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Inscription à la mailing-list de NeoSting.net, via bitmessage. #actualité

lundi 17 juin 2013 à 17:40

Même si ce logiciel est encore jeune, j'ai une grande envie de le soutenir. Bitmessage est capable de créer des adresses de type broadcast, afin de réaliser des mailing lists. J'ai donc ouvert une adresse à laquelle vous pouvez souscrire afin que vous puissiez vous tenir informé de la vie du blog. Ce que je propose, ce sont des messages

Je garde toujours l'autre adresse, donnée dans mon article sur Bitmessage, pour me contacter de façon totalement personnelle et même anonyme, mais vous pouvez aussi me contacter par cette adresse, si vous ne voulez en noter qu'une seule. Je répondrai aux messages privés par l'adresse mentionnée dans l'autre article.

Pour souscrire à cette mailing-list, voici donc l'adresse publique à ajouter via l'onglet "susbscriptions" de Bitmessage. Cf l'image ci-dessous.

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Pourquoi pas par mail, tout simplement ? Parce que c'est un format que je n'aime pas. De plus, avec ce système, vous restez totalement maître de vous désabonner sans passer par un lien publicitaire ou foireux. De plus, vous êtes assuré(e)s de n'avoir que des messages textuels, et non html. Enfin, personne ne saura que vous vous êtes abonnés ; Bitmessage est un système respectueux de la vie privée.


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SPQN, IPG, et maintenant CSPLA, même combat contre Google #actualité

lundi 17 juin 2013 à 16:29

Google, cette entreprise qui capte des milliards sur le simple fait de faire de la publicité aux autres est encore une fois accusée de violer du droit d'auteur. Cette fois-ci, c'est au tour du CSPLA (Conseil Supérieur sur la Propriété Littéraire et Artistique) de dégainer sa missive en direction du gouvernement, comme le souligne PC-INpact.

Elle aurait tort de s'en priver. La Presse, par l'intermédiaire du SPQN avait fait la même chose récemment, et elle avait bien sûr, été soutenue par son bras armé, l'IPG. Plutôt que d'obtenir une loi de toute façon stupide, elle avait obtenu des fonds d'investissement par Google ; un genre d'accord à l'amiable ou seul le fric compte...

Voyant que la recette fonctionne, le CSPLA fait donc à son tour ses remontrances, dans l'espoir de trouver, lui aussi, un accord à l'amiable, histoire de gagner un peu de fric, sans rien faire, ni chercher à innover.

En effet, le CSPLA accuse Google de violer le droit d'auteur en "pompant" les images des auteurs pour les afficher dans son moteur de recherche dédié aux images. Il faut dire que Google image n'a pas été très fairplay sur ce coup en changeant sa méthode pour afficher les images. Malgré tout, en France cette nouvelle méthode n'est pas disponible naturellement. Il faut utiliser une adresse spéciale pour l'utiliser. Ça ne change toutefois pas le fond du problème.

Ici, la version française à gauche qui en cliquant sur l'image ouvre le site original, et la version américaine à droite, qui, en cliquant sur l'image fait rester sur Google pour télécharger l'image originale. Cela demande un clic supplémentaire que beaucoup d'internautes ne prendront pas la peine de faire.

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Ce que l'on peut reprocher à Google en toute bonne foi, c'est de ne pas afficher le copyright et la licence d'utilisation des images, sous forme compréhensible et accessible.

Mais Google, pour rappel, n'est qu'un moteur de recherche. Un site qui ne veut pas que ses images soient référencée peut demander à Google de les désindexer ou de ne pas les indexer du tout. Ça se passe en trois lignes de code dans un fichier nommé robots.txt à la racine de son site. La mauvaise foi est donc du côté des deux camps. Dans le camp du CSPLA qui peut garder ses images "secrètes" et dans le camp de Google, qui devrait mettre un peu plus du sien pour respecter les métadonnées et les auteurs des images, car notons qu'un clic de plus volontairement demandé par Google, c'est une envie de moins de s'intéresser à l'auteur d'une image. Mais Google ne fait que prendre aussi ce qu'on lui donne, et rajoutons en passant que Google Images n'affiche pas de publicités non plus sur Google Image, tout comme pour Google News.

ne pas créer ces quelques lignes de code dans un robots.txt, c'est aussi vouloir que Google référence ses images, dans l'espoir de gagner plus de visibilité.

Le CSPLA demande donc une rétribution en sa faveur, ou une nouvelle taxe Google, mais ne s'offusque pas trop des autres métamoteurs qui eux ne génèrent pas autant d'argent. Et si le CSPLA faisait en sorte d'innover en créant sa propre banque d'images, plutôt que de venir chialer aux basques du gouvernement ? Soulignons une dernière fois cette comparaison parlant d'atomusk

En gros c'est les restaurateurs qui veulent avoir un pourcentage du chiffre d'affaire du guide Michelin parce qu'on parle d'eux.

Vous aurez noté que, pour ma part, je respecte du mieux que je peux les auteurs des images.


