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Streaming. L'application DS Video est enfin sortie (recquiert DSM 4.2) #actualité

mardi 8 janvier 2013 à 21:49

NeoSting.net - Streaming. L'application DS Video est enfin sortie (recquiert DSM 4.2)

Elle vient de faire l'effet d'une bombe, car oui, elle est enfin sortie. Il faut dire qu'elle était franchement plus qu'attendue et vraiment demandée : l'application DS Video de Synology. Celle-ci permet, en effet, tout comme DS Audio pour la musique, de lire les vidéos et les films stockés dans son NAS sur sa tablette ou son smartphone (et bientôt sa TV Android). En résumé, ces applications permettent de faire du streaming sur son réseau local ou via le service Quick Connect depuis Internet.

À vous, la lecture "illimitée" de vos vidéos, bien tranquille allongé(e)s dans votre lit, ou sur votre canapé, la tablette à la main, avec votre Big Jambox sur la table de chevet...

À noter qu'il faut toutefois avoir la version 4.2 de DSM (le firmware/OS du NAS), qui est actuellement encore en béta, et qui vient d'être annoncée ce 8 janvier 2013. Il est quand même recommandé d'attendre la prochaine sortie officielle pour garder une bonne dose de sérénité sur ses sauvegardes. Sachez aussi, en passant, que la version 4.2 de DSM sera la dernière qui sera installable sur les modèles x9 (DS-209, 409...)

La nouvelle version de DSM 4.2 va créer un système d'archivage assez intéressant, sous forme de fiches que l'application DS Video n'aura plus qu'à afficher. De quoi mettre un beau boxon avec plein de nouveaux répertoires cachés, mais ça on a l'habitude. Mais, qu'importe, puisque ça devient vraiment User-friendly.

Dernières infos, pendant que j'y suis, DS Download fait aussi son apparition pour gérer ses téléchargements depuis son mobile. Enfin, DS Audio, de son côté a été mis à jour, et le streaming audio peut désormais sortir sur des enceintes bluetooth (enfin !)

Disney se la joue Big Brother avec ses bracelets électroniques #actualité

mardi 8 janvier 2013 à 18:12

NeoSting.net - Disney se la joue Big Brother avec ses bracelets électroniques

En voilà une bonne idée, qui devrait faire vraiment plaisir à la CNIL, en France ; enfin, si ce système arrive à s'intégrer chez nous. Chez Mickey Orlando (le parc d'attraction de Disney) aux États-Unis, un système de puce RFID, dans un bracelet électronique est en cours de test afin de suivre à la trace - et jusqu'au temps passé aux toilettes, si, il le faut - chacun de ses visiteurs. Ce système devrait tout d'abord être déployé dans les prochains mois dans ce parc, accueillant plus de 30 millions de visiteurs chaque année, mais devrait - logiquement - être étendu à tous les parcs...

Thomas O. Staggs, président de Disney explique que si le groupe peut améliorer l'expérience de ses visiteurs, ces derniers resteront plus longtemps dans ses parcs. Pour ma part, ça fait plutôt l'effet inverse, ce genre d'information.

Enfin, sans y voir le mauvais côté des choses - difficile d'y voir beaucoup de positives, tout de même - les bracelets RFID de Disney, si joliment nommés MyMagic+, permettraient de créer un amas de données aussi indigestes pour les visiteurs qu'instructives pour le groupe. Ces données permettront, par exemple de savoir quelles attractions sont pleines, quels restaurants ont des places libres, combien de bonbons en fonction des marques, il reste chez un marchand, ou encore, quelle porte des toilettes n'est pas fermée. Le visiteur sera alors ravi d'être aidé et guidé via une application pour son smartphone. Mais, le petit côté magique, c'est que cette puce RFID ne servira pas qu'à ça ; ce ne serait pas assez fun.

En effet, le bracelet électronique doté donc d'une puce RFID permettra de payer automatiquement ses souvenirs, son sandwich, et autres goinfreries attractives sans avoir besoin de sortir sa carte bleue. Celui-ci sera créé pour chaque visiteur, et contiendra toutes ses jolies données personnelles. Les parcs Disney sauront donc à quelle heure vous êtes sorti, ce que vous avez fait tout au long de votre voyage enchanté avec une précision d'orfèvrerie, ou encore combien de temps, vous avez utilisé les toilettes. Mais, on peut aller bien plus loin que ces quelques exemples... Il n'y a pas à dire, la technologie Big Brother, c'est vraiment l'avenir.

