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Un dossier de 130.000 documents de l'armée de l'air américaine sur les ovnis rendu public

dimanche 25 janvier 2015 à 08:04
Un dossier de 130.000 documents de l'armée de l'air américaine sur les ovnis rendu public

Un passionné d’ufologie et activiste militant pour la déclassification de documents officiels des Etats-Unis, a rendu publique une kyrielle de rapports, entrevues et données compilés par l’Armée de l’air américaine au sujet de 12.000 phénomènes en rapport avec des ovnis observés entre 1947 et 1969.

John Greenewald a pu, après deux décennies de démêlés administratifs, réunir des informations issues de documents officiels de l’armée de l’air sur des ovnis apparus sur tout le territoire national des Etats-Unis et en-dehors de ses frontières. Sur sa page « The Black Vault », tout le monde peut accéder facilement à ces documents classés par année et par thème. Au total, 12.618 phénomènes anormaux, dont 701 n’ont pas d’explication, sont répertoriés sur le site de Greenewald.

L’ensemble des documents forment partie d’un projet intitulé« Blue Book » abandonné par l’US Air Force en 1985 en raison d’un manque de financement, du fait qu’aucune preuve de vie extraterrestre n’ait été établie, et du peu de menaces que représentaient ces phénomènes pour la sécurité nationale des Etats-Unis.

Les conspirationnistes et théoriciens du complot sont aux aguets

Selon Greenewald, cette documentation est la preuve qu’il existe une dissimulation constante du phénomène extraterrestre. Pour l’activiste, il s’agit de la preuve que quelque chose d’autre existe ailleurs dans l’espace.

Ces documents ont été révélés au public alors que récemment, la CIA a affirmé être à l’origine de la majorité des ovnis observés dans le ciel entre 1950 et 1960. Selon l’agence américaine, il s’agissait de tests d’avions d’espionnage dont seuls des hauts responsables avaient connaissance, argument qui est loin de convaincre les adeptes de la théorie du complot.

 

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Les médicaments sont la troisième cause de décès

dimanche 25 janvier 2015 à 08:02
Les médicaments sont la troisième cause de décès

Manipulation des données (par le Dr Barrette aussi), corruption, faillite éthique, capture réglementaire, précipice fiscal. Les compliments sortent dru et décoiffent. « Nous avons confié la banque aux bandits ! », conclut le Dr Fernand Turcotte en faisant allusion aux compagnies pharmaceutiques, administrateurs et autres marchands du temple qui ont pris le contrôle du système de santé dans l’ensemble des pays riches.

 

Nos institutions publiques, destinées à protéger la collectivité, servent désormais des intérêts commerciaux et privés. Les médecins sont devenus des pushers de tests de plus en plus pointus et de médicaments coûteux, encouragés par les patients qui veulent piger dans le buffet « à volonté » et par un establishment frileux qui craint les poursuites. Je caricature à peine.

 

En gros, la santé hérite de presque la moitié de nos impôts. Et nous sommes victimes de politiques à courte vue alors que nous aurions besoin du télescope Hubble pour prendre une distance.

 

Devant moi, j’ai deux électrons libres qui connaissent à fond les rouages de notre système de santé, qu’ils rebaptisent « système de maladie ». L’une est éthicienne clinique (formation en droit, en communications et en bioéthique), l’autre est retraité de l’enseignement, cofondateur du département de médecine sociale et préventive à l’Université Laval, un bonze de la santé publique.

 

Delphine Roigt fait partie d’une « secte de sages » qui compte une dizaine de membres principalement affiliés au réseau hospitalier au Québec. Le Dr Fernand Turcotte, lui, a pris sa retraite, il y a dix ans, pour se consacrer à la traduction de livres de vulgarisation médicale sur les abus du système.

 

À 73 ans, le Dr Turcotte est l’un des rares médecins à s’indigner des excès de notrebusiness médical subventionné et « gratuit ». Son cheval de bataille ? Le surdiagnostic. On l’invite dans les congrès de médecins pour en discourir ; son franc-parler et sa crédibilité scientifique font le reste.

 

Selon le président de l’Association médicale du Québec, le Dr Laurent Marcoux, cité dans le magazine L’actualité de septembre dernier, le surdiagnostic représenterait cinq milliards de dollars sur un budget qui compte plus de 30 milliards au Québec. Aux États-Unis, on estimait les pertes entre 158 et 226 milliards en 2011. Qui dit surdiagnostic dit surtraitement et surmédication, voire mortalité. « Les médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et les cancers », martèle le doc Turcotte, qui traduit en ce moment un livre sur les médicaments et ce qu’il baptise le « crime organisé ».

