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source: NiKopiK

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Une faille gênante permet d’effacer à distance les smartphones Android Samsung

mardi 25 septembre 2012 à 14:42

Vous êtes l’heureux propriétaire d’un Samsung Galaxy S3, ou encore d’un Galaxy Beam, un S Advance, un Galaxy Ace, ou bien un Galaxy S2 ?

Alors votre smartphone peut être victime d’une faille de sécurité permettant d’effacer à distance les données présentes sur votre terminal en utilisant un QR Code, un SMS ou le protocole NFC !

Comment se fait-ce ?

Le code par défaut pour remettre certains téléphones Samsung aux réglages d’usine est le *2767*3855#, et ce dernier peut être envoyé via des SMS en mode « Wap Push » (SMS redirigeant vers une page Web), via QR Code et aussi en passant par le NFC.

Il suffit d’accéder sur son téléphone à une page web contenant le code suivant pour que votre terminal soit effacé de toutes ses données personnelles, et ce sans demande de confirmation :

<frame src="tel:*2767*3855%23" />

Il est aussi possible d’utiliser ce code-ci :

<script>document.location="tel:*2767*3855%23";</script>

Les mises à jour ne devraient pas tarder pour ces téléphones. D’ici là, n’allaez pas ouvrir des liens louches avec votre gadget !

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Malgré les dénégations de Facebook, il y a vraiment un bug concernant les messages privés

mardi 25 septembre 2012 à 10:13

Mise à jour : il semble que l’argument du nombre de caractères du message ne tient pas, car plusieurs personnes m’ont signalé des messages publiés sur des murs dépassant la limite, copie d’écran à l’appui, malgré les sources que j’ai pu récolter. Ma preuve irréfutable tombe à l’eau !

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Hier après-midi une rumeur a secoué la toile française, se propageant à vitesse grand V jusqu’à l’étranger et touchant aussi les médias traditionnels.

Vous avez sûrement dû en entendre parler : il y aurait des messages privés de Facebook des années précédentes qui se seraient retrouvés affichés sur les murs de nombreuses personnes sur le plus grand réseau social.

Facebook a tout de suite nié en bloc, parlant d’une sorte de paranoïa de certains utilisateurs confondant les messages d’amis publiés sur leurs murs il y a de ça quelques années. Sauf que j’ai pu dégoter la preuve qu’il y a bien un bug concernant les messages privés sur Facebook !

Certains messages publiés sur les murs semblent vraiment personnels, pas du type à être publié de manière visible publiquement sur un mur.

Difficile de confirmer ou d’infirmer la réalité de ce bug extrêmement dérangeant sur Facebook… Mais une information importante démontre la réalité de ce bug : la longueur des messages publiés. Car entre les années 2007 et 2009, les messages que l’on pouvait poster sur les murs Facebook étaient limités en nombre de caractères !

Au début limités à 160 caractères maximum, les statuts Facebook sont passés à 420 caractères max au mois de mars 2009, puis 500 en juillet 2011, 5 000 en septembre 2011, et 60 000 en décembre 2011.

Mise à jour : En ce qui concerne les posts sur les murs des amis, je ne trouve pas de source indiquant que le nombre de caractères étaient limité à 160 au début de Facebook, mais vous trouverez ici une autre source affirmant bien qu’avant septembre 2011, le nombre de caractères sur un post était bien limité à 500 maximum. Il y avait même des tutoriaux expliquant comment contourner la limite du nombre de caractères.