Le bracelet électronique RFIDisé ne sera toutefois pas sans rappeler un certain bracelet similaire porté par les prisonniers pour les surveiller, mais heureusement, en France, la CNIL veille - enfin, il faut l'espérer. Sinon, une solution encore plus simple existe Mr Mickey-Picsou: demandez aux gouvernements de réussir, cette fois-ci à obliger ses citoyens à avoir une carte d'identité électronique. Cela dit, le système idéal serait d'avoir sous la peau et dès la naissance une petite puce anodine...

1984 was not supposed to be an instruction manual.

Accélérer ses téléchargements avec Flareget sous Linux #logiciel

mardi 8 janvier 2013 à 15:43

NeoSting.net - Accélérer ses téléchargements avec Flareget sous Linux

Internet Download Manager, tout comme le bon vieux Getright, sur Windows, sont rapidement devenus des références pour accélérer les longs téléchargements, en segmentant la réception des fichiers. Sous Linux, et dans mon cas Ubuntu, il y a peu d'alternatives réelles, proposant ce genre de fonctions. C'était sans compter sur ce petit nouveau : Flareget.

Actuellement en version Beta, Flareget, créé par Syed Adnan Kamili est compatible avec les distributions DEB et RPM. Il permet donc de segmenter ses téléchargements tout en gérant plusieurs threads (une fonction qui n'est pas toujours bien supportée par certaines configurations de serveurs). Il supporte un total de 32×6 requêtes en parallèle et dispose bien sûr, de toutes les fonctions indispensables à ce genre de logiciel.

Pour le moment, l'intégration au navigateur semble encore jouable, en activant l'option dans les préférences (et en redémarrant firefox), mais apparemment, des plugins d'intégration s(er)ont payants. Toujours est-il que cela fonctionne plutôt bien, puisqu'après un redémarrage de Firefox, on peut choisir flareget comme logiciel pour télécharger.

En revanche, pour pouvoir l'utiliser avec Firefox, une fois installé et lancé, il faut aussi installer flashgot de Giorgio Maone, qui servira de pont (flashgot permet aussi de télécharger avec wget, par exemple...). Une astuce qui ne devrait pas plaire au développeur.

Pour l'installer sur Ubuntu (à partir de la version 11.10), un dépôt non officiel sur launchpad est proposé par Upubuntu. Sinon, il y a une archive tar.gz officielle.

sudo add-apt-repository ppa:upubuntu-com/flareget-amd64 # OS en 64 bits
sudo add-apt-repository ppa:upubuntu-com/flareget-i386 # OS en 32 bits
sudo apt-get update
sudo apt-get install flareget

Utiliser des paquets d'une source tierce peut représenter un possible risque de sécurité. Soyez prudent et n'utilisez que les sources en qui vous avez confiance.

Les futures spécifications du HTML6 proposées par Oscar Godson ? #actualité

lundi 7 janvier 2013 à 20:31

NeoSting.net - Les futures spécifications du HTML6 proposées par Oscar Godson ?

Souvenez-vous, les vieux "geek" du web. La nome 2.0 du HTML - pour Hypertext Markup Language - avait été lancée en 1995 par le W3C (World Wide Web Consortium). Une bonne révision avait suivi la même année, pour lancer le HTML 3.0. En 1997, c'était au tour de la version 3.2 de suivre, enchaînée presque aussitôt par le fameux HTML 4.0, qui donnera après quelques révisions en 1999, celui que l'on connaît aujourd'hui, pratiqué encore par une très grande majorité de sites : la version 4.01.

La version 5 - que j'utilise actuellement sur ce blog - avait connu ses premières spécifications en 2007, mais entre temps, le XHTML (XML pour Extensible Markup Language) avait fait son apparition. En ce qui concerne le HTML5, les spécifications ne seront définitives qu'en 2014, mais depuis le 17 décembre dernier, ce langage est passé aux tests d'opérabilité.

Si le HTML5 a été, pour moi, une révision allant avant tout vers la simplification et le bon sens de l'utilisation des balises, en ajoutant en plus les marqueurs AUDIO et VIDEO, il faut quand même avouer qu'il aura fallu beaucoup de temps pour voir une sortie officielle. La cause ? L'arrivée des ayants-droit sur les balises "audio" et "video", justement. Ils ont mis la pression pour implémenter leurs codecs propriétaires et leurs DRM, par le biais de l'HDCP (High-bandwidth Digital Content Protection) notamment, afin de protéger leurs contenus. Le choix des codecs standards pour garantir un langage ouvert comme il l'a toujours été, n'a donc pas été simple. Une preuve de plus que le Copyright abusif ralentit, voire détruit l'innovation, puisque pas moins de 15 ans sépareront le HTML 4 du 5...

