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Comment j'écris un article ?

vendredi 30 mars 2012 à 20:18
Avec un clavier bien sûr ! Humour à part, la rédaction d'un article est assez simple quand on en connaît la méthodologie.
Un beau matin, une idée germe dans mon esprit. Je la laisse mûrir lors de mes trajets pour aller au lycée et retour (et oui, la marche à pied le bon matin, ça réveille !)
Une fois qu'il y a un peu plus de matière, je prends mon petit carnet et je décide de faire un plan, notamment pour les articles longs (sinon, le plan est fait de tête).
Après, il suffit tout simplement d'écrire en suivant le plan. D'illustrer mes idées d'exemples, de liens, de vidéos ou parfois d'images…
Puis, j'envoie un mail à Assiak qui a la bonté de me le corriger.
Une fois le papier rendu, je le publie sur le site et je me mets activement à la promotion de ce dit article !

Qwerty

La programmation selon GodDonut

mardi 27 mars 2012 à 18:29
La programmation est essentielle en informatique. GodDonut, auteur de nombreux tutoriels, a accepté de répondre à nos questions.

Salut GodDonut ! Peux-tu te présenter ?
Euh… je m'appelle Joshua, je suis étudiant en informatique, et je m'intéresse à la recherche en langages de programmation et en compilation. J'espère devenir chercheur, soit dans le secteur public, soit dans un secteur de Recherche et Développement dans une entreprise.
À part ça, je fais de la guitare et du handball.

Quels sont les langages de programmation que tu connais ?
Houlà, ça dépend de ce qu'on appelle connaître. Il y a des langages que je peux un petit peu utiliser, mais que je ne prétends pas maîtriser, comme PHP, Java, Scheme, SQL ou encore Factor. Il y en a que je connais mieux, comme C ou Python.
Mais mon langage préféré reste le langage OCaml, un langage fonctionnel et orienté objet moderne, qui apporte beaucoup de concepts très nouveaux. En fait, j'essaye de toucher à beaucoup de langages différents. C'est important pour ma formation, naturellement, mais de toute façon la plupart des nouveaux langages conçus par les entreprises reprennent des idées qui ont été testées dans le milieu académique. C'est toujours bien de se tenir au courant…

Peux-tu nous parler de l'algorithmique ?

Avec plaisir ! Personnellement, je considère que l'informatique est la science du traitement de l'information (notamment avec les ordinateurs). L'algorithmique, c'est une branche de l'informatique qui se charge de dire à la fois comment on traite cette information, et avec quelle efficacité. Si vous faites de la musique, travailler l'algorithmique c'est un petit peu comme travailler ses gammes : en soi, ça ne sert pas forcément à grand chose, mais ça devient vital quand on veut atteindre un niveau professionnel élevé.
Autant dire que c'est très important dans la formation d'un informaticien. Étudier l'algorithmique apprend à résoudre des problèmes qui reviennent fréquemment dans les applications. Derrière beaucoup d'applications se cachent en fait des problèmes très classiques. Par exemple, prenons l'application Google Maps : elle doit résoudre de nombreux problèmes. Notamment, si ses utilisateurs veulent se rendre d'un point A au point B, il faut qu'elle leur fournisse le chemin qui les fera consommer le moins d'essence, ou qui mettra le moins de temps, en tenant compte des prévisions de bouchon. Un vaste programme !
Mais tout ça se résout assez bien quand on connaît une structure de données appelée les « graphes », et les algorithmes qui permettent de trouver les plus courts chemins entre deux points d'un graphe. Hé oui : derrière l'interface de Google Maps, il y a des algorithmes très classiques, que les développeurs de Google ont soigneusement retranscrits dans le langage de leur choix pour avoir une application aussi efficace que possible. Pour détecter le spam dans un e-mail ? On peut utiliser un classifieur bayésien (un algorithme de classification). Pour développer un moteur de recherche ? Beaucoup de sociétés cherchent des algorithmes plus efficaces que ceux de la concurrence. Mais par exemple, celui de Google fait intervenir d'autres techniques connues, comme la multiplication de matrices creuses. Et ainsi de suite…
Bien sûr, l'algorithmique n'intervient pas dans toutes les applications. Quand les programmes sont assez simples, on se ne préoccupe pas vraiment de leur efficacité, et les problèmes qu'ils résolvent sont suffisamment basiques. Mais souvent c'est juste une différence de taille : quand une application de discussion instantanée se met à devoir traiter des centaines de messages par seconde (par exemple pour faire une recherche dans des logs), alors les structures de données utilisées sont importantes.
Enfin, l'algorithmique n'est pas une question de langages. Même si certains langages sont plus adaptés que d'autres pour l'étudier, et que d'autres proposent des structures de données et des algorithmes tout prêts, il est parfois bien pratique (et intéressant) de savoir comme ceux-ci fonctionnent.
Et puis les plus grosses entreprises n'hésitent plus, aujourd'hui, à faire passer des entretiens d'algorithmique pour sélectionner les candidats. C'est une sorte de mini-concours, pas si difficile, mais qui fait quand même la différence entre les développeurs qui prétendent à un même poste. Que le meilleure gagne, en somme !