Une bonne façon de déterminer à coup sûr si un message privé se retrouve publié à tort sur votre mur, c’est de compter le nombre de caractères de ce messages. Un exemple de message qui ne devrait pas se retrouver publiquement sur un mur Facebook :

On a bien plus de 500 caractères pour ce message nous sommes bien d’accord ? 880 ici pour être exact…

Je vous invite donc à vérifier sur votre profil, en cliquant sur la droite pour accéder directement aux années précédentes :

Vous pouvez alors choisir de ne pas afficher sur votre profil les publications de vos amis sur toute l’année (ce qui englobe les messages potentiellement privés publiés par erreur, et les publications normales de vos amis) :

Voilà qui résoudra le problème concernant votre vie privée. Tout du moins jusqu’à la prochaine bourde de Facebook…

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Comparatif de résistance aux chutes entre l’iPhone 5 et le Samsung Galaxy S3

mardi 25 septembre 2012 à 09:06

En dehors des caractéristiques techniques ou des préférences de chacun, il y a aussi un critère à prendre en compte dans le choix de votre smartphone si vous êtes un peu maladroit de vos 10 doigts : la résistance aux chutes de votre futur téléphone.

Voici un comparatif en vidéo de chutes courantes avec un iPhone 5 et un Samsung Galaxy S3, et il semble que les nouveaux choix dans la conception de ces 2 téléphones aient pas mal changé la donne par rapport aux modèles de la génération précédente…

C’est donc l’iPhone 5 avec sa nouvelle coque qui ressort vainqueur de ce comparatif, tandis que la conception moins solide du Galaxy S3 le rend bien fragile aux chutes courantes.

L’année dernière pour la génération précédente de smartphones, c’était exactement l’inverse !

 

La presse française se lance dans la chasse aux pirates et veut faire payer Google

lundi 24 septembre 2012 à 11:18

Je comprends mieux pourquoi certains « journalistes » du Nouvel Observateur (voir ici et ) ont élevé la voix ces derniers temps pour défendre la vision d’un Internet contrôlé et surveillé par Hadopi.

En effet, la co-présidente du directoire du Nouvel Observateur est aussi à la tête de l’association de la presse d’information politique et générale (IPG, créée en mai 2012), et cette dernière a transmis au gouvernement une proposition de loi visant à taxer les sites et moteurs de recherche ayant des liens pointant vers des articles de presse, et aussi de punir les pirates de contenus de la même façon que ceux du monde de la musique ou du cinéma.

Un texte explosif dévoilé par Télérama, qui ne manque pas de faire lever d’incrédulité quelques sourcils tant les demandes de la presse française peuvent paraître incongrues et bien trop ambitieuses…

Comme ce que l’on peut trouver dans le milieu de la musique avec la Sacem, l’IPG souhaite créer « une société de perception et de répartition, agréée par le ministère de la Culture, afin de collecter cette rémunération et de la répartir ensuite parmi les organismes de presse. » Super, encore un autre organisme contrôlé par de grosses maisons d’édition pour récolter de l’argent sur le dos d’autres organisations. Sauf que rien n’est précisé dans la proposition de loi : faut-il payer lors de la reprise intégrale d’un article, ou seulement d’une partie de cet article ?

Même pas, juste la publication d’un lien vers un article pourra suffire pour être taxé de pirate et risquer une forte amende. Voici les modifications demandées pour l’article du Code de la propriété intellectuelle :

« Est punie de trois ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende toute fixation, reproduction, communication ou mise à disposition du public, à titre onéreux ou gratuit [...] d’un contenu de presse [...] réalisé sans l’autorisation, lorsqu’elle est exigée [...] de l’organisme de presse ou de l’entreprise de communication audiovisuelle. »

L’autre élément explosif de cette proposition de loi est la demande de taxation des moteurs de recherche et d’agrégation d’actualités, dans un modèle similaire à ce qui se fait dans le monde de la musique pour la diffusion à la radio par exemple :

« L’acte mentionné à l’alinéa précédent ouvre droit à une rémunération équitable au profit des organismes de presse lorsqu’il est réalisé par une personne française ou étrangère exerçant à titre principal une activité de prestataire d’un service de référencement sur internet ou d’exploitation d’un moteur de recherches dans le cadre d’un service gratuit ou payant visant manifestement le public de France, y compris lorsqu’elle ne joue pas un rôle actif de nature à lui confier une connaissance ou un contrôle des liens hypertextes. »

Se croyant indispensable à Internet, les magnats de la presse française tentent de frapper très fort pour trouver une nouvelle source de revenus capable de les soutenir financièrement. Sauf que Google n’est pas du genre à se laisser intimider par ce genre de pression, et risque de déréférencer tout simplement les contenus des membres de cette association pour ne pas avoir à payer de taxe et démontrer que les moteurs de recherche et les agrégateurs d’actualités sont indispensables à la présence sur Internet de la presse écrite.

