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Comment se laver les mains efficacement : réponses et conseils

vendredi 20 mars 2020 à 19:38
L'on parle de tous côtés de se " laver les mains " par mesure de précautions envers cette saloperie de Coronavirus, c'est bien mais comment faire pour que cela soit vraiment efficace ? Google nous lance aujourd'hui, en supplément des Gestes Barrière un nouveau Doodle du jour, présentant un savant, Ignaz Semmelweis, précurseur en la matière ainsi que nombreuses explications détaillées.
L'on sait pertinemment que ce problème d'hygiène de base, c'est à dire le lavage des mains est, normalement, connu de tous, mais en cette période de crise sanitaire l'on ne plaisante plus et il s'agit bien là d’appliquer plusieurs consignes basiques, sérieusement surtout !
Vous trouverez, en fin d'article une infographie explicative, en anglais certes, mais très explicite quant à la manière la plus efficace de savoir correctement se laver les mains. En attendant voyons un peu tout ce que Google nous refait découvrir aujourd'hui ...

Qui était Ignaz Philippe Semmelweis et que vient-il faire dans cette histoire de lavage des mains ?

Simple à comprendre, aussi bien avec le Doodle du jour, que en regardant sa fiche sur Wikipédia ou même en lisant l'article complet ...Une explication peut-être un peu crue dans ses mots, mais une explication qui a le mérite d'être très claire : " Ignace Philippe Semmelweis, né le 1ᵉʳ juillet 1818 à Ofen et mort à Döbling près de Vienne le 13 août 1865, est un médecin obstétricien hongrois qui œuvra pour l'hygiène des mains. Il démontra l'utilité du lavage des mains après la dissection d'un cadavre, avant d'effectuer un accouchement. " Si vous désirez plus de détails, sur la dissection d'un cadavre .. allez lire l'article, mais bien sûr le principal est de comprendre qu'il faut à tout prix éviter la transmission de quelque microbe que ce soit par tous les moyens et notamment par le " toucher ", ce qui exige un nettoyage impératif et sérieux des mains.
Ignace Philippe Semmelweis
Ignace Philippe Semmelweis : il démontre les notions d'hygiène basiques !
Et s'il vous en faut davantage ...
Voici le fin mot de cette petite histoire ( lisez particulièrement la     fin du texte ... ) : Il démontra également que le lavage des mains diminuait le nombre des décès causés par la fièvre puerpérale des femmes après l'accouchement. Jusqu'alors les médecins accoucheurs essayaient en vain de comprendre d'où venaient les fièvres puerpérales en faisant de nombreuses autopsies. Ce fut un coup terrible pour ceux qui furent finalement convaincus par les idées de Semmelweis : il s'avérait qu'eux-mêmes transmettaient involontairement la maladie !!!
Ignace Semmelweis
Ignace Semmelweis : à la UNE de Google pour le LAVAGE DES MAINS .
Laver ses mains
Laver ses mains : le Doodle du jour pour nous le rappeler.
Dans la version en ligne, si vous cliquez dessus une petite animation se lance et si vous insistez vous serez redirigez vers une vidéo sur Youtube, le but étant par tous les moyens de réussir à faire passer le message au MONDE ENTIER !!!

Les geste barrières : un message d'intérêt public.

Google nous affiche également depuis plusieurs jours et sur plusieurs pages, ici pour ce qui concerne plus particulièrement la France le rappel des 5 " GESTES BARRIÈRE ", établis par le gouvernement, un minimum pour parvenir à freiner le progression du Coronavirus, ce fameux COVID-19 qui en est déjà à plusieurs milliers de victimes !!!
Restez chez vous / Lavez-vous souvent les mains / Toussez dans votre coude / évitez de toucher le visage / gardez vos distances .
( Informations de santé publique )
gestes barrière
gestes barrière : protégez-vous ET protégez les autres .lavez-vous les mains
lavez-vous les mains ! et pas que un peu !!!

Pour bien se laver les mains : deux infographies.

En suivant les différents liens depuis ce Doodle du jour sur ce médecin précurseur qu'était Ignaz Semmelweis, l'on arrive dans la page des archives de la conception des Doodles pour découvrir une première infographie, puis également sur la page officielle de l'OMS ou une autre est également diffusée, plus complète, plus détaillée et visible au niveau mondial.
Certes elles sont toutes les deux en anglais, main bon on s'en fiche, les images sont tellement expressives qu'elles se comprennent d'elles même !!!

hygiène
hygiène : conseils et étapes pour le lavage des mains .se laver les mains

se laver les mains : tutoriel en 12 étapes ( infographie )
Une infographie très complète issue directement du site de l'OMS et qui n'oublie rien, même pas le fait de refermer l'eau en protégeant les mains déjà lavées avec un papier jetable ...

Portez-vous bien ... :)
source : © le blog du référencement efficace - http://longuetraine.fr - soumis à licence CC - accord préalable demandé -

L'épidémie de coronavirus en France : mise au point

jeudi 19 mars 2020 à 11:33
L'épidémie de coronavirus, ou encore covod-19, qui sévit actuellement dans le Monde entier nous touche, nous aussi, en France ! Ce n'est même plus une épidémie, c'est une véritable pandémie !!! Les cas détectés positifs, les malades, les morts également se comptent désormais sur une échelle numérique exponentielle ... Il est grand temps que chacun deviennent adulte en France et puisse à la fois être en mesure de se protéger mais aussi de protéger les autres !!!
L'on diffuse de partout les diverses recommandations de base, celles qui sont essentielles et officielles, pas les hoaks farfelus et totalement irresponsables que certains diffusent d'un peu partout le le Net, via principalement les réseaux sociaux.
Face à un fléau de cette ampleur, il ne s'agit plus de plaisanter, l'on peut rigoler de tout, c'est bon pour le moral, mais pas de cette épidémie et de son cortège de peurs et d'inquiétude.
Nous sommes actuellement au stade 3 de cette épidémie de coronavirus en France. Les consignes sanitaires sont claires, ainsi que les restrictions de déplacements récemment mises en place aussi ainsi qu'une foule de choses toutes aussi importantes les unes que les autres. Alors puisque nous sommes français, puisque le français est ainsi, même vis à vis du coronavirus, essayons d'enfoncer encore un peu le clou en répétant une Nième fois tout ce que l'on doit savoir, sans plus ni moins, sans déformation ou interprétation, juste avec un simple " copier / Coller " des différents chapitres édités sur le site du gouvernement.

Le coronavirus, covis-19, c'est quoi ?

