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CandyBox, le jeu avec plein de bonbon !

samedi 30 novembre 2013 à 19:10
Je vais vous parler d’un petit jeu par navigateur : Candy Box.
Le concept est simple. Vous avez des bonbons qui apparaissent en permanence. Vous avez au début le choix de soit les manger soit les jeter.
Mais ensuite le jeu de complexifie. Il se transforme en RPG (Role Playing game) avec des quêtes et une belle carte. Et bien sûr, le rythme d’approvisionnement des bonbons s'accélèrent. Autour de ce jeu, un mythe : une boite à bonbon. Si on arrive à ouvrir les bonbons, il possèderait tout les bonbons qu’il serait possible de posséder.
Les graphismes de ce jeu sont très simple : c’est simplement de l'ASCII art !
Une illustration du jeu

Aniwey le développeur du jeu propose même les sources, qui sont en typescript, une sorte de javascript compilée.
Bref, le nouveau jeu addictif, simple mais efficace !
Qwerty

Libérons les graines !

samedi 23 novembre 2013 à 11:37
Crédit : Alex Trukhin

L'agriculture est à la base de notre civilisation. Sans agriculture, point de nourriture. Sans nourriture, comment notre civilisation aurait pu devenir si prospère ? Elle est à la base de tout.

A l'heure où règne la loi du marché et du droit d'auteur à tout va (et qu'on protège une exclusivité commerciale), il parait logique que les graines soient touchées.

Malheureusement, utiliser ces graines sous copyright coûte cher. Les agriculteurs doivent "louer" le droit de les utiliser. Et sont complètement tributaires des grandes multinationales. Par exemple, Monsanto fait signer un contrat demandant aux agriculteurs de ne pas replanter les graines d'une année sur l'autre. Et il embauche des détectives privés et compte sur la délation des voisins pour éviter toute semence replantée non autorisée. Ce mode de fonctionnement remet en cause une pratique datant du néolithique et ininterrompu jusqu'au XXe siècle !
crédit : Open solutions

C'est pour cela que l'utilisation de graines dans le domaine public est si important. De plus, planter des espèces anciennes permettent de garder une biodiversité (et qui dit biodiversité dit fort patrimoine génétique, donc meilleure résilience, surtout par les temps qui court, avec le réchauffement climatique).

Pour cela, plusieurs initiatives existent.
Tout d'abord, citons tout d'abord l'initiative d'une licence pour mettre dans le domaine public les graines.
Citons ensuite des associations qui distribuent des espèces anciennes. Citons Semences paysannes, Kokopelli ou Chez semaille. Ces associations, héritées du monde agricole, promeuvent plus les espèces anciennes.
D'autres associations, qui ont plus l'optique "domaine public", "graines libres" (comme le logiciel libre). Open solutions propose toute une réflexion sur les graines et le droit d'auteur.
Graines de troc est une sorte de PirateBox. Vous fabriquez une boite, et vous partagez les graines !
Les graines, et par extension la vie, la nature, sont un bien commun. Il n'est donc pas normal qu'elle soit soumis à une exclusivité, à une propriété intellectuelle, car ne sortant pas de notre esprit.
Quand je vois les initiatives avec le logiciel libre, j'espère voir fleurir un jour des jardins publics libres, dans lequel chacun pourrait cueillir ce qu'il a besoin pour se nourrir !
Qwerty

Libérons les graines !

samedi 23 novembre 2013 à 11:37
Crédit : Alex Trukhin

L'agriculture est à la base de notre civilisation. Sans agriculture, point de nourriture. Sans nourriture, comment notre civilisation aurait pu devenir si prospère ? Elle est à la base de tout.

A l'heure où règne la loi du marché et du droit d'auteur à tout va (et qu'on protège une exclusivité commerciale), il parait logique que les graines soient touchées.

Malheureusement, utiliser ces graines sous copyright coûte cher. Les agriculteurs doivent "louer" le droit de les utiliser. Et sont complètement tributaires des grandes multinationales. Par exemple, Monsanto fait signer un contrat demandant aux agriculteurs de ne pas replanter les graines d'une année sur l'autre. Et il embauche des détectives privés et compte sur la délation des voisins pour éviter toute semence replantée non autorisée. Ce mode de fonctionnement remet en cause une pratique datant du néolithique et ininterrompu jusqu'au XXe siècle !
crédit : Open solutions

C'est pour cela que l'utilisation de graines dans le domaine public est si important. De plus, planter des espèces anciennes permettent de garder une biodiversité (et qui dit biodiversité dit fort patrimoine génétique, donc meilleure résilience, surtout par les temps qui court, avec le réchauffement climatique).

