Toute l'équipe est contente de présenter sa nouvelle section, appelée le zapping du web, qui recense nos découvertes au fil d'internet.

• Une nouvelle qui a fait polémique, et pour cause, est celle de la signature de l'ACTA. Les membres de l'opposition du parlement polonais réagissent.
• Malheureusement, Big Brother nous regarde de plus en plus.
• Tous fichés à 15 ans, loi votée par 11 personnes
• Google sort de sa boite.
• C'est officiel, la police a le droit de tirer sur la foule.
• Tiens, quand on parle de musique, ce n'est plus le même discours.
• Orange ne veut pas aligner ses prix ? il finira comme AOL
• Pourquoi le blogueur fait-il peur ?, Utiliser Facebook comme blog ?, Qu'est-ce un blogueur ?, des questions auxquelles répond Maniacgeek.
• Un article qui dément la fin du monde Maya.
• On peut vous espionner depuis votre téléphone.
• L'anonymat n'est qu'une illusion.
• Une technique d'écriture libre et une autre pour gagner du temps en dormant
• Une technique de nuit américaine pour les cinéastes
• Les agrégateurs, ou comment exploiter les blogueurs gratuitement
• La liberté d'expression mérite d'être défendue.
• Bref, Mégaupload a fermé.
• Et non, on ne vous gave pas comme des oies !
• Entre la mort de la culture littéraire aux États-Unis et celle proche de l'email (non, je ne les laisserai pas mourir ! ;))
• Combattre le lobbying culturel en ne consomment plus leurs produits ? bonne idée !
• Générez de beaux QRcodes en ligne
• Un film sur la révolution verte, Le printemps arabe iranien.
• Faux espoir !
• Un jeu de Mario en Javascript
• Do you remember ? les anciens ordinateurs au millénaire dernier.
• Le secret des hits musicaux ?
• 2.1 Gigawatts !
• Une question existentiel
• Avant Thriller, il y avait Starlight
• La marche turque à deux sur une guitare ?
• Et enfin, pour finir, une animation sur une poupée et une autre sur la guerre du feu

Et voilà, à la semaine prochaine !
Qwerty

Encore un article sur MegaUpload et sur sa fermeture! dites vous. Mais cette fois, nous n'allons pas seulement effleurer le sujet, mais aussi l’approfondir.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce site, il permettait de stocker en ligne et de partager des fichiers. Les accusations contre celui-ci portent surtout sur le non respect de la loi anti-piratage des États Unis.

Le FBI a donc organisé une grande traque, avec l'aide de 8 polices étrangères, pour chercher des personnes clés du site. Ils (les américains) pensent que le site sert à un blanchissement d'argent.
Les personnes suivantes ont donc été arrêtées ou en recherche, ainsi que deux sociétés (Megaupload Limited et Vestor Limited) :

• Kim Dotcom
• Finn Batato
• Julius Bencko
• Sven Echternarch
• Andrus Nomm
• Bram Van Der Kolk

Ces personnes risqueraient donc 60 ans de prison, pour blanchiment d'argent, racket, et 3 chefs de contrefaçon.

Les domaines appartenant à mégaupload ont été aussi saisis :

• Megastuff.co
• Megaworld.com
• Megaclicks.co
• Megastuff.info
• Megaclicks.org
• Megaworld.mobi
• Megastuff.org
• Megaclick.us
• Mageclick.com
• HDmegaporn.com
• Megavkdeo.com
• Megaupload.com
• Megaupload.org
• Megarotic.com
• Megaclick.com
• Megavideo.com
• Megavideoclips.com
• Megaporn.com

Selon Numerama, Megaupload c'était :

• 150 millions d'inscrits
• 50 millions de visiteurs par jour.
• 175 millions de dollars de recettes depuis 09/2005 (25 millions dans la pub et 150 millions avec les abonnements premium)
• 110 millions de dollars reversés entre 2006 et 2011 sur un compte PayPal (utilisé pour payer les fournisseurs)
• 42 millions de dollars juste pour la pomme de Kim Dotcom
• 25 péta-octets de données hébergées chez Carpathia Hosting, sur plus de 1000 serveurs dont 525 à Ashburn, en Virginie
• Des serveurs en France accessibles via le fournisseur de transit Cogent
• 630 serveurs hébergés par l'hébergeur néerlandais LeaseWeb
• Une facture d'hébergement de serveurs et de bande passante de 65 millions de dollars depuis 2005
• 30 employés répartis dans 9 pays