Depuis janvier 2020 une épidémie de Coronavirus COVID-19 (ex 2019-nCoV) s’est propagée depuis la Chine. Retrouvez sur cette plateforme toutes les réponses officielles aux questions que vous vous posez sur ce qu’est le Coronavirus COVID-19 et les recommandations pour votre santé et vos voyages.
covid-19
covid-19 : une infection redoutable !
Face aux infections, il existe des gestes simples pour préserver votre santé et celle de votre entourage :
- Se laver les mains très régulièrement
- Tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir
- Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades
- Utiliser des mouchoirs à usage unique et les jeter
- Éviter les rassemblements, limiter les déplacements et les contacts.
Qu’est-ce que le Coronavirus COVID-19 ?
Les Coronavirus sont une grande famille de virus, qui provoquent des maladies allant d’un simple rhume (certains virus saisonniers sont des Coronavirus) à des pathologies plus sévères comme le MERS-COV ou le SRAS.
Le virus identifié en janvier 2020 en Chine est un nouveau Coronavirus. La maladie provoquée par ce Coronavirus a été nommée COVID-19 par l’Organisation mondiale de la Santé - OMS.
Depuis le 11 mars 2020, l’OMS qualifie la situation mondiale du COVID-19 de pandémie ; c’est-à-dire que l’épidémie touche désormais 137 pays sur une zone étendue.
Quels sont les symptômes du Coronavirus COVID-19 ?
Les symptômes principaux sont la fièvre ou la sensation de fièvre et des signes de difficultés respiratoires de type toux ou essoufflement.
Existe-t-il un vaccin ?
Il n’existe pas de vaccin contre le Coronavirus COVID-19 pour le moment. Plusieurs traitements sont en cours d’évaluation en France, en lien avec l’OMS pour être utilisés contre le Coronavirus COVID-19. Dans l’attente, le traitement est symptomatique.
La prise d'anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone...) pourrait être un facteur d'aggravation de l'infection.
De nombreux programmes français et européens et des essais cliniques, sont en cours afin d’améliorer le diagnostic, la compréhension et la prise en charge de cette maladie. Par ailleurs, des équipes travaillent sur plusieurs pistes de traitement à Paris, Marseille ou encore Lyon ; les protocoles ont commencé. Des équipes sont également à pied d'œuvre pour inventer un vaccin, qui pourrait voir le jour dans les prochains mois.
Comment se transmet le Coronavirus COVID-19 ?
La maladie se transmet par les postillons (éternuements, toux). On considère donc qu’un contact étroit avec une personne malade est nécessaire pour transmettre la maladie : même lieu de vie, contact direct à moins d’un mètre lors d’une toux, d’un éternuement ou une discussion en l’absence de mesures de protection.  Un des vecteurs privilégiés de la transmission du virus est le contact des mains non lavées.
Quel est le délai d’incubation de la maladie ?
Le délai d’incubation, période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes.  Le délai d’incubation du coronavirus COVID-19 est de 3 à 5 jours en général, il peut toutefois s’étendre jusqu’à 14 jours. Pendant cette période, le sujet peut être contagieux : il peut être porteur du virus avant l’apparition des symptômes ou à l’apparition de signaux faibles.
D’où vient le coronavirus COVID-19 ?
Les premières personnes à avoir contracté le virus s’étaient rendues au marché de Wuhan dans la Province de Hubei en Chine. Une maladie transmise par l’animal (zoonose) est donc privilégiée mais l’origine n’a pas été confirmée.
Le virus a-t-il muté ?
Non, mais selon les dernières données scientifiques, il existerait deux souches circulantes du virus (L et S).
La souche S serait plus ancienne que la souche L. À ce stade, rien ne permet de confirmer si la mutation a eu lieu chez l’homme ou chez les hôtes intermédiaires (animal).
La souche L serait la souche circulante la plus sévère et la plus fréquente (70% des échantillons testés dans l’étude), tandis que la souche S serait moins agressive et moins fréquente (30% des échantillons).
Grâce aux moyens de détection et aux mesures de lutte contre le coronavirus, la circulation de la souche L, plus sévère et donc plus facilement détectable, tend à diminuer.
Peut-on attraper la maladie par l’eau ?
A ce jour, il n’a pas été rapporté de contamination par l’eau. Cette maladie est à transmission respiratoire et probablement de l’animal à l’homme, mais la source n’est pas encore identifiée.
Existe-t-il des risques liés aux animaux domestiques (d'élevage et familiers) ?
Il n'existe aucune preuve que les animaux domestiques jouent un rôle dans la propagation coronavirus COVID-19, le coronavirus à l’origine du COVID-19 (sources OIE, OMS et Anses).
Existe-t-il des risques liés aux aliments ?
Au vu des informations disponibles, le passage du Coronavirus COVID-19 de l’être humain vers une autre espèce animale semble actuellement peu probable, et la possible contamination des denrées alimentaires d’origine animale (DAOA) à partir d’un animal infecté par le COVID-19 est exclue. Les aliments crus ou peu cuits ne présentent pas de risques de transmission d’infection particuliers, dès lors que les bonnes règles d’hygiène habituelles sont respectées lors de la manipulation et de la préparation des denrées alimentaires.
Y aura t-il une seconde vague de virus qui touchera les plus jeunes ?
Les mesures annoncées par le Président de la République ont pour objectif freiner la progression de l’épidémie. Dès lors, la vitesse de propagation du virus se ralentit et permet de limiter le nombre de personnes atteintes en même temps par le virus. Dans cette stratégie, le type de personnes atteintes par le virus, et la répartition des cas simples, notamment en fonction de l’âge ou de l’existence de plusieurs maladies n’est pas modifié. Les études internationales nous montrent que si les personnes fragiles sont les plus à risque de développer une forme grave d’infection au Coronavirus, l’ensemble de la population peut également être concernée. Quelques cas d’infection grave au Coronavirus chez des patients hors personnes âgées ou fragiles ont effectivement été constatés dans d’autres pays.
Comment s’organise la recherche autour du virus en France ?
Le Président de la République a fait un point avec des médecins, des scientifiques des responsables de laboratoires mobilisés pour la recherche contre le coronavirus et les responsables du consortium REACTing, coordonné par l’INSERM et placé sous l’égide d’Aviesan, l’alliance de recherche en sciences du vivant et santé, et mandaté par le gouvernement pour coordonner l’effort de recherche. Le monde de la recherche est totalement mobilisé. Afin de soutenir l’effort de recherche, le ministère des Solidarités et de la Santé et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont annoncé le 5 mars 2020 débloquer 5.5 millions d’euros supplémentaires dédiés au soutien et à la coordination de la réponse scientifique à la propagation du virus, portant l’effort global à 8 millions d’euros.
De nombreux programmes français et européens et des essais cliniques, sont en cours afin d’améliorer le diagnostic, la compréhension et la prise en charge de cette maladie. Par ailleurs, des équipes travaillent sur plusieurs pistes de traitement à Paris, Marseille ou encore Lyon ; les protocoles ont commencé. Des équipes sont également à pied d'œuvre pour inventer un vaccin, qui pourra voir le jour dans les prochains mois.
Quelle est la stratégie des autorités sanitaires pour les tests ?
En phase épidémique, le principe est de ne plus tester systématiquement. Il n’y pas de droit à être dépisté, et pas d’avantage particulier à le faire pour la population générale. Après consultation du Haut Conseil de Santé Publique (HCSP), les tests ne seront plus réalisés de manière systématique et seront destinés en priorité à quatre types de populations :
- les personnes fragiles(cf liste) présentant des symptômes évocateurs du COVID-19, à risque de développer des complications.
- les deux premières personnes présentant des symptômes évocateurs du COVID-19 dans les structures médico-sociales, notamment les maisons de retraites, et dans les structures collectives hébergeant des personnes vulnérables, pour prendre des mesures immédiates afin d’éviter une transmission entre les résidents,
- les personnes hospitalisées présentant des symptômes évocateurs de Covid-19 car il faut pouvoir comprendre rapidement l’état du patient et éviter les transmissions,
- les professionnels de santé présentant des symptômes évocateurs de Covid-19.
Pourquoi ne plus tester tous les patients avec symptômes ?
Devant l’augmentation du nombre de cas, la recherche systématique de contacts est devenue inutile. Tester tous les patients présentant des symptômes conduirait à saturer la filière de dépistage alors que pour les cas graves et les structures collectives de personnes fragiles, le dépistage permet toujours de prendre des mesures immédiates (par exemple pour prévenir la diffusion du virus au sein d’un hôpital lorsqu’un patient est hospitalisé). Le décompte des cas ne se fonde plus uniquement sur les cas diagnostiqués biologiquement, mais sur des estimations épidémiologiques, comme cela se fait pour la grippe tous les ans (nombre de consultations, nombre de cas graves ou de décès…). Ces modifications reflètent donc une volonté d’adapter la réponse en fonction de l’évolution de la propagation du coronavirus dans les différents territoires.
Comment se passent les tests ?
Pour les populations concernées (cf question précédente), il y a plusieurs possibilités de tests :
- Pour les patients diagnostiqués à l’hôpital ou avec signes de gravité, ces tests seront réalisés dans les hôpitaux. 
- Pour les autres patients répondants aux critères de dépistage, il est possible d’être testé dans les laboratoires en ville, après contact du médecin traitant et prescription médicale. Les prélèvements seront réalisés à domicile. Il ne faut en aucun cas se rendre directement dans les laboratoires de biologie, mais les appeler au préalable, et seulement si on a une prescription médicale, car il existe un grand risque de contaminer d’autres malades, notamment les plus fragiles.
Concernant les patients non testés,ils seront diagnostiqués COVID-19 sur signes cliniques par un médecin. Les modalités de prise en charge médicale entre patients testés ou non restent identiques.

