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Le made in France, un protectionnisme caché ?

samedi 1 février 2014 à 07:59
La mode est à l'achat du made in France. Je pense que cette mode est une incitation au protectionnisme. Mais qu’est-ce le protectionnisme ?

Le protectionnisme est une politique économique interventionniste menée par un État ou un groupe d’États, consistant à protéger ses producteurs contre la concurrence des producteurs d’autres États.
— wikipedia.org

Il y a donc une incitation à acheter français. Le protectionnisme n’est pas dérangeant pour aider un secteur en plein essor face à la concurrence, ça permet de jouer à armes égales. A court terme, c’est bénéfique (on rattrape un retard), mais à long terme, on est en retard technologique ! Cependant, et sans faire l’apologie du libéralisme, il y a des limites. Acheter français, mais uniquement si ça vaut le coup ! Je conçois que sur des produits (agro-alimentaire par exemple), ça soit un bon plan (et encore), mais pour les objets high-tech ? Et puis l’UE, ne sert-il pas à échanger ? Par exemple un protectionnisme européen, si tant soit peu on veut un protectionnisme, est envisageable.
Non, la meilleure solution serait celle qui sera la prochaine révolution industrielle de demain : des produits fabriqués localement (DIY), mais avec des plans libres et ouvert à tous. Oui aux potagers collectifs, oui aux ateliers collectifs (genre fablab, hackerspace… mais appliqué à la vie courante).
Mais cessons avec cette volonté d’acheter français. La France n’est plus à la hauteur de ses ambitieux. Seule, elle n’est rien. Ensemble (Europe, monde), elle pourra devenir forte.
Cessons avec ce nationalisme économique !
Qwerty

Le made in France, un protectionnisme caché ?

samedi 1 février 2014 à 07:59
La mode est à l'achat du made in France. Je pense que cette mode est une incitation au protectionnisme. Mais qu’est-ce le protectionnisme ?

Le protectionnisme est une politique économique interventionniste menée par un État ou un groupe d’États, consistant à protéger ses producteurs contre la concurrence des producteurs d’autres États.
— wikipedia.org

Il y a donc une incitation à acheter français. Le protectionnisme n’est pas dérangeant pour aider un secteur en plein essor face à la concurrence, ça permet de jouer à armes égales. A court terme, c’est bénéfique (on rattrape un retard), mais à long terme, on est en retard technologique ! Cependant, et sans faire l’apologie du libéralisme, il y a des limites. Acheter français, mais uniquement si ça vaut le coup ! Je conçois que sur des produits (agro-alimentaire par exemple), ça soit un bon plan (et encore), mais pour les objets high-tech ? Et puis l’UE, ne sert-il pas à échanger ? Par exemple un protectionnisme européen, si tant soit peu on veut un protectionnisme, est envisageable.
Non, la meilleure solution serait celle qui sera la prochaine révolution industrielle de demain : des produits fabriqués localement (DIY), mais avec des plans libres et ouvert à tous. Oui aux potagers collectifs, oui aux ateliers collectifs (genre fablab, hackerspace… mais appliqué à la vie courante).
Mais cessons avec cette volonté d’acheter français. La France n’est plus à la hauteur de ses ambitieux. Seule, elle n’est rien. Ensemble (Europe, monde), elle pourra devenir forte.
Cessons avec ce nationalisme économique !
Qwerty

L'union européenne, quelle chance !

samedi 25 janvier 2014 à 15:40
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Depuis quelques jours, je vois de plus en plus d’articles critiquant l’Union Européenne.
Certains critiques sont bien sûrs fondées, mais d’autres sont injustes.
Bien sûr, l’UE est d’un point de vue économique un pur désastre. L’ultra-libéralisme n’a jamais été une solution. Ériger le dieu dollar en symbole est très mauvais. L’argent est un moyen et non un but.
Bien sûr que, de par ses institutions et le faible pouvoir du Parlement, ne représente peu ses citoyens.
Bien sûr que peu de personnes se sentent citoyens européens.
Bien sûr que la politique migratoire de l’Union Européenne est déplorable, réservée à une élite richissime.
Pourtant, malgré tout ses défauts, on ne peut l’empêcher de l’aimer. Et très fort.
Voyez-vous, je garde un peu le rêve des pères fondateurs de l’Europe. Une Europe unifiée, luttant contre la militarisation du continent. Voyez-vous, comme les mousquetaires, je pense que l’union fait la force.
Voyez-vous, mais je trouve que l’Europe a quelque chose de beau. Cette beauté de voir, que, deux nations déchirés par 75 ans de guerre (la guerre de 1870 à la Seconde Guerre mondiale), puisse, par d’abord un traité économique (mise en commun de ressources pour l’industrie), se dire : arrêtons de nous chamailler, c’est totalement inutile.
Ce que je trouve beau, c’est qu’un continent, ayant subit toutes les calamités tel que à la guerre et la discorde tente de se mettre d’accord pour vivre ensemble paisiblement.
Certes, ce n’est pas facile : déjà qu’à deux dans un couple, ce n’est pas aisé, alors vingt-huit frères ennemis, c’est encore plus dur.
Certes, la politique européenne ne peut pas plaire, et ne me plaît pas forcément. Mais rien n’empêche, nous, citoyens, de construire un autre modèle. Un modèle plus juste, un modèle plus équitable, un modèle plus démocratique. Un système politique n’est que la représentation de ceux qui la font.
Certes l’Europe n’est pas parfaite, mais ce n’est pas pour ça qu’il faut tout jeter. C’est un énorme pas en avant vers une paix mondiale, un monde uni. La tâche est immense, mais il faut bien essayer des choses, et tant pis si ça rate, on apprend de nos erreurs.
Le repli nationaliste n’est pas une solution. Le repli nationaliste entraîne le patriotisme, et le patriotisme entraîne la xénophobie. La haine entraîne la haine et donne la guerre. Et personne, sain d’esprit, ne veut la guerre.
Il faut donc tendre vers un monde supranationaliste, car les problèmes que l’on rencontre (environnemental, économique, technologique…) le sont aussi. À nous de nous adapter.
Qwerty

