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Study: To ensure transparency, European Parliament must adopt Free Software, Open Standards

vendredi 12 décembre 2014 à 00:00
Study: To ensure transparency, European Parliament must adopt Free Software, Open Standards

A study released on Friday says that the European Parliament must adopt Free Software and Open Standards in order to fulfil its transparency obligations. The authors conclude that "the Rules of Procedure of the European Parliament should whenever possible make Free Software and Open Standards mandatory for all systems and data used for the work of Parliament."

The study, entitled "Ensuring utmost transparency -- Free Software and Open Standards under the Rules of Procedure of the European Parliament", was prepared by two legal experts for the Greens/EFA in the European Parliament. Its authors, the legal experts Carlo Piana (Italy) and Ulf Öberg (Sweden), argue that the Parliament is committed to an even higher standard of openness than other EU institutions.

"This study sends a strong signal that Free Software and Open Standards are essential for the European institutions to fulfil their transparency obligations," says FSFE's president Karsten Gerloff. "We call on the European Parliament to implement the study's recommendations at all levels, and as quickly as possible, in particular with regard to access and use of documents, email and encryption, video streaming, and upcoming procurement decisions."

The study lists a number of concrete steps the European Parliament needs to take in order to fulfil its transparency obligations:

Immediate technical measures includes to enable access and use of documents, email and encryption with and through Open Standards. In other words, the European Parliament must make it possible to work with ODF, IMAP and OpenPGP inside the Parliament. It must also ensure that citizens can use these open standards to communicate with the Parliament, regardless of the software platform they are using. When acquiring software and services, the European Parliament should prefer Free Software based on Open Standards. This is not only allowed by the EU's procurement rules, but actually "serves the general economic interest of the EU". The European Parliament should continously check that its IT infrastructure and services comply with the Constitutional Principle of Openness and the Parliament's own Rules of Procedure to ensure the utmost transparency.

FSFE and others have repeatedly criticised the Parliament for failing on transparency. Currently, MEPs and parliamentary staff do not have access to a standards-compliant email solution, and live video streams from the Parliament are not accessible for Free Software users.

"The Parliament needs to open itself to the world," says Gerloff. "Live video streams that allow all Europeans to follow the Parliament's work are essential to democracy in the 21st century. Encryption is a necessity to allow the citizens to talk to their MEPs in confidence. Utmost transparency is one of the EU's fundamental principles, and Europeans expect their Parliament to do better in this regard."

The Greens/EFA are soliciting feedback for a second edition of the study.

Media contact: Karsten Gerloff Mail: gerloff@fsfe.org tel.: +49 176 9690 4298

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FSFE Newsletter - Décembre 2014

mardi 9 décembre 2014 à 00:00
FSFE Newsletter – Décembre 2014 Des institutions européennes plus demandeuses

La nouvelle Commission européenne est actuellement en train de fixer la ligne directrice de sa politique pour les cinq prochaines années. La FSFE s'entretient régulièrement avec les équipes de la Commission, qui voient là un moment propice pour le Logiciel Libre à Bruxelles. Nous voulons saisir cette opportunité pour à la fois faire pression sur les appels d'offres liés aux logiciels, sur la standardisation ainsi que sur la maîtrise des appareils. C'est pourquoi notre président Karsten Gerloff a participé à plusieurs réunions.

En novembre, le Parlement européen (PE) a organisé une conférence pour informer les parlementaires sur les prestations informatiques qui leur sont fournies en interne. Cette conférence a été l’occasion d’une table ronde dirigée par Adina Valean, la nouvelle vice-présidente du PE en charge des TIC, avec une intervention de Giancarlo Villela, le directeur du service informatique du PE. Après le débat, Karsten a pu faire quelques commentaires sur les retransmissions en direct des institutions européennes, sur DebianParl ainsi que sur les risques d’enfermement propriétaire (en anglais).

