Les pertes de smartphones ont longtemps été de véritables plaies pour les propriétaires de ces coûteux terminaux. Pour répondre à cela, Apple et Google proposent respectivement leurs services, avec Find My Phone sur iOS et Device Manager sur Android, qui vous permettent de géolocaliser le téléphone perdu afin que vous puissiez le retrouver.

Néanmoins, s’il est probable que votre smartphone ait été volé, méfiez-vous du genre de situation dans laquelle vous pourriez vous retrouver si vous tombez sur des gens malveillants et un peu stupides, prêts à tuer pour un simple téléphone portable…

C’est ici l’histoire tragique d’un adolescent canadien ayant perdu son précieux smartphone dans un taxi. Afin de retrouver son téléphone, il a alors utilisé le service de géolocalisation pour connaître sa position géographique précise.

Cela l’a conduit à se rendre à un parking aux alentours de 5 heures du matin, où une voiture garée avec 3 personnes à l’intérieur semblait être la position présumée du téléphone perdu. Malgré le fait que notre infortuné adolescent ne soit pas venu seul, une altercation a rapidement éclaté, avant que plusieurs coups de feu ne soient tirés sur le propriétaire, qui est malheureusement mort avant que les secours ne puisse arriver.

Mieux vaut au final perdre un téléphone coûteux plutôt que de risquer de le payer par sa vie, surtout si la localisation de votre téléphone laisse imaginer qu’il se trouve entre les mains de gens peu recommandables…

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Les camions empêchent généralement les automobilistes d’avoir une bonne visibilité de ce qui se trouve devant sur la route, et cela peut parfois conduire à de regrettables accidents.

Samsung a semble-t-il trouvé un bon moyen de faire parler de lui avec ce concept de camion améliorant la visibilité pour les automobilistes.

L’idée derrière cette campagne de publicité originale est toute simple : une caméra transmet une vidéo de ce qui se passe devant le camion à une série de 4 écrans disposés derrière un camion, ce qui permet aux automobiles d’avoir une très bonne visibilité sans risquer de faire de dangereux écarts.

On imagine aisément les bénéfices d’un tel concept s’il l’on pouvait le généraliser aux camions, bus et autres cars qui sillonnent nos routes. Peut-être le jour où Samsung proposera des écrans résistants, légers et très abordables

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Alors que les premiers postes de télévision nécessitaient que vous vous leviez pour changer de chaîne, les premières télécommandes filaires sont apparues, puis ont débarqué celles qui ont véritablement permis à l’Homme de devenir un zappeur invétéré : les télécommandes sans fil, qui permettent depuis des décennies de choisir le programme de son choix sans bouger de son canapé. Mais parfois, c’est encore la télécommande qui nécessite que vous vous déplaciez un peu lorsqu’elle se trouve juste à quelques centimètres de la portée de vos mains (voire de vos pieds ^^).

La BBC travaille à trouver une solution à cette problématique qui empoisonne l’humanité, en nous permettant ici de sélectionner le programme de notre choix rien que par la force de notre esprit.

Le système MindRDR TV a été développé en partenariat avec les laboratoires britanniques ThisPlace. C’est une sorte de casque dont une électrode se pose sur votre front, qui peut analyser votre état d’esprit : soit en état de concentration ou de relaxation.

Ainsi, le lecteur vidéo de la BBC vous propose des sélections de séries TV populaires, et vous devez vous concentrer pour sélectionner le contenu que vous aimeriez voir affiché à l’écran. Vous pouvez aussi utiliser MindRDR TV pour stopper ou reprendre la lecture de contenu, que ce soit sur le système iPlayer de la chaîne britannique ou sur YouTube.

Le souci de ce genre de concept, c’est que vous ne pouvez pas encore rechercher avec vos pensées une série en particulier : vous êtes obligé d’attendre que MindRDR TV vous propose un contenu en particulier pour pouvoir le valider, ce qui risque de rendre la sélection de l’émission de votre choix bien plus fastidieuse qu’en utilisant une simple télécommande.

Il s’agit néanmoins d’un premier pas vers une interface mentale permettant de contrôler votre TV. La recherche pour ce genre de technologie est en ce moment en plein boom (jetez donc un oeil ici), et il se pourrait bien que ce genre d’usage se démocratise dans les décennies à venir.

