Ca sent très fort les vacances ! La preuve, la 11e édition de "Puteaux en plage", sur l'île, ouvre ses portes samedi 6 juillet jusqu'au 18 août. Au programme : sable, piscine, transats et animations durant 5 semaines. On regrettera fortement la nouvelle augmentation du prix d'entrée : 4,50 euros contre 2,50 l'an dernier ! Au début de "Puteaux en plage", c'était gratuit !

MISE À JOUR DU 3 JUILLET 18H : SUITE À LA PUBLICATION HIER DE CET ARTICLE, LE MAIRE A DÉCIDÉ DE FINALEMENT FIXER LE TARIF À 2,50 EUROS, COMME L'AN DERNIER. MONPUTEAUX A DONC DÉSORMAIS LE POUVOIR DE FAIRE CHANGER D'AVIS LE MAIRE ! :)

Comme chaque année, des transats seront disposés le long de la piscine. Mais faute d'argent, la base nautique est supprimée ! A la place, un "espace lecture" est créé. Les sportifs pourront jouer au Beach volley, au Beach Rugby, au Speedminton ou encore à la Zumba. Les enfants auront le choix : un mini-club pour les 3-6 ans et un club ados à partir de 10 ans. Au programme : confections de colliers de perles et de bracelets brésiliens, coloriage, chasses aux trésors, jeux de société, maquillage, tennis de table, etc.
Pour les grands, il y aura nocturne chaque vendredi jusqu'à 22h, avec des jeux nautiques, des baptêmes de plongée et d'autres soirées à thème...

HORAIRES : Tous les jours de 11h à 20h
Nocturne le vendredi jusqu’à 22h
Fermé le 14 juillet et le 15 août

TARIFS : 2 euros 50 pour les Putéoliens .
9 euros pour les non putéoliens.

Cette manifestation - malgré la suppression cette année de la base nautique - reste une démonstation de la richesse de notre commune. Elle n'existe que grâce aux impôts locaux versés par les entreprises de La Défense. De même pour la piscine de l'île, dont le coût annuel d'entretien et de fonctionnement représente une charge de plus de 250 euros par famille putéolienne : jamais nous ne pourrions disposer d'un tel équipement sans l'apport financier continu des entreprises de La Défense.
Imaginons cette même charge sans le quartier d'affaires : 250 euros d'impôt à verser par famille chaque année pour ce seul équipement... le voudrions-nous !? Profitons-en donc pleinement, tant que nous pouvons nous le permettre.
Le fait que l'entrée, autrefois gratuite, puis passée ces dernières années à 2,5 euros, soit initialement fixée cette année à 4,50 euros (puis ramené à 2,50 euros suite à mon article), n'est pas anodin : la manne de La Défense s'est déjà sérieusement épuisée.
Dommage que l'actuelle municipalité ne nous dise rien là-dessus et - au contraire - entretienne le mensonge que notre commune pourra vivre éternellement dans un monde de fêtes, entre Puteaux plage et Puteaux neige.
Christophe Grébert

En 2003, un an après le lancement de MonPuteaux, le maire de Puteaux a engagé une procédure de préemption, puis a racheté à l'amiable un appartement dans mon immeuble, à mon étage, à côté du mien... pour y loger un employé municipal. Pour quelle raison ?

Dans l'Express, en février 2004, Charles Ceccaldi explique qu'"il veillerait à loger (dans cet appartement) des voisins pénibles" (sic). Plus de 200.000 euros ont été dépensés sur le budget de la commune pour satisfaire cette volonté de harcèlement du maire d'alors, le père de l'actuel maire, Joëlle Cecccaldi.

En fait, depuis 10 ans, ce logement n'a été habité que quelques mois. Il est vide depuis longtemps. Lors du conseil municipal du 27 juin, j'ai demandé au maire pourquoi la ville possédait un logement dont elle ne faisait rien. J'ai fait remarquer que c'était du capital inutilement immobilisé et des rentrées de loyers et d'impôts qui ne se faisaient pas. Joëlle Ceccaldi m'a répondu que le logement en question était mis en vente !

