A l’heure où le coût de l’énergie solaire ne cesse de baisser, où celui de l’électricité « traditionnelle » d’augmenter, et où nos choix énergétiques semblent présenter des impacts de plus en plus forts sur notre environnement, l’énergie solaire semble présenter une alternative intéressante, que ce soit pour les entreprises ou les particuliers.

Avec la mise en place de son système permettant aux employés de consacrer 20% de leur temps à des projets personnels, un ingénieur de la firme de Mountain View qui s’est intéressé de près à l’énergie solaire a pu constater combien il était complexe d’évaluer la surface de panneaux solaires à installer sur le toit de sa maison pour que l’installation devienne rentable à coup sûr. Il a donc créé le projet Sunroof.

Bien que pour le moment limité à quelques régions des Etats-Unis, le projet Sunroof prévoit de pouvoir estimer dans le monde entier le potentiel de l’énergie solaire que vous pourrez générer grâce aux panneaux que vous pourriez mettre sur votre toit.

Un exploit rendu possible grâce aux photos à très haute résolution utilisées sur Google Earth. Il suffit, lorsque vous serez dans une des régions couvertes par cet outil, de saisir votre adresse pour que Sunroof calcule le volume de lumière que vous recevez chaque année, l’orientation de votre toit, ainsi que les ombres des arbres et des immeubles environnants.

Une bonne initiative pour espérer répandre encore plus l’usage d’énergies renouvelables dans nos vies quotidiennes et ce quasi infiniment, si tant est que l’on puisse produire des panneaux solaires durables et respectueux de l’environnement !

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Cela fait un moment que l’entreprise Boston Dynamics, appartenant à Google depuis maintenant quelques années, essaie de développer des robots capables de se déplacer sur à peu près tous les terrains en s’inspirant de ce qui se fait chez les animaux et les humains.

Son robot humanoïde, Atlas, avait déjà été présenté au grand public il y a à peu près 2 ans. Les chercheurs de chez Boston Dynamics ont depuis continué à travailler dur pour faire en sorte que les déplacements d’un androïde ne soient plus un problème, et ce quelque soit la surface sur laquelle il doit se déplacer. Même si ce n’est pas encore parfait, les déplacements d’Atlas sont tout de même impressionnants lorsqu’il se balade en forêt :

Jusque-là, les images présentées d’Atlas le montrait en train de parcourir des terrains plus ou moins accidentés, mais toujours à l’intérieur d’un laboratoire de test aux conditions bien précises et contrôlées.

C’est bien la première fois que je peux avoir l’occasion de contempler un robot humanoïde capable de déambuler dans les bois. Même s’il a tout de même toujours besoin d’un câble l’alimentant en énergie pour faire bouger sa carcasse métallique de plus de 130 kilogrammes, j’ai l’impression que nous sommes en train d’assister à ce qui n’était jusqu’ici qu’un fantasme d’auteur de science-fiction. De là à imaginer ce que cela donnera dans les 10/20 prochaines années…

Rappelons tout de même ici qu’il s’agit de recherches financées en grande partie par la DARPA, le fameux organisme des projets scientifiques liés à la défense américaine. De là à imaginer des centaines de robots humanoïdes pouvant aider des humains en difficulté dans des zones sinistrées, ou bien des armées de ces androïdes partant au combat plutôt que d’envoyer des humains au casse-pipe, il n’y a qu’un pas. Reste à savoir celui que choisiront les personnes qui auront la possibilité d’utiliser de tels robots sur un champ de bataille réel.

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« Les rencontres digitales », les innovations « digitales », j’en passe et des meilleures… Le Web français est rempli d’entreprises qui utilisent le mot « Digital » à tort et à travers. Car il existe en fait un mot exprès pour désigner ces usages dans la langue française : le fameux « numérique » !

Mais alors, d’où vient cette mode du « digital » et pourquoi ne faudrait-il pas employer ce mot ? Réponse en BD :

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Le problème lorsque l’on souhaite protéger l’accès à un compte sur Internet, c’est que l’on doit s’assurer que l’on ne laisse bien accéder que les personnes autorisées. Pour cela, un système d’identifiant couplé à un mot de passe est généralement mis en place, mais il suffit que le mot de passe soit connu ou deviné pour que la sécurité mise en place s’effondre.

