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Réflexions sur l'émigration

samedi 10 novembre 2012 à 09:12
J'ai assisté récemment à une conférence sur l'émigration, qui fut d'ailleurs très intéressante. Je voudrais vous parler ici des questions que nous nous sommes posées. Bien sûr, je n'ai pas la prétention de pouvoir y répondre (sinon je serais illico engagé à l'ONU), même si j'ai réfléchi à quelques pistes.
Avec le dérèglement climatique (je n'aime pas parler de réchauffement, c'est pas techniquement correct puisqu'on aura des hivers plus rudes), des masses entières de population devront migrer. On peut penser aux îles qui seront noyées (l'Atlantide serait précurseur de l'événement?) avec une montée des eaux entre 1 à 2m d'ici 2030.. On peut aussi se dire que les zones équatoriales seront inhabitables, avec une hydrométrie trop forte et des températures de plus de 38° (donc le corps ne pourra plus se rafraîchir à 37°).
Plusieurs problèmes se posent :


Pourtant, pour prendre l'exemple d'un pays type de l'Europe, 23 % de la population suisse est d'origine émigrée. Et pourtant, la situation ne tourne pas au vinaigre (bon, OK, si on exclu le vote contre les minarets par exemple). Il est donc possible de vivre tout ensemble. Mais pourtant, il y a plusieurs freins qui se posent.
Le racisme. Les préjugés. Ils sont de plusieurs ordres : L'ethnie, la langue, la religion, des raisons personnelles et les coutumes et traditions différentes. Cependant, on peut faire une petite expérience démontrant les stéréotypes et les associations d'idées simplistes. Imaginez une photo avec des hommes en costume derrière un portrait. Si c'est un portrait de Lénine, on dira que ce sont de bons russes. Si c'est Napoléon, que ce sont des bons français et si c'est Washington, de bons américains !

Néanmoins, pour abattre ce voile, car nous savons tous que le brassage culturel est important (on a connu un boum dans l'avancée de l'Europe avec les arabes aux portes de Vienne, l'art Hispano-Maures,… les exemples sont nombreux!) et plusieurs solutions existent.
Tout d'abord l'ouverture d'esprit. Être curieux l'un envers l'autre, le connaître un peu plus. L'aider s'il a besoin d'aide, le réconforter… Bref, essayer de devenir son ami.
Essayez de faire des activités communautaires près de votre quartier, même si les gens sont différents de vous. Éduquez vos enfants à la coopération et non à la compétition (on arrive mieux et plus loin unis).
Ne placez pas de trop grands espoirs en l'Etat, rien ne sert d'attendre, agissez plutôt par vous-même !
Personne ne veut perdre un peu de sa souveraineté nationale, les gouvernements sont trop attachés à cela (et on les comprend). Nous avons vu ça récemment avec l'Euro ou la constitution Européenne.
N'attendez pas qu'ils prennent des initiatives polyculturelles. Les vrais Franco-français, n'existent pas (invasion des Huns, des ostrogoths, des romains, des francs… seuls sont franco-français les escargots de Bourgogne et Astérix!) ce sont des mythes !

L'initiative doit venir de la base. De toute façon, d'après moi, les nations, les politiques finiront bien par s'écrouler un jour, les bases sont trop minées et en décomposition. Et la nation est une notion d’obsolète dans notre monde contemporain régie par les flux migratoires et fut inventé à une époque où même s'il l'ont venait d'un village 10km plus loin, on était l'étranger du village !

Le nationalisme naît quand une culture se sent étouffée. Faites de la polyculture, prenez en considération toutes les cultures. Si vous avez une double nationalité, montrez le, une double culture pareille c'est formidable !


