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Hyères-les-palmiers et demain quoi ?

samedi 2 novembre 2013 à 09:07
Ah, le sud ! La mer, le sable fin, les glaces, les palmiers !
Sauf, sauf… Que les palmiers risquent de disparaitre ! La faute à qui ? Un petit charançon qui mange la "tête" de l'arbre, le vouant à une mort certaine.

Contexte


Hyères est une ville varoise de 55 000 habitants, grande station balnéaire et haut lieu du tourisme varois. C’est une ville dynamique, récompensée de 4 fleurs par le concours des villes fleuries dont elle fut même la lauréate européenne en 2003 avec Bormes-les-mimosas.
Hyères est une commune connue pour son passé d'acclimatation d'espèces (quand on ramène des espèces d'outre-mer, il est courant de les habituer au climat local). Il est donc normal qu'il y ait de nombreux palmiers.

Le problème du charançon


Cependant, le charançon parasite le palmier pour se développer. Il rentre par les feuilles et "mange" la tête. Bien sûr, plusieurs solutions ont été essayées pour lutter contre ce problème.
Malheureusement, aucune ne s'est montrée efficace (à noter que les solutions dites "bio" ont été relativement plus efficaces que celles chimiques). Les palmiers sont voués à une mort certaine. De pis, contaminent ceux autour.
crédit : Moi-même.

La répercutions politique


Malheureusement, les palmiers sont la "marque", la vitrine de la ville. Elle est connue pour ses palmiers. On comprend que, pour conserver un certain tourisme, il faut garder les palmiers. Un peu comme si on imaginait Paris sans la Tour Eiffel !


Derrière ce problème anodin, se cache un problème courant. La disparition d'un élément naturel emblématique (Koala, plantes…) d'une région. Que faire sans elles ? Il n'y a non seulement un impact biologique (les réseaux trophiques) mais aussi politique. Le tourisme, donc une rentrée d'argent et une notoriété de la ville.
Dans le cas d'Hyère, c'est assez flagrant. Le palmier se retrouve même dans le nom de la ville (un peu comme Bormes les Mimosas). Il se peut qu'elle perde sa particule.
Qwerty

Quand on est con, on est con

mardi 29 octobre 2013 à 18:28
⚠ ce sujet peut faire débat. Si le sujet dégénère en agressions verbales, je n’hésiterai pas à fermer les commentaires, même si je n’aime pas faire ça.
Récemment, je suis tombé sur une image. En tant qu’amateur d’histoire et ne supportant ni l’intolérance ni l’oppression, j’ai voulu réagir, même si j’ai hésité longtemps avant de publier.
Voici l’image en question.
Traduction (rapide) :
Désolé si mon athéisme vous offense. Vous savez quoi ? vos guerres de religions, jihads, croisades, inquisitions, censure de la parole, lavage de cerveau, assassinat des albinos, mariages forcées, mutilation des organes femelles, lapidation, homophobie, pédophilie, et le rejet des sciences et de la religion m’offense.

