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J’ai testé le nouveau service de livraison flexible de Chronopost

jeudi 17 novembre 2016 à 09:14

Si comme moi vous vous faites souvent livrer chez vous des commandes passées via Internet, vous devez connaître la galère du livreur qui vous donne une fourchette de passage entre 8h et 18h, ce qui correspond bien souvent à vos horaires de travail, et qui fait que vous manquez systématiquement votre colis. Vous avez aussi la possibilité de vous faire livrer au travail, pour peu que vous ne tombiez pas sur un livreur ayant la flemme de sonner à l’interphone de l’entreprise et qui reparte avec votre colis sous le bras en vous ayant laissé un message sibyllin du genre « Absent », alors qu’il y a continuellement vos collègues présents sur les lieux (oui ça sent le vécu :-P). Tout ça pour dire que Chronopost m’a proposé de tester un nouveau service de livraison flexible, censé s’adapter bien mieux à notre emploi du temps.

Note : je précise qu’il ne s’agit pas d’un article sponsorisé, mais bel et bien d’un test impartial.

Baptisé tout simplement « La livraison sur RDV », le nouveau service de livraison de Chronopost propose de s’adapter à votre agenda avec des plages horaires plus larges et flexibles que ce que l’on a l’habitude de croiser pour un service de livraison pour les particuliers.

Disponible de 8h à 22h du lundi au samedi sur Paris et sa région, et de 8h à 22h en semaine + 8-14h le samedi sur 13 grandes villes de France (Lille, Toulon, Marseille, Nice, Toulouse, Nantes, Bordeaux, Strasbourg, Lyon, Montpellier, Grenoble, Rennes et Reims), ce nouveau service se propose de vous livrer à l’heure de votre choix dès le lendemain de votre commande ou, si vous n’êtes pas pressé pour recevoir votre colis, jusqu’à 14 jours après votre commande. Une sorte d’offre à la « Amazon Premium » en plus flexible !

Bien entendu, vous serez notifié via email et SMS de l’évolution de la livraison, avec la possibilité d’ajouter l’événement dans votre agenda électronique personnel. Un détail certes, mais bien pratique pour les hyper-connectés.

Autre point appréciable : vous avez la possibilité de reprogrammer la livraison jusqu’à minuit la veille. Pratique pour les imprévus quand on voit combien il est souvent fastidieux de repousser une livraison en amont pour les services de livraison classiques.

En ce qui concerne mon expérience, j’ai pu effectuer une commande et être livré sans problème entre 20h et 22h, là où je savais que je serais présent à mon domicile. Le livreur a été très ponctuel et le processus s’est déroulé sans le moindre accroc.

Un bémol toutefois pour les habitants des grandes villes de province couvertes : le nouveau service de Chronopost n’est disponible qu’en ville. Si vous habitez une banlieue même très proche, vous n’y aurez pas accès ! Cela peut être problématique si vous habitez dans des zones qui sont accolées à votre métropole (j’ai pu tester par exemple avec Villeurbanne, collée à Lyon) : point de livraison flexible disponible !

Notez aussi que ce service de livraison flexible et urbain a un coût : comptez 24,99 €/an pour la livraison rapide et à l’heure voulue d’un produit de moins de 30 kg.

Pour conclure, je dirais que mon expérience avec ce nouveau système de livraison flexible de Chronopost est susceptible de s’adapter au mieux à nos contraintes horaires. L’idéal serait qu’il puisse aussi cibler l’ensemble des métropoles urbaines plutôt que de ne couvrir que les centres villes en province. Le prix de cette livraison n’est pas négligeable, mais il est finalement plus concurrentiel que l’offre Premium à 50 €/an d’Amazon qui offre moins de flexibilité sur les horaires !

Chronopost me propose de vous faire gagner 3 bons-cadeaux d’une valeur de 100 € à faire valoir sur le site CDiscount + l’abonnement annuel à 1,99 € au lieu de 24,99 €. De quoi prévoir les cadeaux de Noël non ? 😉 Pour participer, c’est tout simple : envoyez vite un email à nikopik@gmail.com, avec comme objet « Participation au concours », votre prénom, nom et adresse postale et je tirerai bientôt au sort les heureux nominés !