Les consignes sanitaires actuellement recommandées.

Le ministère des Solidarités et de la Santé actualise régulièrement ses recommandations régulièrement pour protéger votre santé et vous recommander les bons gestes à adopter face au Coronavirus COVID-19.
Face aux infections, il existe des gestes simples pour préserver votre santé et celle de votre entourage :
- Se laver les mains très régulièrement
- Tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir
- Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades
- Utiliser des mouchoirs à usage unique et les jeter
- Éviter les rassemblements, limiter les déplacements et les contacts
J’ai des symptômes (toux, fièvre) qui me font penser au Covid-19 : je reste à domicile, j’évite les contacts, j’appelle un médecin avant de me rendre à son cabinet ou j’appelle le numéro de permanence de soins de ma région. Je peux également bénéficier d’une téléconsultation.
Si les symptômes s’aggravent avec des difficultés respiratoires et signes d’étouffement, j’appelle le SAMU- Centre 15.
Qui est considéré comme une personne " à risque " ?
Le Haut conseil de la santé publique (HCSP) considère que les personnes à risque de développer une forme grave d’infection à SARS-CoV-2 sont les suivantes :
- personnes âgées de 70 ans et plus (même si les patients entre 50 ans et 70 ans doivent être surveillés de façon plus rapprochée) ;
- patients présentant une insuffisance rénale chronique dialysée, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV
- les malades atteints de cirrhose au stade B au moins
- les patients aux antécédents (ATCD) cardiovasculaires : hypertension artérielle, ATCD d’accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, chirurgie cardiaque ;
- les diabétiques insulinodépendants ou présentant des complications secondaires à leur pathologie (micro ou macro angiopathie) ;
- les insuffisants respiratoires chroniques sous oxygénothérapie ou asthme ou mucoviscidose ou toute pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale ;
- les personnes avec une immunodépression :
--médicamenteuses : chimiothérapie anti cancéreuse, immunosuppresseur, biothérapie et/ou une corticothérapie à dose immunosuppressive,
--infection à VIH non contrôlé avec des CD4 <200/mn3
--consécutive à une greffe d’organe solide ou de cellules souche hématopoïétiques,
--atteint d’hémopathie maligne en cours de traitement,
--présentant un cancer métastasé.
- Les femmes enceintes à partir du 3e trimestre
- Les personnes présentant une obésité morbide (indice de masse corporelle > 40kg/m2 : par analogie avec la grippe A(H1N1)
Comme pour beaucoup de maladies infectieuses, les personnes souffrant de maladies chroniques (hypertension, diabète), les personnes âgées (plus de 70 ans), immunodéprimées ou fragiles présentent un risque plus élevé. Dans les cas plus sévères, la maladie peut entraîner un décès.
Quel comportement individuel adopter face au Coronavirus ?
- Si je n’ai pas de symptômes et que je n’ai pas eu de contact étroit avec un cas COVID-19, j’applique les gestes barrières (je me lave les mains très régulièrement, je tousse et j’éternue dans mon coude, j’utilise des mouchoirs à usage unique, je salue sans serrer la main et j’évite les embrassades) et je réduis mes sorties au strict nécessaire : travail (si télétravail impossible), courses, médecin.
- Si je n’ai pas de symptôme mais que j’ai eu un contact étroit ou je vis avec une personne malade du COVID-19 : je m’isole à domicile, je réduis strictement mes sorties sauf pour ravitaillement alimentaire, j’applique les gestes barrières (je me lave les mains très régulièrement, je tousse et j’éternue dans mon coude, j’utilise des mouchoirs à usage unique, je salue sans serrer la main et j’évite les embrassades), je prends ma température 2 fois par jour et j’auto-surveille les symptômes de la maladie, je fais du télétravail.
- Si je suis un professionnel de santé ne présentant pas de symptômes mais que j’ai eu un contact avec une personne malade du COVID-19 en l’absence de mesures de protection appropriées : je m’auto-surveille en prenant ma température 2 fois par jour, j’applique les gestes barrières (je me lave les mains très régulièrement, je tousse et j’éternue dans mon coude, j’utilise des mouchoirs à usage unique, je salue sans serrer la main et j’évite les embrassades), je porte un masque sur mon lieu de travail et avec les malades, je contacte un médecin et me fait tester systématiquement en cas d’apparition de symptômes.
- Si j’ai des symptômes évocateurs de COVID 19 (toux, fièvre, difficultés respiratoires) : j’appelle mon médecin traitant ou un médecin par téléconsultation, je n’appelle le 15 que si j’ai des difficultés respiratoires ou si j’ai fait un malaise, je m’isole strictement à domicile. Je me fais tester uniquement si je suis une personne fragile ou à risque, si je présente des signes de gravité, si je suis déjà hospitalisé, si je suis un professionnel de santé, si je suis une personne fragile en structure collective (EPHAD, handicap). Si je n’appartiens à aucune de ces catégories, un médecin effectue le diagnostic sur signes cliniques. Les tests en ambulatoire sont possibles.
- Si je suis testé positif ou si je suis diagnostiqué cliniquement : je reste strictement à domicile, si j’ai un rendez-vous médical indispensable je porte un masque pour m’y rendre. En cas de difficulté respiratoire, j’appelle le 15. Je me fais prescrire un arrêt de travail initial d’une durée de 7 à 14 jours, entre le 6ème et le 8ème jour j’ai un avis médical, à distance, pour faire surveiller mes symptômes. En fonction de mon état je renouvelle cet arrêt pour 7 jours supplémentaires. Mon isolement sera levé 48h après la résolution complète des symptômes.
- Si je suis testé négatif, je continue d'appliquer les gestes barrières (je me lave les mains très régulièrement, je tousse et j’éternue dans mon coude, j’utilise des mouchoirs à usage unique, je salue sans serrer la main et j’évite les embrassades) et je limite mes déplacements au strict nécessaire.
- Si je suis un professionnel de santé et que je présente des symptômes évocateurs du COVID-19 (toux, fièvre, difficultés respiratoires) : je contacte mon médecin, le médecin de ma structure de soin ou un médecin par téléconsultation. Je n’appelle le 15 que si j’ai des difficultés respiratoires. Je m’isole strictement à domicile et je me fais tester systématiquement (les tests en ambulatoire sont possibles).
Dois-je porter un masque ?
Le port du masque chirurgical n’est pas recommandé sans présence de symptômes. Le masque n’est pas la bonne réponse pour le grand public car il ne peut être porté en permanence et surtout n’a pas d’indication sans contact rapproché et prolongé avec un malade.
Comme pour l’épisode de grippe saisonnière, ce sont les "gestes barrières" qui sont efficaces.
Quelles mesures sanitaires sont prises pour éviter les contacts ?
Le 16 mars 2020, le Président de la République a décidé de prendre des mesures pour réduire à leur plus strict minimum les contacts et déplacements sur l’ensemble du territoire à compter du mardi 17 mars à 12h00, pour quinze jours minimum. Les déplacements sont interdits sauf dans les cas suivants et sur attestation uniquement pour :
- Se déplacer de son domicile à son lieu de travail dès lors que le télétravail n’est pas possible ;
- Faire ses achats de première nécessité dans les commerces de proximité autorisés ;
- Se rendre auprès d’un professionnel de santé ;
- Se déplacer pour la garde de ses enfants ou aider les personnes vulnérables à la stricte condition de respecter les gestes barrières ;
- Faire de l’exercice physique uniquement à titre individuel, autour du domicile et sans aucun rassemblement.
Les infractions à ces règles seront sanctionnées d’une amende allant de 38 à 135 .