Début décembre, Karsten était à nouveau au Parlement, cette fois à l'occasion d'un atelier sur les Standards Ouverts pour l'approvisionnement des TIC (en anglais). Le réel intérêt de ce type d'événements, comme souvent, réside dans les personnes présentes. L'atelier a été l'occasion pour la petite communauté poussant les Logiciels Libres et les Standards Ouverts dans les procédures d'appels d'offres de se rencontrer et de partager les dernières informations pour impulser ensemble des changements positifs.

Le Cloud n'existe pas. C'est simplement l'ordinateur de quelqu'un d'autre !

Karsten a également participé à un autre événement : la présentation du rapport sur l'interopérabilité et le « cloud » computing par le lobby ECIS basé à Bruxelles. Karsten a pris des notes sur le meeting dans son billet de blog Quelques recommandations de bon sens sur l'informatique fumeuse (en anglais).

À peine quelques jours plus tard, les nouveaux autocollants « There is no Cloud, just other people's computers » (Il n'y a pas de Cloud, simplement l'ordinateur de quelqu'un d'autre) sont arrivés au bureau. Nous avons reçu beaucoup de retours positifs sur ces autocollants, que nous avons ajoutés à nos kits de promotion. Nous envisageons d'avoir quelques produits dérivés avec ce slogan prêts pour notre stand au FOSDEM du 31 janvier au 1 février 2015 à Bruxelles.

Des progrès sur les tracts pour « l'autodéfense email »

En plus de ces nouveaux autocollants, il est désormais possible de commander de nouveaux tracts pour promouvoir le « guide d'auto-défense email » de notre organisation-sœur. Nous avons d'abord fait ce tract en allemand pour la manifestation annuelle « La liberté, pas la peur » en septembre. Ensuite, des bénévoles de toute l'Allemagne les ont commandés puis distribués. Par exemple, des tracts ont été distribués par un cinéma pour chaque personne qui achetait un ticket pour le documentaire sur Snowden « Citizenfour ». Pendant ce temps, nous avons réimprimé la version allemande une troisième fois et, depuis fin-novembre, nous pouvons envoyer la version anglaise à nos soutiens dans toute l'Europe.

Dans les prochaines semaines, nos traducteurs et nos designers vont finaliser les versions chinoise, néerlandaise, française, grèque, italienne et espagnole. Pour 2015, nous voulons que tout soutien local du Logiciel Libre puisse les distribuer dans des bibliothèques, des universités, des écoles, des cinémas, des entreprises, des restaurants, des cafés, des boutiques ou dans tout autre endroit.

Les traducteurs de la FSFE : sont des personnes géniales

Ce qui nous amène à une note de remerciement bien nécessaire. Pendant les douze derniers mois, nous avons publié la lettre d'information mensuellement. Deux éditions furent écrites par notre bénévole Heiki « Repentinus » Ojasild, pour que votre rédacteur puisse profiter de ses vacances. Notre lettre d'information mensuelle était disponible dans 6 langues en moyenne (au minimum 4 langues, au maximum 9 langues). Nous avons eu des lettres en albanais, néerlandais, anglais, français, allemand, grec, italien, portugais, roumain, serbe et en espagnol.

Votre éditeur est fier de travailler au sein d'une équipe pleine de bénévoles si impliqués. Ils traduisent la lettre d'infos, les tracts mentionnés plus-haut, et d'autres communiqués de la FSFE. Ils permettent à d'avantage de personnes dans le monde de lire sur le Logiciel Libre dans leur langue maternelle, ils constituent donc une partie cruciale de la FSFE. C'est pourquoi votre éditeur voudrait profondément remercier notre équipe grandissante de traducteurs pour ce travail important.