L’application de messagerie sécurisée Signal devient très populaire après les élections américaines

lundi 14 novembre 2016 à 08:53

Depuis les révélations de Snowden en 2013 sur l’étendue des systèmes d’écoute sur Internet mis en place par la NSA, le grand public n’a dans l’ensemble que peu changé ses habitudes. « Je n’ai rien à me reprocher, pourquoi est-ce que l’on m’espionnerait ? » est une réplique sortant souvent de la bouche des personnes sceptiques. Une situation qui a changé depuis les dernières élections américaines, où un personnage très controversé est arrivé au pouvoir : avec cette accession, Donald Trump a maintenant accès aux outils de la NSA pour espionner à peu près n’importe qui dans le monde. Et cela inquiète…

Car si finalement le grand public n’avait auparavant pas peur d’être espionné, c’est parce que l’ancien président américain n’inspirait pas la peur. Quand est-il lorsque une personne ouvertement raciste, misogyne et intolérante arrive au pouvoir et souhaite asseoir son pouvoir avec les moyens technologiques mis à sa disposition ? C’est en tout cas la question que se pose de nombreuses personnes qui migrent vers l’application Signal.

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Disponible pour Android, iOS, et sur votre ordinateur via Chrome (ou son alternative Chromium), Signal est une application de messagerie et d’appels qui va encrypter vos conversations d’une manière qui fait que personne d’autre que vous et votre correspondant allaient pouvoir décrypter ce qui a été dit. Si ça ne semble pas être une app très fun, sachez néanmoins que son interface et sa facilité d’utilisation n’ont rien à envier à WhatsApp : vous pouvez envoyer n’importe quel type de fichiers à vos correspondants, vous pouvez faire des messages groupés, vous pouvez aussi utiliser l’application comme programme pour gérer vos SMS au quotidien, même avec les personnes qui n’utilisent pas Signal (c’est ce que je fais depuis plus d’un an).

La seule différence avec le géant WhatsApp (qui appartient à Facebook) ? Vos conversations privées sont réellement privées ! Une récente analyse de Signal, analyse possible car le code de l’application est Open Source, démontre que votre vie privée sera réellement respectée et qu’il ne sera pas possible pour un tiers d’accéder à vos messages. Même les développeurs de Signal n’ont pas cette possibilité.

Depuis le 9 novembre 2016 donc, Signal voit son taux d’adoption exploser suite à l’élection de Trump à la tête des États-Unis d’Amérique. L’un des créateurs de Signal déclare ainsi que « la croissance de Signal n’a fait que s’accélérer au cours des dernières semaines et qu’il n’y a pour le moment pas de signe montrant que cela va s’essouffler ». Sur les réseaux sociaux et les stores d’applications, Signal est devenu l’une des application les plus mises en avant en quelques jours.

« Les gens sont vraiment en train de prendre leur vie privée au sérieux, peut-être bien pour la première fois depuis les révélations de Snowden » déclare l’un des créateurs de Signal.

Il faut dire que Trump a promis de mettre en prison ses opposants politiques, de poursuivre les journalistes qui ne seraient pas en accord avec lui et de punir les femmes ayant subi un avortement… Difficile de ne pas avoir envie de se cacher au maximum d’un gouvernement pareil !

Les défenseurs de la vie privée ne cessent de le répéter : le problème avec une surveillance globale et massive, ce n’est pas que vous n’ayez rien à vous reprocher, c’est qu’un tel système orwellien puisse tomber entre de mauvaises mains. Le cas des USA va être révélateur dans les prochains mois de ce que l’usage des nouvelles technologies peut entraîner comme dérives potentielles. Je vous invite expressément à adopter Signal, même si ce n’est que pour vos SMS quotidiens. Au moins vous serez certains que personne ne viendra les lire par dessus votre épaule…

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Test d’un énorme écran d’ordinateur : le Predator Z35 d’Acer

jeudi 3 novembre 2016 à 17:21

N’avez-vous jamais rêvé de bénéficier d’une très grande surface d’affichage pour travailler ou jouer avec votre ordinateur ? De mon côté, je songe depuis un bout de temps à m’équiper de deux ou trois moniteurs pour avoir plein de fenêtres ouvertes en même temps sur mon espace de travail… Et si finalement un seul grand écran pouvait suffire ? C’est la question que je me suis posé en testant l’écran Predator Z35 d’Acer !

Je précise ici qu’il ne s’agit aucunement d’un article sponsorisé.

