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source: NiKopiK

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Un câble qui ajoute un port magnétique pour votre smartphone / tablette Android ou votre GPS MicroUSB

vendredi 5 juin 2015 à 11:04

Vous avez déjà dû le constater : les ports MicroUSB de nos téléphones, tablettes et GPS ont tendance à vieillir prématurément, et rencontrent parfois des faux-contacts en seulement quelques mois d’utilisation. De plus, ne vous est-il jamais arrivé de faire tomber l’un de vos périphériques en vous prenant les pieds dans le câble de recharge ?

Le câble magnétique de WSKEN pourrait bien régler tous ces soucis d’un seul coup !

Le XCable de WSKEN est compatible avec n'importe quel terminal MicroUSB

Le XCable de WSKEN est compatible avec n’importe quel terminal MicroUSB

Les adeptes d’Apple connaissent bien le câble MagSafe des ordinateurs portables de la marque à la pomme : un câble magnétique qui se débranche automatiquement lorsque vous vous prenez les pieds dans le câble, pour éviter d’entraîner votre précieux ordinateur dans une chute fatale.

Ici le Xcable de WSKEN repose exactement sur le même principe, sauf que vous pouvez l’adapter sur à peu près n’importe quel appareil possédant un port MicroUSB.

Si l’embout magnétique dépasse très légèrement, il ne semble pas suffisamment épais pour poser problème au quotidien. Un outil en plastique est même livré afin de pourvoir l’enlever de votre appareil, car il est tellement fin qu’il serait très difficile à retirer sans cela.

Une bonne pioche donc pour un câble vendu à moins de 20 € sur Amazon ! Son seul inconvénient, c’est qu’il faudra que vous en achetiez plusieurs : un pour le bureau, pour le salon, la voiture, etc… si vous souhaitez profiter au mieux des avantages offerts par un câble magnétique 😉

Des scientifiques sont arrivés à recréer le tout premier membre artificiel à partir de cellules

vendredi 5 juin 2015 à 09:35

La photo d’illustration de cet article vous montre une patte de rat.

Mais il ne s’agit pas ici de n’importe quelle patte de rat : c’est le tout premier membre que des scientifiques soient arrivés à recréer de manière artificielle !

Le premier membre complet recréé artificiellement

Le premier membre complet recréé artificiellement

Si la science était jusqu’à là arrivé à recréer certaines parties du corps bien plus simples comme de la peau ou des vaisseaux sanguins, c’est ici la toute première fois qu’une équipe de scientifiques arrive à faire repousser un membre entier d’un animal, contenant des os, des muscles, des vaisseaux, des griffes, etc. Un défi d’une telle complexité qu’il est véritablement à saluer !

Comment sont-ils arrivés à relever ce tour de force ? L’équipe derrière cette première a « tout simplement » utilisé un membre prélevé sur un animal mort. Cette patte a ensuite été traitée afin que tous les tissus mous y soient éliminés. La chair de cette patte neutre a ensuite été recolonisée par des cellules prélevées sur un donneur. Le tout est nourri dans un bioréacteur, le temps que les cellules colonisent l’intégralité du membre, ce qui a pris 2 à 3 semaines.

Le but ici est de permettre de cultiver des membres 100% biocompatibles pour des personnes ayant perdu un bras, une jambe, et à terme pour d’autres organes plus complexes comme un coeur, un foie, un rein, un poumon…

Il suffira à la base de prélever ces organes sur un donneur sain mort, ce qui permettra par la suite d’effectuer des copies avec les cellules de n’importe quelle personne. Plus de risques de rejet, des membres ou organes cultivables à volonté… Cette grande première soulève des possibilités étourdissantes pour le futur de la médecine.

S’il reste encore du chemin à parcourir (notamment à arriver à « recâbler » le système nerveux des membres cultivés par exemple), il se pourrait bien que l’on puisse se faire pousser un nouvel organe en cas de besoin. Il suffira juste de vous prélever quelques cellules, puis d’attendre 2 à 3 semaines que cet organe se développe dans un bioréacteur avant que l’on vous le transplante !

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Google envisage de convertir les photos de plats en compteur de calories

vendredi 5 juin 2015 à 09:01

Photographier les plats que l’on va manger est maintenant devenu une pratique très courante sur les réseaux sociaux.

Et si cette habitude pouvait aussi permettre de déterminer le nombre de calories d’un plat à partir d’une simple photo ? C’est ce sur quoi est en train de travailler Google !

foodporn

Le programme d’intelligence artificielle de Google qui s’occupera de déterminer le nombre de calories d’un plat à partir d’une photo se nomme Im2Calories.

Ce dernier emploie des technologies poussées d’analyse de la profondeur des pixels d’une image et utilise des algorithmes d’apprentissage afin de déterminer la taille et le poids du plat photographié.

D’après Kevin P Murphy, un des responsables de cet ambitieux projet, les utilisateurs veulent une telle fonctionnalité, mais cela intéresse aussi les médecins, les nutritionnistes et certains responsables de la santé publique.

