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Dune, introduction philosophique d'une des plus grande épopée de la SF

samedi 27 juillet 2013 à 20:33
J'ai lu récemment Dune. Je comptais vous faire une fiche de lecture, avec un résumé, bref quelque chose de sérieux.
Mais je n'ai pas eu le courage de le faire. J'ai préféré, et je trouve que ça serait plus intéressant, de vous parler des thèmes abordés et de comment je les ai ressentis. D'ailleurs, à mes deux bacs blanc de français et au bac officiel, j'ai y fait référence (j'ai pris mon temps pour le lire, de Noël à fin juin).
Dune, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une oeuvre de science-fiction de Frank Herbert, composé entre 1965 à 1986 à sa mort. Je préfère ne pas parler des oeuvres de son fils, restons sur l'essence originale. Ces livres sont Dune, le messie de Dune, les enfants de Dune, l'Empereur Dieu, les hérétiques de Dune et la Maison des mères.
L'histoire est assez compliquée, je vais essayer de la résumer, enfin, suffisamment pour que vous puissiez comprendre l'histoire, sans vous gâcher le plaisir de lire le livre. Je vous conseille de lire sur wikipédia un résumé pour mieux comprendre.
L'univers connu est rassemblé dans un immense empire féodal inter-galactique. Un produit, l'Épice (produite par les vers des sables), est utilisé à toutes les sauces, si je peux me permettre le jeu de mot : pour aider les voyages intergalactiques de la Guilde, pour les transes (l'Agonie) des Révérendes Mères, ou simplement comme drogue pour le commun des mortels.
Bande Originale du film Dune de Lych


Plusieurs forces régissent l'Univers :

Dune, introduction philosophique d'une des plus grande épopée de la SF

samedi 27 juillet 2013 à 20:33
J'ai lu récemment Dune. Je comptais vous faire une fiche de lecture, avec un résumé, bref quelque chose de sérieux.
Mais je n'ai pas eu le courage de le faire. J'ai préféré, et je trouve que ça serait plus intéressant, de vous parler des thèmes abordés et de comment je les ai ressentis. D'ailleurs, à mes deux bacs blanc de français et au bac officiel, j'ai y fait référence (j'ai pris mon temps pour le lire, de Noël à fin juin).
Dune, pour ceux qui ne connaissent pas, c'est une oeuvre de science-fiction de Frank Herbert, composé entre 1965 à 1986 à sa mort. Je préfère ne pas parler des oeuvres de son fils, restons sur l'essence originale. Ces livres sont Dune, le messie de Dune, les enfants de Dune, l'Empereur Dieu, les hérétiques de Dune et la Maison des mères.
L'histoire est assez compliquée, je vais essayer de la résumer, enfin, suffisamment pour que vous puissiez comprendre l'histoire, sans vous gâcher le plaisir de lire le livre. Je vous conseille de lire sur wikipédia un résumé pour mieux comprendre.
L'univers connu est rassemblé dans un immense empire féodal inter-galactique. Un produit, l'Épice (produite par les vers des sables), est utilisé à toutes les sauces, si je peux me permettre le jeu de mot : pour aider les voyages intergalactiques de la Guilde, pour les transes (l'Agonie) des Révérendes Mères, ou simplement comme drogue pour le commun des mortels.
Bande Originale du film Dune de Lych


Plusieurs forces régissent l'Univers :

C'est une révolte ? Non, une révolution !

samedi 20 juillet 2013 à 08:35
Reprenant allégrement le titre d'un vieil article, je vais vous exposer ma vision d'une révolution.
Habituellement, quant-on parle d'une révolution, on pense à 1789, les Printemps arabe, la Révolution verte iranienne de 2009, de la révolution d'octobre...
Dans ces révolutions, ces soulèvements populaires, je remarque plusieurs choses qui forment un schéma :

Bref, un soulèvement, patapouf le soufflé tombe, et c'est presque pire qu'avant !
Je n'ai pas cette vision de la révolution.
Image par gaelx, licence CC-BY-SA

Pour moi, la révolution, si on veut que les effets soit durable et solide, doit être sur le long terme.
Qu'est-ce que j'appelle le long terme ? Une génération. Car la véritable révolution, si on veut la plus pacifiste possible, passe par l'éducation.
Mais éduquer à quoi ? Militant pour les technologies libres et ouvertes, apprendre à mes enfants "comment ça marche", et la philosophie derrière (Do It Yourself (faire soit-même), ne pas confier ses données à des sociétés privés....). Militant pour un développement durable, j'apprendrais à mes enfants à être respectueux (et de la comprendre. Comment respecter quelque chose qu'on comprend pas ?) de la nature, de penser de façon durable. Faisant des études scientifiques, j'apprendrais à mes enfants à être curieux, à (se) poser des questions, s'ouvrir au monde. Littéraire, j'encouragerai mes enfants à lire, réfléchir, puis écrire. Artistes, je les encouragerai dans leur art. Et enfin, étant humain, je les aideraient à développer leurs qualités moraux universelles (justice, bienveillance, coopération, ...).
Photo par DonkeyHotey licence CC-BY