En premier lieu, définissons les différents termes (pour que nous parlons de la même chose).
Par religion, on va entendre un ensemble de concept promouvant l’unité et l’amour (de Dieu, de l’humanité, de son prochain). Toute religion source de discorde et d’animosité ne pourrait pas être considéré comme religion. En plus de cette constante universelle, rajoutant des règles sociales s’appliquant à son époque. Vous pouvez vérifier par vous même cette définition en lisant les différents écrits fondateurs des principales religions monothéistes.
La plupart des exemples (bon, tous), n’est pas dû à la religion, mais à autre chose : la connerie humaine. Des exemples parmi les athées ? Hitler (et ses autodafés, c’est une forme de censure), Staline, la Corée du Nord (pays majoritairement athée, je précise)…
La plupart du temps, la religion n’est qu’un prétexte (fumeux) pour faire la guerre et assouvir des besoins : richesse, pouvoir, territoire… Bref, bien loin des principes moraux de bienveillance et de tolérance.
Il ne faut pas regarder une minorité, extrémiste, souvent décrié et rejeté de la majorité croyante, et en faire une généralité. Qu’ils soient croyant ou non, cela ne change rien. Aurez–vous la même réaction sur des critères de nationalités ou de couleur de peau ?
En parlant de ça, le Coran a été écrit a posteriori de la venu de Muhammad. Une partie de ses enseignements ont été perdu (Il était illettré et on transmettait surtout à l’orale) et une partie du Livre est hérité de traditions qui n’ont rien avoir avec l’Islam. Citons par exemple le mariage forcé, la charia… qui ne sont qu’une suite de traditions bien loin des valeurs défendu par la religion.
De plus, comme dit plus haut, il faut se remettre dans le contexte pour les lois sociales. À l’époque où la loi du Talion (œil pour œil, dent pour dent) a été mise en place, on décimait un peuple entier sur dix générations pour un simple meurtre. C’était à l’époque une révolution de la justice. À noter que le Talion a été abrogé par le Christ. Il faut différencier règles sociales et règles spirituelles. Par spirituel, j’entends les valeurs morales comme l’amour, le partage, la bienveillance, la justice, la tolérance… Les règles sociales sont relatifs, changent avec le temps. Les règles spirituelles sont absolus et sont un invariant anthropologique.
Donc toutes ces accusations sont dû à la connerie humaine et non à la religion. En effet, on les retrouvent aussi chez les athéistes, comme su-cité, avec les différents tyrans. Mais on peut trouver pleins d’autres exemples.
Concernant la science et la religion, nous pouvons citer Ali, gendre de Muhammad : Ce qui est conforme à la science est conforme à la religion. Ce que l’homme ne peut pas comprendre, la religion ne peut pas l’accepter. Ce débat est surtout dû à l’ignorance, aux préjugés, à la vanité, à la convoitise, à l’intolérance. Finissons par ce que disait Huxley : Les grandes œuvres des philosophes sont moins le fruit de leur intelligence que celui de la direction imprimée à cette intelligence par une prédisposition éminemment religieuse de leur esprit. La vérité à cédé à plus de patience, à leur amour, à leur simplicité de cœur, à leur abnégation qu’à leur perspicacité. Et Boole disait : L’induction géométrique est essentiellement un processus de prière, un appel du fini à l’infini pour être éclairé sur des questions d’ordre limité.
Jamais les érudits des deux parties se sont contredit. Si on suit une logique religieuse, Dieu, d’une quelconque manière à créer le monde (disons qu’il a allumé l’étincelle du Bing Bang, attention, c’est une image, une métaphore, faut pas prendre littéralement). Comprendre le monde (c’est à dire par le biais de la science), ne serait que rendre hommage à son travail. Du point de vue scientifique, Science sans conscience n’est que ruine de l’âme disait Rabelais.
Au final, les deux parties devront faire preuve de tolérance pour apprendre à se connaitre. Et tant que des préjugés persistera, l’unité du monde et la paix ne pourra pas se faire.
PS : le titre fait bien sûr référence à la chanson de Brassens et je n’ai pas la volonté d’offenser qui que ce soit.
Qwerty

Quand on est con, on est con

mardi 29 octobre 2013 à 18:28
⚠ ce sujet peut faire débat. Si le sujet dégénère en agressions verbales, je n’hésiterai pas à fermer les commentaires, même si je n’aime pas faire ça.
Récemment, je suis tombé sur une image. En tant qu’amateur d’histoire et ne supportant ni l’intolérance ni l’oppression, j’ai voulu réagir, même si j’ai hésité longtemps avant de publier.
Voici l’image en question.
Traduction (rapide) :
Désolé si mon athéisme vous offense. Vous savez quoi ? vos guerres de religions, jihads, croisades, inquisitions, censure de la parole, lavage de cerveau, assassinat des albinos, mariages forcées, mutilation des organes femelles, lapidation, homophobie, pédophilie, et le rejet des sciences et de la religion m’offense.

