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Edito du 2 juillet 2013. Quelques (futurs) changements #actualité

mardi 2 juillet 2013 à 23:06

Je ne vais pas tarder à enlever le tracker analytics de Google. D'abord, parce que je ne regarde presque jamais les statistiques. sauf de temps en temps, pour "rigoler", et voir quelques tendances. Ensuite, parce que Google m'énerve de plus en plus, et je me réveille un peu tard en prenant un peu plus conscience - même si je le savais déjà - que cet outil analytics est l'une des grandes passerelles de la firme pour épier tout le monde. Enfin, parce que je trouve l'interface et les informations proposées vraiment peu claires.

Sinon, depuis une bonne année maintenant, les statistiques du blog ont presque chuté de moitié (elles étaient déjà pas lourdes...) selon ce traceur. Mais je pense qu'il faut prendre en compte les bloqueurs de ces scripts, comme Ghostery, et je reste persuadé qu'au moins 50 à 60% des internautes qui viennent lire mes articles utilisent un tel mécanisme. Ils ont d'ailleurs raison, je le fais aussi.

Je vais par contre le remplacer par la solution open-source Piwik, que je trouve déjà nettement mieux fini, bien plus simple quant à la présentation des résultats, et surtout encore plus instructif. Le développement depuis son ancêtre phpmyvisites est juste impressionnant. Mais il faut que je règle un petit problème avec les tâches CRON sur mon hébergement Gandi de type "Simple Hosting". Apparemment, ça ne fonctionne pas avec les paramètres que j'ai mis. Si vous avez envie de m'aider un peu, n'hésitez pas à me contacter. Pourquoi Utiliser Cron ? Ça permet à Piwik de créer un archivage des données à un temps défini, et non à chaque fois par l'internaute. Côté utilisation des ressources, ça ne peut qu'être plus léger pour le serveur. Donc, quand j'aurai trouvé la solution au problème que je rencontre, comptez sur moi pour venir vous en reparler.

Sachez en passant que sans bloqueur, Piwik est l'un des rares scripts qui prend en compte la fonction Do NOT Track des navigateurs. C'est aussi là que l'on voit que le Logiciel Libre a toujours cette approche de respect.

Sinon, pour rappel, j'ai pas mal fait évoluer le code de mon thème, qui reste selon moi assez léger. Je dois toujours me pencher sur une version html5 mobile, mais j'avoue que sans un peu d'aide, je risque de ne pas avoir une grande motivation. Malgré tout, pour la plupart des pages, ce blog est valide html5 par le W3C. Seuls les script tiers, comme celui de Disqus, codé avec les pieds, ou les pages utilisant des extensions (pour l'intégration de vidéos externes par exemple), me créent quelques erreurs.

Pour terminer, il ne devrait pas y avoir d'articles pendant quelques très longs jours, à partir de la fin de semaine.

Voilà, bisous les loulous, et n'oubliez pas d'utiliser des logiciels libres ;)


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Holocauste de C. Siébert. Et si un virus créait l'apocalypse ? #art

mardi 2 juillet 2013 à 20:51

Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler d'un livre. Il s'agît d'Holocauste de Christophe Siébert. Même si son format "livre de poche" pourra déplaire, et je suis le premier à le regretter, je dois avouer que celui-ci m'a quelque peu perturbé. Pour tout vous dire, j'ai surtout pris un choc frontal violent, un choc qui marquera à tout jamais l'idée que je me faisais de la Nature humaine, celle que je ne voulais volontairement pas voir, par excès d'optimisme. Grand amateur d'histoires de zombies et de scénarios apocalyptiques, j'aurais peut-être du éviter de me plonger dans cette lecture, car cette fois-ci, elle a laissé des traces.

À noter que n'étant pas un critique littéraire, il ne faudra pas s'attendre à ce que je sorte les grands mots et les grandes comparaisons. L'optique de ce texte n'est qu'un exutoire pour tenter de me rassurer une dernière fois sur ce que j'espérais connaître de moi, pour tenter de cicatriser cette profonde gravure à la douleur ubiquiste et immuable, désormais ancrée au plus profond de mon âme. Cette cicatrice ne se refermera jamais, et se révélera à chaque instant pour me raviver cette nouvelle prise de conscience. Je le sais, après cette lecture d'Holocauste de Christophe Siébert, je ne verrai plus jamais mes semblables comme avant, et je réalise enfin que dans ce monde, malgré notre quasi surpopulation qui semble faire notre force aujourd'hui sur cette planète, nous sommes tous des animaux aussi fragiles que notre conscience voulant délibérément nous faire croire l'inverse dans notre organisation sociétale protectrice.

