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Récolte d'organes en Ukraine : des révélations troublantes

mardi 21 octobre 2014 à 21:18
Récolte d'organes en Ukraine : des révélations troublantes

Réseau de trafic d’organes

Récolte d'organes en Ukraine : des révélations troublantes
Il y a quatre ans, le quotidien anglais The Guardian publia un dossier sur un important réseau de trafic d'organes opérant en Ukraine 

Nous savons bien que lorsque l'on voit un titre comme celui-ci, on le met immédiatement dans la catégorie « trop gros pour être vrai ». Notre cœur ne veut pas le croire. 

Ensuite, on commence à réfléchir et à penser qu'il s'agit d'une espèce de campagne de diabolisation. 

Mais lorsque nous avons examiné cette proposition faite par un de nos contributeurs, nous avons dû admettre que les faits et les arguments qui y sont présentés méritaient d'être sérieusement considérés. Ce dossier vient de 
Mark Chapman, qui entretient un blog très respecté sur la Russie. Nous ne pouvons lui donner l'imprimatur des faits, ainsi que le ferait une grande organisation d'information, car nous ne sommes qu'un groupe de volontaires œuvrant durant notre temps libre. 

Hé ! les médias de grande audience, regardez donc ce truc. Vous avez de fait des professionnels payés dans vos équipes. Pourquoi ne pas missionner un journaliste d'investigation sur ce sujet et aller au fond des choses ? 

Il s'agit d'une histoire qui ne s'effacera pas. 

Des corps de soldats ukrainiens ont été retrouvés avec l'abdomen incisé et des organes manquants. Des héros de l'Ukraine, loués dans presque toutes les conversations à Kiev et en Ukraine occidentale (Slava Ukraina, Geroyim Slava,alias Gloire à l'Ukraine, gloire aux héros), dépouillés de leur cœur, de leurs reins et de leur foie, destinés à être transplantés dans le corps de ceux qui peuvent se permettre de payer. 

Les profits issus d'un tel commerce sont de l'ordre de dix fois l'investissement, même lorsque le négociant doit payer une certaine somme à un donneur pauvre qui vendra un rein pour se sortir de sa pauvreté. 

Venant d'une récolte généreuse de personnes récemment décédées, qui ne pourront s'exprimer en leur nom, c'est en effet un business lucratif. 

On dit que des fosses communes ont été trouvées dans la région de Donetsk, apparemment composées de civils ayant les mains attachées dans le dos, tués d'une balle dans la tête et sur les corps desquels on trouve des traces de torture faites avant que le coup de grâce ne soit administré. Certains d'entre eux ont été décapités. On dit même que certains d'entre eux ont aussi été trouvés l'abdomen ouvert, et que des organes étaient manquants. 

Il va cependant vous falloir fouiller profondément pour trouver des informations sur ce sujet, c'est en tout cas ma prédiction. Car en fait, le Département d'État des États-Unis, d'une façon qui aurait pu être scandaleuse si elle n'avait été aussi prévisible, a confié l'enquête sur ces allégations 
aux autorités-mêmes qui, de toute évidence, sont derrière toute cette histoire, le gouvernement ukrainien

Des allégations au sujet de corps de soldats ukrainiens utilisés pour fournir le commerce d'organes de contrebande sont apparues plus tôt dans le conflit.
StopFake, un site qui a rapidement agi pour discréditer les histoires qui pourraient donner une mauvaise image du gouvernement ukrainien, et qui parfois fabrique des histoires fausses ou des hommes de paille afin de démolir ces histoires et d'accroître sa propre crédibilité, a rapidement réagi à l'affaire

Il s'avère pourtant que son hypothèse, qui veut que l'histoire est une fabrication ridicule, parce que les organes doivent être enlevés aussi rapidement que possible après le décès, réfrigérés dans des boites spéciales et extraits des zones de combats, est remise en question par le journaliste Tony Cartalucci du New Eastern Outlook

Tony, qui tient un blog populaire appelé 
Land Destroyer, et dont les analyses ont régulièrement été très fiables, en dépit de l'accueil plutôt froid que lui ont réservé les gouvernements occidentaux, décrit des témoignages d'employés des aéroports internationaux, comme celui de Boryspil. Ces témoignages rapportent avoir vu de petit avions agréés, équipés avec des réfrigérateurs spéciaux utilisés pour transporter des organes humains. De plus, des véhicules spécialement équipés et des ambulances modernes ont été observés, tous proches des hôpitaux militaires ukrainiens. Bien que le fait de trouver des ambulances à proximité d'hôpitaux ne soit pas proprement une chose choquante, il a été amplement rapporté que Kiev ne peut même pas fournir des uniformes corrects ou de la nourriture adéquate à ses soldats. Dans ces conditions, les accompagnements dispendieux autour des hôpitaux semblent quelque peu suspects. 

