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L’histoire politique peut nous faire réfléchir

dimanche 13 janvier 2013 à 15:22


renouveau
Alors que la politique est en panne en France, comme dans la majorité des pays européens, des discours de remise en cause de nos systèmes politques déclarés démocratiques s’élèvent de plus en plus fort. Rien de plus normal, puisqu’aucun projet de société ne ressort d’aucun discours politique. Et c’est bien là que se situe le danger : la nature humaine a horreur du vide, et l’orientation des « gouvernements d’austérité » composés de gestionnaires dont la probité a été largement mise en cause par les « affaires » au sommet des Etats ne peut que pousser des forces politiques diverses à crédibiliser des discours qui pourraient nous mener à des extrémités fortement gênantes.

La population, tout du moins une partie de la population aimerait que « quelque chose se passe » : que ses besoins soient pris en compte, sa parole entendue, qu’une part de ses volontés collectives fassent loi. Le régime précédent, constitué d’un gouvernement, libéral et réactionnaire, conservateur et potentiellement corrompu (affaires Bettencourt, Karachi, Hortefeux, Takieddine etc…) a accentué ce sentiment d’une prise en otage du pays par une classe dirigeante, et ce, au détriment des citoyens.

Le nouveau gouvernement en place, dans un autre registre, accentue le rejet du système politique qui organise le pays depuis 1958 et laisse, par son incapacité, entre autres à effectuer une politique claire, en accord avec l’idéologie qu’il est censé suivre (le socialisme), une place de plus en plus importante à des forces de contestation aux « solutions » politiques des plus inquiétantes .

Pourquoi sont-elles inquiétantes ? Parce qu’elles suivent des discours tout à fait parallèles à d’autres qui ont mené les peuples dans de sombres impasses. Alors, parce que Reflets est un média libre de traiter l’information comme bon lui semble, libre de chercher à effectuer des analyses d’une manière non-conventionnelle, un petit exercice « amusant » peut aider, peut-être, à mieux comprendre ce qu’il se passe.

Sans pour autant affirmer que les parallèles sont parfaits et mènent à la même issue. Non, mais pour réfléchir à ce que les discours sous-tendent, à ce que les rejets et les constats peuvent engendrer, il faut regarder comment au cours de l’histoire, qui se répète souvent, ce que des périodes similaires à la nôtre ont engendré. Cet extrait de discours, d’un parti politique, sort de la bouche d’un homme politique. Les mots en gras ont été volontairement changés, les mots d’origine sont donnés en fin d’article. Il suffit de lire, puis ensuite, d’effectuer les remplacements.

On nous parle du phénomène de l’autonomisme du parti du renouveau républicain (1) : je dis aux membres du renouveau républicain (2) et aux citoyens que cet autonomisme n’a aucune importance. Ce n’est pas l’autonomisme des idées et des tendances. Le renouveau républicain (2) ne connaît pas de tendances. Les tendances sont le triste privilège des vieux partis, qui sont des associations épileptiques diffusées dans tous les pays et qui n’ayant rien à dire ni à faire, finissent par imiter ces sordides prêtres d’Orient qui discutaient sur toutes les questions du monde pendant que Byzance périssait. Les rares, sporadiques tentatives d’autonomie du renouveau républicain ou sont liquidées, ou sont en voie de liquidation, parce qu’elles représentent seulement des revanches de nature personnelle.

Pour commencer, notre syndicalisme diverge de celui des autres, parce que nous n’admettons la grève des services publics pour aucun motif. Nous sommes pour la collaboration de classes, spécialement dans une période, comme l’actuelle, de crise économique très aiguë. Nous cherchons donc à faire pénétrer dans la cervelle de nos syndiqués cette vérité et cette conception. Mais il faut dire, avec la même franchise, que les industriels et les employeurs ne doivent pas faire de chantage, parce qu’il y a une limite au-delà de laquelle on ne peut aller ; et les industriels et les employeurs, la bourgeoisie, pour le dire en un mot, la bourgeoisie doit se rendre compte que dans la nation il y a aussi le peuple, une masse qui travaille, et on ne peut penser à la grandeur de la nation si cette masse qui travaille est inquiète, oisive, et que le devoir du renouveau républicain (2) est d’en faire un tout organique avec la nation pour l’avoir demain, quand la nation a besoin de la masse, comme l’artiste a besoin de la matière brute pour forger ses chefs-d’œuvre.

C’est seulement avec une masse insérée dans la vie et dans l’histoire de la nation, que nous pourrons faire une politique étrangère.

Notre programme est simple : nous voulons gouverner la France (3). On nous dit : « des programmes ? ». Mais des programmes il y en a même trop. Ce ne sont pas les programmes de sauvetage qui manquent à la France (3). Ce sont les hommes et la volonté ! [Applaudissements]. Il n’y a pas un Français (4) qui n’a pas ou qui ne croit pas posséder la méthode sûre pour résoudre certains des problèmes les plus obsédants de la vie nationale. Mais je crois que vous êtes tous convaincus que notre classe dirigeante est défaillante. La crise de l’État libéral est écrite dans cette défaillance.