Par ailleurs… L'année est presque terminée, voici venu le temps des bilans. Notre président a publié en avant-première quelques unes des choses que nous avons faites en 2014 notamment le travail sur les appels d'offres publics, le pacte du Logiciel Libre, les routeurs obligatoires, l'amélioration des éléments de communication, l'information sur « l'informatique de confiance » (informatique déloyale) et le« démarrage sécurisé », l'organisation du Document Freedom Day, les réponses aux questions juridiques, tout comme notre participation à différents événements comme des ateliers, des tables rondes, ou la tenue de stands. Dans la dernière lettre d'information, nous vous avions demandé d'aider la campagne FixMyDocuments. Avec le soutien qu'ils ont reçu, ils ont maintenant dressé une liste de plus de 15 000 documents modifiables provenant des institutions européennes et qui n'existent pas en format Open Document. WhatsApp vient d'adopter un système de chiffrement développé pour l'application libre TextSecure. Torsten Grote nous dit ce que cela signifie pour le Logiciel Libre. Événements locaux : la FSFE a tenu un stand à T-Dose, aux Pays-Bas (en anglais). Nos Fellows néerlandais ont organisé le stand ensemble, Kevin Keijzer a donné une conférence sur « La discrimination des (utilisateurs de) Logiciels Libres dans l'éducation », Maurice Verheesen a parlé de « la souveraineté numérique pour l'Europe », et Felix Stegerman des perspectives et des dangers de « l'Internet des objets » (en anglais). Par ailleurs, notre groupe berlinois a organisé un stand à la FiFFkon (en allemand) à l'université technique de Berlin. Guido a publié un résumé de ce qui s'est passé dans l'éducation en Europe au moins d'octobre (en anglais). Le Fellow français Alexandre Keledjian a publié F-Droid-Web, une interface web simple et légere pour les serveurs F-Droid (en anglais). Il fournit un moyen simple pour ajouter un nouveau dépôt de logiciels sur son téléphone portable en utilisant un QR-code et permet de chercher dans le catalogue F-Droid par nom, catégorie, résumé, type de licence et description. Depuis la Planète : Mirko Böhm, Fellow de la FSFE et membre de la communauté KDE, explique pourquoi vous devriez soutenir le travail de la FSFE (en anglais) qui, selon ses mots, est de protéger, expliquer et organiser les libertés d’utiliser, d’étudier, de partager et d’améliorer les logiciels. Daniel Pocock se demande si Amnesty International ne donne pas un faux sentiment de sécurité aux victimes de l’espionnage (en anglais). Dans son billet, il fournit une lettre type à envoyer à l’organisation. EOMA68 est un standard ouvert d'interface électronique destiné à favoriser la conception de petits ordinateurs. Nico Rikken explique pourquoi EOMA68 servira le développement des Logiciels Libres et des matériels libres (en anglais). Mario Fux explique comment vous pouvez contribuer à KDE sans être un développeur (en anglais). De plus, nous avons quelques tutoriels techniques sur la Planète, dont celui de Kevin Keijzer qui nous fait part de son expérience dans l’installation d’Ubuntu sans logiciels propriétaires (en anglais). Hannes Hauswedell indique comment chiffrer les courriels quotidiens de cron sur FreeBSD (en anglais). Si son tutoriel porte sur FreeBSD, il est certain que les utilisateurs de GNU trouveront comment l’adapter à d’autres distributions. Mirko Böhm décrit comment configurer une souris de gamer sur GNU/Linux pour pouvoir à la fois jouer et travaille (en anglais)r. Enfin, Max Mehl, qui a désormais son propre dépôt Git (un système de gestion de versions distribué), y a ajouté un script pour supprimer toutes les métadonnées des fichiers PDF stockés dans un répertoire donné (en anglais). Soyez actifs : obtenez votre carte à puce et soutenez-nous

L’an prochain, nous nous démènerons plus que jamais pour ancrer la liberté logicielle dans le socle de notre société. Afin de nous permettre d’intensifier notre travail avec la Commission européenne, de faire découvrir les Logiciels Libres à un plus grand nombre de personnes tout en poursuivant nos tâches actuelles, nous avons besoin de 190 000 € pour 2015.

Pour les particuliers, le meilleur moyen de soutenir financièrement le travail de la FSFE est de devenir un Fellow (un membre soutenant la FSFE). Toutes les contributions de la Fellowship se transforment en actions pour nous diriger vers une société libre.