Quels sont les différents styles de programmation (fonctionnelle, programmation orientée objet, procédurale...) ?
Comme je l'ai dit plus haut, il y a beaucoup de langages différents. On les distingue par leur utilité (SQL sert à faire des requêtes sur des bases de données, PHP sert essentiellement à écrire des scripts côté serveur…), mais pas seulement. En fait, d'un langage à l'autre, il peut y avoir beaucoup de points communs, ou beaucoup de ressemblances. Cependant, tous ces différents points de comparaison ne sont pas aussi importants.
Par exemple, un certain nombre de langages découpent leurs programmes en instructions séparées par des point-virgules, alors que Python ou Ruby séparent leurs instructions par des retours à la ligne. Cependant, est-ce que c'est vraiment différent ? A priori, non, c'est juste une question de notation. Un programme PHP peut facilement être traduit en Python, et inversement.
Par contre, il y a des langages qui ne découpent pas les programmes en instructions successives. Ils ne donnent pas d'ordre d'exécution, ou bien alors un ordre plus faible. En conséquences, ils sont plus éloignés de la machine (ce qui peut les rendre plus difficiles à compiler), mais disposent aussi d'autres avantages (puisque l'ordre de calcul est moins strict, on peut plus facilement paralléliser les programmes, c'est-à-dire les exécuter sur plusieurs processeurs).
On distingue donc de grands groupes parmi les langages de programmation : les langages impératifs, comme le C, le Python, le Java, le PHP… et les langages déclaratifs, comme SQL, OCaml, Prolog… Certains de ces langages sont en réalité plusieurs choses, par exemple OCaml contient aussi des instructions (qui sont optionnelles), et d'autres distinctions apparaissent entre eux. Dans les langages déclaratifs, par exemple, il y a des langages de requête (toujours comme SQL), des langages logiques (comme Prolog ou Clips) et des langages fonctionnels (comme OCaml, Lisp, Scheme ou Haskell). Ces derniers sont ainsi nommés parce qu'ils sont axés autour du concept de fonctions : un programme fonctionnel est comme un gigantesque emboîtement de plusieurs fonctions, que l'on compose, que l'on applique les unes aux autres, ou même que l'on retourne.
Mais ça n'est pas tout : parmi tous ces langages, il y en a qui sont dits « orientés objets ». En réalité, tous les langages objets ne fonctionnent même pas de la même façon, donc on pourrait encore faire des distinctions. Mais l'idée générale, c'est de permettre ce que l'on appelle le polymorphisme « ad-hoc » (qui veut dire « au cas-par-cas »). On envoie un certain message à un objet, et c'est lui qui décide comment il se comporte (en respectant éventuellement certaines contraintes). Ici encore, on croise des langages impératifs et orientés objet, comme PHP ou Java, des langages fonctionnels possédant des objets, comme OCaml, et ainsi de suite. On dit parfois que les langages non-orientés objet sont « procéduraux », parce que le code est découpé en procédures (des fonctions qui ne retournent pas de résultat).
Enfin, une autre grosse différence entre les langages de programmation est leur « dynamicité » : certaines fonctionnalités dans certains langages n'ont de sens que lorsqu'elles sont interprétées, alors que d'autres langages sont entièrement vérifiés à la compilation. Par exemple, les types des variables de PHP ne sont connus que pendant l'exécution du programme, pas avant. En Java ou en OCaml, ils sont vérifiés pendant la compilation, ce qui permet de découvrir certaines erreurs de typage (quand on utilise une chaîne de caractères à la place d'un entier, par exemple).

Quel langage conseillerais-tu aux personnes voulant commencer à programmer ?
Ça dépend : si ce sont des amis à vous, vous devriez leur conseiller un langage que vous aimez bien, et que vous connaissez bien. C'est en effet en groupe qu'on apprend le mieux.
Mais dans l'absolu, je pense que j'ai un faible pour Python. Il est expressif (dans le sens où il permet de faire des programmes complets en quelques lignes) et bien pensé, et donne de bonnes habitudes aux débutants. Il est également bien documenté, et il est facile à utiliser, sans pour autant cacher trop de choses au débutant selon moi. Cependant, il semble aussi que ça dépende des caractères de chacun. L'idéal, je pense, ça reste de toucher à plusieurs langages, de plusieurs styles différents. Et puis une fois que l'on connaît bien la programmation, apprendre un nouveau langage n'est qu'une question de jours.