Et alors il faut affronter le problème : « Comment remplacer cette classe politique, qui a toujours, dans les derniers temps, conduit une politique d’abdication face au fantoche gonflé de vent qu’était le socialisme français (5) ? »

(…)  Nous aurons un État qui fera ce simple discours : « L’État ne représente pas un parti, l’État représente la collectivité nationale, il comprend tout le monde, il dépasse tout le monde, il protège tout le monde et il affronte tous ceux qui portent atteinte à son imprescriptible souveraineté » [applaudissements retentissants et prolongés].

(…)Un État qui ne donne pas localement raison au plus fort ; un État différent de l’État libéral, qui en cinquante ans n’a pas su s’équiper d’une typographie pour faire son journal lors d’une grève générale des typographes ; un État qui est à la merci de l’omnipotence, de la feu omnipotence socialiste ; un État qui croit que les problèmes peuvent être résolus du seul point de vue politique, parce que les mitrailleuses ne suffisent pas s’il n’y a pas l’esprit qui les fasse chanter. Tout l’attirail de l’État s’écroule comme un vieux décor de théâtre d’opérette, quand il n’y a pas la plus intime conscience d’accomplir un devoir, même une mission. Voici pourquoi nous voulons dépouiller l’État de tous ses attributs économiques. Ca suffit avec l’État cheminot, avec l’État facteur, avec l’État assureur. Ça suffit avec l’État exploitant les dépenses de tous les contribuables français et aggravant les finances épuisées de l’État français. Il reste la police, qui protège les honnêtes gens des attentats, des voleurs et des délinquants ; il reste le maître éducateur des nouvelles générations ; il reste l’armée, qui doit garantir l’inviolabilité de la Patrie et il reste la politique étrangère.

Mussolini : discours à Udine du 20 septembre 1922 (extraits)

(Source http://www.cevipof.com/fichier/p_publication/431/publication_pdf_cahierducevipof39.pdf Page 57)

(1) parti fasciste

(2) fascisme

(3) Italie

(4) Italien

(5) socialpussismo italien

l’Union européenne, qui est aujourd’hui détestée par le plus grand nombre (ce qui peut s’entendre au vu de son indifférence aux peuples et son orientation uniquement économique), a vu son ancêtre, la SDN (Société Des Nations) devenir elle aussi l’objet des foudres fascistes. Ce que cet extrait d’article, datant de 1936, résume très bien :

 SDN-Duce

Les constats de défaillance sont importants à effectuer. Mais les réponses politiques, les solutions brandies par certains doivent peut-être nous faire réfléchir. Surtout quand le terme de « nation », « patrie », « démocratie », « peuple », « souveraineté » sont brandis avec autant de fougue. L’histoire politique a à nous apprendre. Parce que la répétition est inscrite dans cette histoire. Seuls les noms changent. Mais les résultats ?

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Standard & Poors annonce la sortie de crise, tous aux abris !

jeudi 10 janvier 2013 à 09:32

Ce qui est chouette avec les agences de notation, c’est qu’elles disent n’importe quoi mais permettent de faire du story telling bien pratique pour justifier certaines décisions politiques. Là, c’est une dépêche AFP reprise par Le Monde qui vient expliquer que la crise de la zone euro, c’est fini en 2013. Oui, vous avez bien entendu : la crise des dettes souveraines, on en parle plus, ça va s’arrêter. Bon, ok. Cool. Mais on aimerait comprendre…

La question qui tue : qui paye S&P ?

Dans le cas d’un Etat comme la France, c’est la France qui paye Standard & Pauvres pour sa note. Comme l’élève paierait son prof. Et la note de la France a été dégradée en janvier dernier par S&P. Houuuu, les vilains. Ca fiche la trouille. Parce qu’ensuite une autre agence de notation, Moody’s (lunatique) a elle aussi dégradé la note de la France. Diantre ! Mais c’est terrifiant ! D’ailleurs notre bon président socialiste a ainsi justifié au cours de sa conférence de presse sa politique d’austérité visant à réduire le déficit public avec un budget en super baisse et des coupes sanglantes dans les dépenses publiques : « si on ne le fait pas, les marchés vont se déchaîner« . Carrément. Se déchaîner…fiouuuuu, There Is No ALternative alors…Mais ça veut dire quoi des marchés qui se déchaînent ? Ca veut dire emprunter à des taux exorbitants. Et ouais. Plus t’es dans la merde, plus tu empruntes cher. C’est dégueulasse…

