C'était une promesse pour cette fin d'année du CEO de Twitter, Dick Costolo qui sera donc bien tenue, du moins pour le moment pour certains. Elle avait été notamment relayée par Jenna Wortham pour le site Bits (en anglais). Cette promesse, très attendue pour tout le monde, concernait la possibilité de récupérer une archive contenant tous ses tweets. Jusqu'ici, il fallait passer par des services tiers et officieux pour en avoir au moins une partie, à cause de limitations propres et imposées de la part du site de microblogging.
Apparemment, cette fonctionnalité est bien en cours de déploiement. Il sera donc désormais officiellement possible de télécharger une archive contenant tous ses tweets, même si, pour le moment, seul un petit pourcentage de comptes a déjà accès à cette fonctionnalité, comme Psanta, qui en a fait profité le blog Nspeaks ; le temps de la tester et de la mettre réellement en place.
La fonctionnalité dédiée à l'archivage de ses tweets sera en tout cas bientôt notifiée par mail de la part de Twitter aux comptes concernés. Elle se situera tout simplement dans les paramètres de son compte. L'archive reçue sera fournie sous la forme d'un zip contenant de l'HTML - lisible donc facilement par votre navigateur, avec la possibilité de trouver aussi ses tweets par année. J'espère, pour ma part, que cette archive proposera automatiquement un lien vers chaque tweet, afin d'aider à trouver et identifier (avec un moteur de recherche ?) plus facilement les messages indésirables que l'on souhaite effacer.
Dans le cadre de ma nouvelle configuration, présentée dans cet article, je voulais ajouter mon avis concernant les différents matériels choisis. Afin d'éviter que le dossier soit long et indigeste, et afin que mes avis soient peut-être mieux référencés et donc utiles, j'ai préféré les ajouter pour chaque "test" dans un article séparé.
Contexte et présentation
Je m'étais habitué au son de mon Auzentech XFi Forte depuis plusieurs années. Cette carte avait même été installée quelques temps dans le PC précédent celui que je viens de changer. Les enceintes, en revanche n'ont toujours pas changées. Le son est toujours branché depuis des lustres en sortie optique sur des Logitech Z5500, mais, j'ai eu le culot de remplacer 2 des 4 enceintes d'origine du kit par celles que j'avais dans mon ancien Kit Creative Gigaworks S750. Pourquoi ? J'ai d'abord essayé par curiosité, et je me suis aperçu qu'en double stéréo, on retrouvait un nouvel équilibre nettement plus chaud, notament dans mes séances d'écoutes de Blues.
Avant de vous dire ce que je pense de cette carte son, sachez que je partais sur un apriori assez mitigé, me demandant si, en sortie optique, je pourrais vraiment entendre une différence avec la ASUS Xonar Essence STX. Après quelques heures de revues musicales, la suprise a été grande. Enfin, si la carte semble faire quelques siennes sous Linux (si Asus pouvait un jour déployer des pliotes officiels...), il n'en reste pas moins que ça fonctionne, après un peu de bidouillage dans Linux Mint 14 (voir capture). Dans Ubuntu, il faut juste choisir la sortie CMI8788, tout simplement.
On notera sinon, sur l'Asus Xonar Essence STX, ses entrées/sorties au format 6.25mm (gros jack), sa sortie optique et ses 2 RCA. Elle nécessite aussi d'être branchée avec une prise molex.
Avis : Asus Xonar Essence STX
Aux premières écoutes, avec donc les mêmes repères, je dois avouer que j'ai été plus qu'agréalement surpris de découvrir un "noveau" son. J'ai personnellement trouvé beaucoup plus de précisions, à la fois dans les aigus mais aussi dans les graves. Par exemple des albums parfois difficiles avec les caissons de basse, comme ceux d'Adele ou pire encore, de Gossip sans oublier celui de l'album de Cained, dont je vous ai tant parlé sur ce blog, (bisous ma chérie, si tu me lis), reflètent clairement ces impressions acoustiques. En effet, les basses sont beaucoup moins baveuses qu'avant (en sachant que ce kit n'est pas réputé pour avoir pourtant une excellente précision à ce niveau), avec des attaques plus prononcées et des tenus réellement mieux maîtrisées. Enfin, la séparation des instruments dans le milieu du spectre sonore est bien mieux ressenties. J'ose à peine vouloir comparer ça à la sortie du Chipset de type "SBLive" de la carte mère de peur de faire saigner mes oreilles...