Quel langage correspond à quel besoin ?
Difficile de faire une réponse complète ! Ça dépend vraiment des problèmes. Parfois, quand on doit résoudre un certain problème, on n'a pas le choix du langage. Mais quand on a ce choix-là (par exemple pour un projet personnel), il est clair que tous les langages ne sont pas aussi bons les uns que les autres pour résoudre certains problèmes.
Par exemple, même si aujourd'hui tous les langages peuvent servir à faire du web, pour un petit projet développé rapidement, la palme revient sans doute toujours à PHP, Ruby, Perl ou Python. Pour l'écriture de programmes très bas niveau comme des pilotes matériels, le C est une référence. Pour écrire des compilateurs, ou encore étudier l'algorithmique, OCaml reste une référence. Et ainsi de suite…
La seule idée que je voudrais mettre en avant, c'est qu'il existe de nombreux langages de programmation intéressants. C'est assez triste de voir que la plupart des débutants se concentrent sur des langages dont l'intérêt est essentiellement professionnel. Apprendre Java à 14 ans parce qu'on espère devenir développeur à 21 ans, c'est s'empêcher de faire beaucoup de découvertes intéressantes sur la programmation.

Interview réalisée par Qwerty

La programmation selon GodDonut

mardi 27 mars 2012 à 18:29
La programmation est essentielle en informatique. GodDonut, auteur de nombreux tutoriels, a accepté de répondre à nos questions.

Salut GodDonut ! Peux-tu te présenter ?
Euh… je m'appelle Joshua, je suis étudiant en informatique, et je m'intéresse à la recherche en langages de programmation et en compilation. J'espère devenir chercheur, soit dans le secteur public, soit dans un secteur de Recherche et Développement dans une entreprise.
À part ça, je fais de la guitare et du handball.

Quels sont les langages de programmation que tu connais ?
Houlà, ça dépend de ce qu'on appelle connaître. Il y a des langages que je peux un petit peu utiliser, mais que je ne prétends pas maîtriser, comme PHP, Java, Scheme, SQL ou encore Factor. Il y en a que je connais mieux, comme C ou Python.
Mais mon langage préféré reste le langage OCaml, un langage fonctionnel et orienté objet moderne, qui apporte beaucoup de concepts très nouveaux. En fait, j'essaye de toucher à beaucoup de langages différents. C'est important pour ma formation, naturellement, mais de toute façon la plupart des nouveaux langages conçus par les entreprises reprennent des idées qui ont été testées dans le milieu académique. C'est toujours bien de se tenir au courant…

Peux-tu nous parler de l'algorithmique ?

Avec plaisir ! Personnellement, je considère que l'informatique est la science du traitement de l'information (notamment avec les ordinateurs). L'algorithmique, c'est une branche de l'informatique qui se charge de dire à la fois comment on traite cette information, et avec quelle efficacité. Si vous faites de la musique, travailler l'algorithmique c'est un petit peu comme travailler ses gammes : en soi, ça ne sert pas forcément à grand chose, mais ça devient vital quand on veut atteindre un niveau professionnel élevé.
Autant dire que c'est très important dans la formation d'un informaticien. Étudier l'algorithmique apprend à résoudre des problèmes qui reviennent fréquemment dans les applications. Derrière beaucoup d'applications se cachent en fait des problèmes très classiques. Par exemple, prenons l'application Google Maps : elle doit résoudre de nombreux problèmes. Notamment, si ses utilisateurs veulent se rendre d'un point A au point B, il faut qu'elle leur fournisse le chemin qui les fera consommer le moins d'essence, ou qui mettra le moins de temps, en tenant compte des prévisions de bouchon. Un vaste programme !
Mais tout ça se résout assez bien quand on connaît une structure de données appelée les « graphes », et les algorithmes qui permettent de trouver les plus courts chemins entre deux points d'un graphe. Hé oui : derrière l'interface de Google Maps, il y a des algorithmes très classiques, que les développeurs de Google ont soigneusement retranscrits dans le langage de leur choix pour avoir une application aussi efficace que possible. Pour détecter le spam dans un e-mail ? On peut utiliser un classifieur bayésien (un algorithme de classification). Pour développer un moteur de recherche ? Beaucoup de sociétés cherchent des algorithmes plus efficaces que ceux de la concurrence. Mais par exemple, celui de Google fait intervenir d'autres techniques connues, comme la multiplication de matrices creuses. Et ainsi de suite…
Bien sûr, l'algorithmique n'intervient pas dans toutes les applications. Quand les programmes sont assez simples, on se ne préoccupe pas vraiment de leur efficacité, et les problèmes qu'ils résolvent sont suffisamment basiques. Mais souvent c'est juste une différence de taille : quand une application de discussion instantanée se met à devoir traiter des centaines de messages par seconde (par exemple pour faire une recherche dans des logs), alors les structures de données utilisées sont importantes.
Enfin, l'algorithmique n'est pas une question de langages. Même si certains langages sont plus adaptés que d'autres pour l'étudier, et que d'autres proposent des structures de données et des algorithmes tout prêts, il est parfois bien pratique (et intéressant) de savoir comme ceux-ci fonctionnent.
Et puis les plus grosses entreprises n'hésitent plus, aujourd'hui, à faire passer des entretiens d'algorithmique pour sélectionner les candidats. C'est une sorte de mini-concours, pas si difficile, mais qui fait quand même la différence entre les développeurs qui prétendent à un même poste. Que le meilleure gagne, en somme !

