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Brevet : facebook empêche de partager des contenus sous copyright #actualité

mercredi 4 décembre 2013 à 17:41

Ah facebook ! Puisque vous êtes nombreux en tant que "pirates" à aimer partager vos trouvailles sur ce réseau, selon l'étude de la hadopi mentionnée dans cet article, il fallait que le réseau social trouve un moyen d'y mettre fin pour se plier aux exigences des Majors. C'est donc chose faite avec un brevet quelque peu étrange trouvé par torrentfreak.

Dans ce brevet intitulé "Using social signals to identify unauthorized content on a social networking system", facebook semble se doter d'un moyen de détecter, mais apparemment pas sous la forme d'une prédiction comme le revendique le réseau social, les contenus pirates que les internautes s'envoient entre eux. En fait, facebook ne se base pas uniquement sur le contenu du lien en lui-même, qu'il analyse de toute manière, mais et c'est plus grave, aussi sur les interactions des utilisateurs, en fonction de chacun de leur profil. Étrange comme conception. En fait, en fonction des goûts de ses amis, si ces derniers reçoivent un lien non conventionnel avec ce qu'ils aiment, le réseau social semble vouloir penser que le contenu qu'ils reçoivent est probablement un contenu pirate. On imagine sans peine, le nombre de faux positifs, et le nombre de messages légaux qui ne seront donc pas transmis. Par exemple, en tant qu'artiste, si vous voulez donner votre album de musique à une ou deux personnes n'ayant aucune réelle affiliation avec vous, alors que cet album est également disponible sur iTunes, ce sera impossible... De ce fait, plus généralement, vous avez sûrement remarqué que lorsque vous envoyez un message avec un lien ou du contenu spécial, votre ami ne le reçoit pas. Faites le test avec vos vrais amis en live, c'est facile.

Cette méthode d'analyse "à la louche" semble quand même bien barbare, à la limite de l'incompréhension, puisque les signaux de détection utilisés sont basés sur les informations que les utilisateurs laissent volontairement sur leur profil. La géolocalisation en fait même partie. On savait que facebook empêchait déjà ses utilisateurs d'envoyer à leurs amis des liens pointant par exemple, vers ThePirateBay, même dans des messages privés, mais ce brevet semble vouloir en expliquer bien plus. Qu'importe donc, les faux-positifs, seul le résultat compte. Facebook devrait tout simplement interdire les messages privés, ce serait plus simple, et mieux, il devrait interdire à ses utilisateurs de poster du contenu, tout simplement, ce dernier étant forcément sous une certaine licence. Ce serait génial, cette idée, non ? Bien heureux de ne pas y avoir de compte.


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NicoFlash, des e-liquides 100% français et originaux de l'institut Claude Bell #matériel

mercredi 4 décembre 2013 à 16:21

Le secteur commercial des cigarettes électroniques est en effervescence, avec semble-t-il plus de 1,5 million de vapoteurs, et probablement plus de 500 boutiques physiques en France. Malgré sa quasi décennie d'existence, le fait que ce système permette une évolution constante vers de nouveaux produits souvent entièrement personnalisables, à la fois côté matériel et côté liquide, fait qu'il y a encore de la place. C'est même à cause de ça qu'il me semble déjà trop tard pour que les lobbies réussissent à le contrôler, et si ce marché n'est pas (encore) fermé, ce n'est pourtant pas faute d'essayer. Toutefois, la possibilité d'évolution est, sans être encore bridée, déjà suffisamment surveillée en terme de traçage qualité, notamment en France, pour permettre à des sociétés de proposer des produits de qualité. Alors quand une nouvelle marque "Cocorico" de qualité débarque comme NicoFLash, on ne peut que lui prêter une attention particulière.

L'entreprise française

Derrière la nouvelle marque NicoFlash, se trouve en fait, une société spécialisée dans la création et la diffusion de produits cosmétiques, Claude Bell, dont le siège marketing et commercial se situe à Roubaix. Elle dispose déjà, pour la création de ses produits, de son propre laboratoire, le labo Cosmer à Mazamet en Midi-Pyrennées. Elle a comme client, dans le cosmétique, Damart, 3 Suisse, LaRedoute, Beauté Privé, Affibel et encore Comptoir de l’homme. Il s'agît plus précisément d'une entreprise familiale composée de sept personnes au Siège et d'une trentaine au laboratoire.