 

« Quand un phénomène de santé est lié à un développement technologique, méfiez-vous ! On inflige du surdiagnostic ! » Mme Roigt opine : « Des patients me disent : “ Si j’avais su que c’était ça, un pacemaker, je m’en serais passé. ” On ne les avait pas informés des effets secondaires. Et c’est malheureusement vrai dans d’autres cas. »

 

Tant que ce n’est pas brisé, on ne répare pas

 

Certains économistes prévoient une croissance de 100 % du budget de santé au Québec d’ici 2030. Selon le docteur Turcotte (et les médecins américains qu’il traduit), nous avons tout faux en ciblant le vieillissement de la population pour expliquer la flambée des coûts à venir. Nous avons associé vieillissement et dépistage systématique, d’où la dérive actuelle.

 

S’il était ministre de la Santé, le Dr Turcotte abolirait tous les examens annuels sur des bien portants, toutes les campagnes de vaccination antigrippale, tous les tests de dépistage systématique (le mot est important) de cancer du sein, de la peau, de la prostate ou du côlon.

 

Des tests parfaitement inutiles, selon lui, puisque la courbe de mortalité demeure presque inchangée, tests ou pas. Côlon ou seins, à titre d’exemple, on réchapperait cinq patients sur 1000 personnes testées par période de dix ans. Évidemment, quand c’est toi la statistique trouble-fête, ça change tout… je parle en connaissance de cause.

 

Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause de lui. « Le traitement est souvent pire que la maladie, croit le médecin. Depuis 1992, on a les études qui démontrent que les mammographies sont inutiles. Même chose pour la prostate : ça fait bientôt six ans qu’on dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer tellement lentement que ça va nous faire mourir après notre mort. »

 

Mon grand-père est mort de sa belle mort à 96 ans avec son cancer de la prostate en sourdine. Si j’avais une prostate, je souscrirais entièrement à l’approche non interventionniste du Dr Turcotte. « Compte tenu des efforts investis pour faire peur au monde avec le cancer, cela va prendre des efforts de longue durée pour réparer les torts faits par notre démagogie. »

 

Selon lui, les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.

 

« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique. S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »

 

Ce qu’on ne sait pas ne nous fait pas mal

 

Delphine Roigt et le Dr Turcotte s’entendent parfaitement sur l’histoire de cas et le traitement : les médecins sont pris dans un étau qui les force à prescrire quelque chose et les patients sont à responsabiliser et à éduquer. « Le médecin se sent incompétent s’il n’a rien à offrir au patient. De plus, il ne s’estime pas appuyé par ses collègues ou l’administration s’il exerce son jugement et décide qu’un traitement ne s’applique pas », souligne l’éthicienne.

 

« Nous n’avons pas les moyens financiers de tout offrir à tout le monde, tout le temps », insiste le Dr Turcotte.

 

Autrement dit, ce n’est pas parce que le médicament ou le test existe que vous devriez vous en prévaloir. Au contraire, même. Le doc est coupant comme un scalpel : « Les médecins sont naïfs et se font rouler dans la farine. On leur ment sur l’efficacité des médicaments. Quant aux pharmaceutiques, je ne les crois plus car nous n’avons pas accès aux données primaires ; ce sont des secrets industriels. Ils racontent ce qu’ils veulent. »

 

Un ticket modérateur avec ça, docteur ? « Oui, et ce devrait être aux médecins de le payer — pas aux patients — pour toutes les demandes futiles et tests inutiles. Le médecin est le seul à détenir l’information. »

 

En plus de se faire traiter de paresseux, on leur reproche de gaspiller ; c’est assez pour rendre malade.

 

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Nombre record de Palestiniens déplacés en 2014

samedi 24 janvier 2015 à 16:20
Nombre record de Palestiniens déplacés en 2014

Israël a détruit en trois jours les maisons de 77 Palestiniens, pour moitié des enfants, à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupées, selon l'ONU qui a enregistré en 2014 un nombre record de Palestiniens déplacés par ces démolitions.

L'an passé, "les autorités israéliennes ont détruit 590 structures appartenant à des Palestiniens à Jérusalem-Est et dans la zone C, forçant 1.177 personnes à se déplacer", a indiqué le bureau pour la coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha). Il s'agit du "plus important déplacement de population enregistré en Cisjordanie par l'Ocha" depuis qu'elle a commencé à recenser les déplacements de façon exhaustive en 2008. 

