Nous avons déjà pu voir hier que la dernière console de Nintendo présentait déjà une faille sur son interface en ligne permettant à un joueur d’avoir accès à certaines informations qu’il n’aurait pas dû avoir.

Il semble que le crack de cette console pour lui permettre de faire tourner des programmes non-autorisés va être peut-être plus facile que prévu, car les failles de la Wii première du nom sont toujours d’actualité sur la WiiU !

Un internaute a en effet diffusé une vidéo présentant l’exploitation d’une faille sur le jeu Wii Super Smash Brawl. Une faille toujours présente sur la WiiU, car la console assure une parfaite rétrocompatibilité avec son ancêtre direct.

Pour le moment, il faut lancer le jeu original, insérer ensuite la carte SD contenant les programmes capables de lancer les autres « Homebrews » comme ceux permettant de lancer des jeux à partir du disque dur…

S’il s’agit pour le moment d’un moyen détourné de lancer des applications non-autorisées par Nintendo, il s’agit d’un premier pas pour bidouiller la WiiU. En espérant que cette console sera aussi exploitable que sa grande soeur ^^

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À peine la nouvelle console de salon de Nintendo a-t-elle atteint les points de vente que des hordes de bidouilleurs tentent de détourner de l’utilisation normale leur nouvelle WiiU tout fraîche sortie de l’usine.

Un internaute est arrivé à accéder à la partie d’administration du service en ligne de Nintendo, lui permettant de voir des informations normalement réservées aux employés de Nintendo, et d’accéder à certaines exclusivités sur les futurs jeux à paraître sur la WiiU.

En arrivant à accéder à un menu de Debug en appuyant sur le bouton X de la manette, tout en étant sur le bouton Exit à l’écran, Trike a pu accéder à des fonctionnalités d’administration, comme la modification ou la suppression de comptes sur le MiiVerse, le nouveau réseau social de Nintendo lancé sur sa WiiU, et d’accéder à certaines fonctions pour le moment réservées à la version japonaise du service :

Rien de grave pour le moment, il semble d’ailleurs que les comptes affichés soient des comptes utilisés par Nintendo à des fins de tests. La faille a été comblée rapidement par les employés du fabricant de console.

Sachant que le géant japonais du jeu vidéo est en train de mettre les bouchées doubles pour proposer les fonctionnalités Online prévues pour la sortie de la console, il se pourrait bien que quelques failles traînent encore… Je vous invite à patienter le temps que la WiiU ne soit plus en « version bêta » avant de vous jeter dessus si vous êtes fan !

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Pour ceux qui ont encore l’image des joueurs de jeu vidéo comme étant des adolescents refoulés, voici de quoi vous faire changer de regard sur les joueurs, et sur les avantages de jouer régulièrement aux jeux vidéo (mais pas non plus 24/24 hein…) :

Dommage pour les non-anglophones que les sous-titres ne soient pas encore parus… mais cela ne saurait tarder

Source via Sebsauvage et Image

Un petit teaser juste pour vous faire languir !

Sachez que vous allez normalement me retrouver dans toutes les FNAC, Carrefour, Amazon, Eyrolles, et encore d’autres enseignes du genre… d’ici quelques semaines.

Avec quel produit ? Héhé le mystère reste encore entier.

Mais chut c’est encore un secret, je n’en dirais pas plus pour le moment, je vous laisse mariner ^^

 

Alors que les données ouvertes (Open Data en anglais) ont pour vocation d’être des informations publiques librement accessibles et réutilisables par tout un chacun, certains institutions françaises ont encore du mal à comprendre ce que le mot « libre » signifie dans la langue française !

En effet, le Groupement des Autorités Responsables de Transport s’est dit qu’il allait tenter de faire un peu comme avec la presse pour la publication de ses Open Data, et qu’il allait tenter d’exiger une taxe pour les usages de ses données de service public…

Ou comment une initiative d’ouverture de l’information va être tuée dès la naissance par les intérêts véreux d’institutions déjà suffisamment financées par notre argent (plus de 20 milliards d’euros de budget en 2007 pour les transports collectifs de proximité).

S’agissant du transport public, l’ouverture des données d’information voyageur produites par les calculateurs d’itinéraire des AOT vise avant tout l’émergence de services innovants et le développement d’initiatives locales. Cette ouverture des données intéresse aussi tout particulièrement les opérateurs de transport, les géants du web (moteurs de recherche tels que Google, sites web ou acteurs de l’industrie informatique comme Apple) qui monétisent ces informations via l’intermédiaire de la publicité.

L’utilisation à des fins commerciales de ces données transport par ces acteurs pose d’autant plus question que ce sont les Autorités organisatrices de transport qui financent la mise à disposition des données d’informations voyageurs aux niveaux urbain, départemental et régional.

Dans le contexte des réflexions menées par le gouvernement et le Parlement sur la fiscalité du numérique, le GART préconise l’instauration d’une redevance liée à l’usage de ces données de service public. Il s’agirait, pour les AOT, de percevoir une redevance assise sur les revenus générés par la publicité. Cette redevance d’usage serait dédiée au financement des transports publics.

Comment fermer des données libres, en prétextant l’usage d’une taxe sur leur utilisation.

Un très bel exemple à la française d’une institution accrochée à ses sous, qui se moque bien de l’intérêt de ses usagers…

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