Une chaîne de production contrôlée

Depuis un an, l'entreprise a commencé la création de e-liquides pour les cigarettes électroniques et propose aujourd'hui 27 saveurs différentes avec ou sans nicotine dans des dosages classiques de 6, 11 et 16mg/ml. La nicotine est obtenue par extraction dans les feuilles de tabac situées en Inde, et les huiles végétales biologiques proviennent de productions agricoles exemptes de produits chimiques de synthèse et dont les cultures se situent dans des zones abritées des contaminations extérieures. Obtenues uniquement par expression mécanique à froid, les huiles végétales certifiées biologiques sont pourvues d'un étiquetage qui permet la traçabilité de tous les produits du champ, à la table. La certification "biologique" dépend d'un organisme de contrôle agréé (ECOCERT) qui vérifie le respect des règlements en vigueur. La chaîne de production contrôlée permet de garantir, pour chacun des e-liquides, une traçabilité complète des matières premières à l'analyse bactériologiques du produit final. Loin de moi l'envie de faire du Green Washing, mais autant le mentionner.

Les e-liquides NicoFlash

Les liquides - dans des flacons de 10ml, aux normes en vigueur de sécurité - de la marque NicoFlash sont donc des productions originales composées à un peu moins de 75% de Propylène-glycol USP et de 25% de Glycérine végétale (1% d'alcool et moins de 4 % d'arômes alimentaires), sans diacetyl, ni cétone, ni eau purifiée. Certains vapoteurs regretteront ce choix PG/VG de base, pourtant quasi identique à une marque comme Halo, mais c'est peut-être plus sécurisant pour éviter la formation d’acroléine (cf. Green washing). Cependant, il est à noter que NicoFlash a en projet dans les semaines à venir, de se lancer dans le DIY (Do It Yourself - Fais-le toi-même), avec des bases en 100%, 50/50 et 75/25 en 100ml (avec le choix des dosages habituels en nicotine) ; en France, ce serait, de mon expérience, une première.

Parmi les arômes, justement, voici une liste de ceux qui sont sans additifs. À noter toutefois que l'arôme "tabac" est basé sur un additif caramel E150C. Les autres arômes non mentionnés ci-dessous, présent dans la boutique, sont des arômes artificiels. Le but de ces e-liquides NicoFlash est d'essayer de respecter des saveurs très peu sucrées pour aider les fumeurs à arrêter le vrai tabac. Ils se caractérisent par des goûts légers et subtiles.

les substances aromatisante naturelle, sans additifs

À savoir également,

J'ai pu m'entretenir avec Arthur CATRYSSE de l'Institut Claude Bell et il me confirme que les boutiques peuvent devenir partenaires et déposer leur nom sur les flacons, comme le permet également la marque Alfaliquid. Pas une super idée, selon moi, mais heureusement, la marque NicoFlash ou Cosmer (du labo) sera identifiable sur les étiquettes du flacon. De toute manière, le mieux, reste de passer par la boutique officielle.

Je reviendrai mentionner un nouvel article dans lequel je vous dirai ce que je pense de ces e-liquides, en les testant.


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Spotflux, un VPN gratuit aussi sous forme d'extension pour Chrome #serviceweb

mardi 3 décembre 2013 à 19:57

Les VPN gratuits sont assez rares, et Spotflux est donc à connaître parmi les services capables de cacher son IP. Il fonctionne sur un modèle freemium et est donc doté d'une version payante, à côté d'une offre gratuite rémunérée par la publicité, qui propose différentes options de filtrages, notamment publicitaires. En effet la version payante de Spotflux - à 30 dollars par an - est capable de protéger votre connexion à Internet avec un système d'adblock intégré et propose même une vérification des téléchargements effectués pour éviter de rapatrier des malwares.

En ce sens, oubliez immédiatement ce VPN, si vous voulez pouvoir profiter d'un véritable anonymat puisque Spotflux analyse votre connexion. De plus, la société du même nom dispose de son siège social aux USA à Brooklyn (New York). Par conséquent, tout ce que vous ferez en l'utilisant sera aimablement mis à la disposition de Big Mother à sa demande, qu'importe ce que les "Privacy Policies" disent. Le Patriot Act veille malgré sa bonne volonté de ne pas en vouloir.

Ceci dit, et en toute conscience donc, Spotflux reste tout de même utile. Ce VPN gratuit permet de débloquer / débrider des sites américains dans les pays étrangers (Pandora, Hulu, et la team des services comparables). C'est donc principalement dans cette optique qu'il est sympathique de l'utiliser surtout que Spotflux est disponible sous la forme d'une extension pour Chrome / Chromium. Pour désactiver ce VPN dans le navigateur, un lien depuis le click sur l'icône permet de mettre en pause et de reprendre une connexion privée.