Quels sont les différents styles de programmation (fonctionnelle, programmation orientée objet, procédurale…) ?
Comme je l'ai dit plus haut, il y a beaucoup de langages différents. On les distingue par leur utilité (SQL sert à faire des requêtes sur des bases de données, PHP sert essentiellement à écrire des scripts côté serveur…), mais pas seulement. En fait, d'un langage à l'autre, il peut y avoir beaucoup de points communs, ou beaucoup de ressemblances. Cependant, tous ces différents points de comparaison ne sont pas aussi importants.
Par exemple, un certain nombre de langages découpent leurs programmes en instructions séparées par des point-virgules, alors que Python ou Ruby séparent leurs instructions par des retours à la ligne. Cependant, est-ce que c'est vraiment différent ? A priori, non, c'est juste une question de notation. Un programme PHP peut facilement être traduit en Python, et inversement.
Par contre, il y a des langages qui ne découpent pas les programmes en instructions successives. Ils ne donnent pas d'ordre d'exécution, ou bien alors un ordre plus faible. En conséquences, ils sont plus éloignés de la machine (ce qui peut les rendre plus difficiles à compiler), mais disposent aussi d'autres avantages (puisque l'ordre de calcul est moins strict, on peut plus facilement paralléliser les programmes, c'est-à-dire les exécuter sur plusieurs processeurs).
On distingue donc de grands groupes parmi les langages de programmation : les langages impératifs, comme le C, le Python, le Java, le PHP… et les langages déclaratifs, comme SQL, OCaml, Prolog… Certains de ces langages sont en réalité plusieurs choses, par exemple OCaml contient aussi des instructions (qui sont optionnelles), et d'autres distinctions apparaissent entre eux. Dans les langages déclaratifs, par exemple, il y a des langages de requête (toujours comme SQL), des langages logiques (comme Prolog ou Clips) et des langages fonctionnels (comme OCaml, Lisp, Scheme ou Haskell). Ces derniers sont ainsi nommés parce qu'ils sont axés autour du concept de fonctions : un programme fonctionnel est comme un gigantesque emboîtement de plusieurs fonctions, que l'on compose, que l'on applique les unes aux autres, ou même que l'on retourne.
Mais ça n'est pas tout : parmi tous ces langages, il y en a qui sont dits « orientés objets ». En réalité, tous les langages objets ne fonctionnent même pas de la même façon, donc on pourrait encore faire des distinctions. Mais l'idée générale, c'est de permettre ce que l'on appelle le polymorphisme « ad-hoc » (qui veut dire « au cas-par-cas »). On envoie un certain message à un objet, et c'est lui qui décide comment il se comporte (en respectant éventuellement certaines contraintes). Ici encore, on croise des langages impératifs et orientés objet, comme PHP ou Java, des langages fonctionnels possédant des objets, comme OCaml, et ainsi de suite. On dit parfois que les langages non-orientés objet sont « procéduraux », parce que le code est découpé en procédures (des fonctions qui ne retournent pas de résultat).
Enfin, une autre grosse différence entre les langages de programmation est leur « dynamicité » : certaines fonctionnalités dans certains langages n'ont de sens que lorsqu'elles sont interprétées, alors que d'autres langages sont entièrement vérifiés à la compilation. Par exemple, les types des variables de PHP ne sont connus que pendant l'exécution du programme, pas avant. En Java ou en OCaml, ils sont vérifiés pendant la compilation, ce qui permet de découvrir certaines erreurs de typage (quand on utilise une chaîne de caractères à la place d'un entier, par exemple).

Quel langage conseillerais-tu aux personnes voulant commencer à programmer ?
Ça dépend : si ce sont des amis à vous, vous devriez leur conseiller un langage que vous aimez bien, et que vous connaissez bien. C'est en effet en groupe qu'on apprend le mieux.
Mais dans l'absolu, je pense que j'ai un faible pour Python. Il est expressif (dans le sens où il permet de faire des programmes complets en quelques lignes) et bien pensé, et donne de bonnes habitudes aux débutants. Il est également bien documenté, et il est facile à utiliser, sans pour autant cacher trop de choses au débutant selon moi. Cependant, il semble aussi que ça dépende des caractères de chacun. L'idéal, je pense, ça reste de toucher à plusieurs langages, de plusieurs styles différents. Et puis une fois que l'on connaît bien la programmation, apprendre un nouveau langage n'est qu'une question de jours.