En premier lieu, définissons les différents termes (pour que nous parlons de la même chose).
Par religion, on va entendre un ensemble de concept promouvant l’unité et l’amour (de Dieu, de l’humanité, de son prochain). Toute religion source de discorde et d’animosité ne pourrait pas être considéré comme religion. En plus de cette constante universelle, rajoutant des règles sociales s’appliquant à son époque. Vous pouvez vérifier par vous même cette définition en lisant les différents écrits fondateurs des principales religions monothéistes.
La plupart des exemples (bon, tous), n’est pas dû à la religion, mais à autre chose : la connerie humaine. Des exemples parmi les athées ? Hitler (et ses autodafés, c’est une forme de censure), Staline, la Corée du Nord (pays majoritairement athée, je précise)…
La plupart du temps, la religion n’est qu’un prétexte (fumeux) pour faire la guerre et assouvir des besoins : richesse, pouvoir, territoire… Bref, bien loin des principes moraux de bienveillance et de tolérance.
Il ne faut pas regarder une minorité, extrémiste, souvent décrié et rejeté de la majorité croyante, et en faire une généralité. Qu’ils soient croyant ou non, cela ne change rien. Aurez–vous la même réaction sur des critères de nationalités ou de couleur de peau ?
En parlant de ça, le Coran a été écrit a posteriori de la venu de Muhammad. Une partie de ses enseignements ont été perdu (Il était illettré et on transmettait surtout à l’orale) et une partie du Livre est hérité de traditions qui n’ont rien avoir avec l’Islam. Citons par exemple le mariage forcé, la charia… qui ne sont qu’une suite de traditions bien loin des valeurs défendu par la religion.
De plus, comme dit plus haut, il faut se remettre dans le contexte pour les lois sociales. À l’époque où la loi du Talion (œil pour œil, dent pour dent) a été mise en place, on décimait un peuple entier sur dix générations pour un simple meurtre. C’était à l’époque une révolution de la justice. À noter que le Talion a été abrogé par le Christ. Il faut différencier règles sociales et règles spirituelles. Par spirituel, j’entends les valeurs morales comme l’amour, le partage, la bienveillance, la justice, la tolérance… Les règles sociales sont relatifs, changent avec le temps. Les règles spirituelles sont absolus et sont un invariant anthropologique.
Donc toutes ces accusations sont dû à la connerie humaine et non à la religion. En effet, on les retrouvent aussi chez les athéistes, comme su-cité, avec les différents tyrans. Mais on peut trouver pleins d’autres exemples.
Concernant la science et la religion, nous pouvons citer Ali, gendre de Muhammad : Ce qui est conforme à la science est conforme à la religion. Ce que l’homme ne peut pas comprendre, la religion ne peut pas l’accepter. Ce débat est surtout dû à l’ignorance, aux préjugés, à la vanité, à la convoitise, à l’intolérance. Finissons par ce que disait Huxley : Les grandes œuvres des philosophes sont moins le fruit de leur intelligence que celui de la direction imprimée à cette intelligence par une prédisposition éminemment religieuse de leur esprit. La vérité à cédé à plus de patience, à leur amour, à leur simplicité de cœur, à leur abnégation qu’à leur perspicacité. Et Boole disait : L’induction géométrique est essentiellement un processus de prière, un appel du fini à l’infini pour être éclairé sur des questions d’ordre limité.
Jamais les érudits des deux parties se sont contredit. Si on suit une logique religieuse, Dieu, d’une quelconque manière à créer le monde (disons qu’il a allumé l’étincelle du Bing Bang, attention, c’est une image, une métaphore, faut pas prendre littéralement). Comprendre le monde (c’est à dire par le biais de la science), ne serait que rendre hommage à son travail. Du point de vue scientifique, Science sans conscience n’est que ruine de l’âme disait Rabelais.
Au final, les deux parties devront faire preuve de tolérance pour apprendre à se connaitre. Et tant que des préjugés persistera, l’unité du monde et la paix ne pourra pas se faire.
PS : le titre fait bien sûr référence à la chanson de Brassens et je n’ai pas la volonté d’offenser qui que ce soit.
Qwerty

200e article

mardi 29 octobre 2013 à 10:16
Comme tout bon bloggeur 2.0, on se doit de fêter dignement le 200ème article du site. Mais bon, comme ce genre d’article, tout le monde s’en fout, moi le premier, on va vite en passer outre.
Pour pas vous donner l’impression d’avoir perdu du temps, et que je ne sais pas quoi dire dans ce billet mise à part des choses du genre l’importance des plateformes décentralisés pour communiqués, ce genre de délire dont je vous rabâche déjà les oreilles depuis longtemps. Que les articles deviennent plus des articles de fond et moins des actualités et ce genre de choses.
Bon, histoire que vous ayez l’impression de pas n’avoir perdu votre temps, voici une musique de danse du Moyen–Âge, à vous d’imaginer les pas. Idéal pour énerver votre Open-space durant votre boulot. Vous pouvez même dansez sur les tables avec un chapeau de bouffon ou faire une joute avec vos règles en fer et, en guise de canasson, prendre un balais !
Et comme je suis sympa, voici la version téléchargeable dans un format un peu plus libre.

La rédaction

200e article

mardi 29 octobre 2013 à 10:16
Comme tout bon bloggeur 2.0, on se doit de fêter dignement le 200ème article du site. Mais bon, comme ce genre d’article, tout le monde s’en fout, moi le premier, on va vite en passer outre.
Pour pas vous donner l’impression d’avoir perdu du temps, et que je ne sais pas quoi dire dans ce billet mise à part des choses du genre l’importance des plateformes décentralisés pour communiqués, ce genre de délire dont je vous rabâche déjà les oreilles depuis longtemps. Que les articles deviennent plus des articles de fond et moins des actualités et ce genre de choses.
Bon, histoire que vous ayez l’impression de pas n’avoir perdu votre temps, voici une musique de danse du Moyen–Âge, à vous d’imaginer les pas. Idéal pour énerver votre Open-space durant votre boulot. Vous pouvez même dansez sur les tables avec un chapeau de bouffon ou faire une joute avec vos règles en fer et, en guise de canasson, prendre un balais !
Et comme je suis sympa, voici la version téléchargeable dans un format un peu plus libre.

La rédaction