Déjà que la DARPA a lancé récemment un concours afin de concevoir des logiciels capables de lancer des attaques informatiques et de se défendre par eux-mêmes d’une manière totalement autonome, le mythique Massachusetts Institute of Technology a réussi à créer un programme aux capacités assez impressionnantes…

Le logiciel du MIT est ainsi capable de corriger les bugs d’une application en empruntant le code source d’autres programmes !

La meilleure manière de comprendre ce que fait CodePhage est encore de procéder par une analogie : imaginez un programme capable de réaliser des greffes de code source provenant d’autres logiciels fonctionnels, afin de réparer les fonctionnalités buguées d’une application.

CodePhage est une sorte de moteur de recherche du code, qui va identifier le bug, trouver un bout de code remplissant des fonctions similaires dans sa base de données et qui va patcher le programme dysfonctionnel avec en le testant ensuite, afin de s’assurer que la « greffe » a bien prise ! Si cela ne fonctionne toujours pas, il repart à la recherche d’un nouveau bout de code plus adapté.

Une véritable révolution pour l’industrie de l’informatique ! Ce genre de logiciels pourrait faire avancer à grands pas le monde de l’Open Source, comme celui du logiciel propriétaire pour les très grandes entreprises. Nos développeurs vont-ils enfin voir arriver la fin des longues séances de débugage ? ^^

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Jusque là, les éditeurs de presse se pensaient à l’abri en ce qui concerne les incitations au piratage. Vous avez sûrement déjà dû croiser chez votre marchand de journaux des magazines vous expliquant comment téléchargement un maximum de films, de musiques et de séries non ?

Et bien il semble que la fête soit finie pour les organismes de presse éditant des revues incitant un peu trop à basculer du côté obscur du téléchargement, avec la récente condamnation de l’éditeur Les Editions de Montreuil pour son magazine Téléchargement.

Le numéro d’août-septembre 2014 proposait en son sein un véritable guide du téléchargement illégal. Le genre de guide qui ne plaît pas beaucoup à la SCPP (la Société civile des producteurs phonographiques), qui a alors lancé une procédure judiciaire contre les Editions de Montreuil.

Surprise, alors que jusqu’à présent aucune entreprise de presse n’avait été condamnée pour incitation au piratage, les fameuses éditions ont été condamnée au paiement d’une amende de 10 000 €, avec de plus des publications du jugement à leurs frais dans les journaux Le Parisien et Le Journal de Dimanche.

Il est donc probable que vous croisiez de moins en moins de magazines avec des couvertures de pirate et vous expliquant comment télécharger tous les films, séries, musiques, émissions TV, ebooks ou jeux vidéo dans un avenir proche ^^

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Dans le monde des smartphones, bien peu de modèles arrivent à tirer leur épingle du jeu pour se démarquer de la concurrence. Néanmoins, le Sony Xperia Z3 avait su marquer le marché en proposant un smartphone compact, mais néanmoins très puissant pour à peu près tous les usages.

Le successeur de ce qui a plusieurs fois été nommé « le smartphone proche de la perfection » est semble-t-il loin d’égaler son ancêtre direct. Les raisons ? Un processeur octocoeur bien trop puissant qui fait chauffer le smartphone de Sony jusqu’à le rendre quasiment inutilisable au quotidien !

Prévu pour être LE smartphone compact et haut de gamme de la marque japonaise (on parle ici d’un terminal annoncé à 699 €), Sony n’a semble-t-il pas tiré d’enseignement des erreurs de ses concurrents. Car il faut savoir que le fameux processeur à 8 coeurs du Xperia Z3+ (aussi baptisé Z4 dans certains pays) est composé d’une puce quadricœur ARM Cortex-A57 tournant à 2 GHz et d’un quadricœur A53 à 1,5 GHz. Une configuration aussi essayée par LG et HTC, qui ont dû brider les performances de leurs smartphones afin que ces puces ne surchauffent pas.

Résultat des courses ? Le Sony Xperia Z3+/Z4 chauffe trop vite, trop fort et sur n’importe quel type d’application :

• Il ne lui faut que 27 secondes sur l’application de réalité augmentée de Sony pour atteindre la barre fatidique des 52°C, là où le smartphone coupe l’application faisant surchauffer l’appareil.
• 63 secondes si vous filmez en 4k.
• 130 secondes si vous faites une vidéo en Full HD.