Vous vous demandez peut-être d’où peut venir cette idée saugrenue de demander une taxation des liens vers les articles de presse ? Tout droit du monde de la musique, puisque Nathalie Collin, co-présidente du directoire du Nouvel Observateur et présidente de l’association IPG, a travaillé ces dernières années comme responsable chez Virgin Musique France et EMI Music France…

Alors qu’en 2005, le Nouvel Observateur lançait un appel public anti-Hadopi, affirmant que  « Nous sommes tous des pirates », il semble que le journal ait retourné sa veste en voyant une nouvelle source de profit potentiel.

Ne feraient-ils mieux pas de trouver une autre manière d’assurer des entrées financières, plutôt que de compter tenir sur des béquilles et profiter des revenus d’autres entreprises pour subsister ? Ce me semble pourtant la meilleure manière d’assurer un avenir à long terme pour la presse écrite…

Et au passage, j’éprouve plus de sympathie pour Télérama qui ose s’exprimer contre ce texte alors que le journal serait pourtant bénéficiaire des potentielles entrées d’argent promises par cette proposition de loi !

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La relève de Megaupload devrait débarquer dans les prochaines semaines et s’annonce méga ambitieuse

lundi 24 septembre 2012 à 10:16

Après avoir essuyé une tempête judiciaire (qui s’est avérée bien plus complexe que prévue pour le gouvernement américain), le sulfureux Kim Dotcom, créateur du site Megaupload souhaite se relever et envoyer un symbole très fort à ceux qui ont voulu le faire tomber.

Il assure cette fois que son prochain projet successeur de Megaupload va tout simplement changer la face d’Internet, mais qu’il irait aussi au-delà de l’aspect « partage de fichiers »…

Quand un gars qui a créé un site capable d’attirer 50 millions de visiteurs uniques quotidiens, que de gros investisseurs s’intéressaient à lui pour lancer l’une des plus grosses introductions en bourse de l’histoire financière et qu’il se bat contre les autorités les plus puissantes au niveau mondial en arrivant à rester debout… on peut légitimement se dire que c’est exactement le genre de personnes capable de tenir ses promesses avec ce genre d’annonce alléchante !

Kim Dotcom a en effet annoncé que le lancement de son prochain projet était imminent, 90% du code ayant été produit, que les nouveaux serveurs nécessaires étaient en voie de livraison, et que les avocats, partenaires et investisseurs étaient parés.

Son projet pour le moment secret s’annonce tout de même comme extrêmement ambitieux et limite révolutionnaire !

Il a en effet annoncé que le successeur de Megaupload irait bien au-delà du partage de fichiers, qu’il y aurait des impacts dans le monde de la messagerie par emails, de la VoIP, dans le fax et la vidéo en ligne, tout en assurant qu’Echelon, le système mondial d’interception des communications privées et publiques élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, se ferait tout simplement contourner sans que les USA ne puissent rien faire contre cela.

Une sorte d’Internet anonymisé, libre des législations américaines et française en ce qui concerne les droits d’auteurs ?

Alléchant… Mais n’oubliez pas qu’il s’agit d’un projet privé, et si Kim Dotcom n’a pas l’habitude de lancer des annonces publiques tonitruantes sans tenir ses promesses ensuite, il a tout de même une réputation plus que sulfureuse. Comme on dit souvent : Si c’est gratuitc’est vous le produit.

Attendons de voir ce que le fondateur de Megaupload proposera avant de sauter sur des conclusions hâtives…

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