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Inscrits, pas inscrits, Facebook vous traque tous !

jeudi 2 avril 2015 à 10:53
Inscrits, pas inscrits, Facebook vous traque tous !

Vous le savez déjà très certainement mais Facebook et vie privée ne sont pas franchement deux termes pouvant être mis côte à côte. Régulièrement, le réseau social se fait épingler pour des pratiques "douteuses" mises en place dans le but de collecter davantage de données. D'après une récente étude, Facebook traquerait même ceux qui ne sont pas utilisateurs de son réseau.


Des chercheurs de la Vrije Universiteit Brussel et du Centre of Interdisciplinary Law and ICT de l’Université de Leuven ont découvert que les activités de surveillance de Facebook s’étendaient même à ceux qui n’y sont pas inscrits. Seulement voilà, la loi européenne oblige les réseaux sociaux à obtenir le consentements des utilisateurs avant de placer notamment des cookies sur leurs ordinateurs.

Selon leur rapport commissionné par la Belgian Privacy Commission, Facebook suivrait indifféremment tous les internautes, utilisateurs déconnectés du réseau social et même les non inscrits. Une pratique rendue possible, d’après The Guardian, par l’implantation de son bouton « J’aime », lequel se retrouve sur plus de 13 millions de sites. Même sans utiliser ce bouton, le code est capable de détecter l’activité de l’utilisateur et de renvoyer les données à Facebook.

De son côté, le géant conteste les résultats de ce rapport, citant des « inexactitudes factuelles« . « Les auteurs ne nous ont jamais contacté, ni n’ont souhaité clarifié leurs hypothèses sur lesquelles le rapport est basé. Ils n’ont pas non plus répondu à notre commentaire sur le rapport avant de le rendre public.« 

 

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Epidémie: 3 fonctionnaires importants du département ukrainien de la CIA se sont suicidés

jeudi 2 avril 2015 à 10:47
Epidémie: 3 fonctionnaires importants du département ukrainien de la CIA se sont suicidés

Selon des sources russes bien informées, lundi 30 mars trois fonctionnaires importants du département ukrainien de la CIA se sont suicidés.

Une circulation insolitement animée des voitures des employés quittant le quartier général de la CIA à Langley, Virginie, a eu lieu durant la journée. La direction les aurait laissés aller, pour réduire le nombre de personnes pouvant prêter attention à l’enquête massive sur la corruption menée au département ukrainien (on en soupçonne pas mal de fonctionnaires d’être payés par une source tout à fait autre que le budget de la CIA et des États-Unis en général).

Plus tard dans la journée encore deux cadres de ce même département se sont donnés la mort, de sorte que le bilan de suicides a atteint cinq.

Suite à cela plus d’une vingtaine d’employés de ce département malencontreux se sont rassemblés dans le hall du quartier général pour assurer tout venant qui voudrait les entendre que justement eux, étant heureusement encore en vie, ils n’avaient aucune intention de se suicider, de sorte qu’un suicide éventuel de quelqu’un d’eux serait absolument faux. Pourtant, à en juger par leur mutisme obstiné sur les circonstances de cette série de cinq morts mystérieuses de leurs collègues, ils n’ont également aucune intention de quitter le service.

Mais pourquoi ces morts ? Vers lundi soir le même tuyau a jeté la lumière sur les causes probables de cette "épidémie".

Certains hommes politiques européens exigeant aux états-uniens d'en finir avec la guerre en Ukraine ont avancé un argument imprudent : les insurgés du Sud-Est de l’Ukraine ne seraient point des terroristes, mais des citoyens luttant contre l’atteinte à leurs droits civils légitimes. De telles paroles, on ne les prononce pas en public, mais durant quelques négociations fermées les Européens ont décidé de montrer que les États-uniens n’ont pas réussi à les duper.

En réponse à cette insolence une série d’opérations a été élaborée, destinée à montrer aux Européens le vrai visage des séparatistes pro-russes, un visage vraiment bestial. Des explosions ont été prévues dans les institutions médicales, dans les foyers d’enfants, etc., de l’Ukraine centrale et de l’ouest, loin de la zone de la soi-disant « opération anti-terroriste ».