L'union européenne, quelle chance !

samedi 25 janvier 2014 à 15:40
Drapeau européen
Depuis quelques jours, je vois de plus en plus d’articles critiquant l’Union Européenne.
Certains critiques sont bien sûrs fondées, mais d’autres sont injustes.
Bien sûr, l’UE est d’un point de vue économique un pur désastre. L’ultra-libéralisme n’a jamais été une solution. Ériger le dieu dollar en symbole est très mauvais. L’argent est un moyen et non un but.
Bien sûr que, de par ses institutions et le faible pouvoir du Parlement, ne représente peu ses citoyens.
Bien sûr que peu de personnes se sentent citoyens européens.
Bien sûr que la politique migratoire de l’Union Européenne est déplorable, réservée à une élite richissime.
Pourtant, malgré tout ses défauts, on ne peut l’empêcher de l’aimer. Et très fort.
Voyez-vous, je garde un peu le rêve des pères fondateurs de l’Europe. Une Europe unifiée, luttant contre la militarisation du continent. Voyez-vous, comme les mousquetaires, je pense que l’union fait la force.
Voyez-vous, mais je trouve que l’Europe a quelque chose de beau. Cette beauté de voir, que, deux nations déchirés par 75 ans de guerre (la guerre de 1870 à la Seconde Guerre mondiale), puisse, par d’abord un traité économique (mise en commun de ressources pour l’industrie), se dire : arrêtons de nous chamailler, c’est totalement inutile.
Ce que je trouve beau, c’est qu’un continent, ayant subit toutes les calamités tel que à la guerre et la discorde tente de se mettre d’accord pour vivre ensemble paisiblement.
Certes, ce n’est pas facile : déjà qu’à deux dans un couple, ce n’est pas aisé, alors vingt-huit frères ennemis, c’est encore plus dur.
Certes, la politique européenne ne peut pas plaire, et ne me plaît pas forcément. Mais rien n’empêche, nous, citoyens, de construire un autre modèle. Un modèle plus juste, un modèle plus équitable, un modèle plus démocratique. Un système politique n’est que la représentation de ceux qui la font.
Certes l’Europe n’est pas parfaite, mais ce n’est pas pour ça qu’il faut tout jeter. C’est un énorme pas en avant vers une paix mondiale, un monde uni. La tâche est immense, mais il faut bien essayer des choses, et tant pis si ça rate, on apprend de nos erreurs.
Le repli nationaliste n’est pas une solution. Le repli nationaliste entraîne le patriotisme, et le patriotisme entraîne la xénophobie. La haine entraîne la haine et donne la guerre. Et personne, sain d’esprit, ne veut la guerre.
Il faut donc tendre vers un monde supranationaliste, car les problèmes que l’on rencontre (environnemental, économique, technologique…) le sont aussi. À nous de nous adapter.
Qwerty

Les nouvelles régions ?

dimanche 19 janvier 2014 à 16:15
En France, il y a tout un débat sur les nouvelles régions, pour faire une nouvelle organisation administrative. En soi, l'idée est louable : diminuer le nombre de fonctionnaires, et empêcher le mille-feuille administratif.
J'ai fait, pour m'amuser, une ébauche.
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Redécoupage des régions. Le texte ne passe pas, dommage :'(

EDIT : dans les commentaires, il a été proposé des améliorations :
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Redécoupage des régions. Le texte ne passe pas, dommage :'(

Une autre idée est de se baser sur le NUTS 1 ( nomenclature d'unités territoriales statistiques de niveau 1, répartition européenne)
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nomenclature d'unités territoriales statistiques de niveau 1, wikipedia.org

J'ai essayé de fusionner les régions soit par affinité géographique, soit proche culturellement (ou géographiquement).
On peut imaginer aussi donner l'indépendance à certains !
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Moins d'espace, donc moins de fonctionnaires ! En plus, c'est des râleurs en moins.


On peut aussi donner d'anciennes frontières !
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Carte de France en 1030. Source : wikipedia.org

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Carte de France en 1180. Source : wikipedia.org

Ou alors se baser sur les bassins versants (zone où l'eau fini au même endroit), basé sur un découpage géologique et topographique.
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Partage des eaux en France. Source : wikipedia.org

A bon entendeur !
Qwerty