Particulièrement si l'on considère l'histoire sordide du trafic d'organes en Ukraine. En 2010, quatre chirurgiens et quatre autres personnes non nommées ont été arrêtés par le ministère ukrainien de l'Intérieur (
article du Guardian) pour trafic d'organes humains, surtout des reins, prélevés sur des jeunes femmes pauvres. Ces femmes désespérées étaient payées à peu près 10.000 $ pour un rein en bonne santé, qui était alors transplanté à un bénéficiaire lors d'une opération lui ayant coûté 200.000 $. Du joli travail, si vous pouvez vous le payer. Cette enquête s'est par la suite élargie à douze personnes opérant dans un réseau dirigé par un Israélien, né Ukrainien

À côté de ses autres raisonnements sensés, Cartalucci met en avant un autre argument convaincant. Les rapports faits par les médias sociaux au sujet des récoltes illégales d'organes sont dédaignés par les organes de presse occidentaux, tels la BBC, qui les considèrent comme étant le produit d'un excès de télévision ou d'imaginations surchauffées. « Ce serait les mêmes 'réseaux sociaux' qui sont pourtant fréquemment cités par les médias occidentaux afin de soutenir les affirmations qu'ils font contre les cibles que sont les gouvernements de Libye ou de Syrie. Maintenant que les intérêts occidentaux soutiennent un régime essayant de consolider son pouvoir contre des combattants armés, de telles histoires sont 'folles' et indignes d'enquêtes approfondies  », dit Cartalucci 

Je ne pense pas avoir besoin de vous dire qu'il a absolument raison. 

Traduit par Lionel pour vineyardsaker.fr

Avec la mort de Christophe de Margerie, ce sont 4 groupes énergétiques français qui ont été décapités la même semaine

mardi 21 octobre 2014 à 19:47
Avec la mort de Christophe de Margerie, ce sont 4 groupes énergétiques français qui ont été décapités la même semaine

Grand ménage dans le secteur énergétique

Avec la mort de Christophe de Margerie, ce sont 4 groupes énergétiques français qui ont été décapités la même semaine

 

Christophe de Margerie, PDG du groupe pétrolier Total, vient de décéder dans un accident d'avion sur la piste de l'aeroport de Vnoukovo près de Moscou après avoir s'être entretenu avec Dmitri Medvedev au sujet des investissements étrangers en Russie. Christophe de Margerie militait contre les sanctions occidentales et avait tissé des liens d'amitié avec le gouvernement russe.

La firme Total est implantée depuis 1991 en Russie et malgré les sanctions elle a continué à investir dans le pays où elle est impliquée dans divers projets qui se chiffrent en pillards de dollars.

La mort tragique de son PDG coïncide avec une période de grands bouleverments à la tête de grandes firmes du secteur énergétique français.

En quelques jours, c'est tout d'abord Henri Proglio le PDF d'EDF qui a vu la fin de son mandat au profit de Jean-Bernard Lévy, actuel patron de Thales. Cette nomination doit être approuvée officiellement lors d'une assemblée générale le 21 novembre à la veille de la fin officielle du mandat d'Henri Proglio.

Chez Areva, Luc Oursel, a annoncé lundi son départ pour des raisons de santé, obligeant le groupe nucléaire, en difficulté dans un secteur en crise depuis le désastre de Fukushima, à lui trouver rapidement un successeur. Areva a fait savoir qu'une assemblée générale doit se tenir le 9 décembre.

Chez GDF Suez, Gérard Mestrallet qui va bientôt atteindre la limite d'âge de 67 serait prêt à anticiper son départ de son poste de directeur général et abandonner la direction opérationnelle de l'entreprise.

Le conseil d'administration doit se prononcer sur la nomination d'Isabelle Kocher, actuelle directrice financière, en tant qu'administrateur et directrice générale déléguée du groupe, en remplacement de Jean-François Cirelli.
Cela placerait cette ancienne cadre de la Compagnie Financière Edmond de Rothschild en position de favorite pour succéder à Gérard Mestrallet à la tête du géant mondial de la production et de la distribution de gaz.

 

Source

La déforestation en Amazonie s'accélère

mardi 21 octobre 2014 à 19:35
La déforestation en Amazonie s'accélère

402 kilomètres carrés a disparu sur le seul mois de septembre

La déforestation s'accéère

 

D'après de récentes données satellitaires, on compte pour les mois d'août et septembre 2014 une augmentation de 190% de la déforestation par rapport à l'année dernière, les bûcherons et agriculteurs tirant parti des failles de la réglementation supposée garantir la protection de la plus grande forêt du monde.