Une histoire plausible avec ses conséquences sur la Nature Humaine

Holocauste raconte l'histoire d'un virus aux effets dévastateurs dont on ne sait rien, si ce n'est que la violence de ses symptômes grippaux aggravés, n'a d'égale que sa rapidité à faire trépasser les Hommes. Se propage-t-il dans l'air, par ces nuages lourds et violets, ou de façon extrêmement contagieuse ? On ne le sait pas, et personne n'a le temps de le savoir de toute manière. Le mystère autour des origines de cette nouvelle maladie inquiétante reste donc toujours pesant. Il ne faudra à cette maladie qu'une petite semaine pour annihiler plus de 90% de la population mondiale. Celui qui l'attrape mettra une journée pour rejoindre l'autre monde. De toute façon, on le sait tous : de mauvaises expériences de laboratoires peuvent très vite mal tournées, sans oublier non plus que les virus sont capables de muter. En ce sens, même si Holocauste peut être classé dans la catégorie science-fiction, son scénario n'a rien de dégénéré et reste totalement plausible, jusque dans les comportement humains analysés.

Qu'adviendra-t-il des quelques milliers d'Hommes sur Terre qui devront de nouveau s'adapter sur leurs terres désormais hostiles et au confort primaire ? Pourquoi certains arrivent à survivre à cette maladie qui laisse de grandes séquelles ? Le fameux patrimoine génétique de la sélection naturelle, reste ici le plus probable. Dans ce cas, y a-t-il un espoir de continuer à vivre en rebâtissant un nouveau monde ? Mais la Nature l'a-t-elle décidée ainsi ? L’homme en est-il finalement capable, sans retomber dans ses instincts de destructions ? La Nature sait reprendre ses droits quand il le faut et peut-être que l'Homme n'est plus apte à la convaincre qu'il respectera ses règles. Une chose est sûre, son destin n'est plus entre ses mains, mais peut-être aussi qu'il ne l'a jamais été.

Avis général sur le livre

Dans son livre, Christophe Siébert explore les comportements les plus primitifs de l'Homme abandonné à lui-même et essayant de survivre dans son nouveau monde sans surveillance et peu à peu sans moral. C'est réussi, dans un style parfois un peu brouillon, et on n'en ressort pas indemne. Dans cette aventure, il est capable de développer l'imaginaire autour de situations marquantes qui surprennent et ne laissent jamais indifférentes, grâce à un récit vif et sans temps mort. En revanche, j'aurai aimé, comme pour "Sexe Connexions", qu'il s'attarde bien plus sur les détails, qu'il explore davantage et imprègne encore plus son lecteur, à l'effigie de la fin qui semble vouloir aller trop vite, même si elle est réussie. À n'en pas douter, avec quelques efforts, il n'aurait rien à envier à Stephen King.

Ce livre est disponible en numérique pour 5 euros, chez l'éditeur Numeriklivres. Il n'y a pas de DRM mais du watermarking, ce qui n'est pas forcément mieux.


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#PRISM. Comment sont gérées les récoltes des Big Datas #video

lundi 1 juillet 2013 à 15:57

Quand les hackers ont rapidement compris qu'Internet était une véritable machine de surveillance, et qu'ils l'ont crié sur tous les routeurs du monde, peu d'internautes les ont écoutés. Même les journalistes avaient une fâcheuse tendance à les ignorer et à les prendre pour des fous paranoïaques, ou des illuminés avides d'absurdes théories de complots. En même temps, encore aujourd'hui, même si ça commence enfin à s'améliorer, de nombreux journalistes ne comprennent toujours pas ce qu'est un véritable hacker, en le confondant généralement avec le fameux méchant pirate informatique.

Les hackers aiment bidouiller et faire parler les machines qui ne demandent que ça. D'ailleurs, elles ne font que ça de causer entre-elles une fois reliées aux réseaux, mais comme elles le font en silence, 99% des internautes s'en moquent totalement. Pourtant, en écoutant leur langage, les hackers comprennent ce que nos machines se disent, et font alors des états des lieux précis sur l'ampleur des conversations. Alors, quand les hackers expliquaient que nous étions tous surveillés, seuls leurs communautés les croyait. Pourtant Julian Assange, fondateur de Wikileaks l'avait revendiqué auparavant, mais il aura fallu attendre qu'Edward Snowden, officiellement reconnu comme infiltré dans ces machines, rapporte un PDF digne d'une entreprise débutante sur PRISM pour que les journalistes commencent enfin à s'en soucier et à le faire savoir. C'est triste, mais apparemment, c'est leur règle déontologique. Rappelons quand même que PRISM n'est que la partie (désormais) visible de l'Iceberg.