Quel langage correspond à quel besoin ?
Difficile de faire une réponse complète ! Ça dépend vraiment des problèmes. Parfois, quand on doit résoudre un certain problème, on n'a pas le choix du langage. Mais quand on a ce choix-là (par exemple pour un projet personnel), il est clair que tous les langages ne sont pas aussi bons les uns que les autres pour résoudre certains problèmes.
Par exemple, même si aujourd'hui tous les langages peuvent servir à faire du web, pour un petit projet développé rapidement, la palme revient sans doute toujours à PHP, Ruby, Perl ou Python. Pour l'écriture de programmes très bas niveau comme des pilotes matériels, le C est une référence. Pour écrire des compilateurs, ou encore étudier l'algorithmique, OCaml reste une référence. Et ainsi de suite…
La seule idée que je voudrais mettre en avant, c'est qu'il existe de nombreux langages de programmation intéressants. C'est assez triste de voir que la plupart des débutants se concentrent sur des langages dont l'intérêt est essentiellement professionnel. Apprendre Java à 14 ans parce qu'on espère devenir développeur à 21 ans, c'est s'empêcher de faire beaucoup de découvertes intéressantes sur la programmation.

Interview réalisée par Qwerty

Retour vers le futur

samedi 24 mars 2012 à 11:18
Etant grand cinéphile, je me suis dit qu'une analyse d'oeuvre cinématographique serait intérrésante. Et nous allons commencer par mon film préféré, Retour vers le futur.

Retour vers le futur


Titre en VO : Back to the future
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis, Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox, Christopher Lloyd
Pays d’origine : États-Unis États-Unis
Sortie 1985
Durée 116 minutes

1985, Hill Valley, Californie. Marty Mcfly est un adolescent typique des années 1980 et déçu par sa situation familiale. SOn père, George Mcfly, est timide, ne supporte pas le conflit et s'écrase sans cesse devant son chef Biff Tannen, qui l'oblige à rédiger ses propres rapports.
Sa mère Laurène, portée sur la bouteille, est possessive. Elle s'indigne quand son fils sort avec Jennifer. Son frère travaille dans un fast-food du coin. Marty a pour ami un savant fou, "Doc" Emmett Brown. Celui-ci invente une machine à voyager dans le temps à partir d'une delorean DMC-12.
Il fait la démonstration en envoyant son chien Einstein 1mn dans le futur. Mais Doc est subitement assassiné par des terroristes libyens, auxquels il leur subtilise du plutonium, nécessaire pour transmettre les 2,21 gigawatts dans le convecteur temporel afin de voyager dans le temps.
Marty, pour leurs échapper, met involontairement les circuits temporels et s'envole en 1955. Il arrivent donc 30 ans plus tôt. En voulant aller chez lui, il découvre que tout est en chantier. il croise ses parents, encore étudiants, et sauve son père d'un accident de la circulation en étant renversé à sa place par la voiture de son futur grand-père maternel.
Marty se réveille bien plus tard. Sa mère tombe amoureuse de lui en le soignant. Marty a donc pris la place de son père, qui avait connu sa mère lors de cet accident. Marty va donc s'arranger pour que sa mère tombe amoureux de son père et ainsi éviter un paradoxe temporel.
Marty va donc tout faire pour inciter Georges, son père, à inviter Lorraine, sa mère, à la féerie dansante des sirènes (bal de fin d'année où les parents de Marty se sont embrassés pour la première fois dans le cours du temps originel), afin qu'ils tombent amoureux et lui éviter sa disparition, ainsi que celles de son frère et de sa sœur. Il ira jusqu'à s'introduire un soir dans la chambre de son père, déguisé en « Dark Vador, de la planète Vulcain », pour l'inciter à inviter Laurene.
Doc Jeune va aussi l'aider, après que Marty lui a, avec tant de mal, raconté son histoire. Marty montrera un tract de 1985 à Doc, indiquant que la foudre s'apprête à tomber sur l'horloge de l'Hôtel de Ville dans une semaine, soit le soir du bal. Doc décide donc de canaliser l'énergie de l'éclair pour les 2,21 gigawatts nécessaires pour le convecteur, tandis que Marty essaiera de réparer son erreur tout en en profitant pour aider son père à se défendre de Biff, dont il est déjà le souffre-douleur, et sa mère à ne pas continuer de boire et de fumer.


Ce que j'aime bien dans ce film, c'est de voir ses parents jeunes et de voir comment ils étaient. Le paradoxe temporel est aussi très présent, ce qui fait aussi son charme. Le décalage de Marty (ses réactions) par rapport à l'époque de ses parents montrent bien les changements culturels.