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Kobo Fnac. Mettez la couverture du livre à l'écran en mode veille #astuce

lundi 17 juin 2013 à 12:47

Pour la petite histoire, nous avons commandé, ma femme et moi, une Kobo Aura HD (mon test). Je l'ai commandée par Internet, tandis qu'elle l'a commandée en magasin. J'ai alors été surpris de voir que sa version propose nativement la fonction qui permet d'afficher la couverture du livre lu, lorsque la Kobo se met en veille, tandis que je devais me contenter d'un logo fnac pas très sexy à la place. Alors, comment enlever le logo fnac sur la Kobo Aura HD ?

J'ai regardé et analysé les fichiers de nos deux kobo respectives, simplement en les montant comme pour ajouter un livre. Sous Linux, avec Nautilus, j'ai affiché les fichiers cachés (ctrl+h), et j'ai rapidement découvert le premier fichier dans le répertoire ".kobo", nommé affiliate.conf. La différence était là. Ma kobo était configurée avec l'affiliation "fnac", tandis que celle de ma femme était configurée avec la valeur "kobo". Plutôt surprenant.

En changeant "fnac" par "kobo" sur la mienne, et après l'avoir débranchée, et ouvert un livre, je l'ai mise en veille. Voilà, la couverture du livre actuellement lu s'affiche en mode veille et même en mode "éteint", à la place du logo fnac. Dans les paramètres de la Kobo, les options liées à la "veille" - pour l'avoir également en plein écran - sont désormais disponibles.

Donc, si vous ne voulez pas du petit logo Fnac, modifiez le fichier affiliate.conf dans le répertoire caché ".kobo", et changez la valeur fnac ou celle de l'affiliation utilisée par "kobo". Je ne sais pas si c'est la même chose pour les autres modèles, comme la Glo, mais j'imagine que le principe reste le même.

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Glued, un court-métrage muet sur l'addiction aux jeux-vidéo #art

dimanche 16 juin 2013 à 15:14

Pour le fun du week-end, voici un joli court-métrage réalisé par Alon Tako, Guy Elnathan, Daniel Lichter et Sivan Kotek, quatre étudiants en troisième année à l'École des beaux-arts de Bezalel de Jérusalem. La bande-son est réalisée par Assaf Shlomi.

Leur création, Glued, est un court-métrage muet qui raconte l'histoire d'une maman prête à tout pour que son fils aille jouer dehors au soleil avec ses camarades, afin qu'il arrête enfin de passer son temps enfermé devant un écran à jouer aux jeux-vidéo.

La recette de Glued est vraiment très bien faite. De l'humour, des animations très typées 8 bits, avec un caractère et une originalité intéressante. Les dessins pastels et colorés sont bien équilibrés entre la caricature et un certain réalisme, malgré l'absence de détails poussés. Mais ce qui rend ce court-métrage attachant et réussi, c'est le dénouement de son histoire et la mise en place du suspense. Le sujet aborde d'une belle manière le problème de l'addiction aux jeu vidéo pour les très jeunes enfants.


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Comment installer Bitmessage #astuce

samedi 15 juin 2013 à 20:26

Je vous ai présenté Bitmessage, le logiciel de messagerie chiffrée, décentralisée et même anonyme (pour peu qu'en plus on l'utilise avec TOR). J'ai aussi ajouté une adresse pour recevoir des news du blog, si vous le désirez - histoire de voir encore mieux comment ça fonctionne. Voici donc comment on l'installe sur son ordinateur avec Linux et notamment pour l'exemple Ubuntu. Il faut installer git et faire un clone du dépôt dans le répertoire de son choix.

Pour l'installer avec Windows, c'est ici, et sur OSX, Linux, là. Apparemment, selon mes retours, pour Mac OSX, c'est un peu galère, mais bitmessage est encore jeune et on pourra à n'en pas douter compter sur un exécutable. Je résume sinon, la marche à suivre pour Ubuntu et c'est au final vraiment très simple de l'installer. Il dispose de son dépôt Git que l'on va alors tout simplement cloner sur sa machine. Bitmessage est bien sûr open-source sous licence MIT et est écrit, pour ne rien gâcher, en python.

Installation Linux

Commençons par les dépendances, si ce n'est pas déjà fait.

sudo apt-get install python openssl git python-qt4

Pour l'installation, la première commande va cloner Bitmessage et créer sous linux, un répertoire PyBitmessage dans son dossier personnel, et la seconde se placera dans ce répertoire pour lancer Bitmessage. La seconde commande sera à exécuter pour le relancer une fois fermé.

git clone https://github.com/Bitmessage/PyBitmessage $HOME/PyBitmessage
cd $HOME/PyBitmessage/src/ && python bitmessagemain.py

Pour l'entretien et les mises à jour

Encore une fois, c'est très simple. On se place dans son dossier d'installation, et on fait un petit git pull.

cd $HOME/PyBitmessage/
git pull

Sauvegarder ses clés et paramètres

Ici encore, c'est plutôt simple. Avec Linux, on se rend dans le répertoire caché dans son dossier personnel, .PyBitmessage (ctrl+h). Sauvegardez les fichiers keys.dat qui contient vos paramètres de clés et la configuration de Bitmessage, et messages.dat qui contient vos messages privés et votre carnet d'adresse. Ce dernier, contrairement à keys.dat est illisible, car chiffré (c'est le but).


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