Que des belles choses. Il y a plusieurs obstacles devant l'émigration. L'absence de structures, quel soit juridique, humaine, ou même morale, et la présence de préjugés. Des solutions existent, comme l'ouverture d'esprit et l'unité dans la diversité. Claude Lévi-Strauss avait compris le problème d'aujourd'hui.
La civilisation mondiale ne saurait être autre chose que la coalition de cultures, préservant chacune son originalité. Et maintenant, une question citoyenne qui mérite un long débat dans les commentaires, dans votre famille, au travail :
Comment va-on faire pour avancer ensemble dans notre différence ?
qwerty

La dictature Stallmanienne

samedi 3 novembre 2012 à 09:09
Note : Je tiens à vous informer que cet article doit être lu au 42e degré et non littéralement. Et oui, la forme polémique prise est faite exprès et n'a que pour but de divertir.
Richard Stallman est en quelque sorte le fondateur du logiciel libre. On peut donc ainsi le nommer « Le petit Père des peuples » (bien que je ne le compare pas à Staline, mais l'expression peut en être ressorti et par l'image qu'il cultive de "saint" faussement bienveillante). Les libristes, s'appelant affectant entre eux « camarades », vivent dans une société faussement libre (et oui, c'est un jeu de mot laid).
Les libristes crient toujours les premiers sur l'orwellisation du monde, et de la surveillance, et même de l'espionnage. Et pourtant, ils pratiquement malgré eux un novlangue les empêchant de réfléchir, en inventant un nouveau sens aux mots. Et bien sûr, certains mots sont interdit. D'ailleurs, quand on lui pose une question avec ce fameux mot interdit, ne répond-il pas non, n’employez pas ce mot, il ne faut pas, c’est incorrect ! ?
N'appelle pas les logiciels propriétaires (à code source fermé) « privatif » ? Comme une prison, ou la captivité ? Que l'on nous prive quelque chose ? Et que au contraire, le petit père des peuples nous libère, de par sa révolution, en construisant une société libre et sans privations ?
De remplacer « créateur », qui peut avoir une signification théologique (et donc lui fait concurrence dans son culte de la personnalité ?) Le « Gestion numérique des droits » par « gestion numérique des restrictions » car en effet, le régime stallmanien est une société sans droits mais aux contraire faites de privations ?
L'absence du mot « gratuitement » ou « disponible gratuitement » ? Car en effet, dans une société sans argent, mettre le mot gratuitement voudrais dire qu'il existerait des choses non gratuites? Ah, quel malheur, si le peuple découvre l'argent, ça sera la révolte, car on remarquera que le Dictateur bien aimé se garde toutes les richesses, et on pillera le palais de Stallman ! De même, le mot « monétisé » et « vendeur » est prohibé.
L'expression « propriété intellectuelle » est banni. Les deux mots choquent. Chaque objet, invention, création, par le droit de la société stallmanienne passe dans le domaine public (ou plutôt est attribué à Stallman. En effet, Stallman a envoyé Chuck Norris dans le goulag dans les années 2000. Il en est donc l’héritier spirituel). La notion d'intellectuel choque un peu. En effet, c'est bien eux qui critique le système et qui le fait tomber, non ?

Comme nous avons vu, de bien nombreux mots sont interdits. Et ceci est la volonté d'un seul homme, Richard Mattew Stallman. Faites vous confiance à un homme qui réduit votre liberté de parler, et donc de penser, voire même votre liberté tout court ? Faites vous confiance à un homme qui choisi son micro-onde uniquement parce que son fireware est libre ?
Si vous voulez vraiment gagner en liberté, débarrassez vous de votre dictateur !
(source :https://www.gnu.org/philosophy/words-to-avoid.fr.html)
qwerty

