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F. Hollande à 13%, record international

vendredi 5 septembre 2014 à 07:59
F. Hollande à 13%, record international

La rumeur gonfle d'une démission prochaine du chef de l'Etat, mais il semble normal qu'un Président normal parte à un tel niveau d'impopularité

Hollande plonge de 5 points à 13%, un record

 

Manuel Valls dégringole, lui, de 14 points à 30% de cote de confiance.

 

Nouveau record d'impopularité pour François Hollande. La cote de confiance du chef de l'Etat est désormais de 13%, soit une chute de 5 points en deux mois, selon le baromètre politique du "Figaro Magazine" réalisé par TNS Sofres et publié ce jeudi 4 septembre.

Son Premier ministre Manuel Valls dévisse lui de 14 points à 30% de cote de confiance, selon cesondage effectué du 28 août au 1er septembre, soit juste après le remaniement du gouvernement mais avant la parution du livre de l'ex-première dame Valérie Trierweiler.

Jamais depuis 1978 la cote de confiance d'un président de la République n'était tombée aussi bas.

Sondage TNS Sofres pour le "Figaro Magazine" réalisé du 28 août au 1er septembre auprès d’un échantillon de Français interrogés en face-
à-face à leur domicile. Echantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus selon la méthode des quotas.

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20140904.OBS8231/sondage-hollande-plonge-de-5-points-a-13-un-record.html?utm_content=buffer90ac8&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

L'image: François Hollande seul au monde au sommet de l'OTAN

vendredi 5 septembre 2014 à 07:54
L'image: François Hollande seul au monde au sommet de l'OTAN

A dégager... et vite...

Seul au monde

 

Jeudi noir. Sortie du livre de Valérie Trierweiler, "Merci pour ce moment", démission de Thomas Thévenoud de son poste de secrétaire d'Etat au commerce extérieur, nouvelle érosion dans les sondages, ce jeudi 4 septembre est un véritable jeudi noir pour François Hollande qui accuse le coup. En témoignent ces images, qui nous parviennent du sommet de l'Otan à Newport, au Pays de Galles, où François Hollande reste les yeux vissés sur son téléphone, probablement en train de recevoir les dernières informations liées à une journée très compliquée pour l'exécutif.

Rapport sexuel à l'Elysée en direct à la TV le 14 juillet 2013 !

vendredi 5 septembre 2014 à 06:27

Rapport sexuel à l'Elysée en direct à la TV le 14 juillet 2013 !

 

C'est à peine croyable, mais avec un tel Président, tout est devenu possible, même un coup de sexe en direct à la télévision lors du discours du 14 juillet 2013 de François Hollande/ Regardez la fenêtre à droite derrière le Président.

évidemment, c'est un fake, mais c'est tellement drôle

évidemment, c'est un fake, mais c'est tellement drôle

11 avions de ligne ont disparu du tarmac de l'aéroport de Tripoli !

vendredi 5 septembre 2014 à 06:06
11 avions de ligne ont disparu du tarmac de l'aéroport de Tripoli !

Les autorités craignent un attentat style 11/09

11 avions de ligne ont disparu du tarmac de l'aéroport de Tripoli !

 

En Libye, des milices islamiques se sont emparées d’une douzaine d’avions de ligne le mois dernier, et les services secrets de pays occidentaux ont mis en garde contre une possible utilisation de ces avions dans des attentats en Afrique du Nord. Ces attaques pourraient coïncider avec le 13ème anniversaire des attaques du 11/9/2001 contre New York et Washington, et le second anniversaire de l’attaque de l’ambassade américaine à Benghazi, au cours de laquelle 4 Américains avaient été tués, y compris l’ambassadeur américain Christopher Stevens.

Les avions auraient été dérobés à la fin août, lorsque la coalition de milices islamistes Farj Libya (‘Aube de la Libye’) a pris le contrôle de l’aéroport de Tripoli, situé à environ 30 km au Sud de la capitale Tripoli.

 

Au même moment, la chaîne de télévision Al Jazeera avait fait état de rapports des services secrets occidentaux évoquant une menace terroriste à la suite du vol de 11 aéronefs commerciaux. En conséquence, la Tunisie et l’Egypte, inquiètes que ces appareils puissent être utilisés dans des missions suicide, ont toutes deux interdit les vols en provenance d’aéroports libyens, et les armées de certains pays d’Afrique du Nord (Maroc, Tunisie, Algérie Egypte) ont été placées en état d’alerte.

 

Des avions militaires égyptiens ont déjà mené des frappes sur le territoire libyen contre les positions de Farj Libya. Selon des officiels américains, certains signes pointent vers une intervention de plus grande envergure des forces de l’armée égyptienne pour empêcher que le pays riche en pétrole ne tombe complètement aux mains d’extrémistes islamistes entretenant des liens avec Al-Qaïda.