Une énorme surface d’affichage

acer-z35

Lorsque j’ai été livré de mon nouvel écran au bureau, le carton d’emballage n’a pas manqué de faire tourner toutes les têtes ! 35 pouces de diagonale, cela fait une énorme bête à caser dans une boîte. Une fois sorti du carton, j’avais peine à accepter la taille gigantesque de ce moniteur. N’allait-il pas devenir trop énorme par rapport à mon bureau ? N’allais-je pas avoir un problème de recul ? La réponse est non : au bout d’une demi-heure, j’avais déjà pris l’habitude de bénéficier d’une si grande surface d’affichage, et j’aurai bien du mal à revenir en arrière. Tous mes collègues ont immédiatement été jaloux de mon nouvel écran.

Le fait que le Z35 soit incurvé n’est absolument pas un problème. C’est même un avantage pour un usage en jeu vidéo, et même en bureautique où je me sens mieux « immergé » dans ce que je fais. La résolution, limitée à 2560 x 1080 pixels, est idéale pour un usage gaming (pas besoin d’une configuration hors de prix pour faire tourner les jeux récents), mais est plus limite pour un usage bureautique. La réactivité de l’affichage est très basse, annoncée à 4 ms, ce qui est idéale pour le jeu vidéo. La dalle est mate, ce qui évite grandement les reflets indésirables.

Une ergonomie limitée

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Malheureusement tout n’est pas rose chez Acer : seulement 1 port HDMI et 1 port Mini-Display, ce qui est bien peu pour un écran proposé aux alentours de 1000 €. Le menu de configuration intégré n’est pas très agréable à utiliser, et les couleurs me semblent faussées lorsque je le compare aux écrans de mes collègues. Le moniteur ne pivote malheureusement pas, mais il est possible de l’incliner de -5 à +35°.

Les enceintes intégrées sont surprenantes ! Si l’on n’atteint pas la qualité d’un bon ensemble 2.1, il est possible d’écouter de la musique, de jouer ou de regarder un film même dans une pièce de 50m² bien peuplée. Un Hub USB 3.0 est intégré, ce qui peut être bien pratique pour relier vos différents périphériques (4 ports).

Conclusion

Au final, ce moniteur remplit parfaitement son rôle pour mon usage : la qualité d’affichage est bonne, le surface d’affichage énorme apporte beaucoup en productivité pour le travail, et la réactivité est idéale pour le jeu vidéo. Les quelques défauts ne sont pas rédhibitoires de mon côté, et il y a de grandes chances que l’Acer Predator Z35 m’accompagne sur mes activités informatiques durant de nombreuses années. Si vous cherchez un grand moniteur large, adapté pour du jeu vidéo et/ou de la bureautique (sans pour autant que vous ne soyez graphiste), le Z35 est un très bon choix !

Mon expérience personnelle avec la réalité virtuelle : vous n’avez encore rien vu !

jeudi 13 octobre 2016 à 16:45

Avez-vous déjà eu le pressentiment d’être en train de vivre un moment charnière de l’Histoire, une période où quelque chose est en train de basculer ? Quelque chose qui changera profondément la vie de millions de gens et où il n’y aura pas de retour en arrière possible ? Je pense sincèrement que nous sommes actuellement à l’aube d’un bouleversement disruptif tellement énorme qu’il est encore difficile à appréhender pour la plupart des gens. Pourtant, nous pouvons déjà toucher du doigt les implications de ces changements, et j’ai encore pu constater hier soir à quel point cela touchera toutes les catégories socio-professionnelles et toutes les tranches d’âge. Bienvenue dans le futur de la réalité virtuelle…

Depuis que je m’intéresse au monde des nouvelles technologies et à l’histoire de ces dernières, j’ai pu constater qu’il y a eu, de mon point de vue, 3 grandes révolutions technologiques modifiant profondément les habitudes de vie du grand public :

La première révolution a permis de produire et stocker de l’information en grande quantité pour un nombre incalculable d’usages pour les entreprises, puis les particuliers. La seconde a profondément changé le monde des communications en ouvrant des possibilités inédites pour l’humanité toute entière. Quant à la troisième, elle a permis de réunir ces deux premiers bouleversements dans un appareil capable de tenir dans nos poches, ajoutant encore de nouvelles manières d’utiliser ces technologies au quotidien.

