu de thunes de nos poches ! Comment des français touchés par la crise font-ils encore pour consommer légalement de la culture ? En passant par le marché de l’occasion, tout simplement.

Un marché qui hérisse les poils de nombreux décideurs de l’univers de la culture, qui commencent à envisager de carrément taxer les reventes d’occasion de bouquins, de musique, de jeux vidéo ou de films en France.

C’est PCINpact qui nous révèle cet effarant projet, terriblement déconnecté de tout sens commun !

common-sense-superpower

Encore une fois, ce ne sont pas des personnes prenant des décisions objectives qui commencent à promouvoir l’idée d’une potentielle taxe, mais Hervé Gaymard, député UMP et accessoirement membre du conseil d’administration des éditions Dargaud depuis 2007 :

« Amazon, Priceminister, la FNAC ou Ebay touchent des commissions sur chaque vente et sont soumis pour partie à la TVA. Au contraire, ceux qui ont créé et édité les livres vendus ne perçoivent aucun bénéfice de cette exploitation et voient même leur chiffre d’affaires amputé de recettes non négligeables. Les créateurs, les auteurs et les éditeurs sont fortement pénalisés. Les premiers sont en effet privés d’une part non négligeable de leurs droits d’auteur et les seconds voient baisser significativement leurs ventes moyennes, rendant leurs coûts de création de plus en plus difficiles à amortir. Si cette pratique n’est pas réglementée en faveur des propriétaires des œuvres, c’est tout le secteur de l’édition qui, à l’instar de l’industrie du disque face au téléchargement illégal, est menacée ».

Je pense n’avoir jamais vu quelque chose d’aussi terrifiant pour la culture à portée de tous depuis 1984 ou Fahrenheit 451. Vous imaginez, si les éditeurs de livre iraient toucher durant de nombreuses années une commission à chaque fois que quelqu’un vend un bouquin ? Déjà que certains vivent plus que confortablement grâce à des droits qui devraient éthiquement être périmés depuis de nombreuses années, il faut en plus repasser à la caisse à chaque fois, même pour un livre d’occasion ?

Et que répond à une telle demande le Ministère de la Culture, dont la mission première est, je vous le rappelle, de rendre accessibles au plus grand nombre les œuvres capitales de l’humanité et d’abord de la France ?

Aurélie Filippetti

« L’essor des technologies numériques a permis le développement de nouvelles pratiques d’accès aux oeuvres culturelles, que ce soit de manière dématérialisée ou sous la forme d’exemplaires physiques. S’agissant du marché du livre, l’achat et la revente d’occasion sont ainsi devenues des activités beaucoup plus aisées qu’auparavant. Le ministère de la culture et de la communication a récemment entrepris une double démarche pour apprécier la réalité de cette évolution. En ce qui concerne le développement de l’occasion de livres imprimés, les premiers contacts pris avec les acteurs du livre – au premier chef desquels les auteurs et les éditeurs – font certes apparaître leur préoccupation mais également la nécessité d’une mesure de l’ampleur de ce phénomène et de ses évolutions récentes qui n’a aujourd’hui pas été menée. Il convient également sans doute de préciser les notions de livre neuf et livre d’occasion dans la mesure où certaines propositions commerciales tendent aujourd’hui à les confondre. De ce point de vue, la création d’un médiateur du livre, votée à l’occasion des débats autour du projet de loi relatif à la consommation, pourra permettre d’éclairer cette question. Le ministère de la culture et de la communication s’attache parallèlement à évaluer l’impact d’un éventuel marché d’occasion des livres numériques. Au regard de la propriété littéraire et artistique, la question qui se pose est de savoir dans quelles conditions l’acquéreur d’une oeuvre littéraire, musicale ou audiovisuelle sous une forme numérique, peut ou non être autorisé à revendre le fichier en question sur une plateforme de téléchargement, comme cela est possible dans l’univers physique, pour un ouvrage papier, un CD ou un DVD. Ce débat juridique sur la licéité du marché secondaire des biens culturels numériques est indissociable d’un débat sur les moyens de garantir, dans une économie entièrement dématérialisée, une juste rémunération des créateurs et un niveau adéquat de financement de la création, indispensable à son renouvellement. La valeur d’un bien culturel numérique ne se détériorant par définition pas à l’usage, le développement d’un marché secondaire pourrait avoir un impact très sérieux sur le marché primaire en termes de prix comme de volume. Le président du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique a donc lancé, le 15 juin 2013, une mission sur la licéité du marché secondaire des biens culturels numériques. Ces travaux, dont le résultat devrait être rendu public à l’été 2014, permettront également d’éclairer la question du développement du marché de l’occasion du livre papier. »