Malheureusement, la fermeture du site avait eu lieu le lendemain du Blackout à propos du projet de loi de la SOPA.
Les anonymous se sont donc lancés dans une attaque sur plusieurs sites symboliques (Justice.gov, Justice.gov, MPAA.org, UniversalMusic.com, Hadopi.fr). Malheureusement, on peut parier que ce n'est que le début, et que la liste risque de s'allonger.
Faire régner l'ordre public est normal sur Internet, mais est ce normal de le faire d'une manière aussi directe et fatale (MU hébergeait aussi des films de vacances... ainsi que des choses légales).
Et malheureusement, chaque victoire sur le pirate le favorise encore plus.
Les sites de téléchargement et streaming qui, auparavant, restaient en arrière, n'hésiteront pas à se mettre sur devant de la scène pour récolter les millions que recèlent ce marché (et donc faire de l'argent sur des œuvres soumissent à la propriété intellectuel, ce qui est pas très morale, donc sur ce coup là, bon débarras)...

Retenez cette phrase de Mac Luhan, théoricien en communication :

Tout ce qui est facile à contrôler est facile à détruire.
Internet est difficile à détruire.
Donc Internet est difficile à contrôler.

Qwerty

Encore un article sur MegaUpload et sur sa fermeture! dites vous. Mais cette fois, nous n'allons pas seulement effleurer le sujet, mais aussi l’approfondir.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce site, il permettait de stocker en ligne et de partager des fichiers. Les accusations contre celui-ci portent surtout sur le non respect de la loi anti-piratage des États Unis.

Le FBI a donc organisé une grande traque, avec l'aide de 8 polices étrangères, pour chercher des personnes clés du site. Ils (les américains) pensent que le site sert à un blanchissement d'argent.
Les personnes suivantes ont donc été arrêtées ou en recherche, ainsi que deux sociétés (Megaupload Limited et Vestor Limited) :

• Kim Dotcom
• Finn Batato
• Julius Bencko
• Sven Echternarch
• Andrus Nomm
• Bram Van Der Kolk

Ces personnes risqueraient donc 60 ans de prison, pour blanchiment d'argent, racket, et 3 chefs de contrefaçon.

Les domaines appartenant à mégaupload ont été aussi saisis :

• Megastuff.co
• Megaworld.com
• Megaclicks.co
• Megastuff.info
• Megaclicks.org
• Megaworld.mobi
• Megastuff.org
• Megaclick.us
• Mageclick.com
• HDmegaporn.com
• Megavkdeo.com
• Megaupload.com
• Megaupload.org
• Megarotic.com
• Megaclick.com
• Megavideo.com
• Megavideoclips.com
• Megaporn.com

Selon Numerama, Megaupload c'était :

• 150 millions d'inscrits
• 50 millions de visiteurs par jour.
• 175 millions de dollars de recettes depuis 09/2005 (25 millions dans la pub et 150 millions avec les abonnements premium)
• 110 millions de dollars reversés entre 2006 et 2011 sur un compte PayPal (utilisé pour payer les fournisseurs)
• 42 millions de dollars juste pour la pomme de Kim Dotcom
• 25 péta-octets de données hébergées chez Carpathia Hosting, sur plus de 1000 serveurs dont 525 à Ashburn, en Virginie
• Des serveurs en France accessibles via le fournisseur de transit Cogent
• 630 serveurs hébergés par l'hébergeur néerlandais LeaseWeb
• Une facture d'hébergement de serveurs et de bande passante de 65 millions de dollars depuis 2005
• 30 employés répartis dans 9 pays