Les Fellows reçoivent une carte à puce dernier cri de la Fellowship qui, avec le logiciel libre de chiffrement GnuPG et un lecteur de cartes, peut être utilisée pour signer et chiffrer des courriels, pour se connecter à un ordinateur distant de manière sécurisée via SSH depuis un ordinateur potentiellement non sûr, ou encore pour stocker les clés d’un disque dur chiffré. Puisque les clés sont stockées dans la carte, elles sont presque impossibles à dérober.

Merci à tous les volontaires, les Fellows et les donateurs qui rendent notre travail possible, Matthias Kirschner - FSFE

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Prenez en main votre sécurité avec une carte à puce et soutenez le travail de la FSFE en 2015

mercredi 3 décembre 2014 à 00:00
Prenez en main votre sécurité avec une carte à puce et soutenez le travail de la FSFE en 2015

La Free Software Foundation Europe est une association paneuropéenne à but non lucratif, fondée en 2001 pour donner aux utilisateurs la pleine maîtrise de leurs technologies. Afin de permettre à l'organisation d'intensifier son travail avec la Commission européenne et de faire en sorte que le plus grand nombre connaisse le Logiciel Libre, la FSFE a besoin de 190 000 € pour son action en 2015. L'année prochaine, la FSFE continuera plus que jamais à faire des Logiciels Libres un pilier de notre société.

La nouvelle Commission européenne est actuellement en train de fixer la ligne directrice de sa politique pour les cinq prochaines années. La FSFE s'entretient régulièrement avec les équipes de la Commission qui voient là un moment propice pour le Logiciel Libre à Bruxelles. Pour l'année 2015, la FSFE veut saisir cette opportunité pour à la fois faire pression sur les appels d'offres de logiciels, sur la standardisation, sur la maîtrise matérielle, et entamer un réel progrès pour le Logiciel Libre et les Standards Ouverts.

En même temps, la FSFE élargira son public et ira davantage aux endroits où les gens ignorent encore ce qu'est le Logiciel Libre. La FSFE poursuivra l'extension de son réseau de groupes locaux à travers l'Europe. L'organisation traduit constamment dans de nombreuses langues européennes son matériel de communication, lequel est de plus en plus populaire. Les bénévoles locaux peuvent faire passer le message du Logiciel Libre en commandant gratuitement des kits de communication et en distribuant ces documents dans les bibliothèques, les cinémas, les magasins et d'autres endroits, augmentant ainsi grandement la portée du message du Logiciel Libre.

La meilleure façon de soutenir l'action de la FSFE est de rejoindre la Fellowship de la FSFE. Toutes les contributions financières de la Fellowship bénéficient directement au travail de la FSFE pour une société libre. Chaque Fellow reçoit une carte à puce sophistiquée qui, utilisée en combinaison avec le logiciel de chiffrement libre GnuPG et un lecteur de carte, permet de signer et de chiffrer des courriels, de sécuriser des clés SSH pour se connecter à un ordinateur depuis une machine potentiellement peu sûre, ou encore de stocker les clés de chiffrement d'un disque dur. Comme les clés de chiffrement sont stockées sur la carte même, il devient presque impossible de les subtiliser.

Vous avez aussi la possibilité de faire un don immédiat à la FSFE.

Pour continuer son action en 2015, la FSFE aura besoin de 420 000 € au total. L'organisation a d'ores et déjà obtenu 230 000 € grâce à ses membres actuels, ses dons réguliers et les ventes de ses produits dérivés. La FSFE a besoin de 190 000 € supplémentaires pour assurer son travail en 2015.

Le billet de blog de Karsten Gerloff sur l'action de la FSFE ces douze derniers mois

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In der Schweiz fehlt noch die gesetzliche Grundlage um Freie Software durch den Staat zu fördern

jeudi 20 novembre 2014 à 00:00
In der Schweiz fehlt noch die gesetzliche Grundlage um Freie Software durch den Staat zu fördern

Die öffentliche Weiterentwicklung der Freien Software 'OpenJustitia' durch das Schweizer Bundesgericht wird auf Grund eines neuen Rechtsgutachtens vorerst eingestellt. Grund für das aprubte Ende gibt die scheinbare Rechtsunsicherheit bezüglich der Entwicklung und Veröffentlichung Freier Software durch öffentliche Träger in der Schweiz. Die FSFE fordert, dass die fehlende gesetzliche Grundlage dazu baldmöglichst geschaffen wird. Damit Software, dessen Entwicklung von öffentlichen Geldern finanziert wird, auch in der Schweiz zukünftig als Freie Software veröffentlicht werden kann.