 

Abderrahmane Mekkaoui, un expert militaire marocain, a expliqué à la chaîne de télévision Al Jazeera que l’alerte concernant les avions de ligne volés était préventive et qu’elle couvrait la zone s’étendant de la capitale égyptienne du Caire à la métropole de Lagos, au Nigeria. Il a affirmé que c’était le groupe d'Al Moulathamoune, la « Brigade des Masqués », une organisation libyenne qui a été qualifiée de terroriste par le Département d’Etat américain en décembre de l’année dernière, qui s'était emparée des appareils. Il a également dit que des rapports d’intelligence « crédibles » remis aux différents gouvernements des pays de la région indiquaient que cette organisation envisageait de les utiliser pour lancer des attaques sur l’un des pays du Maghreb à l’occasion de l’anniversaire du 11/9.

 

D’après Sebastian Gorka, un expert du contre-terrorisme, si ce vol est confirmé, les avions de ligne pourraient être utilisés de deux manières : soit comme des missiles, comme cela a été fait lors des attentats du 11/9, ou bien comme un moyen de transport trompeusement anodin pour permettre à un grand nombre de terroristes d’atterrir sur une destination choisie sans éveiller l’attention des forces de sécurité locales.

 

Michael Rubin, un spécialiste du contre-terrorisme de l’American Enterprise Institute, a rappelé qu'ils pouvaient constituer des armes redoutables:

 

 

Qui a besoin de missiles balistiques, quand on peut utiliser des avions de passagers ? Même vides, mais remplis de carburant, ils peuvent être dévastateurs. Chacun pourrait faire un millier de victimes, s’ils sont exploités pour optimiser leur effet dévastateur. »

 

Au cours de ce weekend, le gouvernement libyen a annoncé qu’il avait perdu le contrôle de Tripoli. En août, le parlement libyen avait qualifié les organisations islamistes de Farj Libya et d’Ansar al Sharia d'organisations terroristes qui mettaient tout en œuvre pour renverser le gouvernement.

 

http://www.express.be/joker/fr/platdujour/a-quelques-jours-de-lanniversaire-du-119-les-services-secrets-occidentaux-sont-nerveux-11-avions-de-ligne-ont-ete-drobs-a-laroport-de-tripoli.htm


 

Le journaliste décapité était un Israélien formé dans une antenne du Mossad

vendredi 5 septembre 2014 à 05:59
Le journaliste décapité était un Israélien formé dans une antenne du Mossad

L'exécution de Steven Sotloff est-elle une mise en scène ?

Le journaliste décapité était un Israélien formé dans une antenne du Mossad

 

Nationalité israélienne occultée, pseudo-conversion à l'islam, connexion avec les services secrets et la mouvance islamophobe, vidéo mise en ligne par une officine sioniste de propagande américaine : découvrez les éléments troublants de l'affaire Sotloff.

 

C'est désormais officiel : au lendemain de l'annonce de la décapitation de Steven Sotloff, la France a fait savoir, à l'issue d'un conseil restreint de Défense, qu'elle n'excluait pas "une réponse, si nécessaire, militaire" face à l'Etat islamique.

 

Quelques heures auparavant, une information singulière avait été publiée via Twitter: un porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères révéla que le journaliste américain décapité, issu d'une famille pratiquante et ultra-sioniste de Miami, disposait également de la nationalité israélienne. Selon les autorités de Tel Aviv, cet élément avait été tenu secret pour ne pas faire courir de risque au reporter devenu otage de l'Etat islamique. Dans la foulée, la presse locale a publié plusieurs éléments biographiques méconnus à propos de Steven Sotloff: âgé de 31 ans, l'homme avait effectué son aliya en 2005 et avait suivi jusqu'en 2008 un enseignement universitaire dans le Centre interdisciplinaire d'Herzliya.

Le lieu n'est pas anodin pour les spécialistes du monde de l'espionnage: il s'agit d'une pépinière de futurs (ou ex) agents secrets israéliens. "Un lieu souvent proche du Mossad", comme me l'avait confié le grand reporter Éric Laurent (Le Figaro, RFI) lors d'un entretien relatif aux délits d'initiés du 11-Septembre.

De 2008 à 2013, Sotloff a ainsi parcouru le Moyen-Orient en sa qualité de journaliste freelance. Ses premiers employeurs: The Jerusalem Post et The Media Line, deux organes proches de la droite dure israélienne. 

De 2011 à 2013, Sotloff a également entretenu une chaleureuse correspondance avec un journaliste israélo-américain passé par la même école d'Herzliya. Dénommé Oren Kessler, l'homme -basé à Londres- est membre de laSociété Henry Jackson, influent think-tank du néoconservatisme (pro-Israël, pro-Etats-Unis, islamophobe) à destination de l'Europe. Son compatriote adressa hier, au webmagazine Politico, un texte en hommage à son "presque-ami" qu'il n'eût jamais l'occasion de rencontrer physiquement. Chose étrange: lors de la mise en ligne du papier, hier soir, le site avait la mention de l'école d'Herzliya avant de la faire censurer dans une version ultérieure comme en atteste le cache Google. 