Nous pouvons d’ors et déjà constater que ces 3 révolutions sont basées sur l’outil informatique. Un outil essentiellement virtuel, limité encore par les interfaces hommes-machines existantes (souris/clavier, écran tactile, manette, etc…). Si de nombreuses entreprises s’essayent à la recherche pour trouver de nouvelles manières d’interagir avec nos machines, les systèmes de reconnaissance vocale sont encore loin d’être utilisables au quotidien par le grand public. Le Kinect, bien que prometteur, n’a pas non plus été la révolution attendue. Il faut dire qu’il y a un gouffre entre la présentation par Microsoft du projet Natal en 2009, et les jeux qui sont ensuite sortis pour ce périphérique

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Nombreux ont été les produits a suscité un fort engouement avant ou au début de leur lancement, puis qui se sont rapidement essoufflés, faute de répondre à un véritable besoin ou de fournir une vraie plus-value. Et je vous avoue que j’ai longtemps pensé que la réalité virtuelle faisait partie de cette catégorie de technologie : buguée, lente, complexe et extrêmement coûteuse, j’avais bien du mal à imaginer que la sauce allait pouvoir prendre un jour…

Puis j’ai eu l’occasion de tester il y a de ça quelques années un prototype du casque Oculus Rift avec des mini-jeux basiques. J’avais trouvé cela fun, mais sans plus. Pas de quoi fouetter un chat…

Quelques mois plus tard, j’ai pu prendre ma première claque en réalité virtuelle en testant Shufflepuck Cantina, le premier jeu entièrement pensé pour être utilisé en réalité virtuelle (et réalisé par un studio indépendant lyonnais). Avant le test, je pensais alors : « Un jeu de hockey sur table en VR, vraiment ??? Je sens que ça va être de la daube… » Comme je me suis trompé ! C’était bien la première fois que j’ai pu voir une interface hyper intuitive, entièrement pensée pour être utilisée avec un casque de réalité virtuelle. Une fois devant une table de jeu et le casque sur les yeux, mon cerveau a rapidement oublié qu’il ne jouait qu’à un simple jeu sur PC et m’a téléporté à l’intérieur d’une partie de hockey ! Le genre de détails qui m’a bluffé : si je baissais ma tête devant une table de jeu, je pouvais vraiment voir sous la table. Oui cela n’a aucun intérêt ludique, mais l’immersion provoquée est juste incroyable, malgré la qualité d’affichage dégueulasse de l’Oculus Rift de l’époque.

Mon opinion sur cette technologie avait alors changé : je suis passé à « ça va être un pétard mouillé » à « ça va être vraiment sympa pour les jeux vidéo ». Encore une fois, je n’avais encore rien perçu du potentiel de cette nouvelle technologie…

Les années passent, je continue de surveiller les évolutions technologiques de ce petit monde de loin, avec la sortie du HTC Vive et de l’Oculus, sans pour autant me passionner pour ces périphériques. Un grand changement intervient alors dans ma vie : je suis jeté comme un malpropre de mon précédent job dans lequel je m’étais beaucoup investi. Ascenseur émotionnel, situation managériale plus que douteuse (bonjour à mon précédent manager qui a refilé le fruit de mon travail à sa maîtresse), pratiques commerciales flirtant avec les limites de l’éthique et de la légalité, harcèlement moral… Je ressors de cette expérience en ayant acquis de solides compétences et en ayant appris énormément, mais j’entre aussi en dépression à cause des pressions que j’ai alors pu subir.

Heureusement, cela s’avérera aussi représenter une formidable opportunité personnelle : étant disponible sur le marché du travail, Alisson, une amie de longue date m’ayant connu via mon blog, me propose de rejoindre une aventure qu’elle a créé. Une société proposant aux entreprises d’utiliser la réalité virtuelle et augmentée pour animer leurs événements et booster leur communication. Intrigué, je la rejoins dans ses bureaux pour qu’elle puisse me faire une présentation de son projet. Au-delà des clients ayant déjà fait appel à l’entreprise, de la structure de l’entreprise ou des chiffres prometteurs, c’est une courte démo de 3 minutes avec un casque de réalité virtuelle Gear VR de Samsung qui m’aura pleinement convaincu : je suis immédiatement transporté dans un autre univers, la qualité d’image est bien meilleure que dans mon souvenir, et j’imagine alors des tonnes d’applications pertinentes pour les entreprises. C’est donc à ce moment-là que j’ai rejoint la startup UniVR Studio.

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De là tout s’enchaîne : nous montons un site Internet présentant nos activités plus en détails, et les demandes affluent. Beaucoup de professionnels souhaitent comprendre pourquoi la réalité virtuelle fait actuellement la une des médias. Certains sont encore sceptiques, mais curieux de cet engouement. Il me suffit alors de mettre un casque sur les yeux de mes interlocuteurs pour les convaincre totalement : la réalité virtuelle n’est pas juste une passade. Cette technologie est là pour durer et provoque des émotions positives fortes aux spectateurs.