Malheureusement, la fermeture du site avait eu lieu le lendemain du Blackout à propos du projet de loi de la SOPA.
Les anonymous se sont donc lancés dans une attaque sur plusieurs sites symboliques (Justice.gov, Justice.gov, MPAA.org, UniversalMusic.com, Hadopi.fr). Malheureusement, on peut parier que ce n'est que le début, et que la liste risque de s'allonger.
Faire régner l'ordre public est normal sur Internet, mais est ce normal de le faire d'une manière aussi directe et fatale (MU hébergeait aussi des films de vacances… ainsi que des choses légales).
Et malheureusement, chaque victoire sur le pirate le favorise encore plus.
Les sites de téléchargement et streaming qui, auparavant, restaient en arrière, n'hésiteront pas à se mettre sur devant de la scène pour récolter les millions que recèlent ce marché (et donc faire de l'argent sur des œuvres soumissent à la propriété intellectuel, ce qui est pas très morale, donc sur ce coup là, bon débarras)…

Retenez cette phrase de Mac Luhan, théoricien en communication :

Tout ce qui est facile à contrôler est facile à détruire.
Internet est difficile à détruire.
Donc Internet est difficile à contrôler.

Qwerty

La liberté d'expression est ce qu'il y a de plus précieux. Or Internet est le lieu qui permet d'exprimer le mieux l'article 11 de la déclaration des droits de l'homme.
Mais une loi américaine est venu chambouler tout cela.
Une loi qui fait beaucoup de vagues.
Une loi nommée SOPA.

Le Stop Online Piracy Act (ou SOPA), aussi connu sous le nom de H.R.3261, est un projet de loi américain qui élargit les compétences de la législation américaine et des ayants-droit pour lutter contre la contre-façon en ligne de la propriété intellectuelle...
SOPA prévoit toute une série de mesure à l’encontre des sites contrevenants.

Les pénalités prévues incluent notamment
la suspension des revenus publicitaires et des transactions en provenance de services comme Paypal,
l’interruption du référencement sur les moteurs de recherche,
et le blocage de l’accès au site depuis les principaux opérateurs internet.

SOPA criminalise également le streaming de contenu protégés. Les initiateurs de SOPA affirment qu’elle protège les secteurs économiques américains dépendant de la propriété intellectuelle et donc bon nombre d’emplois et de revenus financiers.
Il paraît ainsi nécessaire de renforcer la législation existante, notamment à l’encontre des sites étrangers. Ses détracteurs la qualifient de censure numérique.

Wikipédia conclut, avec la plus grande prudence : Elle malmènerait l’ensemble d’Internet et menacerait la liberté d’expression.
D'après un pdf de Electronic Frontier Foundation (ONG internationale à but non lucratif, fondée en 1990 aux États-Unis connu pour être l'auteur de la Déclaration d'indépendance du cyberespace), on peut en tirer plusieurs points (traduction du document, merci le Framalang):

• SOPA donne aux individus et entreprises un pouvoir sans précédent pour museler l’expression en ligne. Avec SOPA, des individus ou entreprises pourraient envoyer une notification aux partenaires financiers d’un site (NdT : exemple Paypal), exigeant que ces derniers cessent de traiter avec le site ciblé — même si le site en question n’avait jamais été reconnu coupable d’infraction devant un juge américain. Comme beaucoup de sites dépendent de ces revenus pour couvrir leurs frais de fonctionnement, une seule accusation d’infraction pourrait les ruiner.
• SOPA donne au gouvernement encore plus de pouvoir pour censurer. L’avocat général peut rayer des sites du web en créant une liste noire et exiger des prestataires de services (tels que les moteurs de recherche et les registraires de nom de domaine) de bloquer les sites appartenant à cette liste.
• SOPA utilise un langage approximatif dont il va profiter/qui sera exploité. La loi cible presque chaque/n’importe quel site hébergeant du contenu genéré par les utilisateurs ou même qui n’a qu’une fonctionnalité de recherche de contenu, en ne garantissant aucune protection pour les contenus légaux.
• SOPA ne stopperait pas la piraterie en ligne. Les outils puissants mis à la disposition de l’avocat général gêneront beaucoup les utilisateurs lambda, mais les utilisateurs motivés et expérimentés les contourneront très facilement.