Depuis des années organisations internationales et de défense des droits de l'Homme dénoncent une tentative délibérée d'Israël de déplacer la population palestinienne dans les 60% de Cisjordanie sous le contrôle total de l'Etat hébreu, dits "zone C". 

Entre le 20 et le 23 janvier, l'Ocha a recensé la destruction par les autorités israéliennes de "42 structures appartenant à des Palestiniens dans les gouvernorats de Ramallah et de Jéricho (dans le nord de la Cisjordanie occupée), de Jérusalem et d'Hébron (sud)".

Ces démolitions ont affecté, outre 77 déplacés, 59 autres Palestiniens qui ont perdu des constructions vitales pour assurer leur subsistance, notamment des abris pour animaux, a indiqué l'Ocha, précisant que huit des constructions détruites avaient été financées par des donateurs internationaux. Israël justifie ces démolitions par l'absence d'autorisations de construire.

 

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Le masque funéraire de Toutânkhamon endommagé à jamais !

samedi 24 janvier 2015 à 13:44
Le masque funéraire de Toutânkhamon endommagé à jamais !

D’ordinaire, lorsque quelque chose est cassé, on sort sa colle magique, on l’applique avec soin et on attend patiemment que le tout se solidifie. Mais lorsque l’objet à réparer est vieux de plusieurs milliers d’années, on prend certaines précautions supplémentaires. Précautions que n’ont visiblement pas prises les restaurateurs en travaillant sur le masque funéraire de Toutânkhamon.

Le Musée Égyptien du Caire en fait aujourd’hui la douloureuse expérience. Accident ou opération intentionnelle, la barbe fut séparée du reste. Le musée reçut donc l’ordre de réparer le tout au plus vite, ce que les conservateurs firent avec un adhésif à base d’époxy, clairement inadapté dans ce genre de restauration. Le masque est désormais endommagé de manière permanente.

« Malheureusement, il a utilisé un matériau irréversible. L’époxy est connu pour attacher énormément, on l’utilise sur le métal ou la pierre mais je pense qu’il n’était pas adapté pour un objet aussi exceptionnel que le masque d’or de Toutânkhamon. […] Le masque aurait dû être emmené au laboratoire de conservation, mais ils étaient pressés de le remettre en exposition et ils ont utilisé ce matériau à prise rapide et irréversible.3

Résultat de l’opération, l’époxy a laissé une affreuse trace jaune entre le masque et la barbe – non visible sur la photo ci-dessus -. Pire encore, en se précipitant, de l’époxy s’est retrouvé sur le visage du masque et il aura fallu utiliser une spatule pour s’en débarrasser, laissant d’horribles éraflures. Une enquête est bien évidemment en cours, mais le mal a été fait…

Traduction: Gizmodo.fr

Christine Lagarde: "Le roi Abdallah était un grand défenseur du droit des femmes"

samedi 24 janvier 2015 à 13:38
Christine Lagarde: "Le roi Abdallah était un grand défenseur du droit des femmes"

Dans le flot d'hommages et de commentaires ayant suivi la mort du roi Abdallah d'Arabie saoudite, il en est un qui n'est pas passé inaperçu : c'est celui de Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international (FMI), qui affirme s'être entretenu avec lui plusieurs fois.

Et selon elle, l'homme était, «d'une manière assez discrète», un «grand défenseur des femmes». « C'était très progressif, ce qui est sans doute pour le mieux dans ce pays, mais j'ai abordé cette question avec lui à plusieurs reprises et il y croyait fermement.»

Selon l'ancienne ministre de l'Economie, qui s'exprimait
depuis Davos, il était «vraiment déterminé» à ce que la situation des femmes change dans son pays. 

On ne peut pas totalement contredire Christine Lagarde : en 2011, le roi Abdallah a en effet autorisé les femmes à voter et à se présenter aux élections locales de 2015. Il avait également nommé en 2009 une femme ministre pour la première fois. 

Mais un véritable «grand défenseur des femmes» ne serait-il pas allé un peu plus loin, dans un pays où les droits des femmes sont encore si restreints?

Si elles peuvent faire du vélo depuis deux ans, les Saoudiennes ne peuvent toujours pas conduire, et n'ont pas le droit d'exercer bon nombre de métiers. Elles ont également besoin de l'autorisation d'un homme pour se marier, travailler, voyager, étudier où encore subir une opération chirurgicale. Enfin, dans ce pays où l'on flagelle les femmes qui enfreignent la loi, les hommes coupables de violences conjugales ne sont encore que très faiblement punis.

 

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