Si toutefois, vous avez envie de faire plus confiance à Spotflux, il est également disponible pour mobiles (Android et iOS), ainsi que plus classiquement pour Windows et Mac. Pas de version Linux, si ce n'est à travers le navigateur. La version mobile ne coûte quant à elle que 6 dollars à l'année, avec la possibilité d'utiliser son compte sur 5 mobiles différents. Il peut donc servir de sortie de secours lors des déplacements où l'on doit se connecter à des hotspot wifi, et dans les hôtels. Sur mobiles, il permet également d'économiser la bande-passante de son FAI.


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La HADOPi fait un bilan des pratiques de téléchargements illégaux #actualité

mardi 3 décembre 2013 à 15:16

La dernière étude publiée par la HADPOPI est plutôt sympathique : elle dresse le bilan des pratiques des stratégies d'accès aux œuvres notamment diffusées de manière illicite. Après 3 ans de bons et loyaux services, la HADOPI met à plat les méthodologies utilisées auprès d'un panel représenté en quantitatif par un échantillon de 1434 personnes dont 1132 ayant plus de 15 ans. Ça paraît peu, au regard de la population française, surtout que cette étude (PDF) se base sur un panel d'internautes ayant des connaissances technophiles que l'on peut qualifier d'au dessus de la moyenne. Elle ajoute à cela des analyses supplémentaires sur un échantillon qualitatif de seulement 12 internautes considérés comme à l’aise avec les nouvelles technologies.

Pour résumer, la phase quantitative de cette nouvelle étude permet de mesurer et d'évaluer le poids des perceptions et des pratiques, et la phase qualitative permet d'explorer les pratiques et les stratégies mises en œuvre pour accéder à une œuvre diffusée de manière illicite sur Internet. On sent un réel effort pour comprendre pourquoi les internautes téléchargent illégalement, mais ce n'est pourtant pas difficile de le savoir. Fallait-il une telle étude de 76 pages pour essayer de faire comprendre pourquoi, depuis des années, le téléchargement illégal existe toujours ? La réponse est simple : l'absence d'offre légale attractive comme principale motivation de contournement du piratage. Pourtant, selon cette étude, 34% des "pirates" déclarent essayer de trouver les contenus qu'ils cherchent sur des sites légaux avant de trouver d'autres chemins. Le fameux label "PUR" ne semble donc pas remplir son rôle : celui de les proposer. Les pirates expliquent aussi qu'aujourd'hui, il sont devenus des consommateurs de biens culturels éphémères, et reconnaissent avoir remarqué une vraie différence avec une période précédente dans laquelle les œuvres étaient plus durables. Il n'hésitent pas, aujourd'hui, à se servir en privilégiant des œuvres datant de moins de 6 mois, ce qui n'est pas sans remettre en cause la fameuse chronologie des médias, dans le domaine vidéo (films et séries).

On notera également dans cette étude en page 17, la prise de conscience des pirates sur les risques de leurs pratiques. Si 74% d’entre eux déclarent aller toujours sur les mêmes sites, parce que pour 60% d'entre eux, ils trouvent ce qu'ils veulent dessus, ils sont quand même 59% à avoir peur d'attraper des virus ou des programmes malveillants. Apparemment, on ne trouve rien sur les risques liés à la peur du gendarme... Toutefois, 54% expliquent télécharger des œuvres qui ne correspondent pas à leur recherche. Les critères choisis pour le téléchargements sont dans l'ordre la gratuité, la légalité et le choix. Pour les vidéos, avoir le choix est moins important que la qualité.

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Pour trouver les contenus recherchés, les pirates se focalisent d'abord, en fréquence d’utilisation sur les réseaux sociaux (79%), sur les forums et newsgroups (75%), via les SMS/MMS (70%) et les application (60%). Viennent ensuite les méthodes d'acquisition, consistant à passer par les proxys (60%), les débrideurs (55%) et les VPN (52%). Ce que l'on note ici, c'est que les pirates n"hésitent pas à les cumuler en cas de besoin. Mais la HADOPI note également que les appareils mobiles sont de plus en plus utilisés pour le téléchargement illégal depuis 1 an, avec une récente montée en pratique des applications (63%) et des VPN (60%), abandonnant logiquement les forums et newsgroups (35%) sur ces supports. La consommation, quant à elle est toujours majoritaire à plus de 80% pour tout type de biens (musiques, vidéos, séries), et les mobiles ne servent principalement qu'à la consommation de musiques pour 38% ; les films étant consommés qu'à hauteur de 9%.