De ce fait, certaines entreprises du Web proposent un système d’authentification forte qui requiert au moins deux facteurs d’authentification, comme par exemple le traditionnel mot de passe, suivi d’un code à saisir qui sera envoyé sur votre mobile et qu’il faudra taper sur votre ordinateur. Une procédure fastidieuse qui pourrait bientôt appartenir au passé grâce à l’idée toute simple de ces chercheurs suisses.

Sound-Proof permet de vérifier que vous êtes bien la personne qui tente de se connecter à un compte sur ordinateur en comparant les bruits ambiants enregistrés par votre ordinateur et votre mobile.

Si les deux correspondent, cela signifie que vous êtes physiquement au même endroit et que c’est bien vous qui tentez de vous connecter à votre compte protégé.

Ainsi, nul besoin d’une saisie de code fastidieuse ni même d’opérer une étape supplémentaire dans le processus « normal » d’authentification : Sound-Proof s’assure de la double-authentification sans que vous n’ayez autre chose à faire que de tenter de vous connecter, le processus d’analyse de l’ambiance sonore se faisant sans action de votre part.

Une idée qui pourrait permettre de mieux protéger nos accès à nos données personnelles, sans pour autant que cela ne soit plus contraignant pour les utilisateurs. Qui dit mieux ?

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De nombreuses rumeurs plus ou moins solides couraient à ce propos durant ces derniers mois : Apple aurait été en train de travailler sur une voiture autonome.

Entre les recrutements de profils orientés vers le monde de l’automobile (des recrutements qui pouvaient néanmoins se justifier avec l’arrivée de CarPlay, la solution embarquée pour afficher iOS sur le tableau de bord de votre véhicule), ces rumeurs se sont faites de plus en plus insistantes. Jusqu’à ce que l’information soit officiellement confirmée, mais d’une manière indirecte, par une ancienne base militaire.

Le problème que vous devez affronter lorsque vous êtes en train de concevoir une voiture autonome et que vous ne voulez pas que cela se sache, c’est que vous devez trouver un endroit suffisamment discret et sûr pour tester vos véhicules en conditions réelles.

Go Momentum Station est une ancienne base navale militaire située près de San Francisco (et donc à côté de la Silicon Valley) qui propose aujourd’hui des hectares de paysages urbains et de routes permettant de tester des véhicules dans toutes les conditions qu’ils pourraient croiser une fois sur une route publique. Puisque c’est une ancienne base militaire devenu bâtiment public, il est possible d’accéder à certaines données moyennant une simple requête de la part d’un particulier, ou d’un organisme de presse… C’est donc le journal The Guardian qui a pu apprendre, via les relevés des échanges par email, que la station était en cours de négociation pour accueillir un projet d’Apple qui nécessiterait aussi que d’autres entreprises puissent être présentes sur place.

Un projet si secret que toutes les personnes de Go Momentum Station pouvant voir ou accéder aux données sur ce projet – baptisé temporairement Project Titan – ont dû signer un accord de confidentialité afin de ne pas divulguer ce qui sera testé au sein de ce centre.

C’est la première fois que le projet de véhicule autonome d’Apple est effectivement confirmé par des faits avérés. La bataille entre Tesla, Uber, Google et autres pour la conquête du marché de l’automobile, d’une manière qui sera encore inédite dans le monde de cette industrie, laisse à penser que le futur des voitures sera obligatoirement lié à Internet et aux nouvelles technologies. Les bouleversements que cela entraînera dans nos vies quotidiennes sont encore difficiles à imaginer.

Peut-être que, comme l’arrivée de l’iPhone en son temps lorsqu’il a bouleversé le monde de la téléphonie mobile, Apple saura tirer son épingle du jeu pour nous proposer un concept véritablement révolutionnaire. Ou peut-être que la voiture autonome de la marque à la pomme sera un coup d’épée dans l’eau, tout comme certains anciens projets d’Apple n’ont pas su rencontrer le succès. Seul l’avenir nous le dira, et les rumeurs sous-entendent que cette future voiture autonome Apple devrait être quasiment prête à rouler sur les routes. Wait & See !

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