De là, nous recevons notre premier dispositif de réalité virtuelle nous permettant d’interagir avec nos mains et de nous déplacer dans l’espace. La claque est encore plus grande ! J’oublie vite que j’ai un casque sur les yeux, relié par un câble à une tour d’ordinateur puissante : mon cerveau croit vraiment être dans un autre monde. Cette impression ne vient pas que de moi : TOUTES les personnes qui se sont essayées à ce genre d’expérience ont été bluffées, même les plus blasés des technophiles ou des technophobes !

Au-delà du matériel disponible, ce sont les expériences de réalité virtuelle qui ont grandement mûri : les jeux sont de grande qualité, les vidéos 360° prennent mieux en compte les spécificités du tournage pour une utilisation en la réalité virtuelle… tout est prêt pour que la réalité virtuelle soit un succès.

Mais le grand public n’a encore eu que rarement l’occasion de s’essayer à cette technologie. Je le constate chaque fois que je fais une démonstration : il ne serait pas venu à l’idée de la plupart des gens de s’acheter ce genre de matériel. Ce n’est qu’une fois après l’avoir essayé qu’ils s’intéressent vraiment à cette perspective. Les vidéos et jeux que nous avons pu créer pour les marques rencontrent énormément de succès car ils font vivre aux personnes des expériences inédites, les marquant bien plus qu’une simple vidéo « plate » (c’est comme cela que l’on nomme dorénavant les vidéos standard en interne).

En sachant déjà cela, on pourrait se dire que ce qu’il est déjà possible de faire avec la VR est déjà une grande avancée pour les utilisateurs et les entreprises. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg : le futur annoncé par Oculus, SteamVR, Microsoft et Google s’annonce révolutionnaire. Les technologies disruptives n’apparaissent pas spontanément : il faut une volonté forte sur de nombreuses années et des investissements financiers et humains pour qu’elles puissent s’imposer. C’est exactement pourquoi tous les géants de l’électronique grand public et du logiciel travaillent sur le sujet depuis ces dernières années.

Interaction intuitive avec la reconnaissance de nos mouvements, périphériques de plus en plus puissants, compacts et sans fil, création d’applications et d’usages nouveaux, démocratisation de la technologie… Je pense véritablement que nous sommes en train de vivre un changement incroyable, qui va tout changer pour la plupart des secteurs d’activité, tout comme Internet a tout changé. Ne comptez pas plus de 5 ans pour que la réalité virtuelle soit devenue naturelle pour le grand public, que les grandes entreprises fassent appel à cette technologie quotidiennement pour leur communication, leur formation, la conception de leur produit, leur marketing… La réalité virtuelle est là pour rester, elle va bouleverser nos vies et notre société pour les années à venir.

PS : N’hésitez pas à faire appel à nous pour vos projets de réalité virtuelle et augmentée 😉

Un mini radar capable d’identifier n’importe quel type d’objet

mercredi 12 octobre 2016 à 09:00

Encore un objet célèbre de science-fiction qui devient réalité : un appareil capable d’analyser n’importe quel type d’objet et qui peut aisément identifier ce dont il s’agit, ainsi que la composition de l’objet en question. Un rêve maintenant devenu réalité grâce à un « vieux » projet de Google !

Souvenez-vous, c’était en 2015 (oui je sais c’est loin). A l’époque, la réalité virtuelle n’avait pas encore déferlé sur la planète, les voitures autonomes n’étaient pas encore disponibles dans le commerce et l’épisode 7 de Star Wars n’était pas encore sorti. Google nous dévoilait alors son projet Soli, une sorte de mini radar très précis capable de détecter les mouvements de vos doigts, le tout sous une forme véritablement très compacte.

Si Soli n’est toujours pas disponible pour le grand public, les recherches continuent pour l’utiliser afin de créer un détecteur universel capable d’analyser les objets qu’on lui présente.

Voici donc RadarCat, un mini radar capable d’identifier en temps réel de nombreux objets et plus de 26 matériaux composant ces objets, 16 matériaux transparents (parmi les plus durs à catégoriser pour une machine) et 10 parties du corps humain :

Imaginez maintenant un smartphone ou un robot équipé de ce genre de technologie, capable d’identifier instantanément ce qu’on lui présente et pouvant ainsi interagir en conséquence ! Les possibilités sont tout bonnement infinies, surtout si l’on imagine coupler cela à une détection précise de nos mouvements, le tout sous une forme ultra compact.

Nos ingénieurs vont encore avoir de quoi faire pour intégrer les usages possibles de ce genre de technologie dans les prochaines années !

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