Alors, alors, il faut aller voir si les notes des agences de notation font que les marchés se déchaînent et nous prêtent de la thune hyper chère, c’est le mieux. Voici donc un premier graphique qui donne les taux d’emprunt de la France depuis janvier. Et comme vous allez le comprendre, la théorie de Standard & Pauvres, Lunatique, Putois et François N°2 ne fonctionne pas du tout :

 

taux-emprunt

Ah oui, c’est même l’inverse : plus on est dégradé, moins on emprunte cher. Mais il faut remettre tout ça dans une perspective longue, comme avec le climat mondial, regarder sur 30 ans par exemple. Ca doit être juste conjoncturel, hein ?

taux-30ans

Et le graphique pourrait indiquer un taux à 2% fin de l’année dernière, en 2012, le plus bas de toute l’histoire des emprunts sur les marchés. Ahlala, rien ne fonctionne comme ils voudraient. Ce qui pourrait être bien c’est que quelqu’un aille poser la question à François : quand t’es dégradé, tu payes moins, alors pourquoi tu t’occupes de ne pas être dégradé, hein, François ?

Bon, de toute manière, la longue marche vers un Etat exangue est effectivement bien entamée, S&P s’en félicite, quand au reste…on attend de voir comment la zone euro, dont le taux de croissance en 2013 est estimé à -0,4% , va fêter la sortie de la crise annoncée, avec un chômage en augmentation permanente dans 90% des pays concernés et des systèmes sociaux aux poches trouées. Surement très bien : c’est quand même une agence de notation qui le dit, des gens formidables, très compétents et surtout qui se soucient de l’économie.

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C’est la reprise, la crise est derrière nous

mercredi 9 janvier 2013 à 14:57

Zerohedge nous gratifie de deux graphiques intéressants. Notre président du changement de maintenant plus tard nous l’a dit il y a quelques mois : « la crise est derrière nous ». Vous êtes rassurés ? D’ailleurs, il n’a pas peur de l’avenir et compte inverser la courbe du chômage cette année. C’est son objectif majeur. Yakayaka! Et pourtant, ça va être dur. La preuve par l’image.

Avec une carte toute en couleurs d’abord :

Europesscariestchartmap_0Et puis quelques petites courbes qui montrent dans quel sens vont les choses (pour de vrai, pas telles qu’on vous les annonce) :

20130109_unemp2_0

Allez, François, courage.

Et vous… Bonne chance…

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L’erreur de calcul des politiques d’austérité : trop drôle !

mercredi 9 janvier 2013 à 12:49

austérité1

Oui, oui, cette information est tout à fait sérieuse et elle est sortie ce matin sur l’antenne de France Culture. Reflets vous la délivre brut de décoffrage, puis viendra, après recherches, compléter les affirmations assez stupéfiantes de cet économiste du FMI, Olivier Blanchard…

C’est une information extraordinaire, dont les conséquences sont immenses, mais qui fait beaucoup moins parler que les dérives pathétiques d’un acteur célèbre. Un rapport de quarante quatre pages signé par un économiste en chef du FMI, un français, Olivier Blanchard. Il dit tout simplement que les plus hautes instances économiques mondiales et européennes se sont plantées en imposant, au nom de la science, l’austérité à toute l’Europe.

       Ce que dit Olivier Blanchard, c’est que le modèle mathématique sur lequel s’appuyaient ces politiques visant au désendettement radical, et au retour sacré à l’équilibre budgétaire, comportaient une erreur au niveau, je cite, du multiplicateur fiscal. Pour simplifier beaucoup, ce modèle mathématique, donc incontestable, prévoyait que lorsqu’on retire un euro dans un budget il manquerait un euro dans le pays concerné. Or c’est faux. Pour des raisons qui tiennent à une réalité parfaitement triviale, et qui est que les hommes sont humains, cette austérité a déclenché des réactions collectives qui ont abouti à ce que cet euro retiré a provoqué la perte de trois euros dans les sociétés concernées.

       Multipliez par des milliards, et vous comprendrez pourquoi l’austérité imposée à coup de sabre par des troïkas savantes n’a conduit qu’à plus d’austérité, plus de chômage, et plus de récession.

       L’équation était fausse, ce qui est remarquable en soi, surtout quand on songe au Mississipi, que dis-je, à l’Amazone de leçons d’austérité péremptoire, délivrées chaque minute, sur toutes les antennes, et dans tous les journaux, par des commentateurs sûrs d’eux et dominateurs.

       Mais le plus incroyable est ailleurs.

       C’est qu’il ait fallu s’apercevoir que quelque chose clochait dans une équation pour découvrir que quelque chose n’allait pas dans la vraie vie. Un peu comme si on assistait à des accidents de la route en chaîne et qu’on ne donnait pas l’alerte tant qu’un modèle mathématique ne disait pas que c’était des accidents.