Quelle curieuse gestion de l'argent public et du patrimoine de la ville ! Si je n'avais pas soulevé cette question en conseil, cet appartement serait resté vidé durant des années encore. Nouvelle question : combien la ville possède-t-elle de logements vides comme celui-ci ?
Christophe Grébert

Waste, retenez bien le nom de ce groupe formé par 5 jeunes putéoliens. "Ils ont remporté samedi dernier la finale du tremplin Fallenfest 2013 à la Cigalle, devant quelque 4000 groupes de rock français", annonce Le Parisien. Tous agés de 18 ans, "Sami Roger (batteur), Antoine Mojon (guitariste), Stephane Etienne (bassiste), Edwin Ziegler (chanteur, guitariste) et Keyvan Leroux (claviériste) attendent la journée du 5 juillet... et les résultats du bac, en espérant le même succès".

Retrouvez les Waste sur leur page Facebook.

Et voici leur 2e clip sur Youtube :



(photo : Waste)

Après le marchand de journaux qui baissera le rideau le 12 juillet, c'est un autre commerce du quartier Lorilleux, à Puteaux, qui menace de fermer : l'épicier installé côté rue de la République a vu fondre sa clientèle depuis l'installation d'une nouvelle grille !

Depuis une semaine, le quartier Lorilleux est en effet bouclé par une imposante grille, avec un gardien posté en permanence à l'entrée de la résidence (voir photo ci-dessous). Conséquence, les putéoliens demeurant en dehors de la résidence ne peuvent plus accéder aux commerces des rez-de-chaussées de Lorilleux.

L'épicier m'indique avoir perdu 62% de son chiffres d'affaires ! "Je ne vais pas pouvoir tenir", me dit-il !

La mairie et l'office communal HLM n'ont pas prévenu et encore moins consulté les commerçants de la résidence de l'installation de cette grille.

Les habitants du quartier ont eu pour explication qu'il s'agissait d'empêcher les clients de l'Urban football, situé de l'autre côté de la rue de la République, de venir se stationner dans la résidence.

Il aurait été plus logique dans ce cas d'installer une barrière pour empêcher l'entrée des véhicules et laisser libres les accès piétons.

Maintenant que la grille est construire (à grand frais, comme d'habitude à Puteaux), serait-il au moins possible de laisser ouverte la porte pour les piétons aux mêmes horaires que pour le square du Moulin (entre 6h et 21h), afin que les personnes puissent avoir accès aux commerces de la résidence ?

Je vous invite par tous les moyens (courrier, mail, téléphone) à poser la question au maire et présidente de l'office communal HLM qui gère la résidence, afin de sauver cet épicier. Il serait grave qu'il disparaisse, en particulier pour toutes les personnes âgées, locataires de Lorilleux et du quartier. Après le marchand de journaux, cela fait beaucoup de bêtises tout de même !

(photos : AT)

Publié sur le site de Christophe Grébert :

Dimanche, avec Olivier Kalousdian, responsable du groupe EELV de Puteaux, et d'autres membres de l'équipe Pour Puteaux, nous avons visité le chantier de la mosquée de Puteaux.

La municipalité de Puteaux a accordé un permis de construire pour la construction de cette nouvelle mosquée sur l'emplacement même de l'ancienne, rue Saulnier. Les travaux ont commencé l'an dernier et devraient s'achever en 2015. Ils avancent au fur et à mesure de la réception des dons.

Le chantier est en effet entièrement financé par les fidèles, sans aucune subvention. Un peu plus du tiers environ de la somme nécessaire a été réuni à ce stade.

A l'occasion de cette visite, nous échangeons avec les responsables de l'association qui gère ce lieu de culte musulman. Ils nous disent leur volonté de faire de ce nouveau bâtiment un lieu ouvert sur la ville, avec notamment l'organisation d'expositions.

Les concepteurs de la nouvelle mosquée ont voulu également une architecture de qualité qui s'intègre parfaitement au quartier. Ce qui nous semble être le cas.

Je suis satisfait que les fidèles musulmans de Puteaux puissent enfin avoir un beau bâtiment pour les accueillir. Depuis le début de mon engagement politique à Puteaux, j'ai tenu à souligner mon attachement au principe républicain de la laïcité. Le but de celui-ci n'est pas d'interdire ou de contraindre, mais au contraire d'assurer la liberté de chacun de pratiquer sa religion. Un maire, agent de l'Etat, doit donc considérer chaque culte avec le même respect et obtenir des fidèles la même exigence vis-à-vis de nos lois laïques. La liberté et le respect des règles avec équité seront nos maîtres-mots dans ce domaine comme dans tous les autres. Dans la compréhension et la tolérance réciproque.
Christophe Grébert

(photos : ED)