Le chef de la section militaire du département ukrainien de la CIA, jugeant ce plan trop risqué, a fait part de ses doutes à son supérieur et a reçu une réponse catégorique : « Exécutez. Vous ne vous imaginez pas ce qui est misé sur la carte. »

Cette réponse n’a point satisfait le subordonné. Le département ukrainien comprend quelques autres sections en dehors de militaire : politique, etc. Donc le chef de la section militaire a partagé ses craintes avec ses deux collègues, autres chefs de sections. Ensemble ils ont décidé de prendre des mesures pour faire obstacle à cet ordre jugé criminel, jusqu’au recours au Sénat.

Ces trois fonctionnaires sont devenus les premiers « suicidés », mais comme l’information a déjà fui, on a dû liquider deux autres personnes mises au courant.

 

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Les Pygmées harcelés, frappés, torturés par des brigades antibraconnage soutenues par le WWF

jeudi 2 avril 2015 à 10:33
 Les Pygmées harcelés, frappés, torturés par des brigades antibraconnage soutenues par le WWF
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Le WWF n’a toujours pas pris de mesures pour mettre fin aux exactions commises par les brigades anti-braconnage à l’encontre des Pygmées baka et de leurs voisins au sud-est du Cameroun, tout juste un an après avoir reçu des rapports sur les harcèlements et les mauvais traitements dont ils sont victimes et treize ans après qu’il en a été informé pour la première fois. 


Ces brigades, qui sont formées de gardes forestiers – et parfois de soldats et de policiers - sont financées par le WWF et ne pourraient agir sans son soutien. 

Près de 9 000 personnes ont écrit au WWF pour l’appeler à veiller à ce que son financement ne soit pas utilisé pour violer les droits des Baka et de leurs voisins. L’an dernier, des villageois avaient demandé au WWF de suspendre son aide. 


 
 
Dans cette vidéo, enregistrée en novembre 2014, des Baka de Ndongo, un village où est implantée l’une des base duWWF, appellent l’ONG à cesser de financer les brigades anti-braconnage qui les persécutent depuis des années. De nombreux Baka utilisent le terme ‘dobi dobi’ ou ‘dobi-dobiyu’ pour qualifier le WWF et les brigades anti-braconnage qu’il finance. Dans cette vidéo, ils se référent clairement au WWF. 

Le WWF a dans un premier temps réagi avec agressivité à la campagne épistolaire de Survival dénonçant ces abus, qualifiant celle-ci de ‘calomnieuse’, ‘absurde’ et ne ‘servant que ses propres intérêts’. Plus récemment, le WWF a admis être ‘conscient que la situation défavorisée générale des Baka trouve aussi son origine dans leurs relations avec les gardes forestiers, la police et les tribunaux’.


Le WWF a déclaré qu’il attendrait les résultats d’une enquête menée sur ces exactions par la Commission des droits de l’homme camerounaise. Cependant, plus de cinq mois après que la plainte a été déposée devant la Commission, l’enquête n’a toujours pas commencé. La Commission a déclaré qu’elle avait l’intention de ne visiter qu’un petit nombre de villages et qu’elle publierait ses conclusions à la fin de l’année. Survival, ainsi que de nombreux Baka, ont appelé le WWF à ne pas attendre les résultats de l’enquête pour cesser d’apporter son soutien. 


Ces violentes persécutions infligées par les brigades anti-braconnage ne représentent qu’un aspect des violations systématiques des droits de l’homme perpétrées à l’encontre des Baka. Si le WWF s’est engagé à définir un ensemble de principes fondés sur la nécessité de prévenir de tels abus à l’encontre des peuples indigènes, les Baka dénoncent qu’ils ne sont pas appliqués dans son action au Cameroun. 


L’un de ces principes consistait à ne soutenir la création de zones protégées et la mise en place de mesures de restriction sur la chasse et la cueillette de subsistance qu’avec le consentement libre, préalable et éclairé des Baka. 