       On ne peut pas aller plus loin dans le triomphe de la technocratie. Il a fallu qu’un expert constate un problème avec un coefficient multiplicateur pour que ce qui saute aux yeux soit perçu par nos cerveaux. L’Europe est à la traîne, son chômage bat des records, sa croissance est en berne, la pauvreté s’installe, bref la voiture est dans le fossé, mais peu importe, on ne change pas de politique puisque c’est la seule et qu’en vouloir une autre serait une demande ignare.

       Les ignares vous saluent bien, mais les dévots de l’austérité n’ont pas rendu les armes. L’histoire de l’équation commence à cheminer, on en a parlé dans le journal de France 2 hier soir, l’Humanité l’a évoquée, le Washington Post aussi, mais elle ne fait pas encore la une. C’est qu’on ne renonce pas d’un jour à l’autre à une idéologie. Même vermoulus les murs de Berlin ne s’affaissent pas d’un jour à l’autre.  

Et comme la prochaine émission de radio du magazine Reflets (à la Cantine numérique, en direct, en public le 25 janvier à 19h) aura pour thème la crise économique, sociale et politique, avec un analyste financier (en attente de confirmation) et un économiste aterré (sa réponse à notre invitation qui nous l’espérons sera affirmative, ne saurait tarder), il va y avoir matière à discuter de ce problème de « calcul » de l’austérité…

Vos contributions audio seront les bienvenues, mais nous vous en parlerons dans un prochain billet.

L’annonce de France Culture est ici : http://www.franceculture.fr/emission-le-billet-politique-d-hubert-huertas-extraordinaire-l-austerite-est-une-erreur-mathematique

C’est drôle, non ?

Enfin, tout dépend où on se situe quand même…

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Fleur… ça devient blasant et les pédonazis, on nous a déjà fait le coup

mardi 8 janvier 2013 à 21:40

twitter

Et voilà le dossier super hyper chaud sur lequel le monde entier attend des réponses, le truc vital, le truc qui nous empêche de dormir, Amesys.. ah merde, pas encore… Twitter ! Il fallait bien que Fleur Pellerin cible le réseau social américain, car figurez vous que sur ce réseau, des gens s’expriment librement. Alors certes, certains ne sont pas super fins, aussi on y trouve des communistes, des fachos, des pédonazis… vous additionnez les trois et ça vous donne… un internaute.

Mais Fleur Pellerin, elle, semble découvrir le problème. Et l’heure est si grave, qu’au lieu de se fendre d’un truc pas super urgent, comme le contrôle des exportations d’armes électroniques dans des dictatures, notre ministre veut s’attaquer aux abus d’une poignée de crétins sur le réseau social Twitter.

Il y a quelques années,  en plein débats sur la LOPPSI, votre serviteur plongeait dans les entrailles de la bêtise humaine et de la haine ordinaire pour vous expliquer que le filtrage de la connerie, c’était pas pour demain. Le député Brard vous expliquerait très bien que ce n’est pas avec les mains que l’on arrête l’océan et selon l’adage bien connu, s’il y a deux choses qui sont infinies, c’est l’univers et la connerie humaine.

Mais pourquoi Twitter ?

Pourquoi pas Dailymotion ?

les-copains-de-DANTE_709

Pourquoi pas Copains d’Avant  ?

legion88

Pourquoi pas Last.fm ?

Capture d’écran 2013-01-08 à 21.20.45

Ben non… elle son truc c’est Twitter. Et pourtant, le réseau social n’est pas en reste concernant le filtrage géolocalisé. Souvenez vous il y a quelques mois, Twitter annonçait qu’il était maintenant en mesure d’opérer une censure géolocalisée alors qu’il devait auparavant censurer un tweet de manière globale, pour l’ensemble de ses utilisateurs, sans distinction géographique et du code pénal de chaque pays…

En plus du faux problème du filtrage de la bêtise, Twitter arguerait du fait qu’il ne peut fournir des données d’utilisateurs que s’il est saisit par la justice américaine dont il dépend. Et c’est tellement grave que la justice française a elle été saisie. Et on attend une décision du juge pour le 24 janvier !!!

De notre côté, ça fait plus d’un an qu’on attend un signe de vie de notre ministre et de la justice, concernant la plainte posée pour complicité d’actes de torture en Libye… mais tout va bien. Filtrer la connerie, ça c’est top prioritaire, identifier une poignée d’abrutis, ça c’est top prioritaire. C’est un super message que vous nous donnez là, bravo ! Tout ce tsointsoin alors qu’il suffirait tout bêtement de faire appliquer la loi, celle de 2004, comme le souligne Maître Olivier Iteanu. Et comme Twitter dispose en plus du dispositif technique nécessaire, on a au final un joli brassage de vent médiatique dont tout le monde se fout éperdument.

Ce n’est plus un mandat ministériel, ça devient un plan de communication cynique.

/me blasé

 

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