Pas moyen d’utiliser une application utilisant un petit peu la puissance du smartphone pendant plus de 2 minutes. La surchauffe est si importante que le Sony Xperia Z3+/Z4 devient même difficile à prendre en main !

Impossible aussi de lancer un jeu convenablement, puisque, si la température ne monte pas suffisamment pour qu’il soit coupé, le jeu aura tendance à ramer sévèrement. Cela est vraisemblablement dû à une baisse volontaire des performances du Xperia Z3+ afin de l’empêcher de s’éteindre, sauf qu’il n’est pas tolérable de subir cela sur un appareil prévu comme étant très haut de gamme !

Sony a bien sorti une mise à jour logicielle pour tenter de régler le problème, mais les tests ici effectués par le site Les Numériques nous montrent que cela n’a pas arrangé la situation. En l’état, le Sony Xperia Z3+ est inutilisable pour un usage normal, et la seule chose que pourrait faire Sony serait soit de limiter encore plus les performances de son smartphone vedette (quitte à le rendre aussi puissant qu’un milieu de gamme 2014), soit de procéder à un rappel de ses terminaux. En attendant, il vaut mieux que vous ne succombiez pas à la tentation, et que vous vous procureriez un autre smartphone si jamais vous envisagiez de passer au Sony Xperia Z3+ !

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Vous avez sûrement dû remarquer un important changement dans le thème du site…

Le site Nikopik.com vient effectivement de faire peau neuve et s’annonce bien plus agréable à parcourir qu’auparavant, que ce soit sur ordinateur, tablette ou smartphone.

Pour ceux qui utilisent des bloqueurs de pubs, vous pourrez aussi constater que l’on vous a concocté une page expliquant pourquoi ça serait sympa que vous considéreriez de mettre notre site sur votre liste blanche (accompagné d’un petit tutoriel rédigé par mes soins pour vous expliquer comment faire). Car oui, c’est tout de même du boulot de vous écrire des articles chaque jour

Nous avons besoin de votre aide pour nous signaler tout bug ou nous faire vos retours accompagnés de critiques constructives, qu’elles soient positives ou négatives. Cela nous permettra d’avancer pour le mieux !

Avoir toujours à sa disposition des herbes aromatiques fraîches dans son appartement n’est pas chose aisée ! Entre le nécessaire entretien de ses plantes, la luminosité à respecter, les besoins spécifiques de chaque espèce… on se retrouve à devoir gérer pas mal de paramètres pour faire pousser de simples petites plantes.

Mais une startup française entend rendre la culture d’intérieur d’herbes aromatiques accessible à tous et sans prise de tête au niveau de l’entretien, grâce à son produit Lilo.

Dans les grandes lignes, Lilo, c’est la culture des herbes aromatiques en intérieur optimisée pour correspondre aux rythmes de nos vies quotidiennes actuelles : arrosage 2 fois par mois sans que vous ayez à doser attentivement les apports, éclairage automatique, terreau savamment dosé pour chaque variété…

Cela fonctionne tout simplement selon un système de capsules : vous branchez Lilo, vous insérez la capsule de la plante que vous désirez dans un pot, vous ajoutez de l’eau et… c’est tout, Lilo s’occupe du reste !

Il y a déjà une douzaine de plantes aromatiques qui sont disponibles avec ce système prêt à l’emploi :

Vendus à partir de 49 €, il existe aussi une version connectée de Lilo (proposée à 129 €) qui vous propose de nouvelles fonctionnalités avec l’adjonction d’une application pour smartphone et de quelques capteurs :

Lilo me semble être une excellente idée pour réconcilier au jardinage d’intérieur ceux qui n’ont que peu de temps à y consacrer.

Là où ce projet (dont le financement sur Kickstarter vient de dépasser le triple de son objectif initial) risque par contre de me freiner, c’est avec le prix des capsules de recharge : comptez 6 € la capsule ou 55 € les 12, ce qui correspond selon Lilo à 1 an de recharge. Ce genre de Business Model me semble similaire à celui des machines à café à capsule, qui sont extrêmement rentables. Même si l’on dépense en moyenne bien plus dans le café au sein d’un ménage français, espérons que le prix de ces recharges ne viendront pas gréver l’intérêt pour ce kit de culture intérieur d’herbes aromatiques. Et espérons aussi que les capsules soient biodégradables, cela serait bien le minimum pour un projet de ce genre… (mise à jour : on me signale que c’est bien le cas ^^)

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