Pour cela, plusieurs initiatives existent.
Tout d'abord, citons tout d'abord l'initiative d'une licence pour mettre dans le domaine public les graines.
Citons ensuite des associations qui distribuent des espèces anciennes. Citons Semences paysannes, Kokopelli ou Chez semaille. Ces associations, héritées du monde agricole, promeuvent plus les espèces anciennes.
D'autres associations, qui ont plus l'optique "domaine public", "graines libres" (comme le logiciel libre). Open solutions propose toute une réflexion sur les graines et le droit d'auteur.
Graines de troc est une sorte de PirateBox. Vous fabriquez une boite, et vous partagez les graines !
Les graines, et par extension la vie, la nature, sont un bien commun. Il n'est donc pas normal qu'elle soit soumis à une exclusivité, à une propriété intellectuelle, car ne sortant pas de notre esprit.
Quand je vois les initiatives avec le logiciel libre, j'espère voir fleurir un jour des jardins publics libres, dans lequel chacun pourrait cueillir ce qu'il a besoin pour se nourrir !
Qwerty

Histoire De la Musique Classique (HDMC) n°1 : Dans les steppes d'Asie centrale !

samedi 16 novembre 2013 à 12:12
Pastichant allégrement l'HDMM de mon ami Correct-er, nous allons parler musique classique.
La musique classique, comme vous le savez probablement, est une affaire de sentiments et de ressenti. Elle raconte une histoire, un songe, un rêve.
L’œuvre que je vais vous parler est crée par Alexandre Borodine, un médecin, chimiste et compositeur russe. Pour anecdote, il fit beaucoup de recherches sur les aldéhydes et découvrit l'aldolisation.
Parlons maintenant musique :

Dans les steppes de l'Asie centrale est un poème symphonique. Pour faire simple, c'est un morceau sur un thème précis.
Là où Borodine a été génial, c'est sa métaphore du désert par un son ténu et aigu d'un violoncelle (que l'on entend au début, puis dans toute l’œuvre). Désert évoquant aussi la solitude.
Voici la notice précédant la partition :

Dans le silence des steppes sablonneuses de l’Asie centrale retentit le premier refrain d’une chanson paisible Russe. On entend aussi les sons mélancoliques des chants de l’Orient ; on entend le pas des chevaux et des chameaux qui s’approchent. Une caravane escortée par des soldats russes, traverse l’immense désert, continue son long voyage sans crainte, s’abandonnant avec confiance à la garde de la force guerrière russe. La caravane s’avance toujours. Les chants des Russes et ceux des indigènes se confondent dans la même harmonie, leurs refrains se font entendre longtemps dans le désert et finissent par se perdre dans le lointain…

Fermez les yeux. Imaginez la scène. Vous la voyez ? C'est ça la magie de la musique : avec de simples sons, on vous raconte une histoire !
Qwerty

Histoire De la Musique Classique (HDMC) n°1 : Dans les steppes d'Asie centrale !

samedi 16 novembre 2013 à 12:12
Pastichant allégrement l'HDMM de mon ami Correct-er, nous allons parler musique classique.
La musique classique, comme vous le savez probablement, est une affaire de sentiments et de ressenti. Elle raconte une histoire, un songe, un rêve.
L’œuvre que je vais vous parler est crée par Alexandre Borodine, un médecin, chimiste et compositeur russe. Pour anecdote, il fit beaucoup de recherches sur les aldéhydes et découvrit l'aldolisation.
Parlons maintenant musique :

Dans les steppes de l'Asie centrale est un poème symphonique. Pour faire simple, c'est un morceau sur un thème précis.
Là où Borodine a été génial, c'est sa métaphore du désert par un son ténu et aigu d'un violoncelle (que l'on entend au début, puis dans toute l’œuvre). Désert évoquant aussi la solitude.
Voici la notice précédant la partition :

Dans le silence des steppes sablonneuses de l’Asie centrale retentit le premier refrain d’une chanson paisible Russe. On entend aussi les sons mélancoliques des chants de l’Orient ; on entend le pas des chevaux et des chameaux qui s’approchent. Une caravane escortée par des soldats russes, traverse l’immense désert, continue son long voyage sans crainte, s’abandonnant avec confiance à la garde de la force guerrière russe. La caravane s’avance toujours. Les chants des Russes et ceux des indigènes se confondent dans la même harmonie, leurs refrains se font entendre longtemps dans le désert et finissent par se perdre dans le lointain…

Fermez les yeux. Imaginez la scène. Vous la voyez ? C'est ça la magie de la musique : avec de simples sons, on vous raconte une histoire !
Qwerty