Pourtant la Cour de Justice Européenne avait déjà pris une décision en ce qui concerne la revente de fichiers numériques : nulle entreprise ne peut s’y opposer !

Il est déjà effarant que le Ministère de la Culture ne prenne pas en compte cet aspect de la justice européenne, mais encore plus effrayant qu’il envisage d’étendre de potentielles taxes au monde du livre, des jeux vidéo, des musiques et des films physiques, tout ça car une personne ayant un flagrant conflit d’intérêt entre son activité professionnelle et sa vie politique a posé une question au Ministère !

Il y a vraiment des gens assez naïfs pour croire sincèrement que la taxation de la revente des biens culturels d’occasion va revitaliser le marché ? Et on fait quoi de la mission de rendre l’accès au plus grand nombre les œuvres capitales de l’humanité, on se torche avec au détriment des consommateurs légitimes ? Et puis tant qu’à faire, pourquoi pas ne pas envisager la prochaine étape : créer une taxe sur la propriété d’œuvres culturelles, qui nous obligerait à repasser chaque année à la caisse pour la possession de livres, de musiques et de films…

Si une telle taxe venait à être envisagée, je vous invite à faire ceci : à voter avec votre porte-feuille, à protester véhément contre une taxation de la culture injuste, et à accéder tout de même à la culture, sans repasser à la caisse que veulent contrôler des individus bien trop gourmands.

Je ne verserais pas un centime lors de la revente d’occasion des biens culturels que j’ai légalement acheté. Je peux les conserver, les prêter, les donner, les revendre si cela me chante, mais je ne paierais pas. J’ai acheté un bien légalement, il m’appartient légalement, et je peux choisir d’en faire ce que je veux. Peu importe la signification capillotractée de la situation que vous pourrez décréter : je ne paierais pas !

La parodie de Gravity qui se moque des magasins IKEA

jeudi 14 novembre 2013 à 09:57

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Vous avez probablement déjà dû affronter l’aventure IKEA au moins une fois dans votre vie : rayons se succédant à l’infini, noms d’objets imprononçables, mauvaise réception de votre téléphone…

Une aventure qui peut rapidement tourner au cauchemar, un peu comme dans Gravity;-)

Qu’est-ce que j’ai ri… :-D

Une démonstration de pilotage bluffante pour la promo de Need For Speed

jeudi 14 novembre 2013 à 09:48

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Si vous vous intéressez un peu aux performances de pilotage automobile, j’imagine que vous avez déjà vu des vidéos où des conducteurs émérites arrivent à maîtriser d’une main de fer leur véhicule, même en dérapant pendant de longues secondes…

Mais là, on a atteint un niveau de pilotage qui, je pense, n’avait encore jamais été égalé dans une course d’obstacles, où un pilote nous fait une démonstration bluffante pour la promotion de Need For Speed Rivals !

Le début est déjà d’un très haut niveau, mais je vous invite à bien regarder cette vidéo jusqu’au bout…

OH MY FUCKING GOD.

Est-ce que vous êtes comme moi ? Est-ce que vous avez plusieurs fois poussé des exclamations tout seul comme un con devant votre écran en voyant certains passages à se taper le cul par terre ? oO

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