Sous Windows, ce qui surprend, ce sont les pilotes : seulement 10Mo (si, si !) ! Pourtant, ils sont très complets et surtout très stables aussi... Je leur reproche tout de même cet aspect visuel qui aurait mérité d'utiliser l'expérience visuel du système d'exploitation, mais Creative devrait en prendre de la graine avec ses trucs lourdingues et indigestes... Les pliotes de la Xonar Essence STX sont simples à configurer et permettent de jouer avec les différents dolby que le récepteur des Z5500 saura reconnaître sans problème. Je vous rassure, en écoute musicale, tout est désactivable pour garder un simple ou double stéréo.
Conclusion
Avec un prix élevé (autour des 180€ quand j'écris ces lignes), la carte son Asus Xonar Essence STX n'est pas à la portée de toutes les bourses. Beaucoup, aujourd'hui se demanderont si l'achat de ce genre de produit est vraiment utile, avec les chipsets intégrés des cartes-mères. Sans conteste, je répondrais oui, mais seulement pour ceux qui aiment écouter et profiter de leur musique avec un système audio relativement digne de ce nom, et qui sont surtout capable d'apprécier et de comprendre différents systèmes sonores. Pour les autres, passez votre chemin, vous ne ferez surement jamais la différence. La Asus Xonar Essence STX est aussi une carte qui se veut avant tout dédiée à l'utilisation d'un très bon micro-casque dans les jeux. Elle leur redonne de l'avis de tous (et du mien) une belle "pêche" et une meilleure "clarté", mais elle le fait sur tout ce qu'on lui branche.
Quand on a utilisé pas mal de temps l'environnement classique d'Ubuntu, à savoir Unity, on s'est forcément habitué à lancer ses applications depuis le dash grâce à une touche dédiée sur le clavier. De ce fait, quand on choisit d'utiliser plutôt un environnnement comme Xfce, il manque ce côté pratique, celui qui évite de passer par un menu classique, et qui impose de chercher ses applications. La plupart du temps, j'utilisais, comme beaucoup, Gnome-Do, pour retrouver cette fonctionnalité proche. Mais, j'ai découvert un autre logiciel, très similaire à Gnome-Do, nommé Kupfer et open-source (GPLv3+) qui vaut le détour. Il est confectionné par de nombreux développeurs.
Kupfer dipose aussi d'un système d'extensions, qui permet, par exemple pour Filezilla, de lancer directement une session en se connectant à ses serveurs FTP. De nombreux autres plugins sont présents pour faciliter ses différentes tâches automatiques. On notera donc la présence de greffons qui permettent d'intéragir plus facilement avec, par exemple, Firefox, Audacious, Empathy, Gwibber, Gmail, Picasa, OpenOffice, Pidgin... Un greffon se charge aussi de choper ses connexions SSH et on peut même lire directrement un document texte... D'autres astuces sont expliquées et des raccoursis claviers documentés.
Plutôt complet, pour lancer Kupfer, il suffit par défaut d'appuyer sur les touches CTRL+Espace, mais c'est aussi configurable dans les préférences. Kupfer se veut avant tout vraiment léger (rien à voir sur ce point avec le dash d'Unity) et au final, devient un réflexe franchement pratique.
Il y a deux moyens pour installer facilement Kupfer. Le premier est de passer par son gestionnaire d'applications traditionnel, ou via la commande classique :
sudoapt-get install kupfer
Le second consiste à utiliser le dépôt Launchpad de l'équipe afin de profiter d'une éventuelle version plus récente. À l'heure où j'écris cet article, les deux versions sont les mêmes.