Les chiffres publiés par Imazon, un organisme de recherche brésilien à but non lucratif, montrent que 402 kilomètres carrés - plus de six fois la superficie de l'île de Manhattan - a disparu sur le seul mois de septembre. Naturellement, le gouvernement brésilien a reporté la publication des chiffres officiels jusqu'après l'élection présidentielle de dimanche prochain, mais ceux-ci devraient en effet confirmer une reprise qui a commencé l'année dernière avecune augmentation de 29% de la déforestation après huit ans de ralentissement.

Parmi les raisons qui expliquent cet échec, on note surtout un revirement de la part du gouvernement brésilien qui a modifié ses priorités. Sous l'ère Rousseff, le Brésil a en effet mis de côté ses engagements environnementaux au profit d'alliances plus prospères (financièrement parlant) avec de puissants groupes agroalimentaires. La réglementation en matière de protection forestière a notamment été modifiée afin de favoriser la construction de barrages en Amazonie.

Certes, le ministère de l'Environnement a tenté d'accélérer la traque aux contrevenants, mais les agriculteurs et autres exploitants forestiers optent désormais pour des déforestations de zones de moins de 25 hectares difficilement détectables par satellite. 

Malgré l'aggravation de la situation en Amazonie et la sécheresse la plus grave jamais connue à São Paulo, les questions environnementales n'ont quasiment pas été abordées lors des débats entre les deux candidats à la présidentielle. Alarmés par cette tendance de dégradation de l'environnement et de la complaisance politique, Imazon, l'Institut de recherche environnementale de l'Amazonie et les Amis de la Terre se sont réunis pour pousser le prochain gouvernement à faire de la diversité et de la durabilité des priorités officielles.

"Il est temps de réaliser que les choix actuels en Amazonie ne favorisent pas le développement et augmente la déforestation. Il faut concevoir et mettre en oeuvre une politique de développement régional fondée sur la diversité du territoire", a déclaré Roberto Smeraldi, directeur des Amis de la Terre.

Source © AFP

Une journaliste de Press TV tuée par les services secrets turcs pour avoir dévoilé les liens entre Ankara et Daesh

mardi 21 octobre 2014 à 19:10
Une journaliste de Press TV tuée par les services secrets turcs pour avoir dévoilé les liens entre Ankara et Daesh

Tuée pour tenir le mensonge

Une journaliste de Press TV tuée par les services secrets turcs pour avoir dévoilé les liens entre Ankara et Daesh

 

 

Serena Shim, journaliste américano-libanaise travaillant pour la chaîne iranienne anglophone Press TV, a été tuée dimanche dans un accident de route suspect à la frontière syro-turque. 

Agée de 30 ans et mère de 2 enfants, la journaliste couvrait depuis la Turquie les combats dans la ville frontalière de Kobané, (Aïn el-Arab en arabe). 

Après avoir achevé un reportage à Suruc (localité turque proche de la frontière syrienne qui accueille des milliers de réfugiés), un poids lourd a percuté sa voiture la tuant sur le coup. Le cameraman Judi July qui l'accompagnait a été blessé. 

Press TV a diffusé un message télévisé de Serena Shim qui avait exprimé peu avant sa mort sa peur d'être arrêtée par les services de renseignements turcs qui l'avaient accusée d'être une espionne, vu qu'elle avait accusé -preuves à l'appui- les autorités turques d'entretenir des liens avec Daesh. Elle a fait état d'infiltration des takfiristes en Syrie via la frontière turque. 

Elle avait également indiqué sur Press TV détenir des images de ces miliciens traversant la frontière, dissimulés dans des camions d'ONG et du Programme alimentaire mondiale (Pam) de l'Onu. Une affaire qui lui aurait couté la vie. 

Dans un entretien avec Press TV, Rodney Martin, président de l'American Nationalist Association, a souligné que Serena a été « victime d'une opération secrète de l'Agence centrale de renseignements (CIA), très probablement avec la coopération de la Turquie qui avait accusé la journaliste d'espionnage parce qu'elle détenait des images démontrant l'aide des autorités turques à Daesh ». 

La journaliste avait rejeté les accusations d'espionnage. 

