Publié sur le site de Christophe Grébert :
Suite à mon appel de lundi dernier, j'ai reçu de nombreuses questions pour le maire de Puteaux. Je ne sais pas si je pourrai toutes les poser samedi matin lors du conseil municipal, car le temps consacré aux questions orales est limité à une demi-heure. Si un sujet important vous semble n'être pas abordé, vous pouvez encore m'envoyer votre question sur mon adresse : grebert@gmail.com.
Voici vos questions :
Olivier : Quelle part dans le budget les frais de déplacements à l'étranger représentent-ils par rapport d'autres villes ? Paie-t-on ainsi des vacances au maire si leur finalité est douteuse ?
Emilien : Pourquoi, dans l'une des villes les plus vidéosurveillées de France, le conseil municipal n'est pas retransmis en vidéo (en live et en replay) pour tous ceux qui comme moi n'ont pas le temps d'y participer ?
Hélène : Quand la ville de Puteaux va réellement remettre en état les Escalators permettant d'accéder aux quai du tram. C'est inacceptable le nombre de fois ou il est HS. Pour contourner une éventuelle objection de Mme le maire, le système de navette mis en place est une bonne idée mais totalement inadapté à la situation. La navette fonction 1h le matin et a peine plus l'après midi. Il serait judicieux de rappeler à Mme le maire que les personnes en situation de handicap (sans être obligatoirement en fauteuil) ont aussi un travail. La navette ne doit pas être exclusivement être réservée aux personnes âgées.
Thomas : Le maire de Puteaux a-t-il été consulté et a-t-il donné son accord pour la privatisation à outrance de l’espace public de l’Esplanade, au seul bénéfice d’un afficheur bien connu ? Quel est le montant de la transaction, des redevances, … ? Qui encaisse ? Quel est l’usage prévisionnel de cette probable manne ? (S’il n’y en a pas, ce n’était pas la peine de procéder à ces installations et il faut virer les responsables pour incompétence. Et lancer un audit fiscal sur leurs revenus.)
A l’heure de la lutte contre l’affichage publicitaire anarchique de nos entrées de ville, La Défense innove une fois de plus en accueillant quelques dizaines de panneaux sur l’Esplanade et le long du Circulaire. Et je ne parle même pas écologie, gaspillage d’électricité et pollution lumineuse. On va nous objecter que c’est pour mieux communiquer avec les usagers –vocabulaire syndicaliste- de la Défense. Moi, j’appelle cela spoliation d’un espace public, donc d’un bien public.
Jean : J'habite rue Sadi Carnot. Qu’en est-il de la proposition faite lors de la campagne électorale du maire concernant l'étude et l'application d'une solution pour réduire les nuisances sonores dues à la voie ferrée ?
Florent : Quel avenir pour l'immeuble situé à l'angle de la rue Charles Lorilleux et de la rue Fernand Pelloutier ? Cet immeuble a été squatté, incendié au moins deux fois, représente une menace pour le quartier en matière de sécurité et d'hygiène. De plus des commerces de proximité égayeraient et donneraient de la vie à ce coin à la fois populaire, résidentiel et où passent beaucoup de monde entre l'école et la sortie de la gare. Aucune information précise sur qui sont les vrais propriétaires de cet immeuble. Quelles solutions concrètes et datées pour sa réhabilitation, destruction ou que sais je encore ?
Florent : Depuis une bonne année maintenant une des voies d'accès au Bd circulaire au bout de la rue Lavoisier est fermée. Que va devenir cet accès ? Il me semble avoir entendu parler de jardin. Qu'en est-il ?
Brigitte : La directrice administrative quitte le conservatoire. Je me pose des questions : Qui va diriger le conservatoire à la rentrée avec un directeur toujours absent ? Est-ce qu'un nouveau directeur va être recruté ? Quand arrivera-t-il ? Quand cesseront tous ces problèmes ? Quand la Mairie se rendra enfin compte que le directeur actuel n'est pas à sa place ?
André : Quand seront remis en fonction les ascenseurs du parking du conservatoire indisponible depuis début août suite à une inondation ?
André : Quand sera remis en fonction l'automate de paiement du parking Eichenberger ?
Phillippe : Qu’en est-il du projet de la passerelle piétonne et cyclable sur l'île de Puteaux ?
Claudine : Nous avons vécu cette semaine un épisode de pollution de l'air. Mardi 16 septembre : un niveau de pollution de 73 sur une échelle allant de 0 à 100, 100 étant la pollution maximale. Officiellement nous sommes encore dans ce qui est considéré comme "moyen". Mais on passe à une pollution "élevée" quand on atteint le chiffre de 75. Nous en sommes très près. Pourquoi les habitants de Puteaux ne sont-ils pas mis au courant de cette situation sur les panneaux d'information de la ville ? (ni sur ceux, pourtant très nombreux de Defacto d'ailleurs). On pourrait espérer de ce type d'information une modération des citoyens dans l'utilisation des moyens de déplacement motorisés ou peut être aussi un effort de ces mêmes citoyens pour éteindre leurs moteurs souvent laissés allumés à l'arrêt.