Retour vers le futur II


Titre original Back to the Future Part II
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis
Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox
Christopher Lloyd
Lea Thompson
Thomas Francis Wilson
Pays d’origine États-Unis États-Unis
Sortie 1989
Durée 108 minutes

Marty se croyait enfin tranquille. Mais doc se ramène du futur, et annonce que leurs descendance, en 2015, sont en danger. Son fils, Marty Jr, s'apprête, malgré lui à faire un vol avec Griff Tannen (le petit fils de Biff). Après une course poursuite en Hoverboards, sorte de skateboards volant, Griff est arrêté.
Sa descendance est sauvé. Appâté par le gain, Marty achète un almanach des sports retraçant l'ensemble des victoires sportives survenues depuis les années 1950 jusque dans les années 2000 avec l'intention de s'enrichir en rentrant dans son époque. Doc le dissuadant de le faire, l'almanach des sports est jeté dans une poubelle sous les yeux du vieux Biff Tannen.
Mais la police du coin trouve Jenefer inconsciente et la ramène chez elle. Doc et Marty essaye de la récupérer. Pendant ce temps, Biff s'empare de la machine. Puis on le voit revenir.
Lorsque que Marty et Doc revient en 1985, tout semble normal. Enfin presque. Le chaos et le désordre règne, la ville faisant office de refuge pour les criminels.
On voit que l'hotel de ville est transformé en casino. Le casino de Biff. Marty se rend compte qu'il c'est enrichie grâce à l'almanach. Il monte donc voir Biff, qui lui raconte que en 1955, un vieillard (qui est en faites le vieux Biff) lui a donné un drôle de bouquin (sic).
Marty retourne avec Doc en 1955 pour récuperer l'almanach. Ils réussissent et le brûle. Mais Doc sera projeté à l'époque du far-west.

Ce qui est intéressant dans ce film, c'est le retour dans les scènes du premier film (le bal de la féerie dansante des sirènes par exemple). La vision du futur est un peu dépassé, mais c'est ce qui fait son charme.

Retour vers le futur III


Titre original Back to the Future Part III
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis
Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox
Christopher Lloyd
Mary Steenburgen
Thomas Francis Wilson
Lea Thompson
Pays d’origine États-Unis États-Unis
Sortie 1990
Durée 118 minutes

Marty est coincé en 1955. Mais reçoit une lettre de Doc vielle de 70 ans. Dans la lettre est indiqué que la DeLorean est cachée dans une ancienne mine d'argent. Il va donc demander l'aide de Doc de 1955. Bien sûr, il s’évanouit, car il venait de le renvoyez chez lui (dans la scène du I, vous en souvenez ?)
Doc l'aide donc à réparer la delorean. Mais, juste à coté, il y a un cimetière. Et on voit que Doc a été assasine une semaine seulement après l'émission de la lettre, par Bufford Tannen, un ancêtre de Biff Tannen, surnommé « Molosse ». Marty décide, malgré les ordres du Doc, d'aller chercher son ami en 1885, cinq jours avant l'assassinat. Doc remplace donc la puce électronique nécessaire au voyage dans le temps par les moyens du bord.
À peine arrivé en 1885, une attaque des Indiens perce le réservoir de la DeLorean. Marty cache la voiture dans une grotte. En essayant de rejoindre Doc à Hill Valley, il est recueilli par ses ancêtres suite à une chute. Il rencontre Seamus McFly, Maggie McFly et son arrière-grand-père William McFly, premier McFly né sur le territoire américain. De ce fait, il emprunte un nom, « Clint Eastwood », pour cacher sa véritable identité, et ses intentions.
Arrivant à Hill Valley, Marty rencontre très tôt Bufford Tannen qui tente de le pendre car il l'humilie en lui envoyant un seau plein de crachats et l'appelle inconsciemment par son sobriquet de « molosse », que Bufford déteste. Doc le sauve in extremis grâce à un fusil à lunette de fortune. Marty découvre que Doc passe des jours heureux en 1885. Il lui fait part de l'imminence de sa mort à cause de Tannen et du fait que la DeLorean ait perdu son carburant à cause de son réservoir d'essence percé. La tâche de Marty est compliquée par le coup de foudre de Doc pour une institutrice nommée Clara, nouvellement arrivée dans la ville. Doc et Marty essayent de trouver le moyen de rentrer en 1985. Un essai malheureux, en versant du whisky dans le réservoir d'essence de la DeLorean, fait exploser le système d'injection de la voiture, et par conséquent le moteur. Par chance le générateur de fusion est intact. Les deux amis trouvent alors un moyen : le train ! La DeLorean se fera pousser par le train jusqu'à un pont dont la construction n'est pas achevée, selon les calculs de Doc la voiture devrait pouvoir atteindre les 88 miles par heure requis, juste avant que la locomotive tombe.
Mais au dernier moment, Clara les rejoints (pendant que le train pousse la delorean !). Doc reste donc avec elle. Marty rentre donc seul en 1985. Un train explose la delorean, Marty sortant in-extremis de la voiture.
Mais on voit Doc revenir à bord d'une machine temporel fait à partir du train, accompagné de Clara et de ses deux enfants : Jules et Vernes.