À peine attendu, et alors que le HTML5 n'est que logiquement très peu déployé, sauf sur quelques sites et blogs, voilà qu'arrivent de probables pistes des futures spécifications concernant l'HTML6. Elle ont été proposées par Oscar Godson, un développeur, ingénieur en Javascript à l'origine de nombreux projets, dont Core.js. Il pense même déjà réaliser un script servant de pont pour aider les navigateurs à comprendre cette norme anticipée du HTML6. L'idée principale : la liberté totale, avec comme exemple, la possibilité de créer ses propres marqueurs ; ici un calendrier.

<calendar>
  <month name="January">
    <day>1</day>
    <day>2</day>
    <day>3</day>
    <!-- ...and so on -->
  </month>
</calendar>

En revanche, plus de libertés ne signifie pas danss cette approche, plus de simplifications côté sémantique. Ce serait même plutôt le contraire, même si l'adaptation des développeurs Web ne va pas être très compliquée en l'état. Je vous laisse juger par-vous-même avec ce code d'exemple.

<!DOCTYPE html>
<html:html>
  <html:head>
    <html:title>HTML6 Spec Version 0.1</html:title>
    <html:meta type="description" value="This is an example of HTML with namespaces">
  </html:head>
  <html:body>
   <header>
    <logo>
      <html:media type="image" src="images/logo.png">
    </logo>
    <nav>
      <html:a href="/cats">Cats</a>
      <html:a href="/dogs">Dogs</a>
      <html:a href="/rain">Rain</a>
      </nav>
   </header>
   <!-- Image -->
   <html:media src="images/logo.jpg" type="image">
   <!-- Video, shows you don't "need" a type -->
   <html:media src="videos/cute-cat.mov">
   <!-- Some made up format, browser will ignore if it doesn't know it -->
   <html:media src="misc/example.abc" type="abc">
  </html:body>
</html:html>

Adobe Photoshop CS2, désormais officiellement gratuit (PC, Mac) #actualité

lundi 7 janvier 2013 à 14:31

NeoSting.net - Adobe Photoshop CS2, désormais officiellement gratuit (PC, Mac)

Probablement pour éviter de se faire pirater la dernière version de son Photoshop CS6, Adobe a décidé de proposer gratuitement une licence de... Photoshop CS2. Oui, Adobe Photoshop CS2, qui n'est certes pas la dernière version, loin de là, est dorénavant officiellement gratuit. Pour pouvoir le télécharger, il faudra simplement avoir un compte chez Adobe. C'est aussi gratuit, et la création ne prend que deux petites minutes chrono...


Mise à jour : en fait, La suite CS2 n'est pas vraiment gratuite, mais c'est un peu tout comme. Adobe a juste donné un nouveau numéro de série parce que l'activation de la version CS2 n'est plus possible côté serveur, et que l'utilisateur peut avoir des difficultés pour l'installer sur des machines modernes. Il faudrait donc logiquement avoir déjà acheté CS2 pour pouvoir le réinstaller, si besoin avec le nouveau "serial". Un genre de fail qui aurait donc du être donné uniquement à ceux qui ont enregistré leur produit. Bref, et qu'importe, puisque finalement, le résultat est le même.


L'offre est valable pour PC et Mac ; c'est donc le moment d'en profiter, et ce sera toujours mieux que d'installer un logiciel craqué dans tous les sens, téléchargé n'importe où avec un probable virus en guise d'activateur. La bonne nouvelle supplémentaire, c'est que Illustrator CS2 et toute la série CS2 qui va avec, est aussi gratuite.



Un joli geste à souligner que de nombreux éditeurs devraient suivre. Après tout, pour les amateurs, CS2 est plus que largement suffisant pour créer quelques calques et retoucher ses photos. Sinon, même si c'est moins "intuitif", il existe aussi Gimp, l'alternative open-source, qui est, elle aussi, toujours gratuite, et même dans sa dernière version.

Ça a fait, en tout cas, l'effet d'une bombe, à tel point que le serveur d’enregistrement d'Adobe est lent et vraiment saturé.