Le secret pour changer le monde est là : Elle passe par l'éducation. La base est là. Si on apprend à quelqu'un que voler, tricher, mentir est quelque chose de normal, il va l'appliquer sans se poser de question, car il trouvera normal. Si on apprend aux enfants à réfléchir sur qui ils sont réellement, la notion de bien et de mal (même si je n'aime pas cette expression : le mal est l'absence de bien, comme l’obscurité est l'absence de lumière), en un mot comme en mille, réfléchir sur la vie, se questionner et comprendre le monde qui l'entoure pour l'améliorer. Car je ne pense que personne n'aiment un monde de violence, de guerre, d'inégalité tant de richesse, de sexe ou bien d'autres encore.
Car la véritable révolution passe par des gestes quotidiens : S'entre-aider entre voisins, essayer de favoriser l'unité dans son quartier (et éviter le plus possible les conflits en les arrêtant au plus vite).
Photo par Elizabeth Albert licence CC-BY

Certains me penseront utopique, de vouloir la paix dans le monde. Certains diront que c'est impossible.
Certains pensent qu'on ne peut pas éviter les extrêmes de richesses, la guerre, la violence, l'égoïsme et tant de choses négatives.
A grande échelle, seul, non.
A son échelle, dans son quartier, avec sa famille, oui.
Si chacun s'y met, alors, le monde peut changer. Chacun dans son coin peut changer le monde.
Il suffit, que, dans chaque quartier, une famille allume la flamme de bienveillance pour qu'elle embrasse le quartier en entier, et qui, peu à peu, embrassera, avec l'aide d'autres flamme, la ville, la région, le pays, le monde. Et là, cette paix mondiale, tant rêvés par nos ancêtre, sera possible.
Les mentalités peuvent changer par l'éducation, en l'espace d'une génération.
En une génération, on arrivera à accomplir le rêve de centaines, de milliers de générations : vivre en paix, dans un monde tranquille.
Car, en vérité, la violence entraine la violence, la haine entraine la haine, et la bienveillance entraine la bienveillance, l'amour entraine l'amour.
Image par srqpix sous licence CC-BY

Tout ça, il suffit d'y vouloir, d'avoir la volonté. Et après, c'est si facile d'y arriver !
C'est ce que l'on peut appeler le soft power, le pouvoir doux, qui s'oppose au hard power, le pouvoir dur, celui des armes.
Et c'est ainsi qu'on pourra faire une révolution inédite, jamais vu dans l'histoire : sans une goutte de sang, avec un résultat durable, et, espérons, irréversible. On reverserai l'ordre établi : violence, guerre, suprématie du dieu argent, égoïsme, corruption, pauvreté, racisme, inégalités, injustice,... N'est-il pas le but de toutes révolutions ?
Qwerty

C'est une révolte ? Non, une révolution !

samedi 20 juillet 2013 à 08:35
Reprenant allégrement le titre d'un vieil article, je vais vous exposer ma vision d'une révolution.
Habituellement, quant-on parle d'une révolution, on pense à 1789, les Printemps arabe, la Révolution verte iranienne de 2009, de la révolution d'octobre…
Dans ces révolutions, ces soulèvements populaires, je remarque plusieurs choses qui forment un schéma :

Bref, un soulèvement, patapouf le soufflé tombe, et c'est presque pire qu'avant !
Je n'ai pas cette vision de la révolution.
Image par gaelx, licence CC-BY-SA

Pour moi, la révolution, si on veut que les effets soit durable et solide, doit être sur le long terme.
Qu'est-ce que j'appelle le long terme ? Une génération. Car la véritable révolution, si on veut la plus pacifiste possible, passe par l'éducation.
Mais éduquer à quoi ? Militant pour les technologies libres et ouvertes, apprendre à mes enfants "comment ça marche", et la philosophie derrière (Do It Yourself (faire soit-même), ne pas confier ses données à des sociétés privés….). Militant pour un développement durable, j'apprendrais à mes enfants à être respectueux (et de la comprendre. Comment respecter quelque chose qu'on comprend pas ?) de la nature, de penser de façon durable. Faisant des études scientifiques, j'apprendrais à mes enfants à être curieux, à (se) poser des questions, s'ouvrir au monde. Littéraire, j'encouragerai mes enfants à lire, réfléchir, puis écrire. Artistes, je les encouragerai dans leur art. Et enfin, étant humain, je les aideraient à développer leurs qualités moraux universelles (justice, bienveillance, coopération, …).
Photo par DonkeyHotey licence CC-BY