Avec une marge d’erreur de seulement 20% dans le décompte des calories, cette marge sera compensée par la moyenne des mesures prises sur une semaine, un mois, voire même une année.

La prochaine fois que vous prendrez des photos de nourriture, il se pourrait bien donc que vous mesureriez les apports caloriques de vos plats. Une information à laquelle tout le monde pourrait avoir accès si vous diffusez la photo sur vos réseaux sociaux. De quoi se faire remonter les bretelles pour son assurance santé en cas de régime alimentaire inadaptée ?

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Le DARPA lance un concours pour créer des logiciels capables de lancer des attaques informatiques et de se défendre seuls

jeudi 4 juin 2015 à 11:32

Dans un monde où il faut parfois de nombreuses années pour qu’une vulnérabilité dans la sécurité d’un logiciel soit découverte (même dans le cas de programmes installés sur des millions d’ordinateurs, comme Windows), la course pour arriver à protéger efficacement un système informatique semble être un jeu du chat et de la souris infini.

Mais la DARPA entend bien changer tout ça en organisant le premier concours où ce sont les logiciels qui vont s’entre-attaquer et se défendre, et ce de manière autonome !

L'avenir sera-t-il aux robots Hackers ?

L’avenir sera-t-il aux robots Hackers ?

L’agence américaine pour la recherche dans la défense n’en est pas à son coup d’essai en ce qui concerne l’organisation de concours High Tech pour faire bouger les choses : c’est aussi elle qui avait créé la première course de véhicules autonomes. Si la première édition s’était avérée un désastre pour les participants (pas une voiture n’avait réussi à parcourir 1/10e du parcours prévu), Sebastian Thrun, le gagnant de ce programme visant à favoriser l’émergence des véhicules autonomes, fait maintenant partie des responsables de l’équipe travaillant sur le projet de voiture autonome de Google.

Pourtant, le Cyber Grand Challenge de la DARPA s’annonce être un autre tour de force à relever : des équipes vont devoir s’affronter pour tenter de prendre le contrôle l’une de l’autre. Il faudra donc que les logiciels développés arrivent à identifier seuls des vulnérabilités chez l’adversaire et à les exploiter, tout en identifiant aussi ses propres vulnérabilités et en les patchant en un temps record. Le tout sans intervention humaine !

N’importe qui peut participer à ce concours, et un grand prix de 2 millions de dollars est à gagner pour celui qui saura relever cet énorme défi le premier.

Cette simple idée pourrait bien révolutionner le monde de l’industrie informatique si elle s’avère être réalisable : des logiciels autonomes analyseraient en permanence des programmes critiques afin d’identifier et combler les failles trouvées, tout en ayant la possibilité de contre-attaquer intelligemment en cas d’attaque informatique. L’avenir du piratage sera-t-il dicté par des logiciels autonomes ?

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Gloveone, des gants qui vous permettent de ressentir la réalité virtuelle

jeudi 4 juin 2015 à 11:02

Alors que la réalité virtuelle s’apprête à envahir nos salons, les technologies actuelles permettent de réellement se sentir immergé dans un monde numérique, grâce à l’illusion crédible créée pour nos yeux et nos oreilles.

Mais justement, quid du toucher ? Imaginez avoir la possibilité de ressentir les objets dans un monde de réalité virtuelle, : l’illusion n’en serait-elle pas encore plus convaincante ?

Gloveone, l'accessoire indispensable en complément du casque de réalité virtuelle ?

Gloveone, l’accessoire indispensable en complément du casque de réalité virtuelle ?

C’est ainsi que la société NeuroDigital Technologies nous propose les Gloveone, des gants permettant de sentir et d’interagir avec des objets virtuels, principalement dans le cadre d’une expérience de réalité virtuelle, mais aussi via nos classiques écrans plats.

L’entreprise annonce ainsi que ces gants pourront vous permettre par exemple de sentir une pomme virtuelle dans la paume de votre main, de ressentir sa forme, son poids, et même de pouvoir l’écraser.

Gloveone fonctionne grâce à 10 petits dispositifs placés le long de la paume de la main et des doigts. Ces derniers peuvent indépendamment reproduire des micro-vibrations, pouvant tromper notre sens du toucher et nous donner cette impression convaincante de sentir un objet physique.

Un projet qui s’annonce alléchant, si ce n’était le prix demandé pour pouvoir mettre la main sur ce précieux objet : 199 $ pour un gant seul, 395 $ pour une paire, à quoi il faut aussi ajouter un Leap Motion au prix de 79 $ pour profiter de toutes les possibilités du Gloveone.

Si Gloveone devrait intéresser plus d’un geek lors de sa sortie effective en février 2016 – s’il s’avère que l’illusion de la reproduction du sens du toucher s’avère suffisamment bluffante -, son prix risque bien de le cantonner à une toute petite fraction du marché. Peu de contenus seront donc vraisemblablement disponibles pour profiter au mieux de votre Gloveone. Espérons néanmoins que ce genre de projet donnera envie à d’autres acteurs de proposer des solutions équivalentes, à des prix bien plus contenus !

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