 

 

Les Baka craignent de s'aventurer dans leur forêt convertie en zone protégée.
Les Baka craignent de s'aventurer dans leur forêt convertie en zone protégée.
© Selcen Kucukustel/Atlas 
 
Or, les Baka n’ont ni consenti à la création de zones protégées sur leur territoire, ni accepté les lois qui les criminalisent et les assimilent à des braconniers parce qu’ils chassent pour se nourrir. Ils subissent harcèlement, coups et torture et nombreux sont ceux qui dénoncent des morts parmi eux suite aux mauvais traitements. 


Les droits des peuples indigènes du monde entier sont bafoués au nom de la conservation bien qu’ils soient les meilleurs gardiens de leur environnement. Survival lutte contre ces abus à travers sa campagne ‘Les Parcs ont besoin des peuples’


Stephen Corry, directeur de Survival International, a déclaré aujourd’hui : ’Jusqu’à présent, l’enquête de la Commission n’a mené nulle part et la visite des villages lui prendra plusieurs mois. Le WWF doit agir maintenant, avant que d’autres vies ne soient brisées ou perdues. Il est également temps que leWWF honore ses engagements en faveur des peuples indigènes, comme les Baka l’ont invité à le faire. Si le WWF voulait réellement faire face à la crise actuelle, il cesserait de financer les gardes forestiers et respecterait ses propres principes’. 

http://www.survivalfrance.org/actu/10711 

Un couple allemand paie sa contribution aux réparations de guerre de l’Allemagne à la Grèce

jeudi 2 avril 2015 à 10:10
Un couple allemand paie sa contribution aux réparations de guerre de l’Allemagne à la Grèce

Il y quelques semaines, un groupe de 28 députés grecs présents à Berlin a exigé le paiement de 57 milliards de dollars correspondant à un prêt forcé exigé par Berlin au cours de la Seconde Guerre mondiale à la Banque Centrale grecque pour financer ses troupes en Grèce. L’Allemagne a aussitôt refusé assurant que cette dette avait été payée en 2010. Cependant, un couple allemand, Nina Lange et Ludwig Zaccaro, a décidé de payer sa contribution aux réparations de guerre que l’Allemagne doit, selon eux, à la Grèce pour les dommages occasionnés par le régime nazi.

Nina Lange, de 56 ans, et Ludwig Zaccaro, de 67 ans, vivent en Bavière. Ils ont réalisé un calcul simple pour savoir combien chaque Allemand devrait payer individuellement pour indemniser les Grecs pour les crimes commis durant l’occupation nazie. En divisant la somme totale demandée par Athènes par le nombre d’habitants allemands, ils sont arrivés à la conclusion que chaque citoyen allemand devrait payer 875 euros et ont décidé de se rendre à Nauplie, dans le Péloponnèse, et de s’acquitter de leur dette auprès du maire de la ville, Dimitri Kotsouros.

« Il s’agit d’un chiffre symbolique, un acte de solidarité afin de réparer les dommages occasionnés par l’Allemagne », a expliqué Nina Lange. « Nous sommes honteux de notre pays et nous espérons qu’un jour, le gouvernement paie ses réparations. De notre côté, nous avons pris les devants ».

Selon le héros de guerre grec Manolis Glezos, actuel député européen pour le parti de gauche grec SYRIZA, c’est la somme de 162 milliards d'euros, hors intérêts cumulés, que l’Allemagne doit rembourser à la Grèce au titre des prêts forcés extorqués pendant l’occupation.

La guerre en Grèce a fait 1,4 million de décès et de blessés, ce qui correspond à environ 19% de la population grecque totale. En outre, la Wehrmacht allemande a envoyé 70 000 Juifs grecs dans des camps de concentration. Pratiquement personne n’en est revenu. De plus, 130 000 citoyens grecs ont été exécutés.

La somme payée par le couple allemand en guise de contribution aux réparations de guerre a été versée par le maire de Nauplie à une ONG, Pyle Politisimou, qui soutient des familles affectées par la crise et qui n’emploie que des bénévoles.