La vie quotidienne.

Le 16 mars 2020, le Président de la République a décidé de prendre des mesures pour réduire à leur plus strict minimum les contacts et déplacements sur l’ensemble du territoire à compter du mardi 17 mars à 12h00, pour quinze jours minimum. Les déplacements sont interdits sauf dans les cas suivants et sur attestation uniquement pour :
- Se déplacer de son domicile à son lieu de travail dès lors que le télétravail n’est pas possible ;
- Faire ses achats de première nécessité dans les commerces de proximité autorisés ;
- Se rendre auprès d’un professionnel de santé ;
- Se déplacer pour la garde de ses enfants ou aider les personnes vulnérables à la stricte condition de respecter les gestes barrières ;
- Faire de l’exercice physique uniquement à titre individuel, autour du domicile et sans aucun rassemblement.
Les infractions à ces règles seront sanctionnées d’une amende allant de 135 euros.
Puis-je aller travailler ?
Non, je reste chez moi et je fais du télétravail.
Si le télétravail n’est pas possible je peux me rendre au travail en transports ou par mes moyens personnels, muni d’une attestation et d’une carte d’identité.
Mon employeur est tenu d’adapter mon travail pour assurer ma sécurité si le télétravail est impossible dans mon secteur.
Puis-je faire mes courses au supermarché ou à l'épicerie ?
Les supermarchés et épiceries resteront ouverts. Leur approvisionnement en produits alimentaires et de première nécessité sera garanti dans les jours et les semaines à venir et les règles du travail de nuit notamment, seront assouplies pour les magasins. Il n’y a donc aucun risque de rationnement et il faut éviter la surconsommation préventive. Les espaces culturels et les cafétérias de la grande distribution seront fermés.
Dans la rue et dans le magasin, je dois respecter une distance de 1 mètre avec les gens qui m’entourent et mettre en œuvre les gestes barrières avant d’y aller et en y rentrant.
Puis-je aller en cours ?
Écoles, collèges, lycées et universités du pays ferment lundi, au moins jusqu'aux vacances de printemps, ce qui concerne plus de 12 millions d'élèves et 2,6 millions d'étudiants. Trois à quatre heures d'enseignement par jour - exercices en ligne, "classe virtuelle" en visioconférence- doivent être proposées. Les examens et les concours de recrutement sont reportés.
Tous les étudiants en santé qui souhaitent proposer leur aide pour la gestion de crise peuvent se signaler auprès de leur Université (par exemple, apporter un appui aux centres d’appels du 15)
Un service de garde sera mis en place département par département, pour les personnels indispensables à la gestion de la crise sanitaire.
L’école de mes enfants est fermée, comment faire ?
Dans le cadre des fermetures d’écoles, si vous êtes parent d’un enfant âgé de moins de 16 ans vous pouvez bénéficier d’un arrêt maladie indemnisé, si vous ne pouvez pas bénéficier d’un aménagement de vos conditions de travail vous permettant de rester chez vous pour garder votre enfant.
A noter qu’un seul des deux parents peut bénéficier d’un arrêt dans ce contexte.
Quelle est la procédure pour bénéficier de cet arrêt ?
La procédure est la suivante :
Contactez votre employeur et évaluez avec lui les modalités de télétravail qui pourraient être mises en place ;
Si aucune autre solution ne peut être retenue, c’est l’employeur qui doit, via la page employeur du site dédié https://declare.ameli.fr/, déclarer votre arrêt de travail ;
L’indemnisation est ensuite enclenchée à partir de cette déclaration. Vous percevrez les indemnités journalières et, le cas échéant, le complément de salaire de votre employeur dès le 1er jour d’arrêt, sans application du délai de carence ;
Vous n’avez pas à contacter l’ARS ou votre caisse d’assurance maladie, c’est la déclaration de votre employeur, accompagné de la transmission des éléments de salaires selon les canaux habituels, qui va permettre l’indemnisation de votre arrêt de travail ;
Les employeurs sont invités à pratiquer dans le maximum de cas le maintien de salaire au bénéfice de leurs salariés, auquel cas ils versent le salaire à hauteur du complément sans attendre le versement des indemnités journalières par l’assurance maladie ;
Si vous êtes non-salarié (travailleurs indépendant ou exploitant agricole), vous déclarez directement votre arrêt sur le site Internet dédié.
Puis-je rendre visite à une personne âgée ?
Les visites aux personnes fragiles et âgées à domicile comme dans les établissements médico-sociaux sont suspendues. Les mineurs et les personnes malades ne peuvent plus accéder à ces établissements, maternités comprises. En revanche, les services de soins et d’accompagnement à domicile continuent à intervenir auprès des plus fragiles lorsque cela est nécessaire ; ils doivent néanmoins appliquer les gestes barrières avec une attention extrême.
Puis-je me rendre chez un professionnel de santé ?
A l'instar des pharmacies, les cabinets de médecine resteront ouverts, mais attention : il est demandé aux personnes qui ressentent les symptômes du Coronavirus de ne pas se rendre au cabinet de leur médecin de ville. En cas de symptômes légers (fièvre et toux), il faut d’abord appeler son médecin traitant ou opter pour une téléconsultation. Si les symptômes s’aggravent au bout de quelques jours, il faut appeler le 15.
Les commerces de matériel médical restent ouverts.
Puis- je me faire opérer ?
Toutes les capacités hospitalières nationales et le maximum de médecins et de soignants sont mobilisés, et les consultations et les soins " non essentiels " sont reportés dans les hôpitaux.
Puis-je me faire livrer un repas ?
Les restaurants ont fermé leurs portes le 15 mars, comme tout comme les bars, brasseries, cafés et discothèques, jusqu'à nouvel ordre. En revanche les activités de vente à emporter et de livraison sont maintenues dans les restaurants et débits de boissons, avec la recommandation d'éviter tout contact.
Puis-je aller voir un film ou un match, aller à la piscine ?
Les cinémas sont fermés, tandis que tous les événements culturels et sportifs ont été annulés et les rassemblements publics de plus de 100 personnes ont été interdits à l'échelle nationale. Ce chiffre peut tomber à 50 dans les zones les plus touchées (arrêtés préfectoraux comme Haut Rhin, Oise etc ...). Les musées, théâtres, opéras, piscines sont également fermés. Les salles de sport sont également fermées.
Puis-je organiser une fête ?
Je ne peux pas aller à une fête ou recevoir chez moi en dehors des membres de mon foyer. Je ne peux pas non plus organiser mon mariage.
Puis-je me rendre dans mon lieu de culte ?