Ces fameuses lois liberticides qui veulent censurer notre internet sont les suivantes :

• HADOPI qui explore toutes les pistes... Aussi bien celle du mouchard sur nos ordinateurs, que celle du filtrage des sites ou encore de l'analyse de packets.
• LOPPSI qui permet de mettre dans une liste noire n'importe quel site sans intervention d'un juge. Aucun organisme ne peut contrôler cette liste, ce qui empêche les réclamations.
• ARJEL qui permet déjà le blocage de certains sites.
• SOPA et PIPA aux États-Unis, qui violent les principes de liberté d'expression et qui coupent les jambes de l'innovation. Ce qui est marrant avec SOPA, c'est que si ça passe, ça nous affectera tous puisque nous utilisons beaucoup de services basés aux États-Unis (hébergement, noms de domaine, DNS...etc). C'est pourquoi cette lutte contre SOPA est importante.
• ACTA qui fait la part belle aux brevets et nous posera beaucoup de problèmes dans des domaines aussi variés que la liberté d'expression, la santé ou l'innovation
• IPRED et un nouveau projet de filtrage européen qui sont des équivalences de SOPA et PIPA.

Le point commun de toutes ces lois, qu'elles soient déjà en place ou en cours de discussion, c'est tout simplement de permettre à des entreprises privées et des gouvernements de contrôler la liberté d'expression, l'innovation et de s'octroyer un droit à la censure sur à peu près tout et n'importe quoi. Comment ? Et bien dans un premier temps, en espionnant les communications électroniques des internautes, mais aussi en permettant la censure de n'importe quel site sur des pretextes aussi bancals que la lutte contre la pédo-pornographie ou le téléchargement illégal.

La mise sous contrôle d'Internet n'est pas négociable et ne le sera jamais, d'où cette protestation généralisée. Je vous invite à vous informer dans un premier temps sur tout cela, puis à lutter, chacun à son niveau contre toutes ces lois liberticides. Cela peut se traduire par des actions militantes, de l'information ou du lobbying auprès de vos politiciens.

Plusieurs sites décideront donc de faire grève, en mettant hors ligne temporairement leur site.La date symbolique du 18 janvier est choisi, date de la discussion de la SOPA au Congrès américain. Plusieurs sites, dont Reddit, vont fermer leur site ce jour là. Vous y retrouverez la liste complète.
Personnellement, l'étudiant libre ne sera pas hors ligne, mais des bandeaux signaleront l'évènement.
Mais plusieurs artistes, dont JCfrog, se sont mobilisés.

Qwerty

La liberté d'expression est ce qu'il y a de plus précieux. Or Internet est le lieu qui permet d'exprimer le mieux l'article 11 de la déclaration des droits de l'homme.
Mais une loi américaine est venu chambouler tout cela.
Une loi qui fait beaucoup de vagues.
Une loi nommée SOPA.

Le Stop Online Piracy Act (ou SOPA), aussi connu sous le nom de H.R.3261, est un projet de loi américain qui élargit les compétences de la législation américaine et des ayants-droit pour lutter contre la contre-façon en ligne de la propriété intellectuelle…
SOPA prévoit toute une série de mesure à l’encontre des sites contrevenants.

Les pénalités prévues incluent notamment
la suspension des revenus publicitaires et des transactions en provenance de services comme Paypal,
l’interruption du référencement sur les moteurs de recherche,
et le blocage de l’accès au site depuis les principaux opérateurs internet.

SOPA criminalise également le streaming de contenu protégés. Les initiateurs de SOPA affirment qu’elle protège les secteurs économiques américains dépendant de la propriété intellectuelle et donc bon nombre d’emplois et de revenus financiers.
Il paraît ainsi nécessaire de renforcer la législation existante, notamment à l’encontre des sites étrangers. Ses détracteurs la qualifient de censure numérique.