Quant au partage, les pirates continuent d'utiliser massivement les DVD, clé USB et même disques-durs, mais on note quand même que le P2P se porte toujours aussi bien. Les mises à disposition des consommateurs illicites sont le P2P à 84% et le cloud à 79%. Bien sûr, le streaming reste majoritairement privilégié (notamment pour les séries) pour sa rapidité et sa facilité d'accès, même si, 1/3 des consommateurs de musique, films ou séries TV, déclarent pratiquer le téléchargement au moins 1 fois par semaine.

Beaucoup de chiffres pour au final comprendre comment le téléchargement illégal est pratiqué. Il reste maintenant aux diffuseurs légaux à s'adapter à ce nouveau marché du dématérialisé, en proposant de véritables offres légales accessibles, simples, rapides, pratiques et pas chères, ou mourir. Mais pour cela, il faut encore que les Majors aient envie de remettre en cause leur business, plutôt que de chercher à défendre, par des voies de répression, leur vieux modèle économique.


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Airtame, l'alternative open-source à Miracast, ChromeCast et Apple TV #matériel

lundi 2 décembre 2013 à 15:11

Voilà un projet particulièrement ambitieux et qui pourrait avoir une véritable utilité dans notre vie quotidienne. Airtame est un projet de la startup Airtame ApS, qui veut proposer un nouveau protocole rentrant en concurrence avec Miracast, ChromeCast et Apple TV. Si vous êtes un peu Geek, vous avez donc compris que Airtame est un projet qui permet de dupliquer ou d’étendre une image issue d'un PC vers un et même plusieurs écrans, par le biais du streaming. Les développeurs et fondateurs sont Jonas Gyalokay (CEO), Peter Ørntoft (CD), Attila Sukosd (CTO), Marius Klausen (CPO) et Brian Kyed (CMO).

Comment opère cette magie high-tech ? Par l'intermédiaire d'une "simple" clé HDMI et d'un logiciel pour PC, permettant de gérer l'ensemble du réseau local connecté. Cette clé est dotée d'une double puce Wifi alimentée par USB. Elle peut donc se connecter à un réseau wifi local déjà existant, mais elle peut également créer son propre réseau wifi indépendant pour ne pas manger la bande passante de sa connexion à Internet. Branchée en HDMI sur un écran de télévision ou sur un vidéo-projecteur, vous pourrez envoyer une vidéo FULL-HD (1080p) ou même une fenêtre d'application sur la clé HDMI. Mieux, avec plusieurs clés branchées sur différents écrans, le logiciel saura gérer plusieurs sorties vidéos différentes issues d'un PC principal. C'est franchement pratique pour les conférences ou pour envoyer un dessin-animé dans la chambre des enfants pendant que vous regardez votre film dans le salon. Mieux encore, l'application optimisera automatiquement la connexion (en adaptant son buffer) si, il vous prend l'envie de balancer sur grand écran, votre jeu préféré. La latence, dans des conditions idéales, serait située entre 25-150ms. À noter toutefois que pour le moment, les tablettes et autres smartphones ne sont pas encore pris en charge ce qui, pour le coup, est un peu dommage. Mais, c'est une possibilité qui n'est juste pas sur la roadmap.

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Le plus important avec Airtame, c'est que le protocole, tout comme le projet dans son ensemble qui est déjà basé sur des projets open-source comme cURL, h264, opus, webm... va être multiplate-forme et surtout délivré en open-source ! Ça fonctionnera donc sur Windows, MAC OS, et Linux. Les logiciels sont écrits en C, C++, C#, Obj-C, Python et Bash par une petite équipe de 5 passionnés.

La clé HDMI coûte 89 dollars et sera envoyée à partir de mai 2014. Il vous reste jusqu'au 1er janvier 2014 pour recevoir votre clé et financer le projet sur IndieGogo. Le projet est même déjà quasiment financé et devrait remporter, à n'en pas douter, un grand succès, surtout si un SDK (pas non plus encore sur la roadmap) est délivré. Il devrait sinon, logiquement être possible d'acheter ces clés HDMI, par la suite. Les deux clés coûtent 169 dollars. Ça paraît un peu cher, mais le fait que ce protocole devienne open-source avec des fonctionnalités proposant une telle liberté et polyvalence, est à ce prix.

Vous vous dites aussi sûrement que les DRM seront de la partie ? Pas du tout. Airtame, contrairement à Apple TV et ChromeCast de Google, n'a rien à faire des DRM. Ce que vous voyez ou entendez depuis votre ordinateur sera "streamé" tel quel sur vos autres écrans. Voilà qui devrait mettre les rageux lobbies en alerte rouge. Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire, car dès l'instant que votre écran dispose d'une entrée HDMI, ce sera compatible. L'interopérabilité est clairement idéale, et ça fait plus que plaisir.


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