Je ne peux pas participer à rassemblement ou une réunion de plus de 20 personnes au sein d’un lieu de culte.
Puis-je sortir prendre l’air ?
Je peux aller dans mon jardin ou sur mon balcon mais je ne peux pas sortir sans raison ou rejoindre des amis ou ma famille à l’extérieur.
Mon conjoint et mes enfants ne peuvent pas sortir si je suis malade.
Puis-je aller auprès de parents dépendants ou de proches ?
Uniquement pour vous occuper de personnes vulnérables comme par exemple les personnes handicapées et en vous rappelant que les seniors sont les personnes les plus vulnérables : il faut les protéger le plus possible de tout contact et porter une attention encore renforcée aux gestes barrières.
Puis-je partir en vacances ?
Je ne peux pas quitter la France ni voyager pour mes loisirs ou pendant mes congés. Les frontières de l’espace Schengen seront fermées à partir du 17 mars à midi pour une période de 30 jours.
Si je suis à l’étranger, je peux rentrer en France.
Les activités physiques à l’extérieur sont-elles autorisées ?
Les sorties indispensables à l’équilibre des enfants et l’activité physique individuelle sont autorisées à proximité du domicile, dans le respect des gestes barrières et en évitant tout rassemblement.
Puis-je sortir avec mon chien ?
Oui, pour lui permettre de satisfaire ses besoins ou pour un rendez-vous vétérinaire.
Puis-je aller à l’hôtel ?
Je peux rester dans un hôtel ou une cité universitaire si je n’ai pas d’autre domicile, mais les restaurants et bars doivent garder leurs portes closes. Il est toutefois possible d'y prendre son petit déjeuner ou tout autre repas, mais uniquement en chambre.
Puis-je prendre les transports ?
Les transports ne seront ouverts qu’aux personnes étant dans l’obligation de se rendre sur leur lieu de travail. Une attestation pourra leur être demandée.
Puis-je aller voter ?
Le second tour des élections municipales est reporté.
Quel comportement dois-je adopter face au Coronavirus ?
- Je n’ai pas encore été exposé au Covid-19 à ma connaissance : j’applique en permanence les gestes et comportements qui permettent de freiner l’épidémie.
Je reste chez moi et je limite mes déplacements au strict nécessaire (travail, courses, rendez-vous médicaux). J’applique les gestes barrières : je me lave régulièrement les mains, je tousse et éternue dans mon coude, j’utilise des mouchoirs à usage unique et les jette immédiatement, je ne salue pas les autres par une poignée de main ou par une embrassade, je respecte une distance de 1 mètre avec toute autre personne.
- Je suis parent :
Si c’est possible, j’assure la garde de mes enfants à mon domicile.
Les établissements scolaires étant temporairement fermés pour freiner la propagation de l’épidémie, je garde mes enfants de moins de 16 ans à domicile, et j’évite de les confier à leurs grands-parents qui sont plus vulnérables face à l’épidémie. Une procédure simplifiée me permet de bénéficier d’un arrêt de travail indemnisé dans ce cadre.
- J’ai été en contact avec un cas confirmé de Covid-19 ou je vis avec un cas confirmé de Covid-19 : je m’isole et je surveille mon état de santé.
Je reste à mon domicile, je m’isole 2 semaines, je respecte scrupuleusement les gestes-barrières, je surveille ma température 2 fois par jour, je surveille l’apparition éventuelle de symptômes (toux, difficultés respiratoires, fièvre) et j’adopte le télétravail. Si des symptômes surviennent, je peux appeler mon médecin, mais je ne me déplace pas jusqu’à son cabinet, ni au laboratoire ni aux urgences.
- J’ai des symptômes (toux, fièvre) qui me font penser au Covid-19
Je reste à domicile, j’évite les contacts, j’appelle un médecin si besoin et ne me rends pas directement au cabinet, au laboratoire ou aux urgences ou j’appelle le numéro de permanence de soins de ma région. Je peux également bénéficier d’une téléconsultation. Si les symptômes s’aggravent avec des difficultés respiratoires et signes d’étouffement, j’appelle le SAMU- Centre 15.
- Je suis médecin libéral
J’organise mon activité pour être en mesure d’accueillir ou de conseiller des patients symptomatiques du COVID-19, notamment avec des outils de télémédecine. La prise en charge ambulatoire des patients qui présentent des symptômes modérés a vocation à être organisée par les médecins habituels des patients. Cela implique, de la part des professionnels de santé concernés, d’organiser des circuits spécifiques ou de la téléconsultation pour la prise en charge des patients.
- Je suis un élu local
En lien avec les services de l’Etat, je veille à faire respecter les consignes de fermeture de l’ensemble des services non essentiels à la vie publique (cinémas, restaurants, bars…) et à limiter les rassemblements. Je diffuse régulièrement les gestes barrières et les recommandations du ministère de la santé.
- Je suis un employeur
Je généralise le recours au télétravail dans mon entreprise et suspens toute réunion physique de personnes qui ne serait pas indispensable à la continuation de l’activité. J’informe tous mes salariés des bonnes pratiques et recommandations pour protéger la population. Si mon entreprise a des difficultés je contact le 0 800 130 000.
- Je suis un étudiant
Mon établissement est fermé à compter du 16 mars. Je consulte quotidiennement les informations que m’adressent mes professeurs. Je poursuis mon cursus au moyen des outils et supports numériques mis à ma disposition. Si je suis étudiant en santé et volontaire, je signale ma disponibilité à mon Université pour aider à la gestion de crise en appui aux équipes médicales mobilisées face à l’épidémie (exemple : appui aux centres 15 pour la gestion des appels téléphoniques).
- Je suis une femme enceinte
En l’état actuel des connaissances, rien n’indique que ma grossesse m’expose particulièrement au coronavirus. J’applique les gestes et comportements qui permettent de freiner l’épidémie. Le Haut Conseil de la santé publique recommande cependant d’appliquer aux femmes enceintes, à partir du troisième trimestre de grossesse, les mesures préventives applicables aux personnes fragiles (par exemple : restriction voire interdiction des visites, contre-indication quant à l’usage des transports collectifs, limitation des contacts avec les enfants de moins de 10 ans).
- Je suis une personne âgée
--Je respecte strictement les gestes barrières
--Exposée à des risques de forme grave ou de complication du COVID 19, je réduis mes sorties et mes déplacements au strict minimum
--Je limite les rencontres avec mes proches (en particulier lorsqu’ils sont mineurs) et privilégie les contacts téléphoniques ou audiovisuels
--Je ne reçois aucune visite et m’abstiens de toute sortie
--Si j’ai des symptômes grippaux mal tolérés, je contacte le SAMU Centre 15
- Je suis une personne en situation de handicap
--Exposée à des risques de forme grave ou de complication du COVID 19, je réduis mes sorties et déplacements au strict minimum
--Je limite les rencontres avec mes proches et privilégie les contacts téléphoniques ou audiovisuels
--Je respecte strictement les gestes barrières
--Si je vis en établissement pour personne en situation de handicap : Je ne reçois aucune visite et m’abstiens de toute sortie,
--Si j’ai des symptômes grippaux mal tolérés, je contacte le SAMU Centre 15
--Les externats médico-sociaux accueillant des enfants et des jeunes en situation de handicap organiseront les conditions du maintien à domicile, avec continuité de l’accompagnement, et garantiront aux enfants ne pouvant être pris en charge par les familles des solutions adaptées dans un délai maximum de 8 jours.  Ce délai tient à la nécessité d’organiser la continuité des prises en charge en soins et en interventions pour les enfants. Il doit aussi être mobilisé pour bien construire les solutions pour les enfants aux besoins les plus complexes.
--Les internats pour les enfants et adultes fonctionnant 365 jours / 365 sont maintenus ouverts, mais les capacités d’accueil peuvent être adaptées en fonction des besoins, pour tenir compte par exemple du choix des familles d’un retour accompagné à leur domicile pendant cette période
--Les parents qui seraient amenés à garder leur enfant handicapé à domicile, quelle qu’en soit la raison, bénéficieront d’une prise en charge par la Sécurité Sociale des indemnités journalières
- Je suis une assistante maternelle
Je peux poursuivre mon activité professionnelle si je l’exerce à titre individuel. Je veille à éviter les contacts entre les enfants que je garde et les personnes fragiles (personnes âgées notamment).
Dois-je porter un masque ?
Le port du masque chirurgical n’est pas recommandé sans présence de symptômes. Le masque n’est pas la bonne réponse pour le grand public car il ne peut être porté en permanence et surtout n’a pas d’indication sans contact rapproché et prolongé avec un malade.
Comme pour l’épisode de grippe saisonnière, ce sont les "gestes barrières" qui sont efficaces.