 

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La Palestine, nouveau membre de la CPI, veut poursuivre Israël pour crime contre l'humanité

jeudi 2 avril 2015 à 08:59
La Palestine, nouveau membre de la CPI, veut poursuivre Israël pour crime contre l'humanité

Hautement symbolique, cette adhésion de l'Autorité palestinienne à la Cour pénale internationale est une arme diplomatique brandie face à Israël. Qui a dénoncé une décision "politique et cynique". 

C'est chose faite. Après en avoir fait la demande fin 2014, la 
Palestine est devenue un membre officiel de la Cour pénale internationale (CPI) ce mercredi. C'était une menace diplomatique brandie de longue date par l'Autorité palestinienne en dépit des menaces israéliennes. Mais elle pourrait s'avérer difficile à manipuler. 

La Cour pénale internationale est compétente pour juger les actes de génocide, les crimes contre l'humanité, les crimes de guerre et les crimes d'agression. Seuls les Etats membres peuvent saisir directement le Procureur de la CPI pour lui demander d'enquêter, c'est pourquoi la Palestine devait ratifier le Statut de Rome. 

Obtenir que justice soit faite 

L'Autorité palestinienne espère ainsi que des dirigeants israéliens soient un jour condamnés pour crimes de guerre ou crimes liés à la corruption. "La Palestine recherche la justice, pas la vengeance", a assuré ce mercredi le ministre palestinien des Affaires étrangères, Ryad al-Malki. 

Avant même son adhésion formelle, l'Autorité palestinienne avait envoyé des documents à la Cour pour autoriser le procureur à enquêter sur des crimes présumés commis depuis juin 2014, lors de l'
opération "Bordure protectrice". Mais avant de porter plainte formellement, le gouvernement devrait attendre le résultat de l'examen préliminaire lancé en janvier, a précisé le ministre. Signe que toutes les précautions sont prises. 

A terme, selon 
Le Monde, quatre dossiers pourraient être portés devant la Cour: les colonies, le mur de séparation, le siège sur Gaza et la guerre à Gaza. 

Une décision symbolique 

La CPI est-elle le dernier recours des Palestiniens pour internationaliser leur cause? Elle a en tout cas une portée symbolique, tant les Palestiniens sont dans une impasse. Vingt ans après les 
accords d'Oslo, les négociations dans le conflit israélo-palestinien sont au point mort, la dernière tentative américaine en 2013 n'ayant rien donné. 

Et le 31 décembre 2014, le Conseil de sécurité de l'ONU a rejeté, à une voix près, une 
résolution prévoyant un accord de paix dans les 12 mois et le retrait israélien des Territoires occupés avant fin 2017. L'Autorité palestinienne a donc décidé d'abattre la carte de la CPI. 

Les limites de la CPI 

Toutefois, le recours éventuel de la Palestine à cette instance juridique sera confronté à de nombreux obstacles. A commencer par la lenteur même de la CPI, qui a prononcé deux verdicts sur ses 10 premières années d'existence (2002-2012). La Cour est également limitée par son cadre même puisqu'elle ne peut pas juger des actes commis avant sa création, en 2002. 

Théoriquement, les enquêtes de la CPI à Gaza pourraient également l'amener à examiner les actes commis par le Hamas, qui échappe au contrôle de l'Autorité palestinienne. Et compliquer leurs relations. En outre, la Cour pourra poursuivre des Israéliens, mais comment les interpeller sans force de police propre et 
sans la coopération d'Israël

La riposte de Tel-Aviv pourrait également être vive. Ce mercredi, le ministère israélien des Affaires étrangères a dénoncé une décision "politique et cynique". A l'annonce de l'adhésion de la Palestine à la CPI, Israël avait cessé de verser quelque 106 millions de taxes qu'il prélève chaque mois et doit à l'Autorité palestinienne, avant de revenir sur sa décision. Or, ce financement est capital pour l'institution. Par ailleurs, Israël réplique déjà en justice: des actions sont menées devant des juridictions ordinaires, rappelle
France 24, pour juger les bombardements du Hamas sur l'aéroport de Tel-Aviv l'été dernier. Dans ce contexte ultra-tendu, la décision de l'Autorité palestinienne d'adhérer à la CPI est plus que jamais un pari osé.

 

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