Ce film nous montre une facette de Doc inattendu : Il tombe amoureux ! Sinon, le lien entre le western et le XXe siècle est assez intéressant.

Voilà, j'espère que ces films vont vous plaire !
Qwerty

Retour vers le futur

samedi 24 mars 2012 à 11:18
Etant grand cinéphile, je me suis dit qu'une analyse d'oeuvre cinématographique serait intérrésante. Et nous allons commencer par mon film préféré, Retour vers le futur.

Retour vers le futur


Titre en VO : Back to the future
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis, Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox, Christopher Lloyd
Pays d’origine  : États-Unis États-Unis
Sortie 1985
Durée 116 minutes

1985, Hill Valley, Californie. Marty Mcfly est un adolescent typique des années 1980 et déçu par sa situation familiale. SOn père, George Mcfly, est timide, ne supporte pas le conflit et s'écrase sans cesse devant son chef Biff Tannen, qui l'oblige à rédiger ses propres rapports.
Sa mère Laurène, portée sur la bouteille, est possessive. Elle s'indigne quand son fils sort avec Jennifer. Son frère travaille dans un fast-food du coin. Marty a pour ami un savant fou, "Doc" Emmett Brown. Celui-ci invente une machine à voyager dans le temps à partir d'une delorean DMC-12.
Il fait la démonstration en envoyant son chien Einstein 1mn dans le futur. Mais Doc est subitement assassiné par des terroristes libyens, auxquels il leur subtilise du plutonium, nécessaire pour transmettre les 2,21 gigawatts dans le convecteur temporel afin de voyager dans le temps.
Marty, pour leurs échapper, met involontairement les circuits temporels et s'envole en 1955. Il arrivent donc 30 ans plus tôt. En voulant aller chez lui, il découvre que tout est en chantier. il croise ses parents, encore étudiants, et sauve son père d'un accident de la circulation en étant renversé à sa place par la voiture de son futur grand-père maternel.
Marty se réveille bien plus tard. Sa mère tombe amoureuse de lui en le soignant. Marty a donc pris la place de son père, qui avait connu sa mère lors de cet accident. Marty va donc s'arranger pour que sa mère tombe amoureux de son père et ainsi éviter un paradoxe temporel.
Marty va donc tout faire pour inciter Georges, son père, à inviter Lorraine, sa mère, à la féerie dansante des sirènes (bal de fin d'année où les parents de Marty se sont embrassés pour la première fois dans le cours du temps originel), afin qu'ils tombent amoureux et lui éviter sa disparition, ainsi que celles de son frère et de sa sœur. Il ira jusqu'à s'introduire un soir dans la chambre de son père, déguisé en « Dark Vador, de la planète Vulcain », pour l'inciter à inviter Laurene.
Doc Jeune va aussi l'aider, après que Marty lui a, avec tant de mal, raconté son histoire. Marty montrera un tract de 1985 à Doc, indiquant que la foudre s'apprête à tomber sur l'horloge de l'Hôtel de Ville dans une semaine, soit le soir du bal. Doc décide donc de canaliser l'énergie de l'éclair pour les 2,21 gigawatts nécessaires pour le convecteur, tandis que Marty essaiera de réparer son erreur tout en en profitant pour aider son père à se défendre de Biff, dont il est déjà le souffre-douleur, et sa mère à ne pas continuer de boire et de fumer.


Ce que j'aime bien dans ce film, c'est de voir ses parents jeunes et de voir comment ils étaient. Le paradoxe temporel est aussi très présent, ce qui fait aussi son charme. Le décalage de Marty (ses réactions) par rapport à l'époque de ses parents montrent bien les changements culturels.