Maintenant que l'on sait que l'on est tous surveillés, et pas uniquement par les États-Unis, et que l'on sait qu'une grande majorité de pays, même à peine modernisés, sont en contact avec la NSA, il reste à comprendre à quoi peuvent bien servir toutes ces données privées collectées à l'insu du plein gré des internautes.

John Perry Barlow, co-fondateur de l'Electronic Frontier Foundation disait à 17m55s dans le documentaire "Une contre Histoire des Internets" ceci avant même que le scandale PRISM ne soit mis au grand jour :

C'est un fait que quasiment tout ce qui circule sur Internet est enregistré par la NSA. Et je connais bien la NSA de l'intérieur. Et je peux vous dire que leur despotisme est amoindri par leur incompétence. Ils peuvent enregistrer tout internet, mais ils n'ont aucune idée de quoi faire de ces données. Plus ils en ont, et plus ils sont confus.

Mais malheureusement, ce n'est pas un point de vue que je partage, et ce qui suit en est la preuve. Vous connaissez la société Palantir ? Peut-être connaissez-vous aussi INDECT ou Trapwire ? Fabrice Epelboin, jeune journaliste de la nouvelles génération connectée nous explique comment sont gérées les récoltes de ces Big Datas (ces données massives sur tout et n'importe quoi). Il y a d'abord l'approche humain + machine, c'est à dire l'utilisation des données par l'homme, assisté par l'ordinateur dans le but de créer des regroupements et d'établir des comportements n'ayant pas forcément de rapport entre-eux. C'est justement ce que propose la société Palantir que vous verrez en action au travers de son logiciel dans la vidéo ci-dessous. Et, il y a ensuite l'approche entièrement automatisée sur la prédiction des comportements, à la Minority Report, comme on a déjà pu l'observer avec le projet européen INDECT.

Dans tous les cas, ces systèmes de surveillance sont présentés comme des mesures antiterroristes. Mais n'oublions jamais que le nerf de la guerre reste l'argent dans ce bas monde, et un système comme Palantir est aussi et surtout là pour servir l'intelligence économique.

Si vous aviez encore un doute sur la prétention de ce despotisme, en regardant cette vidéo, vous n'en aurez plus. Aussi, ne vous fiez pas au 5 premières minutes, la suite est riche d'enseignements.


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Rien à cacher ? Balladez-vous à poil avec une puce dans le bras ! #actualité

dimanche 30 juin 2013 à 19:47

J'ai bien aimé la conférence de Numendil à Pas Sage En seine lors de son passage à la Cantine. Apparemment, ce n'est pas le cas de tout le monde (selon les retours qu'il dit avoir reçus), mais on ne peut pas plaire à tout le monde, paraît-il. Numendil est revenu sur un sujet à l'actualité omniprésente ces derniers temps concernant l'effet sociétale derrière PRISM, la machine à espionner tout le monde des États-Unis, révélée par Edward Snowden.

Plutôt que de parler de PRISM, il est revenu - et c'est une très bonne initiative - sur cet état d'esprit que les britanniques ont volontairement matraqué ces derniers temps pour défendre leurs lois liberticides en faveur des ayants-droit, qui dit que "si vous n'avez rien à cacher, vous n'avez rien à craindre". Avec cette conférence, Numendil a eu au moins le courage et la volonté d'amener le débat sur cette effarante affirmation. N'avez-vous vraiment rien à cacher ? Peut-être êtes-vous aujourd'hui un citoyen modèle obéissant et toujours respectueux en déployant des comportements civilisés, mais ce même citoyen a-t-il envie de se promener littéralement nu partout, avec une puce dans le bras ?

Une chose que j'aime à rappeler en ce moment, c'est cette loi Miranda qui dit que tout ce que vous direz pourra [être] et sera utilisé contre vous. Ajoutons aussi Le Cardinal de Richelieu, qui fut le principal ministre du roi Louis XIII, et a qui l'on prête ces paroles : "Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre.".