La dictature Stallmanienne

samedi 3 novembre 2012 à 09:09
Note : Je tiens à vous informer que cet article doit être lu au 42e degré et non littéralement. Et oui, la forme polémique prise est faite exprès et n'a que pour but de divertir.
Richard Stallman est en quelque sorte le fondateur du logiciel libre. On peut donc ainsi le nommer « Le petit Père des peuples » (bien que je ne le compare pas à Staline, mais l'expression peut en être ressorti et par l'image qu'il cultive de "saint" faussement bienveillante). Les libristes, s'appelant affectant entre eux « camarades », vivent dans une société faussement libre (et oui, c'est un jeu de mot laid).
Les libristes crient toujours les premiers sur l'orwellisation du monde, et de la surveillance, et même de l'espionnage. Et pourtant, ils pratiquement malgré eux un novlangue les empêchant de réfléchir, en inventant un nouveau sens aux mots. Et bien sûr, certains mots sont interdit. D'ailleurs, quand on lui pose une question avec ce fameux mot interdit, ne répond-il pas non, n’employez pas ce mot, il ne faut pas, c’est incorrect ! ?
N'appelle pas les logiciels propriétaires (à code source fermé) « privatif » ? Comme une prison, ou la captivité ? Que l'on nous prive quelque chose ? Et que au contraire, le petit père des peuples nous libère, de par sa révolution, en construisant une société libre et sans privations ?
De remplacer « créateur », qui peut avoir une signification théologique (et donc lui fait concurrence dans son culte de la personnalité ?) Le « Gestion numérique des droits » par « gestion numérique des restrictions » car en effet, le régime stallmanien est une société sans droits mais aux contraire faites de privations ?
L'absence du mot « gratuitement » ou « disponible gratuitement » ? Car en effet, dans une société sans argent, mettre le mot gratuitement voudrais dire qu'il existerait des choses non gratuites? Ah, quel malheur, si le peuple découvre l'argent, ça sera la révolte, car on remarquera que le Dictateur bien aimé se garde toutes les richesses, et on pillera le palais de Stallman ! De même, le mot « monétisé » et « vendeur » est prohibé.
L'expression « propriété intellectuelle » est banni. Les deux mots choquent. Chaque objet, invention, création, par le droit de la société stallmanienne passe dans le domaine public (ou plutôt est attribué à Stallman. En effet, Stallman a envoyé Chuck Norris dans le goulag dans les années 2000. Il en est donc l’héritier spirituel). La notion d'intellectuel choque un peu. En effet, c'est bien eux qui critique le système et qui le fait tomber, non ?

Comme nous avons vu, de bien nombreux mots sont interdits. Et ceci est la volonté d'un seul homme, Richard Mattew Stallman. Faites vous confiance à un homme qui réduit votre liberté de parler, et donc de penser, voire même votre liberté tout court ? Faites vous confiance à un homme qui choisi son micro-onde uniquement parce que son fireware est libre ?
Si vous voulez vraiment gagner en liberté, débarrassez vous de votre dictateur !
(source :https://www.gnu.org/philosophy/words-to-avoid.fr.html)
qwerty

Mais qu'est-ce la culture ?

samedi 27 octobre 2012 à 08:06
La culture, on en parle partout. On use de ce mot, sans trop savoir ce qu'il en est vraiment. Il existe plusieurs définitions de la culture.
Tout d'abord, et je pense que c'est le sens commun, c'est la culture « cultivé » (dans le sens commun, celui de connaissances) L'ensemble de connaissances qu'amasse un être humain. Elle a été valorisé au XVIIIe siècle avec la philosophie des lumières. Elle est donc associé à l'apprentissage des connaissances, l'éducation et le raffinement des mœurs.
La définition de l'ethnologue (étude des pratiques socio-culturelles d'une société), écrite en 1871 pat Edward Tylor fait référence : La culture est une « totalité complexe qui comprend les connaissances, les croyances, les arts, les lois, la morale, la coutume, et toute autre capacité ou habitude acquise par l'homme en tant que membre de la société ». De cette définition, un peu rébarbative, en ressort trois concepts. Premièrement, la culture, contrairement à la culture cultivé(celui élitiste, l'homme connaissant plein de choses), n'est pas réservée à une élite, mais toutes les sociétés, même les plus primitives, en possèdent. De même, le simple paysan du fin fond de la Chine est cultivé. En effet, il mange tout les jours, or ce simple geste est déjà culturel.
Ensuite, par définition, la culture est collective et non individuelle, puis-ce qu'elle est commune à tous les membres d'une société. Elle est l'élément caractéristique et assure la cohésion sociale qui permettent aux hommes de vivre ensemble.
Finalement, cette culture se transmet. La culture l'acquis culturel (goût, mode de vie), prend la place sur l'inné (la partie biologique).
La définition du sociologue est plus précise. En effet, la culture est, pour eux, l'ensemble des valeurs, représentations et normes qui orientent les actions des individus.
Maintenant que nous avons défini la culture, parlons de sous-culture et de contre-culture.
La sous-culture est un dérivé de la culture globale. Par exemple, la culture bretonne est une sous-culture(dans le sens de culture fille et non dans un quelconque sens péjoratif !). Elle se base sur la culture globale, française en l’occurrence, voire européenne, mais possède des caractéristiques propres (la cuisine au beurre, les crêpes).
La contre culture, elle, est une culture d'opposition. Par exemple, la culture hippie s'oppose à la culture des années 60, en prônant par exemple l'amour et la paix, alors que l'attention était sur la guerre du Vietnam. Ou la culture étudiante développée après Mai 68 avec un renversement des valeurs.
La culture est donc l'ensemble de moeurs et de traditions d'une communauté. Elle conditionne et forme l'identité d'un individu. Mais comme disait si bien Lévi-Strauss, La civilisation mondiale ne saurait être autre chose que la coalition de cultures, préservant chacune son originalité. (Claude Lévi-Strauss)
Qwerty