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Avant la censure

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Après la censure

Dans son hommage, Kessler révéla incidemment que Sotloff avait feint d'être musulman lors de ses voyages dans les pays arabes. Un autre témoignage corrobore ce récit en précisant que Sotloff prétendait être d'origine tchétchènepour expliquer la consonance de son patronyme.

Détail important à souligner au regard des réseaux israéliens atypiques de Sotloff: l'organisme qui révéla la vidéo de sa décapitation est également lié au renseignement militaire américain et israélien ainsi qu'à la droite sioniste antimusulmane. Il s'agit d'une structure dénommée SITE Intelligence Group. Hier soir, le quotidien britannique The Telegraph indiqua que les jihadistes de l'Etat islamique ont été curieusement pris de court en découvrant la vidéo en ligne. Le correspondant à Washington du journal anglais précisa également que SITE, présenté comme étant à l'origine de la divulgation, n'a pas voulu donner d'élément sur les circonstances de leur trouvaille, se contentant d'affirmer que le document était sur un "site de partage de fichiers".

Si le citoyen devait se satisfaire uniquement du traitement de l'information effectué par Le FigaroLe Monde ou France Télévisions, il pourrait penser que SITE serait simplement "un service surveillant l'activisme fondamentaliste sur le Web" (de même que le centre interdisciplinaire d'Herzliya serait juste un "établissement privé près de Tel Aviv").

Problème: le groupe SITE est plus proche d'une officine idéologique que d'un laboratoire indépendant de recherche universitaire. Sa directrice et fondatrice se nomme Rita Katz

Fille d’un Irakien exécuté sur la place centrale de Bagdad pour espionnage au profit de l’État hébreu, cette Israélo-Américaine est à la fois proche du FBI et de la mouvance sioniste. Après avoir collaboré  (dès son arrivée aux Etats-Unis) avec une agence liée à la droite israélienne radicale et anti-islam, ("The Investigative project on terrorism"), elle a connu son moment de gloire en 2003, lors de la parution de son livre Terrorist Hunter dans lequel elle relata ses infiltrations dans les groupes islamistes (dans le style sensationnaliste et factuellement controversé de Mohamed Sifaoui). Celle qui estime que "les juifs appartiennent à Israël" est désormais réputée auprès des experts du terrorisme: la plupart des documents audiovisuels mensongèrement imputés à Oussama Ben Laden et relayés aux médias avaient été "découverts" par son "centre de surveillance des sites islamistes", parfois en tandem avec un autre groupe dénommé IntelCenter.

Cette structure partenaire a également relayé en solo bon nombre de vidéos ou messages attribués à Al-Qaïda. En janvier 2001, son président, Ben N. Venzke, s’était fait remarquer sur la scène nationale en publiant un rapport détaillé sur le"cyber-conflit israélo-palestinien". IntelCenter était initialement une émanation de iDefense, un laboratoire dirigé par le chrétien évangélique Jim Melnick, militaire alors chargé des opérations psychologiques auprès du secrétaire à la Défense – et "ami" déclaré du Likoud – Donald Rumsfeld.

Fondé en 2002, le site web du "service de surveillance" dirigé par Rita Katz et relayé sans sourciller par la presse française a une particularité. Jusqu'en 2008, il était domicilié sur un serveur qui abritait également plusieurs plate-formes de la communauté juive américaine dont certaines avaient un caractère ultra-sioniste et/ou islamophobe. La même année, un quotidien britannique révéla par ailleurs qu'une photo présentée par SITE comme l'illustration islamiste d'un ravage nucléaire à Washington provenait en réalité d'un jeu vidéo.

Une telle légèreté évoque presque celle des vidéastes de la décapitation de Steven Sotloff: tandis que la vidéo relative à la mort de son confrère James Foley présenterait des trucages (selon des experts sollicités par la presse britannique), celle ayant trait à la mort de Sotloff comporte un élément singulier digne du théâtre d'improvisation. À la toute fin de la séquence (d'une durée de 2'47), on peut entendre une voix basse (en anglais) se réjouissant de la prestation de l'homme en noir par ces mots : "Bien, bien".

Curieux manque de professionnalisme qui s'ajoute à une contradiction jamais soulignée par la presse occidentale : dans les vidéos Foley et Sotloff, la décapitation n'est pas entièrement filmée. Un voile noir apparait en fondu dans les premières secondes avant de laisser entrevoir une tête ensanglantée reposant sur un corps allongé au sol. À l'inverse, toutes les autres vidéos de l'Etat islamique sont particulièrement crues: les assassins vidéastes filment en image haute-définition leurs cibles avant, pendant et après leur exécution. Pourquoi Foley et Sotloff, pourtant présentés comme des emblèmes de l'ennemi américain, ont-ils eu droit à un régime d'exception? Mystère.

HICHAM HAMZA  

 

http://www.panamza.com/030914-soltoff-israel