Ende Oktober hat das Schweizer Informatiksteuerungsorgan des Bundes (ISB) ein "Rechtsgutachten zur verfassungsrechtlichen Zulässigkeit der Randnutzung von Software im Verwaltungsvermögen, insbesondere der Veröffentlichung und Verbreitung von Open-Source-Software durch Träger von Bundesaufgaben" veröffentlicht. Darin wird auf eine fehlende gesetzliche Grundlage hingewiesen, die "die Abgabe staatlicher Software an Drittpersonen" als Freie Software erlaubt. Weiterhin wird im selben Gutachten eine mögliche Marktverzerrung unterstellt, sollte der Staat eigenständig Freie Software entwickeln. Als Konsequenz daraus hat das Schweizer Bundesgericht mitgeteilt, dass es zunächst keine Weiterentwicklung der preisgekrönten Freien Software 'OpenJustitia' "allgemein zugänglich veröffentlichen" wird. Dies ist der vorläufige Höhepunkt eines jahrelangen Rechtsstreits zwischen dem Bundesgericht und dessen vorherigem Software-Zulieferer Weblaw AG.

Wie jedoch die lokale Gruppe der FSFE in Zürich in ihrer Stellungnahme deutlich herausarbeitet, sei die im Rechtsgutachten behauptete Marktverzerrung gar nicht gegeben, denn "OpenJustitia wurde entwickelt, weil es keine bestehende Lösung gab". Auch in der offiziellen Erklärung des Bundesgerichts ist zu lesen, dass es in Ermangelung einer vorhandenen, zufriedenstellenden Lösung beschlossen hat, eine eigenständige Software zu entwickeln und diese konsequenterweise auch kantonalen Gerichten und der breiteren Öffentlichkeit als Freie Software unter der GPLv3 zur Verfügung zu stellen.

"Das Beispiel von OpenJustitia führt uns den Verbesserungsbedarf der Schweizer Rechtslage bezüglich staatlicher Förderung Freier Software drastisch vor Augen", so Erik Albers von der FSFE. "Insbesondere wenn - wie im Falle von OpenJustitia - es noch gar keinen Markt gibt, ist eine staatliche Entwicklung oder Förderung Freier Software bestens geeignet um eine Versorgung zu gewährleisten und zugleich einen Markt zu ermöglichen. Ganz abgesehen davon, dass was die Öffentlichkeit finanziert auch der Öffentlichkeit zur Verfügung stehen soll."

Die FSFE fordert, dass so bald wie möglich eine gesetzliche Grundlage geschaffen wird, nach welcher der Schweizer Bund weiterhin und zukünftig Freie Software entwickeln kann und diese auch der breiten Öffentlichkeit zur Verfügung stellen darf. Unterstützen möchte die FSFE damit auch die "Parlamentarische Gruppe Digitale Nachhaltigkeit", die ankündigte eine Motion einzureichen, welche zukünftig die Weitergabe von Freier Software seitens Schweizer Bundesbehörden explizit erlauben wird.

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[Blog] FSFE comments at European Parliament's DG ITEC conference

jeudi 20 novembre 2014 à 00:00
At a meeting in the European Parliament, FSFE's president Karsten Gerloff highlighted several ways in which the Parliament could become more transparent, and make better use of Free Software and Open Standards. In a short intervention, he urged the Parliament to finally make its live streams accessible to Free Software users. He asked the Parliament's IT administration to enable IMAP access on its mail servers to allow Free Software users to connect through standard protocols, and warned the Parliament to avoid lock-in as it progresses towards greater digitisation.

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