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La MPAA est une puissante association interprofessionnelle américaine qui représente les intérêts des 6 plus grands studios de cinéma hollywoodiens.

Et cette dernière est entrée dans une guerre sans merci avec le géant mondial Google, qu’elle accuse de favoriser et de profiter du piratage d’oeuvres culturelles.

Tout a commencé avec certains documents qui ont été publiés publiquement suite au piratage de Sony, qui est aujourd’hui considéré comme étant l’un des plus gros casse informatique de l’Histoire.

Ce piratage a permis de révéler certaines combines de la MPAA, notamment sur le projet Goliath, un gigantesque plan anti-téléchargement illégal visant clairement Google. Le projet consistait à allouer une somme d’un demi-million de dollars afin de se lancer dans une grande campagne de lobbying visant les procureurs généraux américains afin de les convaincre de mener des actions contre Google.

Google a rapidement réagi dans ce qui est devenu une véritable guerre des communiqués de presse, en affirmant que la MPAA essayait secrètement de raviver le projet de loi SOPA. Le géant d’Internet a de plus poursuivi en justice un procureur notoirement connu pour ses positions pro-SOPA, qui aurait été largement influencé en ce sens par l’association représentant les principaux studios hollywoodiens.

Ne voulant pas en rester là, Google a aussi exigé de la MPAA que ces derniers lui fournissent les documents internes le concernant. Une demande qui a été refusée par la MPAA et son cabinet d’avocats.

Qu’à cela ne tienne : Google attaqua alors en justice la MPAA pour obtenir les fameux documents prouvant la volonté de la MPAA d’influencer un représentant de la justice américaine à poursuivre la firme de Mountain View.

La MPAA fit alors une déclaration au tribunal révélant clairement le fond de sa pensée :

« Google se place lui-même dans une position de victime innocente d’efforts malveillants visant à annuler ses droits vis-à-vis du Premier Amendement » (NDLR : ce dernier interdit au Congrès des États-Unis d’adopter des lois limitant la liberté de religion et d’expression, la liberté de la presse ou le droit à « s’assembler pacifiquement »).

« Google facilite, et tire profit, de la distribution de contenus appartenant à des tierces parties que Google qualifie lui-même de ‘répréhensible’. ‘Répréhensible’ est l’euphémisme utilisé par Google pour ne pas dire ‘illégal’. »

Si ce procès ne concerne pour le moment que les échanges entre la MPAA et ses activités de lobbying plus ou moins critiquables, il est clair que la guerre est maintenant déclarée entre les studios de cinéma américains et Google. Les futures ramifications de cette guerre pourraient bien relancer des débats aux Etats-Unis à propos d’une nouvelle loi SOPA surveillant les citoyens américains pour éviter qu’ils ne piratent des contenus provenant de l’industrie du divertissement. Une loi qui pourrait bien gêner le business des géants de Web…

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L’espace, frontière de l’infini, vers laquelle un futur vaisseau de la NASA va s’aventurer pour espérer détecter des signes de vie extraterrestre.

L’objectif ? Europe, une des lunes de la géante gazeuse Jupiter qui pourrait bien s’avérer très prometteuse en ce qui concerne l’hébergement d’une véritable exobiologie aquatique.

Les chercheurs de la NASA estiment qu’Europe possède un océan d’eau liquide sous la croûte de glace qui couvre sa surface. Et qui dit eau liquide dit une potentielle vie telle que nous pouvons la concevoir sur Terre !

Cette future mission (prévue pour un lancement à l’horizon 2020) a véritablement pour but de répondre à une des questions fondamentales qui obsèdent l’humanité depuis la nuit des temps : sommes-nous seuls dans l’univers ? Car si nous trouvons des signes de vie au sein même de notre système solaire, les probabilités pour que la vie soit en réalité un phénomène courant dans l’univers deviendraient alors bien plus élevées.

Il n’y aura pas d’atterrissage du futur vaisseau de la NASA sur Europe, mais ce dernier sondera – avec toute une palette d’instruments complexes – 45 fois la surface de ce satellite jovien, et devrait même « goûter » à l’un des fameux panaches d’eau éjectés dans l’espace qui ont pu être observés au télescope, afin de déterminer avec bien plus de précision ce qu’il se passe sous la surface gelée de ce planétoïde intriguant, et répondre ou non à une des questions qui suscite la curiosité des humains depuis des siècles. Plutôt palpitant non ?

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