Wikipédia conclut, avec la plus grande prudence : Elle malmènerait l’ensemble d’Internet et menacerait la liberté d’expression.
D'après un pdf de Electronic Frontier Foundation (ONG internationale à but non lucratif, fondée en 1990 aux États-Unis connu pour être l'auteur de la Déclaration d'indépendance du cyberespace), on peut en tirer plusieurs points (traduction du document, merci le Framalang):

• SOPA donne aux individus et entreprises un pouvoir sans précédent pour museler l’expression en ligne. Avec SOPA, des individus ou entreprises pourraient envoyer une notification aux partenaires financiers d’un site (NdT : exemple Paypal), exigeant que ces derniers cessent de traiter avec le site ciblé — même si le site en question n’avait jamais été reconnu coupable d’infraction devant un juge américain. Comme beaucoup de sites dépendent de ces revenus pour couvrir leurs frais de fonctionnement, une seule accusation d’infraction pourrait les ruiner.
• SOPA donne au gouvernement encore plus de pouvoir pour censurer. L’avocat général peut rayer des sites du web en créant une liste noire et exiger des prestataires de services (tels que les moteurs de recherche et les registraires de nom de domaine) de bloquer les sites appartenant à cette liste.
• SOPA utilise un langage approximatif dont il va profiter/qui sera exploité. La loi cible presque chaque/n’importe quel site hébergeant du contenu genéré par les utilisateurs ou même qui n’a qu’une fonctionnalité de recherche de contenu, en ne garantissant aucune protection pour les contenus légaux.
• SOPA ne stopperait pas la piraterie en ligne. Les outils puissants mis à la disposition de l’avocat général gêneront beaucoup les utilisateurs lambda, mais les utilisateurs motivés et expérimentés les contourneront très facilement.

Ces fameuses lois liberticides qui veulent censurer notre internet sont les suivantes :

• HADOPI qui explore toutes les pistes… Aussi bien celle du mouchard sur nos ordinateurs, que celle du filtrage des sites ou encore de l'analyse de packets.
• LOPPSI qui permet de mettre dans une liste noire n'importe quel site sans intervention d'un juge. Aucun organisme ne peut contrôler cette liste, ce qui empêche les réclamations.
• ARJEL qui permet déjà le blocage de certains sites.
• SOPA et PIPA aux États-Unis, qui violent les principes de liberté d'expression et qui coupent les jambes de l'innovation. Ce qui est marrant avec SOPA, c'est que si ça passe, ça nous affectera tous puisque nous utilisons beaucoup de services basés aux États-Unis (hébergement, noms de domaine, DNS…etc). C'est pourquoi cette lutte contre SOPA est importante.
• ACTA qui fait la part belle aux brevets et nous posera beaucoup de problèmes dans des domaines aussi variés que la liberté d'expression, la santé ou l'innovation
• IPRED et un nouveau projet de filtrage européen qui sont des équivalences de SOPA et PIPA.

Le point commun de toutes ces lois, qu'elles soient déjà en place ou en cours de discussion, c'est tout simplement de permettre à des entreprises privées et des gouvernements de contrôler la liberté d'expression, l'innovation et de s'octroyer un droit à la censure sur à peu près tout et n'importe quoi. Comment ? Et bien dans un premier temps, en espionnant les communications électroniques des internautes, mais aussi en permettant la censure de n'importe quel site sur des pretextes aussi bancals que la lutte contre la pédo-pornographie ou le téléchargement illégal.

La mise sous contrôle d'Internet n'est pas négociable et ne le sera jamais, d'où cette protestation généralisée. Je vous invite à vous informer dans un premier temps sur tout cela, puis à lutter, chacun à son niveau contre toutes ces lois liberticides. Cela peut se traduire par des actions militantes, de l'information ou du lobbying auprès de vos politiciens.

Plusieurs sites décideront donc de faire grève, en mettant hors ligne temporairement leur site.La date symbolique du 18 janvier est choisi, date de la discussion de la SOPA au Congrès américain. Plusieurs sites, dont Reddit, vont fermer leur site ce jour là. Vous y retrouverez la liste complète.
Personnellement, l'étudiant libre ne sera pas hors ligne, mais des bandeaux signaleront l'évènement.
Mais plusieurs artistes, dont JCfrog, se sont mobilisés.

Qwerty