À ce propos et dans une vidéo postée sur le site de Press TV, Serena avait indiqué avant sa mort :
« Je suis très surprise de cette accusation. J'ai même pensé à parler aux services de renseignements turcs pour dire que je n'ai rien à cacher et je n'ai fait que mon boulot. Cependant, je suis un peu inquiète parce que la Turquie est considérée par Reporters sans frontières comme une grande prison pour les journalistes, donc j'ai un peu peur. »

Depuis 1950, des accidents de voiture bizarres et toujours mortels sont organisés surtout par des spécialistes de la CIA et du Mossad. Ces incidents visent souvent des journalistes d'investigation. 

Le directeur des informations de Press TV, Hamid Reza Emadi, a rejeté lundi la version de l'accident. « Nous pensons que le gouvernement turc doit être tenu responsable devant la communauté internationale. Il faut savoir exactement ce qui s'est passé », a-t-il souligné. 

La famille de la journaliste a également indiqué à Press TV ne pas croire la version turque.

 

Source

Des grandes banques ont commencé à facturer des intérêts négatifs sur les dépôts en euros

mardi 21 octobre 2014 à 16:15
Des grandes banques ont commencé à facturer des intérêts négatifs sur les dépôts en euros

Que vivent les banksters...

 

Des grandes banques ont commencé à facturer des intérêts négatifs sur les dépôts en euros

 

 

Le Wall Street Journal rapporte que plusieurs grandes banques internationales ont commencé à facturer des intérêts négatifs sur les dépôts de certains de leurs plus gros clients.

 

Cette évolution est la conséquence de la décision de la Banque Centrale Européenne (BCE) d’adopter un taux d’intérêt négatif au mois de juin de cette année pour dissuader les banques de placer leurs liquidités auprès d’elle, et es inciter plutôt à s’en servir pour consentir des prêts aux PME et aux ménages, et favoriser de ce fait la croissance économique. Depuis, les banques qui continuent de placer leur argent dans les livres de la BCE ne reçoivent plus d'intérêt en rémunération de ces dépôts, et elles doivent même payer pour le faire.

 

En septembre, la BCE a abaissé ce taux, le faisant passer de -0,10% à -0,20%, et à partir de ce moment, certaines banques ont commencé à répercuter ces coûts sur leurs clients. Autrement dit, au lieu de rémunérer les comptes bien garnis de leurs clients, elles ont commencé à leur facturer des agios. La Bank of New York Mellon a ainsi commencé à appliquer un taux d’intérêt négatif de 0,20% sur les dépôts en euros de ces clients. Goldman Sachs et J.P. Morgan Chase & Co. ont aussi commencé à charger des intérêts négatifs sur les encours positifs. Quant à Credit Suisse, elle a indiqué à ses clients qu’elle allait répercuter les taux d’intérêt négatifs qu’elle subissait sur les comptes exprimés dans des devises sur lesquelles elle subit elle-même des taux d’intérêt négatifs, ce qui implique qu’elle facturera des intérêts négatifs sur les dépôts en euros de ses clients.

 

C'est surtout la clientèle institutionnelle des banques, c’est-à-dire les sociétés dotées de gros comptes, en particulier les sociétés de placement collectif (fonds mutuels) ou les hedge funds, qui est visée par ces mesures. Pour ces clients, le nouveau défi va consister à trouver de nouveaux supports de placement sûrs pour leurs grosses encaisses de cash, et il est probable qu’ils seront amenés à prendre plus de risques.

 

Les taux d’intérêt négatifs reflètent la paralysie qui gangrène l’économie européenne, affirme le Wall Street Journal, qui explique que les ménages et les entreprises sont si peu enclins à utiliser leurs liquidités en consommant ou en investissant que les banques leur chargent des intérêts pour le seul service de conserver ce cash. Le journal précise que ce changement montre que les banques pensent que ces taux d’intérêt négatifs ne sont pas un phénomène ponctuel, mais qu’ils sont appelés à durer.

 

En outre, la nouvelle réglementation bancaire oblige les banques à détenir plus de capitaux en garantie des dépôts qu’elles conservent, alors que ceux-ci sont faiblement rémunérateurs, ce qui les dissuade de favoriser la collecte de ces dépôts.

 

Des banquiers et des investisseurs ont indiqué au journal que des clients ont déjà commencé à transférer leurs dépôts dans des banques qui ne facturent pas d’intérêts négatifs sur les encours positifs en euros. D’autres les transfèrent sur des produits d'investissement assimilables à des liquidités, comme des fonds monétaires ou des « repos » (pensions livrées, ou accords de rachat).


http://www.express.be/business/fr/economy/des-grandes-banques-internationales-ont-commence-a-facturer-des-interets-sur-les-dpots-en-euros-de-leurs-clients.htm