Le secret pour changer le monde est là : Elle passe par l'éducation. La base est là. Si on apprend à quelqu'un que voler, tricher, mentir est quelque chose de normal, il va l'appliquer sans se poser de question, car il trouvera normal. Si on apprend aux enfants à réfléchir sur qui ils sont réellement, la notion de bien et de mal (même si je n'aime pas cette expression : le mal est l'absence de bien, comme l’obscurité est l'absence de lumière), en un mot comme en mille, réfléchir sur la vie, se questionner et comprendre le monde qui l'entoure pour l'améliorer. Car je ne pense que personne n'aiment un monde de violence, de guerre, d'inégalité tant de richesse, de sexe ou bien d'autres encore.
Car la véritable révolution passe par des gestes quotidiens : S'entre-aider entre voisins, essayer de favoriser l'unité dans son quartier (et éviter le plus possible les conflits en les arrêtant au plus vite).
Photo par Elizabeth Albert licence CC-BY

Certains me penseront utopique, de vouloir la paix dans le monde. Certains diront que c'est impossible.
Certains pensent qu'on ne peut pas éviter les extrêmes de richesses, la guerre, la violence, l'égoïsme et tant de choses négatives.
A grande échelle, seul, non.
A son échelle, dans son quartier, avec sa famille, oui.
Si chacun s'y met, alors, le monde peut changer. Chacun dans son coin peut changer le monde.
Il suffit, que, dans chaque quartier, une famille allume la flamme de bienveillance pour qu'elle embrasse le quartier en entier, et qui, peu à peu, embrassera, avec l'aide d'autres flamme, la ville, la région, le pays, le monde. Et là, cette paix mondiale, tant rêvés par nos ancêtre, sera possible.
Les mentalités peuvent changer par l'éducation, en l'espace d'une génération.
En une génération, on arrivera à accomplir le rêve de centaines, de milliers de générations : vivre en paix, dans un monde tranquille.
Car, en vérité, la violence entraine la violence, la haine entraine la haine, et la bienveillance entraine la bienveillance, l'amour entraine l'amour.
Image par srqpix sous licence CC-BY

Tout ça, il suffit d'y vouloir, d'avoir la volonté. Et après, c'est si facile d'y arriver !
C'est ce que l'on peut appeler le soft power, le pouvoir doux, qui s'oppose au hard power, le pouvoir dur, celui des armes.
Et c'est ainsi qu'on pourra faire une révolution inédite, jamais vu dans l'histoire : sans une goutte de sang, avec un résultat durable, et, espérons, irréversible. On reverserai l'ordre établi : violence, guerre, suprématie du dieu argent, égoïsme, corruption, pauvreté, racisme, inégalités, injustice,… N'est-il pas le but de toutes révolutions ?
Qwerty

Allons enfants de laaaaaaa patriiiiiiiiiiiiiiiiiiiie

dimanche 14 juillet 2013 à 12:20
Ah le 14 juillet, le défilé militaire sur les champs-Élysées... Pas pour moi. Tout de suite, on va dire que je n'aime pas la France. Si, j'aime son patrimoine (naturel, historique, gastronomique), mais le 14 juillet rassemble de nombreuses idées fausses. Une fois qu'on connait la vérité, la "fierté du patriotisme" tombe comme un soufflet.
Vous pensez que le 14 juillet est la prise de la Bastille pour lutter contre le pouvoir royal, avec des canons et tout le mythe autour ?
Que néni !
Prise de la Bastille, d'après Hoüel

Déjà, c'était qu'une poignée du bas peuple, illettré, qui avec leurs fourches voulaient récupérer un peu de poudre pour manifester parce qu'ils manquaient de pain ! Bien loin des idéaux des Lumières à vrai dire ! D'ailleurs, la date du 14 Juillet ne fut qu'un compromis !
Passons ensuite à la Marseillaise. Selon une étude, c'est l'hymne la plus facile à chanter ! N'importe qui peut brailler la Marseillaise ! Le mélomane que je suis à mal aux oreilles.
Maintenant, passons aux paroles. Avec tout d'abord des erreurs syntaxiques énormes, quelque chose me choque Mugir ces féroces soldats : Mugir ? Comme les vaches (Meuuuh) ? De Gaulle avait raison, les français sont des veaux !
Avec un chant sanguinaire, demandant l'appel aux armes, dans un monde auquelle la paix est indispensable, ce n'est qu'anachronique !
Et que dire des prix faramineux avec ces avions, ces défilés, ces feux d’artifices (pour rappeler les canons).
Et puis, la prise de la Bastille n'est qu'un évènement parisien, et Paris n'est pas la France tout entière !
A l'instar de Brassens, le jour du quatorze juillet, je reste dans mon lit douillet !
Qwerty