Retour vers le futur II


Titre original Back to the Future Part II
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis
Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox
Christopher Lloyd
Lea Thompson
Thomas Francis Wilson
Pays d’origine États-Unis États-Unis
Sortie 1989
Durée 108 minutes

Marty se croyait enfin tranquille. Mais doc se ramène du futur, et annonce que leurs descendance, en 2015, sont en danger. Son fils, Marty Jr, s'apprête, malgré lui à faire un vol avec Griff Tannen (le petit fils de Biff). Après une course poursuite en Hoverboards, sorte de skateboards volant, Griff est arrêté.
Sa descendance est sauvé. Appâté par le gain, Marty achète un almanach des sports retraçant l'ensemble des victoires sportives survenues depuis les années 1950 jusque dans les années 2000 avec l'intention de s'enrichir en rentrant dans son époque. Doc le dissuadant de le faire, l'almanach des sports est jeté dans une poubelle sous les yeux du vieux Biff Tannen.
Mais la police du coin trouve Jenefer inconsciente et la ramène chez elle. Doc et Marty essaye de la récupérer. Pendant ce temps, Biff s'empare de la machine. Puis on le voit revenir.
Lorsque que Marty et Doc revient en 1985, tout semble normal. Enfin presque. Le chaos et le désordre règne, la ville faisant office de refuge pour les criminels.
On voit que l'hotel de ville est transformé en casino. Le casino de Biff. Marty se rend compte qu'il c'est enrichie grâce à l'almanach. Il monte donc voir Biff, qui lui raconte que en 1955, un vieillard (qui est en faites le vieux Biff) lui a donné un drôle de bouquin (sic).
Marty retourne avec Doc en 1955 pour récuperer l'almanach. Ils réussissent et le brûle. Mais Doc sera projeté à l'époque du far-west.

Ce qui est intéressant dans ce film, c'est le retour dans les scènes du premier film (le bal de la féerie dansante des sirènes par exemple). La vision du futur est un peu dépassé, mais c'est ce qui fait son charme.

Retour vers le futur III


Titre original Back to the Future Part III
Réalisation Robert Zemeckis
Scénario Robert Zemeckis
Bob Gale
Acteurs principaux Michael J. Fox
Christopher Lloyd
Mary Steenburgen
Thomas Francis Wilson
Lea Thompson
Pays d’origine États-Unis États-Unis
Sortie 1990
Durée 118 minutes

Marty est coincé en 1955. Mais reçoit une lettre de Doc vielle de 70 ans. Dans la lettre est indiqué que la DeLorean est cachée dans une ancienne mine d'argent. Il va donc demander l'aide de Doc de 1955. Bien sûr, il s’évanouit, car il venait de le renvoyez chez lui (dans la scène du I, vous en souvenez ?)
Doc l'aide donc à réparer la delorean. Mais, juste à coté, il y a un cimetière. Et on voit que Doc a été assasine une semaine seulement après l'émission de la lettre, par Bufford Tannen, un ancêtre de Biff Tannen, surnommé « Molosse ». Marty décide, malgré les ordres du Doc, d'aller chercher son ami en 1885, cinq jours avant l'assassinat. Doc remplace donc la puce électronique nécessaire au voyage dans le temps par les moyens du bord.
À peine arrivé en 1885, une attaque des Indiens perce le réservoir de la DeLorean. Marty cache la voiture dans une grotte. En essayant de rejoindre Doc à Hill Valley, il est recueilli par ses ancêtres suite à une chute. Il rencontre Seamus McFly, Maggie McFly et son arrière-grand-père William McFly, premier McFly né sur le territoire américain. De ce fait, il emprunte un nom, « Clint Eastwood », pour cacher sa véritable identité, et ses intentions.
Arrivant à Hill Valley, Marty rencontre très tôt Bufford Tannen qui tente de le pendre car il l'humilie en lui envoyant un seau plein de crachats et l'appelle inconsciemment par son sobriquet de « molosse », que Bufford déteste. Doc le sauve in extremis grâce à un fusil à lunette de fortune. Marty découvre que Doc passe des jours heureux en 1885. Il lui fait part de l'imminence de sa mort à cause de Tannen et du fait que la DeLorean ait perdu son carburant à cause de son réservoir d'essence percé. La tâche de Marty est compliquée par le coup de foudre de Doc pour une institutrice nommée Clara, nouvellement arrivée dans la ville. Doc et Marty essayent de trouver le moyen de rentrer en 1985. Un essai malheureux, en versant du whisky dans le réservoir d'essence de la DeLorean, fait exploser le système d'injection de la voiture, et par conséquent le moteur. Par chance le générateur de fusion est intact. Les deux amis trouvent alors un moyen : le train ! La DeLorean se fera pousser par le train jusqu'à un pont dont la construction n'est pas achevée, selon les calculs de Doc la voiture devrait pouvoir atteindre les 88 miles par heure requis, juste avant que la locomotive tombe.
Mais au dernier moment, Clara les rejoints (pendant que le train pousse la delorean !). Doc reste donc avec elle. Marty rentre donc seul en 1985. Un train explose la delorean, Marty sortant in-extremis de la voiture.
Mais on voit Doc revenir à bord d'une machine temporel fait à partir du train, accompagné de Clara et de ses deux enfants : Jules et Vernes.

Ce film nous montre une facette de Doc inattendu : Il tombe amoureux ! Sinon, le lien entre le western et le XXe siècle est assez intéressant.

Voilà, j'espère que ces films vont vous plaire !
Qwerty