Bien qu’ils soient maintenant partout, les drones possèdent tout de même un inconvénient majeur : ils restent terriblement fragiles et une chute due à une perte de signal ou un plongeon dans une grande flaque à cause d’une erreur de pilotage peuvent irrémédiablement les condamner.

Une entreprise semble avoir trouvé la solution pour proposer un drone qui soit capable de voler et prendre des images, tout en étant étanche et incroyablement résistant aux chocs !

Sprite est de plus facile à transporter grâce à son format compact et ses hélices rétractables. Grâce à sa forme, il est possible de faire poser ce drone sur à peu près n’importe quelle surface, même au-dessus de l’eau puisque ce drone volant flotte.

En cours de financement sur Kickstarter, le Sprite pourrait bien annoncer la future génération des drones volants : solides, résistants aux chocs et à l’eau, ces drones seront bien plus faciles à transporter, à piloter et à poser pour les néophytes de ces engins volants compacts.

Il reste néanmoins un problème de taille à résoudre pour l’industrie des drones volants : l’autonomie encore très réduite de ces engins. De récentes recherches utilisant comme source d’énergie de l’hydrogène liquide ont permis de démontrer qu’il est possible de faire voler un de ces engins durant 4h, ce qui est tout bonnement énorme comparé aux 10 à 30 minutes moyennes des appareils disponibles aujourd’hui dans le commerce.

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Alors que la France envisage plus que sérieusement d’adopter une surveillance de masse sur son territoire, les USA semblent enfin faire machine arrière en ce qui concerne le programme de surveillance de la NSA.

Il s’avère que les tentatives de renouveler le fameux Patriot Act ont échoué et que ce dernier expire à la fin de ce mois. La NSA va donc devoir cesser ses activités de collecte de données de masse. Il semble même qu’officiellement, le processus d’arrêt soit déjà en cours.

La menace du 11 septembre 2001 n’ayant aujourd’hui plus court, le Patriot Act ressort maintenant hautement fragilisé du scandale des écoutes déclarées illégales de la NSA. Sans renouvellement de cette loi avant la fin du mois, la NSA n’aura plus d’autre choix que d’interrompre son programme de collecte de données.

« Le processus a commencé » a déclaré un responsable officiel selon le Los Angeles Times.

Le Sénat américain va devoir revoter à propos de l’extension du programme de la NSA durant ce dimanche du 31 mai 2015. Espérons que les voix des personnes combattant pour l’intérêt des citoyens soient plus entendues que celles de ceux qui défendent la surveillance généralisée de tous les citoyens, même pour ceux qui n’ont jamais rien eu à se reprocher…

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Déjà que certains responsables américains tentent de faire interdire le chiffrement des données sur les téléphones, il semble que l’Australie tente de censurer les informations concernant la cryptographie.

En effet, à partir de l’année 2016, les citoyens australiens pourraient bien encourir jusqu’à 10 ans de prison pour avoir enseigné la cryptologie sans avoir un permis adéquat. Le futur du chiffrement des données s’annonce bien sombre…

L’Australie a passé en novembre 2012 une loi, baptisée Defence Trade Control Act. Cette dernière a pour but d’instaurer un contrôle des échanges en termes de technologies et de biens pouvant affecter les intérêts stratégiques et défensifs du pays des koalas.

Le problème avec cette loi qui a récemment été amendée, c’est que le chiffrement des données a été considéré comme faisant partie de ces technologies, et qu’il va devenir interdit pour un citoyen australien ne possédant pas une autorisation spéciale d’enseigner la cryptologie à des étudiants non-australiens. Je vous laisse imaginer les conséquences de ce genre de décision en ce qui concerne la recherche, l’enseignement, le monde du logiciel libre, ainsi que de l’informatique moderne en général…

Rappelons aussi que le chiffrement des données reste un outil essentiel et nécessaire pour le respect de nos vies privées, d’autant plus avec les moyens mis en place par les agences gouvernementales pour surveiller l’intégralité des flux d’informations transitant de part le monde.

Quels que soient les avis que peuvent avoir certains hommes politiques sur la question, il s’agit tout de même ici d’un des droits fondamentaux de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :

La vie privée est protégée au niveau international par l’article 12 de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 : Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Sans compter sur la nécessité de sécuriser certains échanges informatiques, tels que les paiements bancaires, afin que votre compte en banque ne puisse pas être siphonné par exemple !

Le chiffrement des données semblent être devenu la technologie à abattre pour certains gouvernements. Il faut dire qu’il peut permettre à n’importe qui de se soustraire à la surveillance généralisée mise en place par la majorité des gouvernements actuels. Mais il s’agit aussi d’une technologie essentielle à l’informatique moderne, dont nous ne pouvons actuellement nous passer. Pendant combien de temps allons-nous encore pouvoir échanger librement à ce sujet sur Internet ?

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La recherche pour trouver de nouvelles manières d’interagir avec nos nouveaux objets connectés ne faiblit pas. Si l’on n’a pas encore trouver le remplaçant idéal pour l’ensemble clavier/souris ou l’écran tactile, la solution proposée par Aria semble simple, intuitive et élégante.

Aria vous permet en effet de contrôler votre montre connectée en utilisant simplement les mouvements de votre main.

Une idée toute simple pour un petit dispositif qui se glisse entre votre montre et votre poignet, et qui détecte les contractions de vos différents muscles.

Le plus fou c’est que ce dispositif se connecte en Bluetooth Low Energy à votre montre connectée, mais qu’il ne nécessite pas de batterie.

Proposé au prix de 169 $ dans sa version Android Wear, et de 69 $ pour la Pebble Time, l’Aria va devoir convaincre ses potentiels utilisateurs de l’intérêt d’utiliser les mouvements de ses mains pour contrôler sa montre. Notez qu’il n’est pas prévu de compatibilité avec l’Apple Watch.

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Jusqu’où s’arrêtera Google ? Il semble que l’empire du géant californien ne cesse de s’étendre dans tous les domaines, même les plus variés !

Google semble donc préoccupé à faire rentrer dans nos foyers de nouveaux objets connectés, sous la forme… de peluches intelligentes.

La firme de Mountain View a ainsi imaginé des animaux en peluche robotisés, équipés de plusieurs moteurs au niveau des articulations, de 2 caméras au niveau des yeux, d’un haut-parleur vers la bouche et de micros dans les oreilles.

Le but affiché par ce brevet est de proposer des objets anthropomorphiques pouvant contrôler divers appareils de votre maison. Ces peluches intelligentes seraient alors capable d’interpréter vos gestes et vos ordres vocaux pour lancer les commandes de votre choix.

Même si la demande pour ce brevet a été déposé en février 2012, ce dernier vient tout juste d’être validé par l’office américain durant ce mois de mai 2015.

Ajoutez à cela le fait que Google a depuis racheté l’entreprise Boston Dynamics, qui est derrière de nombreux prototypes impressionnants de robots montrés durant ces dernières années, et l’on pourrait croire que Google ait un jour la capacité de s’introduire dans nos foyers en utilisant des animaux robotisés intelligents. Serait-ce une manière d’humaniser les robots domestiques pour les rendre plus attachants ?

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