Dans le cadre de ma nouvelle configuration, présentée dans cet article, je voulais ajouter mon avis concernant les différents matériels choisis. Afin d'éviter que le dossier soit long et indigeste, et afin que mes avis soient peut-être mieux référencés et donc utiles, j'ai préféré les ajouter pour chaque "test" dans un article séparé. Ce test et l'expérience qui s'en dégage est à prendre en considération avec l'ensemble de la configuration. Processeur refroidit : un Intel Core I5 3570, ayant un TDP de 77 Watts.
Présentation
Annoncé et sorti le 12 avril 2011, ce radiateur de type Watercooling est à la fois simple et pratique. J'avais lu un test sur Comptoir Hardware - comparant même ce modèle à son petit frère le 620 - qui m'a motivé dans ce choix. Disponible pour à peu près tous les sockets du marché (paraît-il que les nouvelles versions ne supportent plus le 775), le H2O 920 ne devrait pas poser de gros problèmes pour son montage et son intégration à la carte-mère. Il en posera encore moins dans le boitier, puisqu'il se pose dans un emplacement ventilateur. A noter que le socket derrière la carte-mère ne semble pas vouloir être monté "droit". Enfin, il se compose d'un radiateur aux lames très serrées, et il ne faudra donc pas négliger les ventilateurs, placés en Push/Pull. J'ai donc choisi de remplacer ceux fournis, par deux Alpenföhn Wing Boost 120mm pour grandement calmer les nuisances sonores, tout en gardant une marge pour le refroidissement.
Avis du Antec Kuhler H2O 920
L'Antec Kuhler 920, avec son système de push/pull des ventilateurs sur le radiateur permet au refroidissement liquide d'agir, en théorie, vite sur le processeur. Comme souvent, les ventilateurs proposés, avec, sont extrêmement bruyants, même à 1000 RPM. A fond (environ 2500 RPM), on a l'impression d'avoir un avion de chasse près du bureau. Je les ai donc remplacés par 2 ventilateurs Alpenföhn Wing Boost PWM 120mm. Au minimum, ils tournent à 480 RPM, et au maximum, à un peu plus de 1600 RPM. Si à fond, on les entend logiquement plus, ils savent rester quand même "discrets" et plus que supportables, au moins jusqu'à 1120 RPM en soufflant pourtant plutôt fort !
A noter que j'ai essayé aussi avec un Noctua NF-F12 PWM. Celui-ci tourne à seulement 150 RPM au minimum, ce qui est franchement inutile pour refroidir ce radiateur aux maillages ultra serrés. J'ai placé ce radiateur à l'arrière de la tour, remplaçant le ventilateur du boitier Fractal Define R4.
Quelques remarques
Assez surprenant, mais pas illogique, en désactivant le ventilateur "interne", celui en "Push", l'autre, celui chargé d'expulser l'air s'est mis à faire bien plus de bruit (sans tourner plus vite), comme signalé sur Comptoir Hardware. Cela vient certainement du fait que les lames du radiateur sont très serrées. Il faudra donc bien laisser les deux ventilateurs en place. Dans ma configuration, le soir uniquement, les ventilateurs de la tour en 7v, et au "repos", j'entends quelques petits et légers claquements d'eau, provenant de la pompe, mais la majorité des gens ne le remarquera pas.
Logiciels et températures
Un logiciel, uniquement compatible avec Windows, bien sûr, le Chill Control V, permet de faire varier, en mode "Custom", la vitesse des 2 ventilateurs en fonction de la température du liquide de refroidissement (et non du processeur). Il propose aussi un mode extrême pour balancer immédiatement du froid et un mode "Silent", qui oblige les ventilos à ne pas dépasser les 1000 RPM. On fixe donc un minimum et un maximum qui fera tourner pour ce dernier - l'ensemble à fond (voir captures). Du côté des températures, au repos, le liquide est à environ 31°, pour un processeur autour des 29° (données recueillies par Core Temp - Attention aux malwares à ne pas installer).