Toutes les autres informations sur le Coronavirus en France.

Si vous désirez en savoir plus, si vous recherchez d'autres renseignements ( officiels ! ) tels que ceux figurants dans les rubriques que vous pouvez visualiser ici, si vous désirez aussi télécharger des documents officiels,rendez-vous directement sur cette page : " Info Coronavirus COVID-19 " en cliquant sur ce lien.
coronavirus
coronavirus : la situation en France au jour le jour.
Ne paniquez pas, vérifiez toujours ce que vous pouvez entendre, prenez toutes les précautions utiles, suivez toutes les recommandations essentielles, et ... portez-vous bien !
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Rédacteur SEO indépendant ou en interne : quelle stratégie adopter ?

mercredi 18 mars 2020 à 16:49
Pour créer ou faire vire un site Internet un rédacteur SEO est absolument indispensable. La conception d'articles de contenu optimisé est une véritable spécialité et nombre de gens qualifiés en font désormais leur métier. Mais quid de leur status ? Doivent-t-ils préférer un status de rédacteur web indépendant ou intégré à une société ? Du côté des Sociétés la même question se pose ...
Le développement de n'importe quelle société ou activité professionnelle passe désormais par une incontournable visibilité sur internet, et plus particulièrement dans les moteurs de recherche. À l'heure où le rédactionnel joue une place de plus en plus prépondérante, est-il plus judicieux d'embaucher un rédacteur ou de privilégier l'externalisation ?

Externalisation auprès d'un rédacteur seo français.

Faire appel à un indépendant ou à une agence spécialisée en conception de contenu est l'alternative souvent privilégiée par les entreprises. Il faut dire qu'elle offre plus d'un avantage :
- maîtrise du coût : le premier atout est de savoir précisément combien cela va vous coûter. En effet, votre prestataire devra impérativement se tenir au devis qu'il vous aura remis.
- souplesse d'organisation : vous avez de nombreux contenus à faire produire pour une grosse actualité pour votre entreprise ? Besoin de faire rapidement refondre des fiches produit ? Vous pouvez solliciter un ou plusieurs rédacteurs juste pour une mission unique ...
- pas d'engagement : contrairement aux agences de référencement naturel qui vous font systématiquement signer un engagement sur 12 ou 24 mois, dans le domaine rédactionnel, ce genre de contrainte est rare. En général, vous êtes totalement libre de tout engagement.
Toute la difficulté réside donc dans le fait de bien choisir le professionnel à qui vous allez confier une partie de la visibilité de votre entreprise.
rédacteur
rédacteur : web ou SEO, un métier de spécialiste à part entière.
Privilégiez tout d'abord des entreprises ou des indépendants basés en France pour être certain d'avoir la meilleure qualité qui soit. Vous pouvez par exemple opter pour une agence de rédaction sur Rennes si vous êtes également sur le bassin rennais.
Toutefois, dès lors qu'il est situé en France, le lieu d'implantation ne doit pas être le critère principal. Mieux vaut des références qualitatives et vérifiables.

Le recrutement d'un spécialiste en contenu éditorial.