Mais qu'est-ce la culture ?

samedi 27 octobre 2012 à 08:06
La culture, on en parle partout. On use de ce mot, sans trop savoir ce qu'il en est vraiment. Il existe plusieurs définitions de la culture.
Tout d'abord, et je pense que c'est le sens commun, c'est la culture « cultivé » (dans le sens commun, celui de connaissances) L'ensemble de connaissances qu'amasse un être humain. Elle a été valorisé au XVIIIe siècle avec la philosophie des lumières. Elle est donc associé à l'apprentissage des connaissances, l'éducation et le raffinement des mœurs.
La définition de l'ethnologue (étude des pratiques socio-culturelles d'une société), écrite en 1871 pat Edward Tylor fait référence : La culture est une « totalité complexe qui comprend les connaissances, les croyances, les arts, les lois, la morale, la coutume, et toute autre capacité ou habitude acquise par l'homme en tant que membre de la société ». De cette définition, un peu rébarbative, en ressort trois concepts. Premièrement, la culture, contrairement à la culture cultivé(celui élitiste, l'homme connaissant plein de choses), n'est pas réservée à une élite, mais toutes les sociétés, même les plus primitives, en possèdent. De même, le simple paysan du fin fond de la Chine est cultivé. En effet, il mange tout les jours, or ce simple geste est déjà culturel.
Ensuite, par définition, la culture est collective et non individuelle, puis-ce qu'elle est commune à tous les membres d'une société. Elle est l'élément caractéristique et assure la cohésion sociale qui permettent aux hommes de vivre ensemble.
Finalement, cette culture se transmet. La culture l'acquis culturel (goût, mode de vie), prend la place sur l'inné (la partie biologique).
La définition du sociologue est plus précise. En effet, la culture est, pour eux, l'ensemble des valeurs, représentations et normes qui orientent les actions des individus.
Maintenant que nous avons défini la culture, parlons de sous-culture et de contre-culture.
La sous-culture est un dérivé de la culture globale. Par exemple, la culture bretonne est une sous-culture(dans le sens de culture fille et non dans un quelconque sens péjoratif !). Elle se base sur la culture globale, française en l’occurrence, voire européenne, mais possède des caractéristiques propres (la cuisine au beurre, les crêpes).
La contre culture, elle, est une culture d'opposition. Par exemple, la culture hippie s'oppose à la culture des années 60, en prônant par exemple l'amour et la paix, alors que l'attention était sur la guerre du Vietnam. Ou la culture étudiante développée après Mai 68 avec un renversement des valeurs.
La culture est donc l'ensemble de moeurs et de traditions d'une communauté. Elle conditionne et forme l'identité d'un individu. Mais comme disait si bien Lévi-Strauss, La civilisation mondiale ne saurait être autre chose que la coalition de cultures, préservant chacune son originalité. (Claude Lévi-Strauss)
Qwerty