On remarque, au passage, que les températures des cœurs changent continuellement en variant d'environ 5° ; Un phénomène probablement lié au passage du liquide en boucle. Après une bonne séance de Far Cry 3, le liquide atteint 41° (bruit toujours maîtrisé) et le processeur chauffe autour des 47° (avec un réglage allant de 32 à 47 dans Chill Control, faisant tourner en jeux les ventilateurs à environ 1300 RPM). La carte graphique fait "perdre" environ 3° au liquide, en comparant avec un burn uniquement des processeurs réalisé par OCCT (voir ci-après)
En revanche, avec OCCT, un logiciel pour faire travailler les processeurs au maximum, et après plusieurs essais d'environ 20 minutes, les températures des cœurs grimpent très vite, pour atteindre les 73° au début. Le liquide monte très doucement en température, ce qui montre aussi que ces ventilateurs sur le radiateur sont très efficaces à 1000 RPM. La température du liquide ne dépasse finalement pas les 38° à la fin des tests. On peut alors se demander si l'Antec Khuler H2O 920 est vraiment aussi efficace puisque même avec un liquide à 38°, les processeurs se stabilisent à 70° en burn.
Présentation vidéo
Conclusion
Pour un tarif avoisinant plus de 80 euros ce watercooling n'est peut-être pas aussi efficace qu'un venti-rad classique haut de gamme, qui doit pouvoir prétendre aux mêmes résultats, voire faire peut-être mieux sur la maîtrise des extrêmes. Ce qui reste en revanche positif, c'est l'espace laissé autour du processeur dans la tour ; un espace qui permet de faire évacuer très rapidement l'air chaud de la carte graphique grâce à un ventilateur sur le côté en aspiration, et un au dessus en extraction. D'ailleurs, dans cette configuration, les retombées des températures de la carte graphique sont assez "violentes" une fois l'ordinateur au repos. Le test de ma Sapphire 7970 O/C, justement, est en préparation.
Dans une réalisation plus que surprenante, Dessil Basmadjian a réalisé un superbe court-métrage, intitulé "Dernière Nuit", qu'il veut dédier à son père, Garig Basmadjian, mystérieusement disparu à Moscou en 1989. "Dernière Nuit", comme son nom l'indique traite le sujet de la fin du monde, un thème populaire en ce moment, à cause des mayas qui n'ont pas reçu le calendrier 2013 des pompiers.
Dans des nuances de tons bleus sombres, ce court-métrage garde l'approche poétique d'un poème de son père, lui rendant ainsi un magnifique et dernier hommage. Dessil Basmadjian s'est offert ici une véritable ode à la fin du monde, mélangeant douceurs et violences, esthétique et dépravation et parfaitement retranscrites dans la bande sonore. Une franche réussite qu'on regardera même plusieurs fois.
La fonctionnalité dédiée à l'archivage de ses tweets sera en tout cas bientôt notifiée par mail de la part de Twitter aux comptes concernés. Elle se situera tout simplement dans les paramètres de son compte. L'archive reçue sera fournie sous la forme d'un zip contenant de l'HTML - lisible donc facilement par votre navigateur, avec la possibilité de trouver aussi ses tweets par année. J'espère, pour ma part, que cette archive proposera automatiquement un lien vers chaque tweet, afin d'aider à trouver et identifier (avec un moteur de recherche ?) plus facilement les messages indésirables que l'on souhaite effacer.
. Après quelques heures de revues musicales, la suprise a été grande. Enfin, si la carte semble faire quelques siennes sous Linux (si Asus pouvait un jour déployer des pliotes officiels...), il n'en reste pas moins que ça fonctionne, après un peu de bidouillage dans Linux Mint 14 (voir capture). Dans Ubuntu, il faut juste choisir la sortie CMI8788, tout simplement.
. Au minimum, ils tournent à 480 RPM, et au maximum, à un peu plus de 1600 RPM. Si à fond, on les entend logiquement plus, ils savent rester quand même "discrets" et plus que supportables, au moins jusqu'à 1120 RPM en soufflant pourtant plutôt fort !
. Celui-ci tourne à seulement 150 RPM au minimum, ce qui est franchement inutile pour refroidir ce radiateur aux maillages ultra serrés. J'ai placé ce radiateur à l'arrière de la tour, remplaçant le ventilateur du 