Faut-il ou non recruter un expert en rédaction web pour être plus visible dans Google ? Voilà une problématique à laquelle sont confrontés les dirigeants ayant saisi toute l'importance d'un bon référencement Google.
Un rédacteur au sein de son équipe : ces frais qu'il faut anticiper.
D'un point de vue économique, il peut sembler plus judicieux de procéder au recrutement d'un rédacteur plutôt que de se tourner vers l'externalisation.
Toutefois, avant de se lancer dans un tel projet d'embauche, il faut garder en tête que le temps où le rédacteur web n'avait besoin que d'un bureau et d'un ordinateur est définitivement révolu.
En effet, ce professionnel se doit également d'avoir de solides connaissances en référencement naturel pour vous faire gagner des positions sur les requêtes qui vous rapportent effectivement des prospects. Et pour cela, il a besoin :
- d'un certain nombre d'outils seo : en plus des incontournables tels que Semrush pour suivre l'évolution de votre positionnement dans les moteurs de recherche, votre salarié aura besoin de tools lui permettant d'optimiser au mieux chacun des contenus qu'il conçoit. Or, ces différents outils ne sont accessibles qu'après paiement d'un abonnement mensuel ou annuel dont le coût est loin d'être négligeable !
- de se rendre aux events seo régulièrement organisés partout en France. En effet, pour que le site de votre entreprise soit en première page Google, votre rédacteur a constamment besoin de se former et de s'informer. Ces événements sont d'excellents moyens d'échanger, de discuter et de découvrir les nouvelles tendances. Tout cela a un prix ( frais d'hébergement, train, restaurant, prix de l'event, etc), mais c'est indispensable pour que vous conserviez une longueur d'avance sur la concurrence...

Un pro de la rédaction en interne : pour une communication sans faille.

Bien évidemment, avoir au sein de son équipe un expert en conception éditoriale présente également des avantages, et non des moindres.
Si l'on ne devait en citer qu'un seul, ce serait probablement que ce rédacteur immergé dans votre entreprise va en assimiler les caractéristiques et la culture. Il est alors le mieux placé pour orienter votre communication et le contenu de votre site de manière à valoriser ce qui fait votre force face à la concurrence. C'est en revanche bien plus difficile avec un professionnel externe à votre structure.
Bien évidemment, en plus de cet atout majeur, il faut en ajouter un second, le fait que ce pro de l'optimisation et de la conception rédactionnelle ne travaille que pour votre société. De fait, sa réactivité est sans commune mesure. En fonction du contexte économique ou pour saisir une opportunité de positionnement sur un marché, le rédacteur au sein de votre entreprise est un atout précieux,
En fin de compte, le choix de l'embauche ou de l'externalisation dépend pour beaucoup de votre besoin et de la taille de votre structure. Seules les plus grosses entreprises ayant un besoin quotidien de communiquer ( réseaux sociaux, blog de l'entreprise, communiqué de presse, etc... ) peuvent envisager d'intégrer un rédacteur au sein de leur équipe. Pour toutes les autres, l'externalisation est la solution la plus judicieuse et la plus souple.
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Comment apprendre à rédiger pour le web ?

lundi 16 mars 2020 à 18:31
Se mettre à l’école de la création de contenus, telle est l’ambition d’un bon nombre de personnes souhaitant travailler de manière indépendante sur la toile. Seulement, c’est un métier qui demande une certaine connaissance, puisque les textes rédigés dans cette optique sont utilisés pour promouvoir les activités d’une entreprise œuvrant sur la toile, et non pour le simple plaisir de décorer un site.Il faut, a priori, se conformer aux règles dictées par les moteurs de recherche dans le cadre de toute production écrite orientée pour le web. En tout cas, c’est un marché en pleine croissance qui présente encore de potentiels clients. Entre les techniques SEO et les capacités linguistiques, il y a tout de même beaucoup à apprendre. Reste qu’il est possible de devenir spécialiste en la matière avec les bonnes pratiques.

Le but de la rédaction web.

Rédiger pour le web  a ses spécificités. Si l’on se lance dans la rédaction web, c’est bien pour quelque chose. Peu importe le type de contenu produit, le but est d’avoir une meilleure visibilité. C’est la raison pour laquelle le maniement des mots-clés tient une place importante.
Le site pour lequel le texte est destiné gagne en trafic avec une bonne qualité de rédaction. Après tout, il ne sert à rien d’avoir une plateforme sur le Net s’il est quasiment impossible pour les cybernautes d’y accéder. Or, ce cas risque de se produire si les contenus ne sont pas approuvés par Google. Ce sera certainement du gâchis n’est-ce pas ?
rédaction web
rédaction web : un véritable métier !
Alors qu’avec ces bonnes pratiques, elle a plus de chance d’augmenter son audience ou ses clients selon l’activité en question.

Les domaines de prédilection d’un rédacteur web.

Comme son nom l’indique, le métier de rédaction web consiste à créer des contenus textuels pour un site internet. C’est-à-dire que les écrits sont dans ce cas destinés aux internautes. Ce, dans tous les secteurs d’activités présents sur le canal en ligne.
Un rédacteur web se doit d’avoir une bonne capacité d’analyse face à tous les thèmes demandés. En effet, il existe divers types de contenus et de sujets qui s’adressent à différentes catégories de cibles. Si un article publié sur un blog est souvent plus souple, les textes livrés à un site journalistique sont beaucoup plus optimisés en matière de qualité linguistique.
Dans tous les cas, de la précision et de la clarté sont requises pour avoir des contenus suffisamment accrocheurs, quel que soit l’objectif. En sachant que celui-ci change selon la plateforme concernée. Certaines productions sont utilisées à des fins purement commerciales, tandis qu’une bonne partie des documents sur le web ont des caractéristiques informatives.
Pour vous donner une idée de ce à quoi vous devez vous attendre, renseignez-vous sur les spécificités des fiches produits et des articles de journaux qui sont des exemples très courants sur le web.

Avoir un champ lexical et sémantique étendu.

Comprenez tous les rouages de la langue française pour pouvoir exercer le métier de rédacteur web de manière professionnelle. Règles grammaticales, normes sur l’orthographe, principes de conjugaison. Et à cela s’ajoute une panoplie assez élargie de vocabulaires.
Le français est l’exemple le plus prépondérant, mais ces conseils sont valables pour toutes les autres langues. Les notions de base sont des vecteurs de qualité au sein de la toile. Il est quasiment impossible de produire un contenu à la hauteur de la concurrence sans ce prérequis.
La lecture est un véritable allié pour pouvoir se perfectionner. Non seulement cela élargit vos connaissances sur la langue en question, mais développe également votre inspiration. C’est encore mieux si les sources peuvent optimiser vos connaissances générales. Dans ce sens, les magazines et journaux sont plus à même d’accroître vos capacités rédactionnelles
Plus votre sémantisme prend de l’ampleur, plus vos textes seront enrichis aux yeux de Google. Cela lui permet de mieux comprendre leur contenu et de valoriser celui-ci auprès des lecteurs.

Assimiler les techniques SEO.

Avoir un bon niveau en rédaction ne se limite pas aux connaissances liées à la langue. Avec les exigences de plus en plus draconiennes imposées par les moteurs de recherche, des règles plus techniques viennent s’ajouter à ces astuces de base.

La pyramide inversée pour un meilleur référencement.

Nombreuses sont les normes devant être respectées, mais la pyramide inversée se veut un impératif pour avoir un texte bien positionné. Qui dit rédaction web, dit référencement naturel. C’est la notion qui considère la réciprocité du texte à la demande des internautes. Diverses techniques entrent en jeu par rapport à cela.
Et celle-ci en fait partie. Elle consiste à intégrer une brève présentation du contenu en amont. Attention, il ne s’agit pas d’une introduction, qui est un autre élément à part entière d’un texte bien optimisé. Son rôle est de résumer l’ensemble des informations procurées dans l’article en 4 lignes au maximum. Du côté du lecteur, cette partie est vue comme étant un avant-goût l’incitant à cliquer sur le titre.