N'avoir rien à cacher est avant tout une gageure à la fois faite à soi-même pour se rassurer sur le fait que l'on pense ne rien faire de mal, et faite à ses surveillants autoritaires pour leur faire allégeance et soumission. Sauf que l'on a tous une vie privée et si vous en doutiez encore, même et surtout sur Internet. Seriez-vous d'accord pour qu'une caméra de surveillance de type Xbox One puisse dans votre chambre voir et enregistrer vos pratiques amoureuses pour les retrouver un jour sur Internet ou aux yeux de pervers à la NSA ? Pendant qu'on y est, accepteriez-vous qu'une autre caméra soit placée dans vos WC ? Si ce que vous faites n'est pas répréhensible aujourd'hui, le sera-t-il toujours à l'avenir, si le régime autoritaire devait changer ? Imaginez que certaines de vos pratiques amoureuses ne soient plus autorisées à l'avenir parce qu'allant contre la "morale" autoritaire, ou que vous n'ayez plus le droit d'uriner debout, même chez vous ? Certes, ces exemples restent ici dans l'esprit de la règle 34 sur Internet, qui stipule que si ça existe, il y a du porn dessus, mais pour être plus sobre, cela concerne aussi le simple fait d’émettre des idées. Même la plus banale peut vous cataloguer comme étant un terroriste aux yeux de certains Pouvoirs.

Une petite phrase à retenir de Numendil : "La vie privée n'est ni mauvaise, ni bonne, elle est juste privée"

Enfin, voici un texte que j'avais déjà relayé lorsque je m'étais exprimé sur INDECT. Il montre juste à quel point avoir ce raisonnement et cet état d'esprit sur la vie privée peut amener l'Homme à devenir un simple pion aseptisé et soumis, n'ayant plus aucune liberté.

Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester.
Martin Niemöller

La conférence de Numendil


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Movim, un réseau social alternatif, libre, ouvert et décentralisé #logiciel

samedi 29 juin 2013 à 16:01

Movim est un projet de réseau social libre, ouvert et décentralisé (acentré), fondé par Timothée Jaussoin en 2008, dont le code source a été libéré en 2009. Vous pouvez lire une interview de Timothée. C'est un système de communication sociale présenté sous la forme d'une alternative à Diaspora. Movim est basé sur le protocole XMPP. Pourquoi Movim ? Ce type de réseau social permet de contrôler ses données sur son propre serveur, contrairement à ce que propose facebook ou twitter, par exemple, dans lesquelles vos données privées sont stockées sur des serveurs fermés dont l'utilisateur n'a pas la maîtrise.

La centralisation, façon facebook, a certes, ses avantages notamment côté simplicité, mais aussi ses limites, comme le problème de confiance liée au filtrage, à la censure, à la surveillance, et enfin donc, à la sécurité des données collectées. La centralisation permet aux entreprises et aux gouvernements de faire pression économiquement (car des datacenters coûtent chers) sur ces services. La décentralisation, c'est un peu tout l'inverse, même si créer un nœud de raccordement de son propre réseau social sur un serveur tiers engage la pleine et entière confiance de l'utilisateur envers ces tiers. Cependant, la décentralisation permet de créer son propre nœud sur son propre serveur chez soi par exemple.

Movim, contrairement à Disapora a décidé d'utiliser un protocole de communication déjà bien connu (XMPP), ceci afin de permettre une certaine interopérabilité avec d'autres logiciels utilisant ce protocole de communication, et c'est un peu ce qui fait toute la différence ici. Movim reste donc un simple client, comme Pidgin, qui enrichit les foncionnalités déjà existantes. Le client Movim est écrit en PHP et HTML5, et a besoin d'un simple serveur web classique pour fonctionner. Il faut donc se créer un compte, si ce n'est pas déjà fait, comme par exemple, avec le client Gajim, disponible dans les dépôts des distributions Linux. Pour Windows, on peut le télécharger ici.

Ceux qui voudraient tester Movim, il existe un pod à l'utilisation libre.

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Le temps, c'est la liberté

Comme tous les projets de ce genre, le développement est toujours long, parce qu'orienté bénévolat. En ce sens, Movim a encore besoin d'évoluer pour proposer des fonctionnalités proches de celles des réseaux sociaux centralisés De plus, la captation d'un public sur ce type de client, demande aussi beaucoup de temps et dépend de plusieurs facteurs, notamment liés à la prise de conscience de l'utilisation de ses données personnelles, qui peuvent servir la loi Miranda, qui dit que tout ce que vous direz pourra [et sera] retenu contre vous.


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