Respecter une certaine structure.

Si la première recommandation peut être facultative, bien qu’appréciée, adopter une bonne structure est un must. L’objectif est de fournir un article lisible et respectueux du balisage indiqué par Google.
En premier lieu, le titre H1 représente l’intitulé de l’article. À sa lecture, les internautes devraient être en mesure de deviner le sujet à discuter. Le mieux est d’avoir un titre de 5 à 10 mots. Il est très courant de le présenter sous forme de questions comme celui de l’article ici présent. Cela vous permet de vous mettre à la place du lectorat.
Ensuite, le H2 est le premier niveau de sous-titre qui est généralement précédé d’un " chapô " et d’une introduction. Le premier est un autre résumé de l’article, mais qui fait deux lignes tout au plus. L’introduction quant à elle est beaucoup plus claire et approfondie.
Les intertitres se trouvent à l’intérieur des paragraphes principaux pour mieux présenter chaque idée de manière indépendante. À titre d’information, chaque titre et sous-titre peut contenir un mot-clé, secondaire ou principal. L’utilisation des mots-clés est, d’ailleurs, un peu délicate. En tout cas, l’idéal est de se contenter d’une occurrence par 100 mots. ....
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Référencement payant ou naturel, lequel choisir ?

dimanche 15 mars 2020 à 16:07
Le référencement Naturel et référencement payant, SEO et SEA, sont-ils des solutions complémentaires ou se suffisent-ils à eux-même en matière de solution de positionnement d'un site Internet dans les résultats des recherches, nombreuses, données par les moteurs, par les SERP ... ? Une question à approfondir avant toutes choses ...
Si vous travaillez régulièrement dans le webmarketing, vous devez déjà être familier de l’expression référencement. Et je suis certain que vous avez aussi entendu parler du référencement naturel et du référencement payant. La question qui surgit généralement dans l’esprit des uns et des autres est la suivante : Est-il préférable d'utiliser le référencement payant plutôt que la solution organique?
SEO VS SEA
SEO VS SEA : choix ou stratégie pour un référencement efficace.
A première vue, cela ressemble à une question simple, mais la réponse est beaucoup plus complexe. Les deux méthodes présentent des avantages et des inconvénients spécifiques. Voyons ensemble de quoi il en retourne.

Vue d’ensemble du référencement naturel.

Le référencement organique est également connu sous le nom de " référencement naturel " ou de SEO pour Search Engine Optimization. Il est utilisé dans le but d’accroître le trafic à travers les moteurs de recherche. Ceci en utilisant plusieurs techniques qui peuvent sembler complexes, mais qui ne nécessitent aucune méthode fictive pour améliorer le classement. Il utilise les techniques du White Hat.
Les avantages du référencement naturel.
Lorsque vous entendez parler du référencement naturel, vous avez forcément en tête un classement élevé dans les moteurs de recherche. En effet, le référencement organique créé une perception de crédibilité de la part des chercheurs. Les classements de recherche élevés impliquent l'autorité et le leadership dans votre domaine d’activité. Cette perception se traduit par plus de confiance et une plus grande probabilité de cliquer sur le site.
Le référencement naturel est aussi très avantageux pour le classement: une fois que vous avez obtenu un classement élevé, il est plus facile de le conserver. Par ailleurs, il faut savoir que les taux de clics sont meilleurs pour les résultats de recherche organiques.
Les Inconvénients du référencement organique.
Le principal inconvénient que vous allez rencontrer dans le référencement naturel est celui du temps. En fonction de la compétitivité des mots-clés utilisés, il faut parfois des mois, voire des années, pour obtenir un classement élevé. Pouvez-vous attendre aussi longtemps?
Obtenir un classement élevé nécessite à la fois de créer du contenu et d'utiliser des tactiques de référencement pour y parvenir. Cela peut être difficile, frustrant et exigeant en termes de temps.
Bon, ce n'est pas pour vous effrayer mais juste pour que vous sachiez d'avance que ce type de référencement demande beaucoup d’investissement individuel. Faute de quoi, vous ne parviendrez à aucun résultat. Il y en a qui s'en sortent, d’autres par contre préfèrent moins s'impliquer personnellement et ont recours aux solutions payantes.

Vue d’ensemble du référencement payant.

Le référencement payant repose essentiellement sur des solutions que vous payez pour obtenir du trafic sur votre site. Il constitue donc une parfaite alternative pour ceux qui n'ont pas la patience de développer un trafic de qualité sur leur site. Par exemple, une entreprise va payer pour que ses annonces soient affichées lorsque les utilisateurs effectuent une recherche contenant des mots clés spécifiques. Les annonces sont généralement affichées au-dessus et à droite des résultats de recherche organiques. Le placement exact des annonces est déterminé à la fois par un processus d'enchères et par le niveau de qualité. Les avantages et les inconvénients du référencement payant sont souvent l’opposé du référencement naturel.
Les avantages du référencement payant.
Contrairement aux classements des résultats organiques qui peuvent prendre des mois ou des années, les résultats payés sont placés en haut du classement dès que vous payez pour le placement d'une annonce.
Vous avez également l’avantage d’un meilleur ciblage puisque les campagnes PPC peuvent être personnalisées pour atteindre des publics spécifiques. Le taux de clics est aussi un avantage. En effet, les requêtes qui utilisent des termes indiquant une intention d'achat élevée, telles que des mots clés propres à un produit ou à une marque, vont générer plus de clics que de résultats organiques. 
Pourquoi le référencement payant est désavantageux ?
La première raison pour laquelle beaucoup de gens ne choisissent pas le référencement payant est celle du coût. Il faut savoir que plus le mot-clé est compétitif, plus le prix de l'offre est élevé pour chaque clic sur l'annonce affichée. Ce type de référencement nécessite un niveau d'expertise pour gérer ces campagnes. Sinon, vous allez dépenser beaucoup d’argent pour attirer un trafic non qualifié. Toujours sur la question des finances, un autre inconvénient est que les annonces disparaissent dès que vous cessez de les payer. A moins que vous ne décidiez volontairement de mettre fin à votre campagne de référencement, un défaut de paiement sera néfaste pour votre classement.
Enfin, les consommateurs ne font pas toujours confiance aux annonces payées et les évitent souvent. Ils ont plus de confiance dans les classements organiques.

En conclusion : naturel VS payant ?

Si vous vous demandez toujours ce que vous devez choisir entre le référencement payant et le référencement naturel, la meilleure approche consiste à combiner des résultats de recherche organiques et payants. L'avantage de cette approche est que les classements organiques confèrent une crédibilité à votre entreprise et des résultats de recherche permanents. La solution payante fournit des résultats immédiats en haut de page et des taux de clic plus élevés, c'est-à-dire les ventes, lorsque les consommateurs sont prêts à acheter. Dans l’un ou dans l’autre cas, n’oubliez pas que vous devrez tout de même préparer vos campagnes...
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